تقي زاده

تقي زاده

En Libye, au moins 141 personnes pour la plupart des soldats loyaux au maréchal Khalifa Haftar ont été tuées dans une attaque contre une base militaire dans le Sud.

Le porte-parole de l’Armée nationale libyenne (ANL), Ahmad al-Mesmari, a confirmé, vendredi 19 mai, la mort d’au moins 141 personnes, dont la plupart des forces loyales à Khalifa Haftar dans une attaque, menée jeudi contre la base aérienne de Brak al-Shati, contrôlée par l’ANL. Cette base aérienne est située à 650 kilomètres au sud de Tripoli.

Un puissant groupe armé de Misrata, proche du gouvernement d’union nationale (GNA), est accusé d’avoir mené cette attaque.

Les miliciens de Misrata avaient déjà annoncé vouloir lancer une opération militaire afin de prendre le contrôle des installations et des champs pétroliers qui se trouvent entre Syrte et Benghazi.

Parmi les victimes figuraient aussi des civils présents sur place.

La Libye est depuis 2011 le théâtre des chaos après que l’intervention militaire de l’OTAN eut abouti à la chute du gouvernement Mouammar Kadhafi. 

114 civils tués entre juillet 2016 et janvier 2017, c’est le bilan des victimes des violences perpétrées par les forces gouvernementales sud-soudanaises en l’espace de 6 mois au Soudan du Sud.

Le chiffre n’est pas révélateur de l'ampleur des abus commis par les groupes d'opposition, car les agents onusiens ne peuvent pas accéder directement aux zones de conflits, mais le document souligne que ce chiffre ne concerne que les crimes commis dans et autour de la ville « Yaï ».

Dans ce document, plusieurs cas de crime, de violence et d’abus sexuels contre les civils ont été constatés, allant du pillage à la torture en passant par les attaques lors des funérailles, les bombardements des civils, la violence sexuelle contre les femmes et les jeunes filles.

Le porte-parole de l’armée sud-soudanaise a rejeté ce rapport en le jugeant sans fondement.

Selon lui, ce n’est pas la première fois qu’on essaie de condamner Le Mouvement populaire de libération du Soudan (MPLS) 

Sur la base militaire de Gao, le nouveau président français a annoncé ce vendredi vouloir accélérer la lutte contre les groupes terroristes qui déstabilisent le Sahel, et ce, notamment via la coopération internationale.

Pour son premier voyage hors de l’Europe en tant que président français, Emmanuel Macron s’est rendu ce vendredi au Mali : en visite à la base de Gao, il a réaffirmé l’engagement militaire de la France au Sahel, qu’il souhaite renforcer par la coopération internationale et l’aide au développement. « La France est engagée depuis le début à vos côtés et ce que je suis venu vous dire ici, de manière très claire, c’est qu’elle continuera à l’être et de la même manière », a-t-il annoncé dans une conférence de presse commune avec le dirigeant malien, Ibrahim Boubacar Keïta.

Accompagné de son ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, et de sa ministre des Armées, Sylvie Goulard, ainsi que par le directeur général de l’Agence française de développement (AFD), Rémy Riou, le président est arrivé vers 10 heures GMT à la base militaire (12 heures en France), où il a été accueilli par son homologue malien.

Emmanuel Macron a ensuite appelé à une accélération du processus de paix en cours au Mali.

En Iran, les horaires d’ouverture des bureaux de vote ont encore été prolongées jusqu'à 22h.

Plus tôt, le vote en Iran et à l’extérieur du pays avait été prolongé jusqu'à 20h, heure locale.

Se référant aux rapports requis des bureaux de vote réclamant une prolongation des horaires, le ministre iranien de l’Intérieur, Abdol-Reza Rahmani-Fazli a déjà donné son aval au prolongement de deux heures des votes lors de la 12e présidentielle iranienne. 

La 12e présidentielle iranienne se tient partout en Iran ainsi que dans 102 pays, 133 représentations et 310 circonscriptions.

Le taux de participation pour ce tour du scrutin iranien est nettement élevé.

Hier, jeudi 18 mai, des milliers de Marocains ont organisé une marche pacifique pour protester contre la corruption dans le pays et pour une société plus juste.

