تقي زاده

تقي زاده

Le fossé se creuse entre le groupe terroriste Tahrir al-Cham et le courant al-Masri qui est contre l’accord de Sotchi signé entre la Russie et la Turquie sur la création d’une zone démilitarisée à Idlib.

Des médias proches des terroristes ont déclaré ce vendredi que des membres du courant al-Masri s’opposaient aux politiques de Tahrir al-Cham sur l'accord de Sotchi et menaçaient de s'en retirer pour rejoindre le groupe terroriste Haras al-Din affilié à Al-Qaïda en Syrie.

Suite à ces différends, des éléments de Tahrir al-Cham (ex-Front al-Nosra) ont menacé de rejoindre le groupe terroriste Daech.

Six terroristes de Tahrir al-Cham ont déjà rejoint le groupe terroriste Haras al-Din, affilié au courant jordanien, séparé de Tahrir al-Cham et diligenté par un dénommé Abuhomam al-Chami.

À l’appel du Comité national pour la Marche du grand retour, les Palestiniens de la bande de Gaza vont descendre « massivement » dans la rue ce vendredi 16 novembre pour participer à une nouvelle manifestation.  

Le haut Comité national pour la Marche du grand retour a invité les habitants de Gaza à participer massivement à une manifestation ayant pour mot d'ordre « la normalisation des relations avec Israël est une trahison ». Il a mis l'accent sur la poursuite du mouvement populaire jusqu’au recouvrement de leurs revendications, rapporte l'agence palestinienne Paltoday.

La « Marche du retour », protestation symbolique des habitants de Gaza pour les 70 ans de la création de l’entité factice d’Israël, a été entamée le 30 mars dernier.

Cette manifestation qui est devenu hebdomadaire et qui se veut pacifique insiste notamment sur le droit au retour des réfugiés dans leurs terres natales en Palestine, comme l'indique la résolution 194 des Nations Unies.

230 Palestiniens ont été tués et des milliers d’autres blessés depuis le début du mouvement par des militaires israéliens qui font usage de balles réelles et de fusées à gaz pour disperser les manifestants.

vendredi, 16 novembre 2018 12:56

Afrique: réduction en nombre des troupes US

Le Pentagone retire 10 % de ses troupes en Afrique pour se concentrer sur les menaces chinoises et russes.

L’armée américaine retirera des centaines de soldats en Afrique au cours des prochaines années afin d’intensifier sa lutte contre les menaces qui émaneraient de la Chine et de la Russie.

Plus tôt cette année, l’armée américaine a placé la lutte contre la Chine et la Russie au centre d’une nouvelle stratégie de défense nationale, dernier signe de changement des priorités après plus de quinze années de focalisation sur la lutte contre le terrorisme.

« Cette mesure prévoit spécifiquement de réduire les forces d’environ 10 % au cours des prochaines années. Actuellement, 7 200 militaires américains sont déployés en Afrique dans le cadre de la lutte antiterroriste », a déclaré le commandant Candice Tresch, porte-parole du Pentagone.

vendredi, 16 novembre 2018 12:55

Israël avoue redouter les missiles du Hamas

Selon le ministre israélien de la Coopération régionale, Israël a accepté le cessez-le-feu par crainte des missiles de la Résistance.

Un ministre israélien a reconnu qu’Israël avait accepté le cessez-le-feu par crainte des missiles de la Résistance.

Quelques mois après le show médiatique de Donald Trump à Singapour, Pyongyang renforce son arsenal atomique. 

Le leader nord-coréen a pris part au test d’une nouvelle arme « stratégique de pointe développée récemment », a rapporté vendredi 16 novembre un média d’État nord-coréen.

Kim Jong-un a supervisé le test d’une nouvelle arme tactique de haute technologie à l’Académie nationale de science de la Défense.  

Le terme « arme stratégique » fait généralement allusion aux armes atomiques. La télévision publique nord-coréenne a ajouté que le développement de cette arme était en cours sur une longue période. Elle s’est toutefois abstenue de spécifier la nature de l’arme testée.

Selon la même source, cette arme « contribue à rendre la défense du pays invulnérable et renforce la puissance de combat de l’armée ».

Le test constitue « un tournant décisif dans le renforcement de la puissance de combat des forces armées nord-coréennes », a déclaré Kim Jong-un cité par l’agence de presse officielle nord-coréenne KCNA.

Le test a été couronné de succès, d’après les médias nord-coréens.

 

Les États-Unis avaient beau compté sur le gouvernement irakien en ce qui concerne le dossier des sanctions anti-iraniennes. Le nouveau gouvernement irakien d’Adel Abdel-Mehdi a fait preuve de vigilance et d’intelligence. 

