
تقي زاده
Aéroport de Bagdad bouclé, un "haut responsable" en visite à Bagdad pour ...
Vendredi soir, quelques heures après les frappes supposées US/Israël contre les postions des Hachd al-Chaabi à Qaëm, frappes depuis, démenties par les sources américaines, Kataeb Hezbollah a fait état dans un communiqué d'une "imminente frappe balistique" contre les bases américaines en Irak. Quelques heures plus tôt, le Premier ministre démissionnaire Adel Mahdi avait lancé, lors d'un contact téléphonique, un dernier ultimatum à Pompeo pour bien lui faire comprendre qu'après la frappe balistique iranienne contre Aïn al-Asad, ni l'Irak ni l'Iran ne plaisantent pas et que pour éviter le pire, l'Amérique devra accélérer le retrait de ses troupes d'Irak, et ce, suivant le vote historique du Parlement irakien, le 7 décembre, qui accuse la révocation du pacte sécuritaire Bagdad/Washington signé en 2010 et une réduction sensible du nombre des troupes US en Irak sinon leur totale disparition.
Les Américains semblent avoir bien compris que l'ultimatum de Mahdi est le dernier. Ce samedi matin à Bagdad, le bruit des hélicoptères était incessant et les appareils US n'ont cessé de survoler l’ouest, le centre et les alentours de l’aéroport de Bagdad où des dizaines de GI's étaient déployés visiblement en état d'alerte maximale.
Attaques aux missiles de l’Iran: le commandant de la base Aïn al-Asad a-t-il trouvé la mort?
Plus de 48 heures ont passé depuis les frappes de représailles de la Force aérospatiale du CGRI contre la base aérienne américaine Aïn al-Asad en Irak. Le président Trump a donné mercredi 8 janvier une conférence de presse éclair. Il a déclaré qu’il n’y avait eu aucune victime lors des tirs de missiles balistiques de l’Iran. Les médias américains fortement dépendants des lobbys sionistes ont fait croire que la base était déserte au moment de l’attaque et que Washington avait volontairement décidé de ne pas y répondre. Pourtant, le langage corporel de Trump et les visages froncés des généraux qui l’entouraient lors de son intervention de mercredi en disent long sur les profondes inquiétudes au sein de l’administration.
Le général Amir Ali Hajizadeh, commandant de la Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique, a communiqué vendredi dernier un rapport précis selon lequel les États-Unis s’attendaient à des représailles de l’Iran qui avait juré de venger l’assassinat de ses commandants à Bagdad et leur défense antiaérienne était en alerte maximal.
Il a indiqué que des centaines de militaires américaines se trouvaient à Aïn al-Asad lors des frappes de missiles iraniennes. Quelque neuf avions auraient transporté les morts et les blessés vers des bases en Israël, en Jordanie et dans un hôpital près de l’ambassade américaine à Bagdad. Selon d’autres sources, une ambulance aérienne de l’US Army parmi les plus perfectionnées a décollé, quelques heures après la frappe iranienne, de la base aérienne Ramstein en Allemagne vers l’Irak.
Le langage corporel de Trump, les visages froncés et crispés des généraux qui l’entouraient pendant sa conférence de presse et les images de la réunion sur la sécurité nationale de la Maison-Blanche amènent à se poser plusieurs questions qui dénigrent la propagande des médias occidentaux :
- Si Trump avait réellement raison en récusant le bilan des victimes, pourquoi ne s’est-il pas prononcé aussitôt après les attaques iraniennes pour confirmer l’absence de pertes humaines ? Pourquoi a-t-il attendu plus de 16 heures avant de s’exprimer ? Or, lors de son intervention, il a daigné évoquer le ciblage de 52 sites importants en Iran. Au contraire, il a espéré « un grand avenir », « prospérité » et « harmonie » pour l’Iran.
- Les États-Unis auraient pu discréditer les opérations iraniennes en divulguant des images de l’intérieur de la base Aïn al-Asad pour démontrer la sécurité de leurs troupes. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ?
