
تقي زاده
La Chine échange Brisbane contre la Crimée!!!
Discrètement, presque sereinement, dans un style très “Empire du Milieu” , la Chine semble bien acquiescer de façon quasi-officielle à l’exception qui confirme la règle pour elle sacrée de l’intangibilité des frontières. (Cette position chinoise, maintenue depuis des décennies, est directement liée à la question de Taïwan, dont la Chine de Pékin n’a jamais accepté la séparation et qu’elle continue à considérer comme une terre chinoise.) Ainsi la Chine en viendrait-elle à adouber, sans cérémonie mais fermement, le rattachement de la Crimée à la Russie tout en condamnant absolument le principe du référendum séparatiste.
• Après diverses allusions à cette possible position faites dans la presse chinoise, il y a eu l’événement important d’un article de l’agence russe Tass le 21 novembre 2014. Tass publiait des extraits d’un entretien avec Gui Congyou, le directeur de la zone de l’Europe et de l’Asie centrale au ministère chinois des affaires étrangères. L’entretien portait effectivement sur la question des référendums séparatistes et autres actions de cette sorte, que la Chine condamne fermement, cela confirmé par Gui Congyou mais en mettant la question de la Crimée complètement à part. L’esprit de cette intervention est largement confirmé par des propos critiquant les pratiques US du “double standard” des valeurs politico-morales, des ingérences dans les affaires intérieures d’autres États, etc.
«“We should take a very careful and well-considered attitude to tackling nationalities’ issues. We are against any nationality gaining independence through referendums. As far as Crimea is concerned, it has very special features. We know well the history of Crimea’s affiliation,” the diplomat said.
»“On the whole, the nationalities' problems in some countries stem from double standard policies by certain states, which, proceeding from their own selfish interests, support one ethnic group and push it towards holding an independence referendum. This is a manifestation of double standards serving the interests of the United States. In a bid to achieve its aims, the US resorts to intervention in the internal affairs of other states by using force without UN Security Council authorization. China is firmly against this approach,” Gui said. In his opinion, “such actions trigger aggravations of inter-ethnic contradictions and result in armed conflicts.”
»“China reacts with full understanding to the challenges and threats Russia has faced in connection with the Ukrainian issue and supports Moscow’s approach to its settlement. We are not interested in an armed conflict on the Ukrainian territory and wish to see the issue settled by political means. We are against external intervention in Ukraine’s internal affairs through government coups.” “As for the causes of the Ukrainian crisis, in a telephone conversation with Russian President Vladimir Putin the Chinese leader, Xi Jingping said that ‘there is no smoke without fire’,” Gui added.»
• Cette intervention a été assez peu notée, encore moins commentée, alors qu’elle semble très clairement indiquer un important déplacement de la position formelle de la Chine. Dans Russia Insider, le 25 novembre 2014, Alexander Mercouris analyse la chose. Il est bien entendu de ceux qui jugent qu’il s’agit de la première expression officielle d’une acceptation par la Chine du référendum séparatiste de Crimée. Il cite à l’appui de son interprétation certains détails de la dépêche de Tass, comme notamment la citation par Gui Congyou d’une communication entre Poutine et Xi sur l’implication du bloc BAO dans la crise ukrainienne. Cela conduit Mercouris à développer une analyse de conviction sur la réalité des relations sino-russes, notamment dans le cas de la crise ukrainienne.
«I have always felt that the Chinese dimension in influencing Russia's Ukrainian policy is consistently underestimated. I am sure that every single step Moscow has taken since the start of the Ukrainian crisis has been discussed and coordinated with Beijing at the highest possible level. We should not make the mistake of thinking that the only conversations between Putin and Xi Jinping are those that are officially or publicly reported.
»The Chinese do not want to be seen taking an active or public role in the Ukrainian crisis – which formally speaking has nothing to do with them – but given the importance of China's support for Russia and the importance of Russia to China, it is a certainty that the two sides have been working closely together with each other and that they are discussing every aspect of this crisis all the time. Knowledge that he has China's support is one reason for Putin's confidence in his dealings with the US and the Europeans.
»The need to coordinate with Beijing does however place certain constraints on Moscow's actions. Again I am sure that one reason amongst many why Russia has been wary of intervening actively in the Donbas or of formally recognising the various votes there is because it knows that doing so too obviously or too hastily would not be welcome in Beijing.»
