تقي زاده

تقي زاده

Lennart Karlsson, un élu islamophobe membre du parti d’extrême droite des démocrates de Suède, est soupçonné d’avoir menacé de commettre un attentat-suicide contre une mosquée. Le conseiller municipal de la commune de Habo est accusé d’avoir écrit sur internet descommentaires violemment islamophobes sous le pseudonyme « UNObserver ».

« Je vais construire une bombe et me faire exploser dans une mosquée », « Je vais aller en personne dans une mosquée avec une veste chargée », avait affirmé Lennart Karlsson.

Le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei a souligné, lors d’une audience accordée aux membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien, le lundi 25 avril, que l’objectif de la Révolution islamique est la réalisation de la civilisation islamique. En allusion aux références erronées et inefficaces de modèles de progression mondiale et à la nécessité de présenter un nouveau modèle islamo-iranien, il a vu en un travail révolutionnaire, l’exploitation de riche et de puissante capacité des sources islamiques et des howza [les écoles théologiques ndt] et en le dialogue les moyens nécessaires à la production et l’élaboration du modèle islamo-iranien de progrès.
L’honorable Ayatollah Khamenei a ensuite expliqué les cinq phases de la réalisation des objectifs de la Révolution islamique et leur ascendance avec le modèle de progrès. « La première étape dans ce processus est la formation de la Révolution islamique ; suivie immédiatement par la mise en place de l’Ordre islamique, ce qui était la précieuse initiative de l’Imam Khomeiny. », a fait remarquer le Guide suprême de la Révolution islamique.
« La troisième étape, celle dans laquelle nous nous trouvons, est la mise en place du gouvernement islamique, autrement dit un gouvernement basé sur les modèles et les critères purement islamiques », a précisé le Guide suprême de la Révolution islamique, et d’ajouter : tant que cette étape n’est pas entièrement réalisée, le tour n’arrivera pas à l’instauration de la société islamique ; dans ce cas, le mode de vie islamique se confinera uniquement au niveau de dialogue au sein de la société.
L’ultime pas dans le cadre des cinq phases des objectifs de la Révolution islamique est la réalisation de la civilisation islamique, a rappelé le Guide suprême de la Révolution islamique, précisant : la civilisation islamique ne signifie pas la conquête des pays, elle consiste à imprégner intellectuellement les peuples par l’Islam.
Pour l’honorable Ayatollah Khamenei, la production du modèle de progrès islamo-iranien est la condition sine qua none à la réalisation de la civilisation islamique. « Pourquoi les modèles existants et expérimentés dans le monde ne peuvent-ils pas être ceux qui seraient adéquats ? », s’est-il interrogé. « Parce que, a-t-il répondu, les modèles de progrès qui sont fréquents, reposent sur des bases erronées et puisent dans l’humanisme et des principes profanes d’autant qu’ils n’ont pas pu réaliser les promesses qu’ils avaient données à propos des valeurs telles que la liberté et l’équité ».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a rappelé que l’état défavorable de certains pays qui suivent ces modèles au niveau des critères tels que les dettes colossales des gouvernements, le chômage, la pauvreté, le grand fossé entre les couches sociales sont des signes de l’inefficacité de tels modèles. « Quoique ces sociétés aient enregistré des progrès, toutefois le progrès n’est pas arrivé aux couches profondes de la société et n’a pas abouti à l’éthique, à la justice, à la spiritualité et à la sécurité, par conséquent il nous incombe de définir et de présenter notre propre modèle de progrès sur les bases des principes islamiques et de la culture iranienne. », a noté le Guide suprême de la Révolution islamique.
Pour l’honorable Ayatollah Khamenei, la réalisation de cela est subordonnée aux recherches islamiques, à une relation constante et solide avec les écoles théologiques et aux penseurs érudits, lucides qui maîtrisent la philosophie et le fiqh.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a également jugé importante la dimension iranienne du modèle islamo-iranien de progrès, et d’ajouter : l’Iran est le terrain de la réalisation de ce modèle ; si l’on ne tient pas compte des capitaux du pays au niveau humain et naturel, le modèle de progrès ne serait qu’un document irréalisable et futile.
Après avoir évoqué l’importance et la nécessité que revêt le modèle de progrès islamo-iranien, le Guide suprême de la Révolution islamique s’est penché sur les moyens indispensables de sa production.
« La régulation et l’élaboration scientifique », « la préparation du terrain favorable aux débats et échanges de vue à propos de ce modèle », « la démarcation des frontières et des distinctions du modèle avec les nombreux modèles présentés par les différentes écoles de pensée dans le monde » et « la force et la résistance scientifiques face aux idées dissidentes et opposées » comptent parmi les moyens nécessaires à l’élaboration du modèle islamo-iranien de progrès.
L’honorable Ayatollah Khamenei a ensuite tenu à donner des conseils à l’adresse des membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès
« Eviter la précipitation dans la préparation et l’élaboration du modèle », « procéder à la pathologie du bilan de cinq ans de ce Centre », « critiquer sérieusement les modèles de progrès en cours dans le monde », « un travail sérieux et révolutionnaire, tout en employant les jeunes chercheures, doués, croyants et révolutionnaires », « communiquer avec les appareils directionnels du pays » et « favoriser le dialogue », étaient des conseils du Guide suprême de la Révolution islamique aux membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès. « Il faut édifier le dialogue, en employant les appareils et les moyens, de sorte que le modèle islamo-iranien de progrès se transforme en un dialogue souverain dans l’esprit et le cœur des jeunes c'est-à-dire la future génération des directeurs et administrateurs du pays. », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique, pour qui la foi ferme est la condition sine qua none au succès de toutes les démarches. Il a également tenu à remercier le président et les membres du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès pour le travail assidu.
Avant les propos du Guide suprême de la Révolution islamique, le président du Haut Conseil du Centre de modèle islamo-iranien de progrès, M. Vaez-Zadeh a présenté un compte-rendu des activités et des programmes du Centre ainsi que des étapes de la préparation et de l’élaboration du modèle de base du progrès islamo-iranien.

