
تقي زاده
Netanyahu appelle à "l'alliance Israël/Arabes contre l'Iran"
Le Premier ministre de l'Entité sioniste demande à ce que les "régimes arabes s'allient à Israël", "pour faire face" au danger que représente l'Iran. Al-Ahed, qui rapporte cette information, souligne que, pour Netanyahu, "d'après ses propres aveux", "l'Iran constitue le plus grand défi auquel se trouve confronté le cabinet israélien". Netanyahu, qui a arraché aux forceps un cabinet que certains donnent pour "mort-né", n'a pas eu peur du ridicule, en comparant, pour la énième fois consécutive, le "danger iranien" à celui "du nazisme" : "A l'époque de la seconde guerre, les Juifs ont subi beaucoup de torts, puisqu'ils n'avaient pas de pays. à présent, nous avons notre pays et des soldats, qui sont prêts à le défendre, coûte que coûte, face à nos ennemis", a dit Netanyahu, à peine six mois après la défaite cuisante de l'armée sioniste, face aux combattants de la Résistance palestinienne, à Gaza. Il y a quelques jours, unn avion de ligne saoudien déposait le prince héritier, à l'aéroport de Tekl-aviv. Selon des informations concordantes, les chasseurs israéliens prennent, directement, part aux raids aériens contre les zones civiles. Plus de 3.555 civils yéménites ont été massacrés, en plus de 40 jours de bombardements des zones civiles.
Les Etats-Unis reconnaissent leurs erreurs, concernant la Syrie
"L'année dernière, nous croyions, à tort, que la puissance des opposants syriens s'accroît, et que la situation d'Assad est en déclin, mais les conditions se sont inversées, et nous en avons tiré une bonne leçon", a reconnu le secrétaire américain à la Défense, en reconnaissant l'échec des Etats-Unis, en Syrie.
"Le groupe des soi-disant rebelles syriens "modérés", formé par l'armée américaine, ne s'est pas encore frotté à l'armée de Bachar al-Assad, mais a, seulement, combattu Daesh", a précisé Carter Ashton, le secrétaire américain à la Défense. La formation des opposants syriens a commencé mercredi.
"Le processus du recrutement est difficile et prend du temp"s, a-t-il précisé.
Les Forces spéciales françaises interviennent au Yémen!!!!
Mondafrique est en mesure de révéler, d’après des sources bien informées, que la France vient d’engager quelques forces sur le front de la guerre du Yémen. Depuis quelques jours, venus de Djibouti et d’Abu Dhabi, où ils ont des bases permanentes, des soldats des Forces Spéciales tricolores appuient leurs collègues saoudiens à la frontière avec le Yémen. On trouve donc, dans cet engagement, des membres de la 13ème Demi-brigade de Légion étrangère implantée à « Zayed Military City », à 65 km d’Abou Dhabi. Quant aux militaires venus de Djibouti ils appartiennent au 5e Régiment interarmes outre-mer (5e
Le parlement iranien met en garde contre tout sabotage d'un accord potentiel par le Congrès américain
Le Majlis d'Iran (parlement) ripostera si le Congrès américain cherche à saboter un accord potentiel sur la question nucléaire du pays, a indiqué vendredi à Téhéran un important législateur iranien.
Le Majlis obligera le gouvernement iranien à poursuivre toutes ses activités nucléaires précédentes si le Congrès américain fait obstacle à un accord sur le dossier, a affirmé le président de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du parlement iranien, Alaeddin Boroujerdi, cité par la chaîne d'information iranienne de langue anglaise Press TV.
M. Boroujerdi a tenu ces propos en réponse à une loi adoptée jeudi par le Sénat américain, laquelle autorise le Congrès à avoir un droit de regard et éventuellement rejeter un accord avec l'Iran sur son dossier nucléaire.
L'Iran n'acceptera aucun accord à moins qu'il soit accepté que toutes les sanctions imposées à son encontre seront levées avec la mise en oeuvre d'un tel accord, a-t-il ajouté.
Selon la loi du Sénat, le Congrès aura un droit de regard et votera sur le pacte nucléaire avec l'Iran dans les 30 jours, pendant lesquels l'administration Obama ne pourra pas lever les sanctions contre la république islamique. La loi doit encore être votée à la chambre des représentants.