• D’une façon un peu extérieure, ou disons “latérale”, dans tous les cas indirecte, il existe une autre intervention qui indique le resserrement décisif des liens entre la Russie et la Chine, qui semblerait concrétisé comme on l’observe ici par ce qui semble bien être une reconnaissance du rattachement de la Crimée à la Russie. C’est un passage du discours très récent de Lavrov que nous avons mentionné le 24 novembre 2014 pour cette affirmation explosive : «Western leaders publicly state that the sanctions must hurt [Russia’s] economy and stir up public protests. The West doesn’t want to change Russia’s policies. They want a regime change. Practically nobody denies that...». Le Saker-US donne l’intégralité de ce discours le 25 novembre 2014 en insistant sur son importance extrême et met en évidence un autre passage, qui nous intéresse pour notre propos ici ... «I can’t fail to mention Russia’s comprehensive partnership with China. Important bilateral decisions have been taken, paving the way to an energy alliance between Russia and China. But there’s more to it. We can now even talk about the emerging technology alliance between the two countries. Russia’s tandem with Beijing is a crucial factor for ensuring international stability and at least some balance in international affairs, as well as ensuring the rule of international law.» La force du propos (la force de tout ce discours) est d’autant plus évidente, et par conséquent le crédit qu’on peut donner à cette affirmation, que l’on sait Lavrov extrêmement diplomate, on dirait même d’une impitoyable et très ferme mesure diplomatique dans toutes ses interventions.
Observons ici notre propre propos : que de mots, de verbe, d’emplois grammaticaux de prudence (“sembler”, emploi du conditionnel, etc.) pour approcher ce qui semblerait (“sembler” et conditionnel !) une évolution décisive de la Chine vis-à-vis de la Russie. Nous faisons cela intentionnellement, pour rendre compte d’une meilleure compréhension de la position chinoise, pour pouvoir mieux affirmer : selon la méthodologie chinoise, et selon la culture de cet immense pays, il s’agit sans aucun doute d’un événement extrêmement important qu’on doit distinguer dans ces diverses déclarations, analyses et appréciation. Cela finalement posé, ce qui nous intéresse alors, c’est bien le moment où ce pas en avant est fait ; c’est-à-dire juste après le sommet du G20 à Brisbane...
Quelques jours après ce sommet, il nous est revenu, par des sources ayant des relations avec les contacts entre Européens et Chinois, que les Chinois étaient “absolument scandalisés et choqués” et “particulièrement furieux” du traitement que les pays du bloc BAO, particulièrement les USA suivis et parfois précédés par leurs moutons anglo-saxons divers et zélés, ont réservé à Poutine. (Nous parlons du “bizutage”, comme nous qualifions la chose, tant la méthode est estudiantine-enfantine, le niveau de l’acte ainsi défini, et finalement son efficacité à mesure.) Les Chinois n’ont rien dit officiellement parce que ce n’est ni dans leurs politiques, ni dans les mœurs...Bien entendu, ce traitement de Poutine au G20 où c’était l’anglo-saxonne et moutonnière Australie qui recevait contraste avec celui qui lui a été fait par les Chinois au sommet de l’APAC, là aussi comme un acte symbolique. Ainsi, dans les deux symboles, on trouve bien la marque de l’évolution chinoise, de sa politique de plus en plus engagée au côté de la Russie.
Il reste que la chronologie nous invite à considérer que le “bizutage” BAO de Poutine est bien, à la fois la goutte d’eau qui fait déborder le vase (chinois), à la fois l’acte interprété symboliquement (par les Chinois) selon lequel le comportement du bloc BAO nécessite pour la Chine un engagement décisif au côté de la Russie ; d’où l’intervention quelques jours après Brisbane de Gui Congyou auprès de Tass, affirmant in fine et entre les lignes que la Chine “reconnaît” l’intégration de la Crimée dans la Russie, malgré son principe cardinal de repousser toute manifestation de séparatisme. L’on retrouve alors l’un des caractères les plus remarquables de la politique et des relations internationales aujourd’hui, qui se distingue dans des circonstances qui font que des actes dérisoires, – Dieu sait si le bizutage-BAO de Poutine en est un, – engendre des conséquences politiques d’une importance considérable, – Dieu sait si, pour le Chine, ce pas en avant de reconnaître la Crimée-devenu-russe en est un. Ici, nous parlons moins du fond et de la signification politique de l’acte, que nous avons développé jusqu’ici, que de cette curieuse forme des situations internationales, ce rapport dérision complète-importance colossale dans les enchaînements de causes à effets qui caractérisent évidemment la vie politique. Il s’agit pour nous d’une remarque importante, qui se place dans l’appréciation méthodologique, de type métahistorique plus que simplement historique, que nous faisons de la période
Le dernier plan Erdogan/Obama contre Assad?