A l'approche de la journée de l'Ouvrier, le Guide suprême de la Révolution islamique a accordé une audience mercredi matin à des milliers d'ouvriers venant des quatre coins de l'Iran. 

Lors de cette audience, l’honorable Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, a affirmé que les ouvriers sont une couche de la société, fidèle à la Révolution et à l’Ordre islamique, présente sur la scène de tous les événements importants de la Révolution et post-Révolution.

A cette occasion, il a tenu à remercier les ouvriers iraniens. Plus loin dans ses propos, il a ajouté :

« Les Etats-Unis ourdissent des complots et puis après ils  nous reproches de ne pas leur faire confiance. Sur papier, ils autorisent les banques à entrer en transaction avec l’Iran mais en pratique, ils avancent leur projet d’iranophobie  afin d’entraver les négociations avec l’Iran. »

Selon lui, la production nationale est une question sacrée, la vente et la consommation des marchandises étrangères devant être considérées comme une « contre-valeur ».

« Quiconque  dans la société exerce un métier est ouvrier…  un directeur, un professeur d’université , tous sont des ouvriers », a-t-il dit. 

S’attardant sur le second tour des élections législatives dans les provinces, le Guide suprême a appelé les ouvriers à se rendre aux urnes pour élire leurs députés au Parlement.

"Le monde entier est exposé à l'insécurité, l'instabilité et l'expansion de la peur des actes terroristes perpétrés par les courants takfiristes et sionistes soutenus par les Etats-Unis, le régime israélien et certains pays de la région, à la tête desquels l'Arabie saoudite", a affirmé mercredi le général iranien Hossein Dehghan à la tribune de la Conférence sur la sécurité internationale de Moscou.

"L'Iran n'a jamais menacé les intérêts et la sécurité nationale des autres pays et ne le fera pas à l'avenir. Il condamne toute offensive ou tout recours à la force contre la souveraineté et l'intégrité territoriale des Etats", a-t-il ajouté en allusion au premier axe de la défense stratégique de la RII.