- Aucun mot n’a été dit du commandant de la base américain. Une interview en direct avec celui-ci n’aurait-il pas été préférable pour assurer l’opinion publique de l’état des choses ? Était-il présent dans la base au moment de l’attaque ou a-t-il été tué ?
- Plus de 48 heures après les frappes sur Aïn al-Asad, c’est toujours le silence absolu au sujet de l’état des lieux. Selon des nouvelles en provenance d’Irak, non seulement les forces de sécurité irakiennes se sont vu refuser l’accès à la base, mais aucun journaliste, même ceux du Pentagone, ne s’y sont rendus. Que pourrait signifier ce boycott médiatique exercé par les États-Unis ?
- Certains ont véhiculé l’hypothèse d’un compromis entre Washington et Téhéran qui aurait été contraint de frapper la base américaine en signe de « compensation ». Alors pourquoi les États-Unis devraient-ils commanditer une frappe contre leur plus grande base en Irak, considérée comme leur centre de contrôle radar et leur commandement de la cyberdéfense où sont stationnés des centaines de soldats et des équipements militaires évalués à des milliards de dollars ? Aïn al-Asad était un symbole de l’hégémonie américaine dans la région. Sept milliards de dollars ont été déboursés pour sa construction. Une frappe aux missiles contre cette base est donc un coup dur pour les Américains.
L'IRAN DANS LE CORAN ET LA SOUNNA
Le 1er février 1979 l'humanité a assisté à l'accueil triomphal de l'ayatollah KHOMEINY à Téhéran après 15 ans d'exil.
Le 1er avril le pays porte le nom de République Islamique.
Et depuis, l'islam est considérée comme la base légale, la référence substantielle de toutes les sphères du pays.
La république est dirigée par un guide qui place le saint Coran en barème suprême des moindres agissements du peuple et de ses dirigeants.
La révolution de l'imam Khomeiny était-elle iranienne ? Chiite ? Ou plutôt islamique ?
Autrement dit ce qui passa cette révolution était-elle prévue par les textes islamiques ou pas?
S'il est vrai que la vie de la religion musulmane fut marquée par plusieurs mouvements voire révolutions, la révolution de 1979 se distingue de toutes par le fait qu'elle est menée par le peuple du noble compagnon du Prophète (paix sur lui et sa famille): Salmane el Farissi (Salmane le persan, Salmane l’iranien).
Une différence de taille d'autant plus qu'elle prend racine dans les deux bases les plus solides de l'islam: Coran al-Karim et la sounna authentique du Messager de Dieu (paix sur lui et sa famille).
En effet dans le Saint Coran, DIEU avait déjà lancé la menace suivante aux arabes:
“Et si vous vous détournez, Il vous remplacera par un peuple autre que vous, et ils ne seront pas comme vous” (1)
Abou Horayra rapporte que lorsque ce verset fut révélé, les compagnons interrogèrent le Prophète (pslf):
"Quel est ce peuple par lequel Dieu nous remplacera si on se détourne ?
Le Messager de Dieu (pslf) pose sa main sur l’épaule de Salmane et dit:
«CELUI-CI ET SON PEUPLE. Je jure par Dieu qui détient mon âme, même si la religion se retrouvait suspendue aux étoiles, des hommes de la Perse iront la récupérer» (2)
Cette source authentique de l'Islam (La saint Coran et La sounnah authentique) précise sans l'ombre d'un doute que dans l'avenir le peuple de Salmane (les perses, les iraniens) auront un rôle central dans la religion musulmane.
Une prédiction faite par Dieu et Son Prophète (paix sur lui et sa famille) depuis 15 siècles.
Le plus étonnant c'est que le Prophète (pslf) a juré que cela arrivera.
Et le Coran donne un indice de taille en précisant que le Peuple de Salmane prendra la relève lorsque les arabes "se détourneront".