une intense offensive de cinq jours vient de s'achever contre deux cités chiites stratégiques de Nobol et Az Zahra : suivant les informations collectées par l'armée arabe syrienne, la Turquie, les Etats Unis et les monarchies arabes avaient planifié cette vaste offensive contre Nobol et al Zahra dans le nord d'Alep . l'armée assadiste a toutefois fait échec à cette vaste offensive préméditée, à l'aide du Hezbollah en infligeant de très lourdes pertes aux terroristes. selon Al Ahed, peu de temps avant le début de l'offensive contre les deux cités d'Alep les officiers américains et de cetains pays arabes se sont réunis en Turquie pour planifier la chute de ces deux cités. il s'agit de deux villages alaouits avec uelques 17000 jeunes entrainés et prêts au combats qui attendent la fin du siège takfiri de leur ville pour pouvoir rejoindre l'armée nationale . Nobol et Al Zahra se trouvent en plus sur une route donnant accès à la Turquie ce qui fait que la chute de ces deux villes auraient largement facilité le trafic d'armes et de munitions en provenance de la Turquie pour les terroristes. la la réunion en Turquie aura été en effet une tentative destinée à changer la donne sur le champ de la bataille à Alep où l'armée syrienne est en nette progression sur tous les fronts . les officiers de renseignement us et leurs homologues.arabes projettaient en effet de provoquer la chute de Nobol et de Al Zahra. les sources bien informées souligne qu'Alep a depuis 2011 constitué l'un des principaux axes des évolutions en Syrie . selon ces sources, les milices armées s'étaient procurées ces derniers jours une grosse quantité d'armes et de munitions d'argent liquid pour étendre les combats à d'autres axes à Alep c'est à dire à Nobol et à Az Zahra.
les officiers de l'ASL prenaient également part à cette réunion . l'un des responables du ministère turc des AE a d'ailleurs reconnu ces faits en affirmant que la Turquie et les Etats Unis sont sur le point d'entrainer 2000 "rebelles modérés" dans une base d'entrainement en Turquie. il est à noter que la visite de Biden, le vice président us en Turquie était en rapport direct avec cette opération et un certain nombre de conseillers sécuritaire et militaire l'accompagnaient pour gérerer la prochaine étape de la guerre contre Assad. le principal acteur de l'attaque contre Nobol et Az Zahra aura été le vieux allié des USA et de la Turquie, Al Nosra.en ce sens, Al Nisra a lancé des attaques d'une violence inégalée depuis 2011 contre les deux cités et ce à partir de plusieurs axes et a tenté de bloquer l'accès de l'armée syrienne à ces deux villes en utilisant le principe de surprise. les nosratistes se sont donc concentrés sur l'axe du sud est de Az zahra et ont lancé l'attaque depuis l'axe Mayer à l'est de la ville.