La veille, les manifestants sont descendus par milliers dans les rues de la ville marocaine d’al-Hoceïma pour protester contre la corruption dans le pays et ont réclamé à ce que justice soit faite à leur égard.

Cette marche de protestation s’organise sept mois après la mort d’un poissonnier trouvé dans un camion de transport de déchet. Le marchand avait désespérément essayé de récupérer ses poissons détenus chez un policier.

Le cortège portait des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « êtes-vous un gouvernement ou un groupuscule ? » ou encore, « vaut mieux mourir une bonne fois que tous les jours ».

Les manifestants dans leur marche pacifique ont arpenté le pavé et sont passés devant des commissariats de police.

Bien que les mouvements de contestations politiques au Maroc soient rares, mais la tension dans la ville d’al-Hoceïma a depuis octobre monté d’un cran suite à la mort de ce marchand de poisson.

Pour décolérer son peuple, le gouvernant marocain s’est dit compréhensif des réclamations des habitants du nord du Maroc.

Mustapha el-Khalfi, porte-parole du gouvernement, a exprimé, dans une réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, la compréhension du gouvernement par rapport aux revendications légitimes du peuple. Il reconnaît ses responsabilités afin de procurer une vie honnête à son peuple, et réaffirme aussi l’importance du maintien de la sécurité et de la stabilité dans la région.

Les forces de l’armée nationale libyenne menée par le général Khalifa Haftar ont repris la base aérienne de Barak aux forces du gouvernement d’union national (GNA) présidé par Fayez al Sarraj.

Jeudi 18 mai, dans la soirée, quelques heures après la prise de la base aérienne de Barak par al-Qawat al-Thalatha affiliée aux brigades de Misrata, les forces de l’armée du général Haftar la leur ont reprise, rapporte Fars News citant le bureau de presse de la 12e division des forces du général Haftar.

Il a également fait part de l'affrontement dans la localité d’al-Bartama à 150 km de la base de Barka.

Le bureau de presse d’al-Qawat al-Thalatha a déclaré que leurs forces s'étaient retirées de cette base, qu’il s’agissait d’un recul tactique et que cette base avait été complètement détruite.

Auparavant, le commandant d’al-Qawat al-Thalatha avait fait état de sa domination sur cette base aérienne située à 700 km au sud de Tripoli.

De plus en plus de bureaux de vote ouvrent à l’étranger pour que les ressortissants iraniens puissent élire leur futur président.

En France, les ressortissants iraniens se sont massivement rendus aux urnes à l’ambassade et au consulat d’Iran à Paris et à Cannes. 

Les ressortissants iraniens en Norvège ont commencé à se rendre dans trois bureaux de vote, à Oslo, Trondheim et Bergen pour glisser leur bulletin dans les urnes.

Les bureaux de vote viennent d’ouvrir en Éthiopie, au Kenya, en Ouganda, en Tanzanie, au Zimbabwe, en Afrique du Sud et au Madagascar dans le cadre de la 12e présidentielle.

« Au nom de Dieu. D'abord, nous remercions Dieu pour les dons de la démocratie, l'élection et la présence du peuple. Il est un très grand, cadeau de remerciement à Dieu. Notre peuple apprécie aussi le don d'être en mesure de participer (aux élections) », a déclaré le leader iranien dans les premières heures de vendredi après son vote à l'élection présidentielle et XII édition des élections aux conseils municipaux.

Il a également recommandé le peuple persan d'exercer leur droit de vote le plus tôt possible et aller aux bureaux de vote et ne pas laisser aux dernières heures de la journée électorale.

« Ma recommandation est que plus impliqué (masse). Allez aux urnes le plus tôt possible. Je pense que le bien doit être fait précoce et ne doit pas être retardée, » at-il dit.

Il a également souligné l'importance des élections présidentielles dans le destin du pays. « Les élections présidentielles sont très importantes, l'avenir du pays est entre les mains de tous ceux qui élisent le chef de la direction. Faites attention à l'importance de cet acte ».

Il a également souligné l'importance des élections présidentielles dans le destin du pays. « Les élections présidentielles sont très importantes, l'avenir du pays est entre les mains de tous ceux qui élisent le chef de la direction. Faites attention à l'importance de cet acte ».

