تقي زاده

تقي زاده

L’Imam Khomeiny(s), grand fondateur de la république islamique d'Iran était un leader intelligent d’une juste vision par rapport au monde. Il a pu combattre le colonialisme et l’impérialisme occidentaux et faire hisser le drapeau de la lutte contre l’impérialisme dans le monde.

Lors d’une interview accordée à l’Agence Internationale de Presse Coranique, Mohammad Nazar al Bari, professeur du département de l’histoire de l’université Karnataka en Inde a indiqué : « La politique menée par l’Imam Khomeiny (s) et suivie à présent par le Guide Suprême de la Révolution Islamique a fait de l’Iran la première puissance du Moyen Orient. »

« Les stratégies et les méthodes appliquées par l’Imam Khomeiny (s) et suivies toujours aujourd’hui ont transformé l’Iran en un pays puissant et important », a-t-il ajouté.

Le professeur indien a souligné : « Un point digne d’intérêt en ce qui concerne la révolution islamique iranienne c’est que les déshérités ont joué un rôle important dans la constitution de la révolution et la chute du gouvernement impérial. »

« L’intérêt attaché par l’Imam Khomeiny(s) aux couches défavorisés de la société et la grande importance de ces couches pour lui représentent un exemple élevé pour les autres Etats à travers le monde », a-t-il dit.

Mohammad Nazar al Bari a précisé : « L’Occident cherche à trouver un moyen pour dominer l’Iran et les ingérences en Syrie interviennent dans ce même cadre. »

Hier matin, à l'aube, la Direction générale de la Sécurité a mené une opération à Adana, dans la Sud de la Turquie, contre des cellules de l'organisation terroriste Jabhat Al Nosra, Front d'Al-Nosra. Après avoir saisi plusieurs plans d'attentats, les unités antiterroristes de la police turque ont mené des perquisitions à douze adresses différentes et procédé à des contrôles routiers à divers points d'accès vers la ville. La police turque a découvert 4 kg de gaz sarin. Au cours de leur interrogatoire, les terroristes auraient avoué vouloir acheminer le gaz sarin vers les zones de combat en Syrie. La police enquête actuellement sur les pistes qui ont permis aux terroristes de se procurer cette arme chimique.

 

Israël ne veut pas provoquer d'escalade militaire avec la Syrie mais ne permettra pas le transfert d'armes stratégiques , notamment au Hezbollah libanais, a affirmé jeudi le ministre de l'Eau et de l'Energie, Sylvan Shalom.Il n'y a pas lieu de provoquer une escalade, il n'y a pas de raison de réchauffer le front avec la Syrie, cela n'a pas été notre objectif et cela ne le sera pas, a déclaré Shalom à la radio publique. Interrogé sur la fourniture par la Russie à la Syrie de S-300, des systèmes sol-air sophistiqués capables d'intercepter en vol des avions ou des missiles téléguidés, Shalom s'est voulu rassurant. Depuis des années, la Syrie dispose d'armes stratégiques, le problème se poserait si ces armes étaient susceptibles de tomber dans d'autres mains et d'être utilisées contre nous. Dans ce cas nous devrions agir, a-t-il ajouté.

Selon le journal israélien Yediot Aharonot, l'entretien accordé par le président Assad à la chaine libanaise Al Manar contient des révélations et l'une d'entre elles est celle-ci : " la Syrie a déjà fait l'acquision d'une batterie S300" " Assad aurait annoncé l'arrivée imminente d'une seconde batterie des missiles redoutables S300" Toujours selon le journal, " Assad a condamné l'occupation des hauteurs du Golan par le régime sioniste tout en annonçant qu'il se tiendrait aux côtés des ceux qui enn réclament la libération". L'interview du président syrien avec la chaine de télévision libanaise sera rendu public ce jeudi.

A l'issue de la conférence des "vrais" Amis de la Syrie à Téhéran, le vic eministre iranien des AE, Ami Abdellahiyan a tenu un point de presse et a répondu aux question des journaliste.

" Nous ne permettrons pas que l'Etat syrien tombe! le monde ne sera pas le témoin de la fin de l'Etat en Syrie car nous allons poursuivre notre souien aux syriens" . Interrogé sur la position d'Ankara dans ce dossier, Amir Abdellahiyan a émis l'espoir de voir la Turquie adopter une position plus modérée dans ce dossier". le vice ministre iranien a fait état de la formation d'un groupe de contact composé des pays arabes, africains, asiatiques et du Moyen Orient pour facilité l'amorce du dialogue entre le gouvernement suyrien et l'oppositin . la seconde mission de ce groupe de contact c'est d'oeuvrer afin d'obtenir la fin des violences ".