ces évolutions se sont produites alors que les terroristes ne doutaient pas une seconde que l'armée syrienne , le Hezbollah et les comités populaires les attendaient de pied ferme ! les unités de l'armée avaient déjà surveillé de près les agissements des groupes armés et disposaient de renseignements très précis sur l'avancée des terroristes de al Nosra depuis le rif d'Idleb vers Nobol et al Zahra. tout ceci les a conduit à conclure qu'al Nosra s'apprêtait à une vaste offensive. les terroristes disposent de chars , de véhicules dotés de lance-roquette, de itraillette. le cent com syrien a aussitôt évalué la situation et a décidé de tendre un piège aux terroristes sur l'axe Baanoun al Tamoura car les données faisaient état de l'attention des terroristes de lancer leur assaut à partir de cet axe. ainsi l'armée syrienne a-t-elle permis dans une première étape l'avancée des nosratistes dans la région précitée mais ils n'ont pas tardé de tomber dans le piège à l'explosif . la tactique est d'ailleurs cette du Hezbollah . une grosse quantité d'explosif a explosé provoquant des centaines de morts tandis que les rescapés terroristes prenaient la fuite; la contre offensive de Nobol et de al Zahra a marqué un tournant tactique et stratégique car l'armée syrienne a réussi à déclencher des évolutions très singulières dans des régions sous son contrôle , à étendre son cercle sécuritaire à faire échec à une nouvelle tentative turue de sauvetage de ses intérêts à Alep . et le rôle de l'Iran? la mascarade jouée par la Turquie à Kobani n'est pas passée inaperçue par l'Iran l'un des responsables du minitère iranien des AE a mis en garde lors d'un contact téléphonique la Turquie contre toute tentative de sa part de briser les lignes rouges iraniennes: la sauvegarde de deux cités alaouites de Nobol et al Zahra en fait partie
Afghanistan: plus de soldats américains que prévu en 2015
L'armée américaine va vraisemblablement maintenir un contingent plus important que prévu en Afghanistan en 2015, a-t-on appris auprès de responsables du Pentagone mardi.
A l'origine, les Etats-Unis comptaient garder 9.800 soldats dans le pays à partir de l'an prochain. Mais il en faudrait 400 à 700 de plus jusqu'à la fin de l'hiver, ont expliqué ces responsables.
"Il s'agit simplement de faire la transition", a souligné l'un d'entre eux. Ce réajustement est le fruit du considérable retard qu'a pris la signature d'un traité bilatéral de sécurité entre Washington et Kaboul, qui a, par voie de conséquence, compliqué la mise en place d'accords avec les pays de l'Otan portant sur le déploiement de leurs troupes en Afghanistan à partir de l'an prochain.
Selon le traité signé par Kaboul, les soldats américains ne seront pas poursuivi par la justice afghane en cas de tout acte anti-loi.
Démission de Chuck Hagel : le déchiffrrage
Un média arabe est revenu sur les raisons qui ont conduit le Secrétaire américain à la défense à démissionner. « Est-ce que c'est la guerre contre la guerre Us contre l'Irak qui a fait tomber la tête de Hagel », a rapporté le site d'information Al Masala. « Hagel avait appelé à déployer tous les efforts pour combattre Daesh en territoire irakien, mais, il s'agissait d'un différend qui opposait Hagel à Barak Obama », a déclaré, un haut responsable irakien qui connait, depuis des années, Chuck Hagel. Depuis sa désignation au poste du Secrétaire américain à la défense, les relations entre Hagel et l'équipe de sécurité nationale de Barak Obama étaient tendues. Les problèmes entre Hagel et cette équipe se sont aiguisés, suite aux raids intensifs menés en territoire irakien et syrien. La Maison Blanche a tenté de faire croire que cette démission subite était le résultat d'un accord à l'amiable entre Obama et Hagel, tandis que selon les responsables américains, elle était due à l'accumulation d'une série de problèmes et de divergences entre la Maison Blanche et le Pentagone, surtout que Chuck Hagel avait réclamé, une stratégie bien claire et précise des Etats-Unis envers la lutte contre Daesh en Irak et en Syrie. Les responsables bien avertis sont allés même jusqu'à parler du limogeage de Chuck Hagel, car ils estiment que de par un tel geste, Obama voulait injecter un nouveau sang dans son équipe de sécurité, à deux ans de son deuxième et dernier mandat, d'autant que le nom d'une femme, une ex-sous-secrétaire à la défense figure parmi les candidats au future portefeuille de la défense. Et le site d'information al-Masama de poursuivre : « les responsables, souhaitant garder l'anonymat, ont que Chuck Hagel avait un sentiment de frustration devant l'impuissance de la stratégie sécuritaire US dans la guerre contre Daesh. Le sénateur républicain, John McCain ; qui dirigera la présidence du Comité des forces armées du Sénat, dit : « A mon avis, il n'existe pas une stratégie précise pour combattre Daesh et un petit groupe de gens prend toutes les décisions ».