L'Iran et les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Chine, la France, la Russie plus l'Allemagne, soit le groupe P5+1, se lancent dans une course contre la montre avec date d'échéance au 30 juin pour parvenir à un accord global suite à la conclusion d'un accord cadre début avril au terme de rudes négociations.
Irak: les combattants sunnite rejoignent les milices chiites pour combattre les insurgés
Plus d'un millier de combattants sunnites originaires de la province d'Al-Anbar dans l'ouest de l'Irak ont été intronisés vendredi au sein d'une force paramilitaire composée essentiellement de chiites, par les autorités irakiennes désireuses de donner un nouvel élan à la lutte antirebelles.
Plusieurs responsables politiques, de sécurité et tribaux ont assisté à une imposante parade accueillant les nouvelles recrues au sein des Unités de mobilisation populaire, un groupe paramilitaire combattant les extrémistes du groupe Daech.
"Votre pays a été pris par une bande de voleurs et de malfrats et vous devez vous battre pour le récupérer", a déclaré le gouverneur d'Al-Anbar, Souhaib al-Rawi, lors de la parade sur la base militaire d'Amriyat al-Fallouja.
"Faisons de ce jour, le jour où nous déclarons une vaste révolution contre Daech, chassons-les de nos maisons, combattons leur idéologie extrémiste et resserrons l'étau autour d'eux", a-t-il poursuivi.
La province d'Al-Anbar, majoritairement sunnite, s'étend des frontières syriennes, jordaniennes et saoudiennes jusqu'aux portes de Bagdad et est en grande partie contrôlée par Daech. Les rebelles y avaient pris pied avant même le début de leur offensive fulgurante lancée en juin 2014 à travers l'Irak.
Le combat pour reprendre aux insurgés les territoires perdus a jusqu'alors été mené par des miliciens majoritairement chiites, notamment au sein des Unités de mobilisation populaire.
Des centaines des combattants tribaux sunnites avaient déjà rejoint les Unités de mobilisation populaire ces dernières semaines, et la parade a marqué leur intronisation officielle. Avant cela, des sunnites combattaient déjà contre les rebelles dans la province d'Al-Anbar mais ils ne recevaient ni solde, ni armes de la part des autorités.
L'objectif fixé par le Premier ministre pour la nouvelle force sunnite au sein des Unités, est de rassembler 6.000 hommes à Al-Anbar, a affirmé le gouverneur de la province.
L'islam ne met pas la différence entre les chiites et les sunnites
L'école (religieuse) est un centre d'apprentissage commun dans lequel toutes les écoles pour profiter des instructions islamique. La religion islamique ne met pas la différence entre les chiites et sunnites, a déclaré cheikh Taleb al-Zari,chef de l'édition omanaise Al-Zari en marge de la 28e Foire de livre de Téhéran.
Malheureusement, il y des musulmans de différents écoles religieuses qui s'excommunient et s'attaquent par les propagandes. Cette situation n'est dans l'intérêt de personne, ce que, par exemple nous sommes témoignes en Syrie, e, Irak et au Yémen, a-t-il souligné.
Il existe de vraie unité dans le monde. En Europe, nous sommes témoigne de l'unité malgré les religions, les écoles religieuses et les pensée différentes. Mais, dans le monde musulman, malgré une qibla unique, un prophète unique et de nombreux points communs, les discordes religieuses ont influencé toutes les parties de la société, a-t-il regretté.
Lorsqu'on lit les livres chiites et sunnites, nous devons en profiter. Toutes ces pensées entraînent le développement et le progrès de l'islam. Dieu nous souhaite l'unité. pourquoi nous ne respectons pas cette question?, s'est-t-il interrogé.
Indiquant l'importance de l'unité islamique, cheikh al-Zari a insisté. L'invitation au rapprochement des écoles islamiques est la demande de vrais musulmans. Le rapprochement des écoles islamiques est la souhaite de vrais croyants. Celui qui a la moindre croyance islamique ne nie pas l'importance du rapprochement islamique.
Le Conseil mondial du rapprochement islamique est l'un des meilleurs centres du monde musulman qui peut faire intérioriser cette grande culture, a-t-il dit en glorifiant les activités du Conseil.
Le rapprochement islamique est une question respectée en Oman. De nombreuses responsabilités principales du gouvernement omanais sont occupées par des gens appartenus aux différentes écoles islamiques comme l'Ibadite, le chiisme et le chafiisme, a-t-il marqué.
