
تقي زاده
Le régime sioniste et l’Amérique sont les revers de la même pièce (al-Houthi)
Dans un discours pour commémorer l’anniversaire de la fuite humiliante des soldats américains de Sanaa, le leader du mouvement yéménite Ansarallah a affirmé que cet événement était un échec majeur du projet américain pour établir une domination totale sur le Yémen.
Il a souligné que cette évasion était un résultat significatif de la révolution du 21 septembre, marquant un tournant dans la lutte pour la souveraineté yéménite.
Dans ses déclarations, Seyyed Abdel Malik al-Houthi a mis en garde contre ceux qui considèrent l’Amérique comme un allié bienveillant, les qualifiant d’illuminés et de naïfs. Selon lui, la véritable nature des États-Unis repose sur des principes de domination, de cupidité et de rancune.
Il a souligné que ceux qui perçoivent l’Amérique comme un bienfaiteur se trompent gravement et font preuve de naïveté. Selon lui, la véritable nature de l’Amérique repose sur la volonté de domination, la cupidité et la haine, utilisant tous les moyens pour atteindre ses objectifs.
La Révolution islamique d'Iran, une source d'inspiration, selon le ministre burkinabè des Affaires étrangères
Les Iraniens résidant au Burkina Faso ont célébré, lundi 10 février, à Ouagadougou le 46e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique aux côtés de leurs frères burkinabè. À cette occasion, les deux pays ont magnifié l’excellence de leurs relations bâties en 1984.
L’ambassadeur de la République islamique d’Iran à Ouagadougou, Mojtaba Faghihi, présent à la cérémonie, a déclaré que la Révolution islamique de 1979 en Iran a permis « de nous libérer de l’ingérence politique étrangère et du pillage de nos ressources ».
Selon lui, l’Iran a surmonté avec succès de nombreux obstacles, notamment l’agression militaire étrangère, les sanctions et le terrorisme.
Il a ajouté : « C’est pour cela que le gouvernement et le peuple iraniens comprennent les efforts historiques actuels du noble gouvernement et du peuple du Burkina Faso. Nous sommes à vos côtés sur ce chemin et partageons nos expériences et nos réalisations avec vous, les hommes et les femmes qui aspirez à l’indépendance. »
L'Iran a déposé une plainte auprès du Conseil de sécurité de l'ONU contre les menaces de Trump
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires juridiques et internationales a déclaré que l’Iran avait porté plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations unies contre les menaces proférées par le président américain, Donald Trump, contre la République islamique d’Iran.
Kazem Gharibabadi a fait cette annonce dans un post sur X mardi 11 février, trois jours après que Trump a prévenu qu’il préférerait conclure un accord avec l’Iran plutôt que de « le bombarder à outrance... Ils ne veulent pas mourir. Personne ne veut mourir. »
Gharibabadi a déclaré que la participation massive du peuple iranien à la marche de lundi pour célébrer le 46e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique de 1979 était « une réponse forte aux récentes menaces du président américain ».
Le Hamas rejette l'ultimatum de Trump et affirme que la trêve est le seul moyen de libérer les prisonniers israéliens
Le Hamas a dénoncé l’appel du président américain, qui a demandé l’annulation du cessez-le-feu à Gaza, à moins que le mouvement de résistance palestinien ne libère tous les prisonniers israéliens dans un délai rapproché.
Selon le Hamas, Donald Trump devrait comprendre que la libération des prisonniers israéliens ne peut être obtenue que par le respect des accords en vigueur.
Sami Abou Zuhri, un haut membre du bureau politique du Hamas, a souligné que pour garantir la pérennité du cessez-le-feu à Gaza, il est impératif que les deux parties respectent leurs engagements. Il a insisté sur le fait que cette coopération est essentielle pour faciliter le retour des prisonniers israéliens.
« Trump devrait savoir que pour que le cessez-le-feu à Gaza dure, les deux parties doivent respecter leurs obligations. C’est la seule façon de ramener les prisonniers [israéliens] », a-t-il indiqué.
En outre, il a critiqué le ton menaçant employé par Trump, affirmant que ce type de discours n’apporte aucune solution et ne fait qu’aggraver la situation.
Ali Akbar fils d’ Al Hussein (as)
Naissance de Ali Akbar fils d’ Al Hussein (as)*
Nom* : Ali ibn Hussein ibn Ali ibn Abu Talib
Mère* : Layla Bint Abi 'Urwa Ibn Mas'ud Al-Thaqafi,
Naissance* : 11 chabane à Médine
Fratrie* : Ali Zein el Abidine, Fatima al-Sughra bint al-Husayn, Safia bint Husayn, Sukayna, Ali al Asghar ibn al-Husayn,Sakinah (Fatima al-Kubra) bint Husayn,Kholat bint Husayn.