Les menaces asymétiques de l'Iran contre les USA?!
le rapport d'un important centre militaire US se concentre sur les activités de la Force Qods du Corps des Gardiens de la Révolution islamique ainsi que sur les activités du Hezbollah , d'autres groupes lié à la Résistance, tous unis à travers un seul et unique objectif celui de contrecarrer les dessins us à l'échelle du Moyen Orient. " la Force Qods- force extraterritorale des Pasadaran- est l'un des "outil" iranien dans les guerres asymétriques qu'il est amené à mener dans le monde". le rapport de Washington Fee Baken qui s'étend sur 48 page et qui est publié pa le centre de commandement des opération spéciales US en Caroline du nord poursuit :" via la force Qods, l'Iran apporte un soutien à caractère hard power aux goupes tels ue le Hamas , le Hezbollah, le Jihad islamique ainsi qu'aux groupes de combat chiite ( ndlr: il est étonnant que le centre en quetion ne met nullement l'accent sur le caractère sunnite du Hamas et du Jihad islamique et partant sur l'approche transconfessionnelle de la foce Qods)". "le Hezbollah libanais est en effet le bras armé pa procuration de l'Iran contre Israël, les Etats Uni et d'autres pays occidentaux. la force Qods , aidée par les combattants chiites irakiens s'est élevée en effet contre les objectifs des Etats Unis dans la région. dans le même temps les iraniens sont sur le point de développer leurs capacité à mener des cybeguerre à titre d'un des armes les plus importantes dans des combats asymétiques. L'Iran ne fait pas de mystère de son intention de se dote d'une large puissance en termes de cyber attaque et ce dans l'objectif d'affaiblir ses adversaies et d'obtenir une suprématie militaire propre à l'aider à faire face aux menaces extérieurs . c'est d'ailleurs en ce sens que les hackers iraniens sont reconnus comme étant à l'oigine des cyberattaques conte les banques américaines en 2012" et le eapport de prétendre: " l'infiltration cybernétique dans le réseau des ordinateurs de la marine américaine est aussi l'oeuvre des Iraniens ce sont encore des iraniens qui soutiennent la cyber armée syrienne dans leurs assauts asymétiques. " et le rapport conclut :" il est nécessaire que les Etats Unis pennent des mesues nécéssaires , appuyant en cela sur leurs agences de renseignement, pour contre acrrer les activité de leurs ennemis iraniens, améicains et chinois"
M. Obama, le limogeage d'Hagel ne vous aidera en rien !
C'est une tradition ancienne dans la politique US : lorsque la côte de popularité du Président se dégringole, il renvoie quelqu'un. En 1987, dans la foulée de la crise provoquée par Iran-Contra, le Président américain d'alors, Ronald Reagan, renvoya le patron du personnel de la Maison Blanche. En 1994, Bill Clinton, confronté à certains problèmes dont l'existence de l'homosexualité au sein de l'armée, l'assurance-maladie, limogea, lui aussi, le patron du personnel de la Maison Blanche et le remplaça par Leon Panetta. . Ainsi, George W. Bush avait démis de ses fonctions le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld alors que les USA s'embourbaient dans la campagne irakienne, pour nommer Robert Gates. "Le renvoi de Chuck Hagel par Obama s'inscrit parfaitement dans cette tradition. Avec 54% d'Américains qui désapprouvent la politique étrangère du président en Irak, en Syrie et en Ukraine, quelqu'un doit bien en assumer la responsabilité. Le problème, ce n'est pas que Hagel devait être viré – c'était de facto une figure fictive au poste de secrétaire à la Défense – mais qu'au fond cette démission ne changera rien", écrit le Los Angeles Times.