Lors de la 50ème Conférence sur la sécurité internationale, débutée mercredi à Moscou avec la participation de 500 ministres et vice-ministres des Affaires étrangères, chefs d'état-major et experts de différents pays, la lutte contre le terrorisme, les questions sécuritaires en Asie-Pacifique, la stabilité mondiale et les coopérations militaires seront examinées.

Aujourd'hui, dans l'après-midi, le général Dehghan a rencontré Vladimir Poutine, le président russe.

Un attentat suicide s’est produit mercredi sur un site touristique de la ville de Bursa, dans le nord-ouest de la Turquie, tuant la kamikaze et laissant un mort et au moins 17 blessés, selon les chaînes de télévision locales.

L’explosion s’est produite aux abords de la grande mosquée Ulu Cami, important symbole de cette ville, selon la chaîne d’information CNN-Türk.

Une femme kamikaze a perpétré mercredi un attentat à la bombe dans la ville de Bursa (nord de la Turquie), indiquent une source au sein des services de sécurité et un responsable gouvernemental.

La Turquie a été la cible de plusieurs attentats à la bombe cette année, notamment deux commis à Istanbul et Ankara qui ont été revendiqués par des terroristes.

Sous pression du Sénat, l’administration américaine s’est engagée à accorder l'aide la plus importante de son histoire à Israël.

« Nous sommes prêts à signer une note d’entente avec Israël. Il s’agit de la plus importante aide militaire destinée à un gouvernement au cours de toute l’histoire des Etats-Unis », a déclaré un responsable de la Maison Blanche.

83 sénateurs américains ont écrit une lettre à l'adresse du président des Etats-Unis, Barack Obama, dans laquelle ils lui ont demandé de considérer avec plus d'attention la requête d’Israël pour bénéficier d’une plus grande aide militaire.

Voici une partie de cette lettre : « Etant donné les importants défis défensifs auxquels fait face Israël, nous sommes prêts à soutenir un accord sur le long terme afin d’aider Israël à se procurer les ressources dont il a besoin pour se défendre et préserver sa suprématie militaire ».

Cette lettre a été rédigée à l’initiative du républicain Lindsey Graham et du démocrate Chris Coons.

Ted Cruz, sénateur du Texas et candidat républicain à la présidentielle, a aussi signé la lettre.

Les Etats-Unis accordent actuellement à Israël une aide militaire de 3,1 milliards de dollars par an, un chiffre qu’Israël espère voir augmenter lorsque l’accord relatif à l’aide sera renouvelé pour une décennie supplémentaire.

La Maison Blanche s'est engagée dans des discussions intenses avec Tel-Aviv pour qu'un accord soit conclu avant qu’Obama n’achève son mandat.