Le président du Conseil iranien de la Choura, Ali Larijani, a affirmé que la situation actuelle en Syrie aura un impact stratégique sur la région, tout en mettant en garde contre l'instabilité en Syrie, laquelle consolidera l'extrémisme dans la région tout entière.

Rencontrant aujourd'hui à Téhéran l'ex-président libanais, Emil Lahoud, à l'issue de sa participation à la conférence internationale de Téhéran sur la Syrie, Larijani a qualifié d' "irréelles" les positions de certains pays régionaux et internationaux appelant à l'enracinement de la démocratie en armant les terroristes et en tuant les civils en Syrie.

Il a fait noter que l'exportation de la démocratie à la Syrie de l'extérieur sous la menace d'armes et de terrorisme est irréalisable.

De son côté, Lahoud a estimé que l'entité sioniste œuvre pour provoquer le chaos et l'instabilité dans la région, notamment en Syrie et au Liban, pour porter atteinte à la résistance.

Lahoud a appelé les Amis de la Syrie à soutenir l'Etat syrien dans sa guerre contre le terrorisme pour préserver l'axe de la résistance.

Le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, Sayyed Abbas Araghci, a affirmé que l'objectif de la conférence qui se tiendra demain à Téhéran sous le thème "le règlement politique et la constance dans la région", est d'aider à un règlement politique de la crise en Syrie.

Dans une conférence de presse tenue aujourd'hui, il a souligné que le règlement de la crise en Syrie ne peut être réalisé que via le dialogue national entre toutes les composantes du peuple syrien, dont les opposants qui croient en la ligne pacifique.

Il a exprimé son souhait que la conférence, à laquelle participent environ 40 pays, parvienne à un règlement politique de la crise.

En ce qui concerne le désir de certains pays européens de fournir l'Arme aux groupes terroristes armées en Syrie, il a souligné que ces pays adoptent une position fausse et dangereuse via l'appui aux groupes terroristes en Syrie, ajoutant qu'une telle méthode ferait écrouler les efforts déployés pour un règlement politique en Syrie et prolongerait la crise.

Il a fait noter, à cette occasion, qu'aucune invitation n'a été adressée jusqu'à présent à l'Iran pour assister à la conférence de Genève II, ajoutant que son pays étudiera avec positivité toute invitation à ladite conférence.

Il a critiqué, d'autre part, les déclarations du chef de la diplomatie turque sur les événements en Syrie, jugeant qu'elles sont contraires à ce qui se passe sur le terrain.

Abdullahian appelle à ne pas s'ingérer dans les affaires syriennes et à recourir aux voies diplomatiques pour résoudre la crise

L'adjoint ministre iranien des Affaires Etrangères pour les affaires arabes et africaines, Hussein Amir Abdullahian, a réaffirmé la nécessité de ne pas intervenir dans les affaires intérieures de la Syrie, soulignant que son pays soutient la solution politique de la crise par les voies et les solutions démocratiques.

Cité par l'agence iranienne de l'information "Fares", Abdullahian a éclairci, lors de sa rencontre avec le directeur du département du Moyen Orient au Quai d'Orsay, Jean-François Girault, à Téhéran, les positions de Téhéran vis-à-vis de la situation en Syrie et dans la région, appelant la France à suivre les voies diplomatiques pour résoudre la crise en Syrie, et à déployer des efforts pour ne pas attiser la crise et la violence sur les deux plans, régional et international.

Notons que l'Iran accueillera demain la conférence des amis de la Syrie, à laquelle participeront 40 pays dans le but de parvenir à une solution politique de la crise en Syrie.

Conférence internationale sur la Syrie à Téhéran (Archives)L'Iran accueille ce mercredi une conférence internationale visant à trouver une "solution politique" au conflit en Syrie.

"Plus de 40 pays sont attendus, ainsi qu'un représentant de l'ancien secrétaire général des Nations unies Kofi Annan", a précisé le vice-ministre des Affaires étrangères, Hussein Amir Abdullahian.

L’Irak et l’Algérie y ont dépêché leur chef de la diplomatie. La Russie, la Chine et la majorité des pays d’Amérique latine participeront à cette réunion.

Téhéran a en outre invité nombre de pays, dont l'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie, qui avaient des positions différentes de la crise en Syrie.

"Ce que nous allons faire à Téhéran et ce que vont faire les parties internationales à Genève-2 doit faire en sorte que les conditions soient réunies pour que les Syriens puissent décider de l'avenir de leur pays", a expliqué M.Abdullahian.

Et d’ajouter : la réunion intitulée "solution politique et stabilité régionale", constitue un pas pour réaliser une solution politique basée sur le dialogue national et l'arrêt de la violence en Syrie.