Et si l'on analyse les évènements qui ont précédé la révolution de l'imam KHOMEINI (Dieu l’agrée) et le contexte dans lequel elle s'est passée, le doute s'estompe facilement car le monde musulman était affaibli, et les arabes étaient désemparés:
1924 : Atatürk abolit le Califat Islamique qui avait duré 1292 ans : débutant par Aboubakr en passant par les omeyyades, les abbassides et enfin les ottomans.
Ce qui laissa la oumma islam orpheline, sans guide apparent.
1948 : proclamation de l'État d’Israël, qui inflige des séries de défaites et de déroutes à toutes les puissances arabes (telle la guerre des 6 jours en 1967).
La communauté musulmane vivait donc au bord du gouffre:
- Sur le plan politique et organisationnel, sans calife à sa tête.
- Sur le plan militaire, enchaînant les défaites, et sans espoir de changer la situation et sans la moindre défense contre la nation juive installée dans ses entrailles.
C'est dans ce contexte d’essoufflement du peuple arabe qui avait perdu ses repères, que DIEU suscita un autre peuple, le peuple de Salmane el Farsi qui, depuis, ne cesse de faire la fierté de l’Islam.
Ceux qui tentent de réduire cette prédiction coranique et prophétique en une simple révolution nationaliste iranienne, ainsi que ceux qui la considèrent comme une révolution chiite, se trompent substantiellement à son compte, car cette révolution est tout simplement islamique.
Notes:
(1) Coran (47:38) وإن تتولوا يستبدل قوما غيركم ثم لا يكونوا أمثالكم
(2) Tafsir Tabari, sous la sourate Mohammad (47) verset 38 : فضرب النبي - صلى الله عليه وسلم - على منكب سلمان ، فقال : من هذا وقومه ، والذي نفسي بيده لو أن الدين تعلق بالثريا لنالته رجال من أهل فارس
Les Etats-Unis ont caché leurs dégâts lourds en Irak
Un vol secret médical des États-Unis, depuis Bagdad vers l’Allemagne, démontre qu’un grand nombre de blessés et de morts américains avaient été rapidement évacués de l’Irak. Plus de 24 heures après les frappes de missiles du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) sur la grande base américaine en Irak, le bilan de pertes en vies humaines parmi les militaires terroristes américains, cantonnés à Aïn al-Asad est devenu l’un des sujets controversés parmi les utilisateurs des réseaux sociaux. Bien sûr, il ne faut pas négliger une réalité indéniable à cet égard : l'écrasante majorité des Iraniens, et même des experts étrangers, sont convaincus de la haute précision et de la puissance des missiles iraniens, mais étant donné que les responsables du Pentagone et le président américain ont prétendu qu'aucun Américain n’avait été touché lors des attaques de missiles lancées par le CGRI, la question principale est de savoir pourquoi l'armée ou le gouvernement terroriste américains n'a pas publiquement étayé cette allégation en invitant les médias à visiter la base aérienne d’Aïn al-Asad.
Depuis presque 20 heures, les autorités américaines ont évité tout commentaire en la matière, ce qui signifierait qu’elles préféraient renvoyer la balle dans le camp des Iraniens, en lançant une guerre des nerfs contre Téhéran sous peine de s’écraser devant la pression de l’opinion publique et des médias.
Plus tôt, Trump avait prétendu que parmi les militaires terroristes américains, il n’y avait pas de mort suite à l’opération par missile du CGRI, mais les paroles du locataire de la Maison-Blanche contredisent les photos satellite prises sur la base d’Aïn al-Asad, confirmant que les missiles iraniens de type « Fateh-313 » et « Qiam » ont atteint pour le moins les huit cibles prévues et cela a bien sûr suscité l’admiration de la plupart d’experts militaires dans le monde. Pour autant, les Américains prétendent qu’aucun soldat américain n’avait été tué ou blessé.
Pourquoi le vol BNDGE53 est parti en Allemagne ?