Martyr* : 10 Muharram, Karbala
Sépulture* : Sanctuaire sacré de l’Imam Hussein, Karbala en Irak
Le visage d’Ali Akbar fut splendeur et lumineux. Il fut très beau et pur. Il fut de taille moyenne avec une peau blanche tendant au rose. Il eut de gros yeux noirs avec de longs cils. Son corps fut équilibré, ni gros et ni mince avec des épaules larges.L’imam al-Husayn (as) dit qu’il était le plus ressemblant au Prophète (pslf) dans sa création, dans ses qualités morales et dans l'éloquence de son langage.
Le jour d’ Achoura, Ali Akbar fut la première personne de Banu Hachim qui prit l’autorisation de l’ Imam al-Husayn pour aller sur le champ de guerre et commencer son combat. Durant sa préparation, l’Imam lui dit : « Ô mon Dieu, sois mon témoin. Certes, un jeune est en train d’aller sur le champ de bataille, celui qui ressemble le plus à Ton Envoyé dans sa création, dans sa conduite et dans l'éloquence de son langage.
Ô mon Dieu, à chaque fois que le Prophète (pslf) nous manquait, nous regardions Ali Akbar. »
Ali Akbar (as) est l'un des grands héros de la jeunesse hachémite, un brave chevalier, une personnalité qui incarne le sens de la volonté et des sacrifices de l'islam, brillant à l'horizon d'Al-Taf au-dessus du désert de Karbala, croyant, combattant qui est fidèle aux principes de l'Islam, ce qui est dans son cas unique.
Le 11 Sha’ban : le jour de naissance de Hazrat Ali Akbar (as) le fils de l’Imam Hussein (as)*
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ رَسُولِ ٱللَّهِ
La paix soit sur toi, ô fils du Messager d'Allah.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ نَبِيِّ ٱللَّهِ
La paix soit sur toi, ô fils du Prophète d'Allah.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ أَمِيرِ ٱلْمُؤْمِنِينَ
La paix soit sur toi, ô fils du commandant des fidèles.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ ٱلْحُسَيْنِ ٱلشَّهِيدِ
La paix soit sur toi, ô fils d'al-Husayn le martyr.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ أَيُّهَا ٱلشَّهِيدُ
La paix soit sur toi, ô martyr.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ أَيُّهَا ٱلْمَظْلُومُ وَٱبْنُ ٱلْمَظْلُومِ
La paix soit sur toi, ô lésé et harcelé et fils de l'injustice et de l'oppression.
Téhéran et Riyad condamnent les propos de Netanyahu sur un État palestinien au territoire saoudien
Le ministre iranien des Affaires étrangères a condamné dans les termes les plus fermes les propos du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, sur la création d’un « État palestinien en Arabie saoudite », les qualifiant d’acte d’agression sans précédent qui menace la paix et la sécurité régionales.
Abbas Araghchi, a fait ces remarques lors d’une conversation téléphonique avec son homologue saoudien, le prince Faisal bin Farhan al-Saud, le lundi 10 février, dans un contexte de tensions croissantes autour des propositions américano-israéliennes pour les Palestiniens de la bande de Gaza et des affaires plus larges qui les concernent.
Le chef de la diplomatie iranienne a dénoncé la proposition de Netanyahu, la qualifiant d’ « acte de provocation éhonté », avertissant qu’une telle rhétorique illustrait les ambitions expansionnistes du régime israélien.
Selon le ministre iranien, ces propos témoignent d'un cynisme sans précédent de la part du régime occupant et représentent une menace directe pour la paix et la sécurité de la région.
Ainsi il a dénoncé les responsables israéliens qui cherchent à éliminer l’identité palestinienne au moyen de déplacements forcés et de l’expansion des colonies de peuplement illégales.
Netanyahu a lancé cette proposition après que le président américain, Donald Trump, a dit que les États-Unis cherchaient à « s’approprier » Gaza dans le cadre d’un soi-disant plan qu’il a avancé sous le couvert de « reconstruire » le territoire palestinien ravagé par la guerre.
Lundi également, Trump a réitéré que dans le cadre de son plan pour prendre le contrôle de Gaza, les Gazaouis n’auront pas « le droit au retour » dans la bande côtière « car ils auront des logements bien meilleurs » ailleurs.
Trump promet « un véritable enfer » si les captifs israéliens ne sont pas libérés samedi
Le président américain Donald Trump a lancé un ultimatum, déclarant que si tous les captifs sionistes détenus par le mouvement de résistance palestinien Hamas à Gaza n’étaient pas libérés d’ici samedi midi, il proposerait d’annuler le cessez-le-feu et de « laisser l’enfer se déchaîner ».