Cette prise de position du gouvernement irakien est due au soutien indéfectible que Téhéran lui a fourni dans différents domaines, notamment dans la lutte antiterroriste.

Dans la foulée, le Premier ministre Adel Abdel Mahdi a déclaré que l’Irak ne se soumettrait pas aux sanctions des États-Unis contre l’Iran. « En plus, l’Irak en est exempté », a-t-il indiqué.

Auparavant, de nombreux médias arabes et occidentaux ont eu recours à l’intoxication médiatique en faisant croire à la fin imminente des relations entre l’Iran et l’Irak.

 

Les Américains recourent largement aux bombes à sous-munitions pour réprimer dans le sang les populations civils de l’est de la Syrie. Alors que les terroristes de Daech ont réussi à s'emparer des puits de pétrole de Deir ez-Zor et ce, à la faveur d'un jeu du chat et de la souris mené avec les FDS, les Américains, eux, continuent à frapper les zones d'habitation de l'est syrien par intermittence. L’est syrien a ainsi été frappé à coup de bombes à sous-munitions.

Selon l’agence officielle syrienne, Sana, des bombes prohibées, larguées sur la ville d'al-Chaafa et le village de Hajin, en banlieue de Deir ez-Zor, ont laissé le mercredi 14 novembre, plusieurs morts et blessés parmi les civils, mais aucun chiffre n’a été fourni pour le moment sur le nombre exact des victimes.

L'utilisation de ce type de bombes prohibées par les conventions internationales, par la coalition américaine en Syrie sous prétexte de la lutte anti-Daech a également provoqué le déplacement des centaines d’habitants dans cette région, ajoute la source.

En se rendant au sultanat d'Oman le Premier ministre israélien a cru faire le coup de siècle : rendre enfin publique des relations qu'Israël entretient depuis des années et en secret avec les monarchies du golfe Persique. C'était sans compter avec la principale partie avec qui Israël a affaire à savoir la Résistance palestinienne. À peine quelques 72 heures après l'échec de l'opération commando israélienne dans le sud de la Bande de Gaza et des tirs de missiles anti-israéliens qui l'ont suivi, la ville sainte Qods a été le mercredi 14 novembre le théâtre d'une opération bien significative : un jeune palestinien s'en est pris à l'arme blanche aux soldats de "Tsahal" qui, à défaut de briller sur le champ de bataille, ont pour l'unique art tuer des civils. Et pourtant cinq soldats d'occupation ont été blessés au cours de cette opération qui devra inquiéter les autorités de Tel-Aviv. 

Le séisme que fut l'échec retentissant de l'opération des forces élites israéliennes à Khan Younès a déjà fait tomber une première tête, celle de Lieberman. L'homme qui voulait jeter les Arabes à la mer a été forcé de rendre tablier après avoir subi de plein fouet les foudres de la Résistance? Un second ministre du cabinet Netanyahu, celle de l'Immigration,  Sofa Landver, s'apprête elle aussi à claquer la porte, portant au grand jour à quel point les 500 missiles palestiniens tirés entre dimanche 11 et mardi 13 novembre ont fragilisé les piliers d'une entité qui se veut "une puissance imbattable".

Les médias israéliens affirment que les démissionnaires s'en vont en signe de protester contre la "trêve". Mais personne n'est dupe: le régime israélien qui a envoyé dans la foulée ses avions "sauver ses forces élites" piégés au sud de Gaza s'est livré ensuite à des raids aveugles contre Gaza, ce qui a empiré les choses : car ses raids ont été ripostés par une pluie de missiles, laquelle a poussé des milliers de colons à s'engouffrer dans des abris. Pour un Netanyahu qui veut réduire en cendres le sud du Liban, qui a l'intention de pulvériser les S-300 syriens à l'aide de ses F-35 et qui veut même bombarder l'Iran, c'est une catastrophe.  

 

Les forces de l’armée syrienne ont lancé, ce mercredi 14 novembre, une attaque d’envergure contre le dernier bastion du groupe terroriste Daech à l’est de la province de Soueïda, située dans le sud du pays.

L’opération anti-Daech des militaires syriens s’est intensifiée, le mardi 13 novembre, sur des hauteurs de Tulul al-Safa où les terroristes se sont retranchés, selon le site web libanais, Al-Masdar News

 

Des vidéos sur les opérations de l'armée syrienne montrent que les forces syriennes sont en train de transporter du matériel militaire lourd, des véhicules de combat d'infanterie et des véhicules blindés en direction des bastions des terroristes à Tulul al-Safa.

La vidéo montre que des roquettes et des missiles se sont abattus sur les fiefs des terroristes et les ont pulvérisé dans un clin d’œil.

Selon certaines sources d’informations, les militaires syriens ont repris le contrôle de nouvelles zones situées dans l’est de Soueïda.