Selon le journaliste du quotidien, l'ex-secrétaire à la Défense a été "balancé par-dessus bord" parce qu'il n'avait pas suffisamment d'autorité pour influer sur le processus de prise de décisions. La politique étrangère de Washington est définie par un cercle restreint de conseillers du président américain pour la sécurité nationale, qui "dirigent le navire Obama sur les rochers". Malgré tous les problèmes de politique étrangère de l'État, ils parviennent à garder leur place grâce à leurs liens étroits avec Barack Obama. "Finalement, tout désigne le Bureau ovale et non sur le Pentagone. Obama doit assumer la responsabilité de la catastrophe qu'est devenue la politique étrangère des USA", écrit le Los Angeles Times. En effet, la principale raison de la démission de Chuck Hagel s'expliquait par le fait qu'il n'a pas réussi à se faire tailler une place au sein du cercle restreint des conseillers de la Maison Blanche. Cette équipe restreinte des conseillers, dont Susan Rice, Conseillère à la sécurité nationale, Denis McDonough secrétaire général de la Maison Blanche, Ben Rhodes et Tony Blinken, Conseillers à la Maison Blanche, est restée à la tête des affaires, car, elle entretient des liens très étroits avec le Capitaine Obama. Même, à l'époque où les puissants secrétaires à la défense étaient en place, ils se sont aperçus qu'ils n'avaient pas à même de coopérer avec les conseillers de la Maison Blanche. Il suffit de lire les « les mémoires », de Robert Gates et de Leon Panetta. A titre d'exemple, Robert Gates se plaint, en ces termes, dans son livre : « le personnel de la Maison Blanche avait une présence et un rôle important dans les prises de décisions en matière de sécurité nationale, un fait que je n'avais, déjà, pas expérimenté ». Et Gates de poursuivre : « Lorsque j'étais à la Maison Blanche, le personnel n'avait pas le droit de déterminer la mission des commandants, et ce fait était inimaginable, et si un tel cas arrivait, la personne concernée serait expulsée ». Certes, Hagel aussi serait confronté à une pareille situation à la Maison Blanche. Par exemple, la question de lutte contre Daesh était le principal sujet de friction entre Obama et Hagel. Cette année, Barak Obama a considérait que Daesh n'était pas une menace sérieuse, tandis que son Secrétaire à la Défense, Chuck Hagel a dit à ce propos : « C'est une menace imminente qui dépassé tout ce que j'ai vu jusqu'à présent. Selon Los Angeles Times, Obama doit choisir un Secrétaire plus puissant et plus puissant, qui sera en mesure, contrairement à Hagel, d'empêcher les coupes dans le budget militaire ( un trillion de dollars sur une période de 10 ans), la réduction du budget qui paralysera les capacités militaires des Etats-Unis d'Amérique et ce dans une conjoncture où le monde est devenu plus dangereux. Cela ne règlera pas les principaux problèmes de la Maison Blanche dont le cercle restreint des conseillers. Ces problèmes puisent leur origine, non pas dans le Pentagone, mais plutôt dans la Maison Blanche.
L’objectif du régime sioniste consiste à l’occupation d’Al-Qods et de la mosquée Al-Aqsa
Le problème des courants takfiris est un problème créé par l’Occident qui l’a imposé ensuite au monde musulman. Les takfiristes agissent dans l’intérêt des Etats-Unis et du régime sioniste. Ces groupes extrémistes essaient de faire oublier la question de la Palestine, a déclaré le Guide suprême iranien dans son rencontre avec les invités du Congrès mondial '' les courants takfiris et extrémistes du point de vue des oulémas musulmans''.
Pour vérifier ce courant dangereux, une confrontation à ce courant doit être mise en considération.
Cette confrontation est plus vaste que l’ampleur d’un groupe comme Daech(EI). Ce dernier n’est qu’une branche du mauvais arbre de takfirisme, a-t-il souligné en remerciant les deux ayatollahs Makarem Shirazi et Sonhani pour l’organisation de ce congrès.
Les courants takfiris et les pays qui les soutiennent agissent dans l’intérêt des pays tyranniques et du régime sioniste. Ils font leur travail sous le nome de l’islam, a-t-il insisté.
Le Réveil islamique est un mouvement contre la politique américaine et de leurs alliés. Mais le courant de takfirisme a transformé ce grand mouvement en une guerre fratricide entre les musulmans, a-t-il indiqué.
La Palestine était le front de guerre entre les musulmans et leurs ennemis. Le takfirisme a replacé ce front dans les rues des villes de l’Irak, de la Syrie, du Pakistan et de la Libye. Cela est une crime inoubliable commis par les takfiris, a-t-il ajouté.
Dérouter le réveil islamique est un service accordé par les takfiristes aux Etats-Unis, à l’Angleterre et au régime sioniste. Les takfiristes ne font rien par rapport au régime sioniste, a-t-il marqué.