Faisant référence à des preuves inaliénables et à des événements survenus le mercredi 8 janvier, des médias iraniens et étrangers indiquent des pertes massives dans les rangs des militaires américains, quoique le Pentagone tente de cacher aussi vite que possible la vérité de l"affaire, surtout après qu'un avion de transport américain C-17 (BNDGE53), équipé de matériel médical, ayant quitté Bagdad avec pour mission de fournir un service d'ambulance aérienne, a atterri à la base aérienne Ramstein (Ramstein Air Base) dans le sud de l’Allemagne, aux premières heures de mercredi. Les États-Unis ont des installations médicales bien équipées dans cette région. Des soldats US blessés pendant des conflits en Asie de l'Ouest et en Afrique sont souvent transférés à cette base.
L’avion C-17 est un transporteur polyvalent dont on se sert de même pour transporter les blessés. Cet appareil est capable de transporter généralement 54 blessés à bord, lors des conflits. Il n’y avait eu ces derniers jours aucune information concernant les pertes des frappes iraniennes contre Aïn Al-Asad, alors que certaines preuves témoignent de l’utilisation maximale de la capacité de cet avion de transport pour que ses vols successifs à destination de l’Irak ne provoque pas l’opinion publique.
L’utilisation d’un avion, qu'est C-17, pour transporter des blessés témoigne d’un grand nombre des pertes parmi les militaires américains. Sans oublier que le transport des blessés et des morts à une base militaire en Allemagne pourrait par ailleurs confirmer d’une certaine façon le bilan lourd des attaques du CGRI.
Quoi qu’il en soit, bien que les Américains tentent de censurer les détails concernant le bilan des pertes matérielles et en vies humaines infligées à leur armée à Aïn al-Asad, l’accès à de nouvelles preuves authentiques dans ce domaine lèvera bientôt le voile sur la vérité des événements produits dans l'ouest de l'Irak.
Mer d'Oman : Pourquoi l'US Navy agresse la marine russe?
Le méga choc anti-US qu'a provoqué l'Iran le 27 décembre dernier en organisant des manœuvres navales conjointes avec la Chine et la Russie dans une vaste zone de 17 000 kilomètres, incluant à la fois l'océan Indien, la mer d'Oman et le détroit d'Hormuz n'est pas prêt à s'estomper, les Américains cumulant des actes insensés pour l'amortir : s'il est vrai que l'assassinant du général de corps d'armée Qassem Soleimani a été depuis longtemps planifié et recherché par une puissance US aux abois et cherchant désespéramment son inévitable déclin, il est aussi vrai que cet acte de terrorisme étatique éhonté cache aussi la crainte de voir la puissance émergente iranienne se rallier à deux puissances russe et chinois pour créer une dynamique anti US et anti impérialiste dans l'ensemble de l'Asie de l'Ouest. Vendredi, l'US Navy a accusé la marine russe de s’être rapproché « d’une manière agressive » du destroyer USS Farragut dans la partie nord de la mer d'Oman.
Aéroport de Bagdad bouclé, un "haut responsable" en visite à Bagdad pour ...
Vendredi soir, quelques heures après les frappes supposées US/Israël contre les postions des Hachd al-Chaabi à Qaëm, frappes depuis, démenties par les sources américaines, Kataeb Hezbollah a fait état dans un communiqué d'une "imminente frappe balistique" contre les bases américaines en Irak. Quelques heures plus tôt, le Premier ministre démissionnaire Adel Mahdi avait lancé, lors d'un contact téléphonique, un dernier ultimatum à Pompeo pour bien lui faire comprendre qu'après la frappe balistique iranienne contre Aïn al-Asad, ni l'Irak ni l'Iran ne plaisantent pas et que pour éviter le pire, l'Amérique devra accélérer le retrait de ses troupes d'Irak, et ce, suivant le vote historique du Parlement irakien, le 7 décembre, qui accuse la révocation du pacte sécuritaire Bagdad/Washington signé en 2010 et une réduction sensible du nombre des troupes US en Irak sinon leur totale disparition.
Les Américains semblent avoir bien compris que l'ultimatum de Mahdi est le dernier. Ce samedi matin à Bagdad, le bruit des hélicoptères était incessant et les appareils US n'ont cessé de survoler l’ouest, le centre et les alentours de l’aéroport de Bagdad où des dizaines de GI's étaient déployés visiblement en état d'alerte maximale.
