En réaction à l’attaque israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth, le Premier ministre libanais l’a décrite comme une violation flagrante de la résolution 1701 de l’ONU et des accords de cessez-le-feu.
Le Premier ministre libanais Nawaf Salam a qualifié les frappes aériennes du régime sioniste contre le quartier de Dahieh, dans la banlieue sud de Beyrouth, de violation flagrante de la résolution 1701 de l’ONU, soulignant que cette action hostile ne menace pas seulement la souveraineté et la sécurité du Liban, mais constitue également une violation flagrante des accords de cessation des hostilités conclus en octobre dernier.
Après l’attaque, Nawaf Salam a mené des discussions avec les ministres libanais de la Défense et de l’Intérieur afin d’examiner les dernières évolutions et les impacts de cette agression.