S’adressant aux journalistes dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche lundi soir, Trump a également suggéré que les États-Unis pourraient suspendre l’aide à la Jordanie et à l’Égypte à moins que ces pays n’acceptent d’accueillir les Palestiniens déplacés de Gaza, une mesure largement condamnée comme une tentative de déplacement forcé.
Le cessez-le-feu a été initié le mois dernier entre le régime israélien et le Hamas dans l’espoir de mettre fin à une guerre génocidaire féroce menée par le régime qui a coûté la vie à au moins 47 000 Palestiniens, principalement des femmes et des enfants.
Depuis son entrée en vigueur, l’accord a fait l’objet de nombreuses violations par Israël qui ont coûté la vie à des centaines d’autres Palestiniens. L’accord prévoit la libération progressive des captifs sionistes en échange de prisonniers palestiniens.
Plus tôt lundi, le Hamas a annoncé qu’il suspendait le processus d’échange de prisonniers, invoquant des violations israéliennes de l’accord. En réponse, Tel-Aviv a ordonné à l’armée de se préparer à « n’importe quel scénario à Gaza ».
La sanction de Trump contre la CPI érode l’héritage de Nuremberg, selon un expert de l’ONU
La rapporteuse spéciale sur l'indépendance des juges et des avocats des Nations Unies a exprimé sa « grave préoccupation » concernant le décret du président américain Donald Trump autorisant des sanctions contre la Cour pénale internationale (CPI).
Dans un message publié sur X lundi, Margaret Satterthwaite a déclaré : « Je suis gravement préoccupée par la décision exécutive du président américain autorisant des sanctions contre la Cour pénale internationale, son personnel et ceux qui coopèrent avec elle. »
« En entravant les enquêtes sur les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité, y compris ceux commis contre des femmes et des enfants, les États-Unis sapent l’indépendance judiciaire et encouragent les auteurs d’atrocités », a-t-elle averti.
L’Algérie salue l'initiative iranienne pour la tenue d’une réunion de l'OCI sur Gaza
L'Algérie a salué l'initiative iranienne sur la tenue d’une réunion de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) sur la bande de Gaza dont le président américain a dit vouloir prendre le contrôle et déplacer toute la population.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a proposé la tenue d’une réunion extraordinaire de l'OCI, lundi soir lors d'une conversation téléphonique avec son homologue algérien, Ahmed Attaf, dans le cadre de ses consultations avec les ministres des Affaires étrangères des pays musulmans sur Gaza.
Lors de sa conversation, M. Araghchi a détaillé ses récentes consultations avec les dirigeants des pays musulmans, ainsi qu'avec le secrétaire général de l'OCI, Hussein Ibrahim Taha, et le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, pour mobiliser la communauté internationale contre le « complot de nettoyage ethnique à Gaza ».
Le chef de la diplomatie iranienne a salué la « position de principe de l’Algérie en faveur de la résistance du peuple palestinien pour l’autodétermination et la libération de l’occupation israélienne ».
Plus loin dans ses remarques, Abbas Araghchi a condamné dans les termes les plus fermes le plan de déplacement forcé des Palestiniens de Gaza qui fait partie d’un projet colonial visant à éliminer la Palestine et appelé à une position unifiée et décisive de la part de la communauté internationale et des pays musulmans contre ce complot néfaste.
Les déplacements forcés en Cisjordanie sont une reproduction du génocide (Euro-Med)
L’Observatoire Euro-Med a mis en garde contre une aggravation des déplacements forcés de dizaines de milliers de Palestiniens par les forces d’occupation israéliennes au cours de la dernière campagne militaire qu'elles ont lancée contre le nord de la Cisjordanie, où le régime menace de « répéter le génocide commis à Gaza ».
L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme, basé à Genève, a condamné dans un communiqué publié le lundi 10 février les offensives militaires israéliennes en cours en Cisjordanie qui ont déraciné des milliers de personnes de leurs foyers, en particulier dans les camps de réfugiés de la région.
Selon cette organisation, les forces israéliennes ont mené des raids fréquents sur la ville de Tamoun et le camp de Far’a depuis le 2 février, détruisant les infrastructures et les habitations et imposant un couvre-feu rigoureux à la population.
En outre, l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme a déploré que des centaines de familles palestiniennes n’avaient d’autre choix que de fuir dans des conditions désastreuses, chassées par la menace des bombardements, de la famine et du siège, avant de révéler que les forces militaires israéliennes ont déplacé plus de 11 000 personnes des camps de Tulkarem et la majorité des 13 000 résidents du camp de Jénine.
Il s’agit de l’une des plus grandes campagnes de déplacement forcé menées par l’armée d’occupation israélienne en Cisjordanie depuis des décennies, a-t-il précisé.