La nation iranienne ne tolère pas des négociations sous le spectre de menace
« Le peuple iranien ne tolère pas des négociations sous le spectre de menace », a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique.
Lors d’une audience accordée, le mercredi 6 mai, aux enseignants, le Guide suprême de la Révolution islamique, l'honorable Ayatollah Khamenei, a souligné : « Les Etats-Unis ont eux aussi besoin de dialoguer avec l’Iran. Nous ne sommes pas d’accord aux négociations sur lesquelles pèsent des menaces ».
« Les négociateurs iraniens accomplissent leur tâche tout en respectant les lignes rouges. Ils ne doivent pas accepter humiliation ni menace », a souligné le Guide suprême.
« Les négociateurs doivent observer les lignes rouges et ne tolérer ni la pression, ni l’humiliation, ni la menace », a lancé l’ayatollah Khamenei.
« Il est inacceptable que parallèlement à des négociations, l’autre partie profère des menaces. Que signifie une négociation à l’ombre de menaces ? », s’est-il interrogé.
Michael Fitzgerald, un prêtre qui présente le Coran et l’islam
Michael Fitzgerald, ancien représentant du Vatican en Tunisie, en Égypte et en Ouganda, a fait des études de théologie et d’arabe en Tunisie.
Michael Fitzgerald qui a été aussi archevêque en Tunisie et représentant du Vatican à la Ligue arabe, est devenu un spécialiste de l’islam, travaille aujourd’hui, dans le domaine du dialogue interreligieux et enseigne l’islam aux étudiants catholiques aux États-Unis.
Plusieurs étudiants ougandais musulmans participaient à ses cours lors de sa mission en Ouganda et actuellement, il enseigne le Coran aux étudiants de master de l’université John Carroll dans l’Ohio.
Il fait aussi des discours sur les différences culturelles entre les écoles islamiques et les coutumes des musulmans.
Zaki Sarituprak, directeur du Centre de recherches islamiques de cette université, a déclaré que le prophète avait recommandé d’entendre la vérité d’où qu’elle vienne, et qu’il n’avait jamais eu de problèmes avec les cours de Michael Fitzgerald.
Les représentants de l’Iran se placent aux 4e et 5e des compétitions coraniques de Tunisie
Les compétitions coraniques internationales de Tunisie ont pris fin le mercredi soir 6 mai et les représentants de la république islamique d’Iran à ces compétitions se sont placés aux 4e et 5e.
Selon les relations publiques de l’organisation iraniens des legs pieux et des affaires de bienfaisance, la 5e édition des compétitions internationales du Saint Coran de Tunisie a eu lieu cette année avec la participation d’un récitant et d’un mémorisateur iranien et alors qu’un arbitre iranien se trouvait aussi dans le jury.
Mohammad Ali Eslami, représentant de l’Iran aux compétitions de mémorisation a réussi à se consacrer le 4e rang de ces compétitions en discipline de la mémorisation de la totalité du Saint Coran et Reza Golchahi était présenté comme le 5e des compétitions de lecture.
Selon ce rapport, Mohammad Ali Eslami avait participé à ces compétitions en discipline de mémorisation et Reza Golchahi en discipline de la lecture et de la mémorisation de 15 parties du Saint Coran.
A appeler que l’hojat ol islam Mohammad Haj Abol Ghassem comptait parmi les arbitres de la 5e édition des compétitions coraniques de Tunisie.
Les compétitions coraniques de Tunisie qui s’étaient lancées le samedi 2 mai, avec la participation des représentants de 25 pays, ont pris fin mercredi 6 mai.
Coran en arménien publié par la Direction des Affaires religieuses
Le livre sacré des musulman, le Coran a été traduit en arménien par Yavuz Aydin, étudiant en doctorat au Département de la langue et la culture arméniennes de l’Université d’Ankara.
L’éditeur en chef du journal AGOS et coordinateur du service arménien Patrak Estukyan a également contribué à la mise en œuvre du Coran en arménien.
Les travaux ont continué pendant trois ans pour réaliser cette œuvre de 10 tomes et 2.500 pages.
Le livre a été publié en 4.000 exemplaires dont 1.000 en dialecte occidental et 1.000 en dialecte oriental.