Les élections des conseils municipaux et ruraux sont également importants, a continué, « parce qu'ils choisissent ceux qui détiennent dans leurs mains les services urbains et ruraux, à savoir les affaires quotidiennes des gens, ce qui est important. »

En tant que recommandation finale aux Iraniens, l'Ayatollah Khamenei a demandé à exercer son droit de vote avec précision, prévenance et connaissances.

Les bureaux de vote pour les élections présidentielles en Iran ont ouvert leurs portes vendredi pour élire le nouveau président.

Le processus est démarré à 08h00 heure locale (03h30 GMT) dans tout le pays et ferment à 18h00 (13h30 GMT), mais les heures de vote sont susceptibles de se propager en raison de la forte participation.

Environ 57 millions d'Iraniens sont appelés aux urnes pour élire le prochain président. Plus de 63.000 bureaux de vote à travers le pays, permis de voter lors de cette réunion, où les membres des conseils municipaux et ruraux sont également élus.

Quatre candidats sont en lice aux élections. Le président iranien, Hasan Rohani, en quête de réélection et est en concurrence avec trois autres candidats. Son principal rival est Seyed Ebrahim Raisi.

La course des élections présidentielles XIIème en Iran a commencé avec six candidats, mais le maire de Téhéran, Mohammad Baqer Qalibaf, et actuel premier vice-premier Iran, Eshaq Jahangiri, se retira en faveur de deux candidats: l'ancien procureur général Seyed Ebrahim Raisi et Rohani respectivement.

En Iran, les bureaux de vote viennent d’ouvrir dans le cadre d’un double scrutin à l’issue duquel seront élus le futur président de la République islamique et les membres du Conseil municipal de Téhéran et de provinces.Ce vendredi 19 mai, les Iraniens, à l'intérieur du pays ainsi dans 102 autres pays, se rendent aux urnes pour élire leur futur président ainsi que leurs représentants aux conseils municipaux.

Au total 56 410 236 Iraniens sont en mesure de voter dont 1 350 294 voteront pour la première fois.

À ce 12e tour des élections présidentielles, 63 429 bureaux de vote, où se trouvent au moins deux urnes, accueilleront les électeurs.

200 millions de bulletins de vote ont été publiés et déjà distribués dans toutes les provinces de l’Iran.

Le double scrutin est couvert par 600 journalistes étrangers. 

Selon l’article 20 de la loi électorale, les élections présidentielles se déroulent pendant dix heures, en une seule journée, et la durée pourrait être prolongée, si nécessaire.

En raison du décalage d’horaire, les élections présidentielles iraniennes ont déjà commencé en Nouvelle-Zélande, en Chine, au Japon, en Corée du Sud, en Indonésie, en Malaisie et aux Philippines.   
 
L'Iran a condamné jeudi les nouvelles sanctions américaines liées à son programme de missiles balistiques, en affirmant qu'elles affectaient "les résultats positifs" de l'accord nucléaire."L'Iran condamne la mauvaise volonté de l'administration américaine", a déclaré Bahram Ghassemi, porte-parole des Affaires étrangères, via le réseau social Telegram.

Selon lui, la décision d'imposer de nouvelles sanctions "illégales" "réduit les résultats positifs de l'application" de l'accord nucléaire conclu en juillet 2015 entre l'Iran et les grandes puissances.

Le porte-parole a assuré que son pays avait l'intention "de poursuivre son programme de missiles" balistiques conventionnels, sans têtes nucléaires. "C'est notre droit absolu de développer nos capacités de défense".

Mercredi, les Etats-Unis ont annoncé leur décision de poursuivre la politique de levée des sanctions contre l'Iran dans le cadre de cet accord historique. Mais dans le même temps, le Trésor américain a rendu publiques de nouvelles sanctions ciblées contre des responsables iraniens liés au programme de missiles balistiques.

L'Iran va appliquer des mesures réciproques contre des entreprises et des ressortissants américains accusés "de violations flagrantes des droits de l'Homme" pour leur soutien à Israël et à des "groupes terroristes" du Moyen-Orient, a ajouté le porte-parole iranien.

La décision américaine est intervenue deux jours avant l'élection présidentielle vendredi en Iran, un scrutin déterminant pour l'avenir du président modéré Hassan Rohani et à sa politique d'ouverture au monde.