L’Ayatollah Mohamad Ali Taskhiri, conseiller du Guide suprême aux affaires du monde de l’islam, à l’occasion du centenaire de la reconnaissance de l’islam en Croatie comme religion officielle, s’est rendu à Zagreb avec une délégation, pour l’ouverture de cette conférence le 26 avril 2016.
L’Ayatollah Taskhiri a été reçu à l’aéroport de Zagreb et conduit au centre islamique de cette ville pour l’ouverture de cette conférence de deux jours, où il a fait un discours et présenté la lettre du Guide suprême, l’Ayatollah Khamenei, aux jeunes d’Europe et des États-Unis.
Mahdi Reza, attaché culturel iranien, a déclaré que l’Ayatollah Taskhiri rencontrera Aziz Hasanovic responsable de la communauté musulmane de Croatie, Zlatko Hasanbegović, ministre croate de la culture, et des responsables d’associations islamiques. Il participera aussi à une réunion en l’honneur de Sa’ad kansu, traducteur du Sahife Sajadieh, et assistera aux discours des Présidents bosniaque, turc et croate, et du maire de Zagreb.
« Cette invitation officielle du gouvernement de Croatie est le signe des bonnes relations entre les deux pays, et entre l’Iran et les musulmans des Balkans, a-t-il dit.   
Un jeune suisse, Andros Yokhli, qui s’est lancé dans un voyage qui l’a conduit jusqu’à présent en Turquie, avec une bicyclette construite en bambou, espère par ses photos et ses films, changer les mentalités occidentales sur l’islam et les musulmans.
Andros a écrit le mot « paix » en 12 langues sur sa bicyclette et traversé l’Italie, la Slovénie, la Macédoine, la Bosnie Herzégovine, la Grèce et la Bulgarie avant d’arriver en Turquie où il a visité la ville touristique de Safranbolu.
Il compte se rendre en Iran, au Turkménistan, en Ouzbékistan, au Tadjikistan et au Kirghizistan.
« J’ai fait connaissance avec de nombreuses personnes et je pense que mes photos changeront les idées des occidentaux sur l’islam et les musulmans. Les musulmans ont une qualité que les Occidentaux n’ont pas qui est l’accueil chaleureux aux invités et aux étrangers. En Turquie, une famille m’a invité à rester la nuit et au musée de Safranbolu, il y avait une pièce spéciale pour les voyageurs ce qui m’a beaucoup étonné », a-t-il dit.
Sept pays se sont ajoutés cette année au nombre de pays participant aux compétitions internationales de la mémorisation et de la lecture du Saint Coran de Malaisie, ce qui a fait augmenter le nombre de concurrents participant à ces compétitions.
Selon l'agence de presse malaisienne BERNAMA, Othman Moustafa, secrétaire général de l'Organisation malaisienne pour le Développement Islamique (JAKIM), a annoncé que ces pays seraient l'Australie, les Pays-Bas, le Hong-Kong, la Belgique, l'Espagne, la Grande-Bretagne et la Suède dont chacun a présenté deux représentants, messieur et dame, à ces compétitions.
Il a ajouté : "69 pays participeront à ces compétitions qui se tiendront du 2 au 7 mai à Kuala Lumpur. Certains pays ont des représentants pour les épreuves de mémorisation et d'autres aux épreuves de lecture et certains pays ont présenté des représentants à toutes les deux."
Selon le responsable malaisien, ces compétitions ont pour slogan "Unité, pouls de l'évolution nationale" et le jury sera composé de 15 arbitres égyptiens, saoudiens, qataris, libanais, jordaniens, indonésiens, brunéiens, thaïs et malaisiens.
Le roi Abdul Halim Muadzam Shah participera aux cérémonies d'ouverture et de clôture de ces compétitions.  
L'an dernier, le récitant iranien Mohsen Hadji Hosseini Karegar, s'était consacré la première place aux compétitions internationales du Saint Coran de Malaisie. Il a perdu la vie au cours de l'incident de Mina.
Le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré mardi que les relations de Moscou avec Ankara ne seraient probablement pas normalisées dans un avenir prévisible en raison de la "position anti-Russie" de la direction turque actuelle.
Dans une mise à jour de la politique diplomatique de la Russie en 2015 publiée sur son site Internet, le ministère a déclaré que les relations avec la Turquie avaient été favorisées à un certain moment par des contacts à différents niveaux, mais que "des potentiels négatifs se sont progressivement développés en raison de divergences sur un ensemble de questions bilatérales et mondiales".

Les relations entre la Russie et la Turquie ont été dégradées lorsque les forces turques ont abattu un chasseur russe Su-24 près de la frontière turco-syrienne le 24 novembre 2015, l'accusant de violation de son espace aérienne, tandis que la partie russe a démenti et jugé qu'il s'agissait d'un acte hostile.

Cet incident a été qualifié de plus grande crise de l'histoire entre les deux pays. Les deux parties multiplient depuis les déclarations rhétoriques hostiles. La Russie a adopté depuis cette année une série complète de sanctions à l'égard de la Turquie.

Les importations de nourriture et d'autres produits agricoles turcs en Russie ont été interrompues. Les vols d'avion de ligne dans les deux directions ont été suspendus, et le régime de dispense de visa entre les deux pays a été abrogé "pour assurer la sécurité nationale et la sécurité des citoyens russes".

Les entreprises russes ont également l'interdiction d'embaucher des ressortissants turcs, et les entreprises détenues par la Turquie ou par des ressortissants turcs ont l'interdiction d'offrir leurs services aux autorités publiques russes ou de travailler dans les secteurs de la construction, du tourisme, de l'hôtellerie et de la coupe de bois.