La première gifle a causé la mort de plusieurs militaires américains
Une source américaine a déclaré à la télévision japonaise Fuji (FNN, Fuji News Network) que les missiles tirés par le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) en direction de la base américaine en Irak auraient tué ou blessé au moins une vingtaine de personnes.
Cette information a été diffusée mercredi dernier quelques heures plus tard après l’attaque au missile iranienne.
Le président américain, Donald Trump, avait prétendu le même jour qu’aucune personnes n’avait été ni tuée ni blessée.
Mahdi a Pompeo : " préparez le retrait des troupes US"
Dès le feu vert des législateurs irakiens à l'expulsion des forces de la soi-disant coalition multinationale contre Daech, avec à sa tête les États-Unis, Bagdad paraît plus résolu que jamais à mettre en vigueur aussitôt que possible le projet approuvé à l’unanimité par le Parlement. Dans cet ordre d’idées, le Premier ministre irakien a donné un ultimatum à Washington pour envoyer une mission, chargée d’examiner le mécanisme favorisant le départ rapide des troupes américaines d’Irak.
Dans sa conversation téléphonique avec le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, le Premier ministre irakien, Adel Abdel Mahdi, a appelé Washington à envoyer une mission à Bagdad afin d’examiner et d’élaborer un mécanisme de retrait des militaires américains.
Abdel Mahdi a ajouté :
« Les militaires américains entrent en Irak sans la permission du gouvernement et leurs avions survolent notre pays sans l’aval donné par Bagdad. »
Il a par ailleurs exprimé l'opposition de son pays à toute opération, violant la souveraineté nationale irakienne.
Le bureau du Premier ministre irakien a annoncé dans un communiqué que le Premier ministre avait demandé à Pompeo d’envoyer une mission pour élaborer un mécanisme, balisant le terrain à l’entrée en vigueur du projet de loi ratifié par le Parlement irakien sur le retrait des forces américaines d’Irak.
Vote « historique » au Parlement irakien pour expulser les troupes d'occupation américaines
Le chef du gouvernement irakien a par ailleurs exprimé la volonté de Bagdad de maintenir des relations étroites avec les voisins et d’autres pays amis à l’échelle internationale et de protéger les représentations des pays et les étrangers qui sont présents sur le territoire irakien.
Iran: 10 mille cyberattaques par minute contre un ministère US
Une source sur le terrain en Irak a fait part de la destruction totale du système radar de la base américaine d’Aïn al-Asad par les attaques aux missiles du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI).
Citant une source sur le terrain, la chaîne de télévision Al-Mayadeen a confirmé la destruction totale du système radar de la base américaine d’Aïn al-Asad après les attaques aux missiles menées par le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI).
Le gouverneur de Texas a de son côté annoncé que les appareils officiels de cet État avaient fait l’objet de cyberattaques iraniennes.
« Les partisans du général Soleimani, ancien commandant en chef de la Force Qods, ont tenté toutes les dix minutes depuis ces 48 dernières heures de pirater les systèmes américains. »
USA: le Hezbollah reprend arme!
Des sources d’information font état d’une éventuelle attaque aux missiles imminente des groupes de résistance contre les positions des États-Unis dans la région.
Selon l’agence de presse iranienne Fars, suite à l’attaque jeudi soir des USA contre la Syrie, certaines sources proches du Front de la Résistance dans la région font part de la riposte imminente à cette frappe et à d’autres actes terroristes du gouvernement américain en Asie de l’Ouest.
Jeudi soir certains médias ont rapporté une explosion de forte intensité à proximité de la frontière irako-syrienne dans la ville d’al-Qaëm. On dit que cette explosion a eu lieu à la suite d’un raid aérien.
Le ministre iranien de la Défense Amir Hatami s’est entretenu au téléphone, ce vendredi 10 janvier, avec son homologue japonais, appelant à la fin immédiate de la présence des forces d’occupation américaine dans la région.