Le site d’information de l’Imam Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, a annoncé que le Guide suprême, chef des forces armées, s’était rendu à la cérémonie de remise des grades des étudiants de l’école militaire de l’Université « Imam Hussein (AS) ».

L’Imam Khamenei s’est recueilli sur les tombes des soldats inconnus et a rendu hommage à leur souvenir et aux infirmes de guerre présents à cette cérémonie.

Il a ensuite fait allusion à l’épopée politique que le peuple d’Iran connaitra lors des prochaines élections, le 14 juin 2013, qui sera le prélude à de nouvelles victoires pour la révolution et le régime, a recommandé aux gens de faire attention aux slogans des candidats et aux candidats de respecter les principes du régime, d’éviter de dire du mal de leurs concurrents dans la course électorale et d’éviter le gaspillage, et a souhaité que l’avenir de ce pays soit un modèle pour tous.

« Nous ne savons pas qui sera le Président et vers quel candidat Dieu orientera les gens mais nous savons que la participation massive aux élections sera le signe de la force du peuple et la garantie de notre prestige international, sera une source de joie pour les amis et causera un grand dépit à nos ennemis. Les ennemis tentent de décourager les gens de participer aux élections car une participation massive leur sera néfaste.

Comment des gens qui sont à l’origine de la prison de Guantanamo et des drones qui bombardent les villages du Pakistan et de l’Afghanistan, ont semé le désordre dans la région et soutiennent de façon inconditionnelle et honteuse le régime sioniste, peuvent-ils donner un avis sur nos élections ? Leurs déclarations ne méritent même pas une réponse du peuple iranien et du gouvernement mais sont une leçon pour le peuple et montre l’importance de ces élections.

Voilà 34 ans que les ennemis lors de chaque élection, lancent un tapage médiatique sans réussir et ce sera encore le cas cette fois-ci. Les gens doivent choisir quelqu’un qui renforcera la gloire de la révolution et du pays, pourra régler les problèmes et résister aux ennemis pour que la révolution devienne un modèle pour les opprimés dans le monde. Pour ce choix qui est un choix important, il existe des voies légales, et les différences d’opinion ne doivent pas être à l'origine de rancunes.

Les candidats doivent poursuivre la campagne avec enthousiasme mais ne pas créer des problèmes. Il faut que les discussions soient vivantes et enthousiastes, mais sans causer de haine. Les gens jugeront les candidats sur leur propagande et leurs investissements, ceux qui se servent du bien public ou de biens illicites, ne pourront pas attirer la confiance des électeurs.

L’important est que leur discours renforce l’honneur et le prestige de la révolution et du régime islamique. je recommande aux candidats de ne pas donner de feu vert à certains opposants à l’étranger ou en Iran, car l’ennemi cherche à décourager les gens et certaines personnes sans scrupules, répètent leurs paroles à l’intérieur du pays. La défense de la révolution est une des charges importantes de cette université, cela exige une connaissance juste et profonde des principes idéologiques du régime et leur respect. Il y a des gens qui sont entrés dans le combat avec une connaissance limitée et superficielle de ces principes et ont fait volte face au premier coup de vent.

La connaissance de l’Histoire de la révolution est aussi très importante, car elle est la manifestation de ces principes et la concrétisation de cette théorie. Les médias étrangers mettent l’accent sur les petits problèmes qu’ils accentuent, pour faire oublier les expériences réussies du régime islamique et faire croire à une incompétence des principes révolutionnaires sur le terrain.

Tous les gens et spécialement les jeunes, doivent être au courant de l’Histoire de la révolution, c’est une des responsabilités des professeurs et des responsables de cette université et des autres universités. Cette connaissance sera la garantie d’un avenir meilleur. Depuis la victoire de la révolution jusqu’à aujourd’hui, chaque pas que nous avons franchi a été l’annonce d’une nouvelle étape, c’est la raison pour laquelle nous ne sommes jamais tombés dans l’impasse ni n’avons été découragés.

La voie qui mène à nos objectifs est ouverte devant nous et si nous n’avons pas fait les progrès souhaités c’est à cause de nos faiblesses et non à cause de l’existence de problèmes insolubles », a déclaré l’Imam Khamenei.

Shiaonline, ce n'étaient pas uniquement des libanais, des syriens des israéliens , des iraniens ou encore des irakiens qui suivaient de près et avec attention samedi le discours extrémement important du secrétaire général du Hezbollah. Nasrallah a eu un autre auditeur autrement attentionné : Obama!! selon une photo publiée par le site , Obama suivait de près la traduction de ce discous qui a eu , selon son entourage , pour lui la valeur d'"une déclaration de guerre !