La fermeture du Congrès des courants takfiris du point de vue des oulémas musulmans
Prononçant son déclaration finale, le Congrès les Courants takfiris de point de vue des oulémas musulmans a fini son travail dimanche soir.
Le Congrès qui s’est déroulé en présence des oulémas musulmans issus de plus de 80 pays s’est fermé en prononçant une déclaration finale de consensus.
Dans la situation actuelle où l’umma musulmane doit trouver sa place respectueuse dans la scène internationale, malheureusement le monde musulman passe la plus amère et la plus difficile de ses périodes, insiste la déclaration.
Avec leurs actes, les groupes takfiris ont présenté un islam déformé, mis des discordes entre les musulmans et renforcé les ennemis de l’islam, peut-on lire dans la déclaration.
L’islam est une religion de la miséricorde et de l’amitié. Le mystère du développement de l’islam, selon le coran, est le bon comportement du noble prophète de l’islam, souligné la déclaration.
Condamnant les crimes commis par les takfiristes, le Congrès soutient les efforts des Palestiniens pour libérer la première qibla des musulmans, la mosquée d’Al-Aqsa, ajoute la déclaration.
L'armée syrienne aux portes de Raqqa?!!
Au milieu d'une vaste campagne médiatique qui s'est focalisé sur le nucléaire iranien, un événement inoui en termes militaires est en train de se passer : l'armée arabe syrienne continue de progresser dans la banlieue ouest de Hassaka et elle s'approche de Raqqa, "chentre du califat daechiste"!! A Ghouta -est , l'armée a pris le contrôle de Zaydin d'où les terroristes se sont retirés. cette progression s'est évidemment soldée par un lourd de bilan de pertes infligé aux terroristes. A Hassaka, les forces syriennes avancent sur la route Abyaz. les troupes syriennes se sont déployées près du terminal pétrolier Abyaz à Hassaka, terminal qui est lié à la raffinerie de Homs . cette progression place en effet les forces de l'armée à quelques kilomètres de la plus grande base de Daech sur les hauteurs de Abdel Aziz dans la banlieue ouest de Hassaka . cette zone donne directement accès à Raqqa. l'armée syrienne a également pris pour cible les repaires des terroristes dans le nord de Lattaquié . les combats entre l'armée et Daech sont de plus en plus violents , de plus en plus nombreux. ils se poursuivent dans les villages du sud et de l'est alors que les hélicoptères de l'armée syrienne continuent à frapper les positions de Daech dans la banlieue de Al Houl et de Tal Hamis toutes deux situées près des frontières irakiennes. les sources britanniques confirment la mort de deux takfiris britanniques ces derniers jours à Kobani : les deux, à en croire Daily Telegraph ont été originaires de Londres.
Nobol/Al Zahra: l'aide stratégique des kurdes à Assad!!
les hélicoptères de l'armée syrienne ont largué ce mardi des convois d'armes et de munitions sur les cités chiites de Nobol et Al Zahra, objets d'une violente offensive des terroristes de Daech et d'Al Nosra! Des convois d'armes et de munitions ont été largués à destination des centaines de chiites de ces deux villes, assiégées depuis près deux ans par les terroristes d'Al Nosra. Ces deux cités se trouvent dans la banlieue d'Alep. Selon la chaine "Syria Mubasher" qui rapporte cette information, les forces volontaires , quelques 17000 , bien entrainées et prêts aux combats auraient reçu ces armes et munitions. un fait inédit, les kurdes syriens de Hassaka ont allumé de grands feux pour aider les hélicoptères de l'armée nationale à retrouver leur chemin et larguer duement leurs convois ! en effet l'opértation de l'armée nationale s'est effectuée en parfaitement coopération avec les kurdes puisque ce sont les combattants urdes syriens qui ont réussi à collecter une partie de ces armes avant de les transférer via des points de passage sûrs vers Nobol et Al Zahra. L'OSDH qui siège à Londre et qui profère des informations canalisée et occident-o compatibles au sujet de la Syrie prétend qu'Al Nosra s'est emparé d'une localité tout près de ces deux cités chiites . les deux cités sont situées sur une autoroute donnant accès à la Turquie . la chute de ces deux zones permettraient aux takfiris de se tailler une nouvelle voie d'approvisionnement d'armes et de terroristes en provenance de la Turquie.