تقي زاده

تقي زاده

jeudi, 09 mai 2019 10:07

Le remerciement à Dieu..

Au nom de Dieu Le Clément Le Miséricordieux
Dieu Le Très Haut nous dit dans Le Livre Sublime, Verset 23, sourate La Royauté « Dis : C’est Lui qui vous a créés et vous a donné l’ouïe, les yeux et les cœurs ». Mais vous êtes rarement reconnaissants ! »
Tout d’abord, ce que nous devons savoir, c’est que le remerciement est un devoir rationnel, un devoir logique.
Lorsque quelqu’un nous rend un service ou nous offre un cadeau ou nous accorde une faveur, n’est-il pas de notre devoir de le remercier?
Bien sûr, le bon sens même nous l’ordonnerait. Et puis cela ne demande pas de connaissances ou de conseils ou d’un professeur ; c’est un acte spontané. Le contraire même serait étrange et anormalement perçu et la nature humaine le refuserait.
L’Imam Ali (p), dans les occasions du mois de cha’baan, disait dans une de ses invocations : « Fais de moi un de ceux qui prolongent ton rappel, qui ne reviennent pas sur leur engagement, qui ne négligent pas de te remercier et qui ne sous-estiment pas ton ordre. »
Et si nous revenons à notre relation avec Notre Seigneur Tout Puissant, nous verrons en effet que, quel que soit notre volonté et notre détermination à vouloir faire notre devoir de remerciement à Dieu, quel que soit le nombre et la fréquence, nous ne le ferons jamais de façon complète, tellement les bienfaits qu’IL nous a accordées dépassent les limites du mesurable.
Le verset 18 de la sourate Les abeilles le confirme en disant :
« Et si vous comptez les bienfaits de Dieu, vous ne saurez pas les dénombrer. Car Dieu est Pardonneur, et Miséricordieux.  »
Ici nous allons simplement mettre l’accent sur quelques bienfaits, des bienfaits qui méritent vraiment que nous remercions Le Seigneur Tout Puissant pour cela.

Le premier est celui de l’existence, le fait que nous existons sur cette planète terre par Sa Volonté. En effet nous n’étions rien du tout et sans que personne ne Lui demande, ni ne Le supplie, ni ne Le force ou ne L’impose, mais par Sa Volonté, Il a voulu que nous soyons et il en est ainsi. Vraiment cela mérite des remerciements sans limites.
Le deuxième bienfait est celui de la forme humaine qu’IL nous a donnée. En effet rien ne l’obligeait ; et IL pouvait faire de nous des animaux ou des arbres ou des plantes ou même de la poussière ou de la pierre.
Toutes ces créatures que je viens de citer ont leur importance, mais Dieu a honoré L’humain et l’a désigné meilleure des créatures. Alors nous avons l’obligation et le devoir de Le remercier pour cela.
Le troisième bienfait est celui du guidage ou de l’orientation si on veut, qui se décompose en deux parties qui sont :
 Le guidage par l’instinct, la nature, c’est-à-dire l’ensemble des éléments innés de l’être humain qui font que nous distinguions le bien du mal, le vrai du faux, le mensonge de la vérité, ces éléments innés qui font que nous connaissons et que nous découvrons des choses que nous n’avons jamais apprises tels la joie, la colère, la capacité de réfléchir et de découvrir et tant d’autres qui sont communs à tous les humains.
 Le guidage relatif à la loi ou le guidage législatif. Dieu nous a envoyé les messages, les lois, les enseignements divins et les Livres Saints comme la Thora, La Bible et Le Coran.
Les bienfaits tels la nourriture et de la boisson, la santé, la fortune, l’ouïe, la vue et la sensation sont partagés. Le croyant comme le non croyant, le mécréant comme l’athée y ont tous droit, sans exception.
Pour tous, ces bienfaits qui constituent la quatrième parmi ceux que je voulais citer, nous devons en remercier Le Seigneur des mondes et de façon continue.

L’Imam Ali (p) a dit : « Mon Dieu je n’avais pas de force pour éviter de te désobéir jusqu’au moment où Tu m’as réveillé à Ton amour où je suis devenu tel que Tu me voulais. Aussi je Te remercie de m’avoir inclus dans Ta Générosité et pour avoir purifié mon cœur des saletés de ma négligence envers Toi »
Chers frères et sœurs, personne n’ignore qui est l’Imam Ali (p), mais pour nous enseigner comment invoquer notre Seigneur, il a dit ces paroles : J’étais perdu dans le monde des péchés et je ne connaissais ni Dieu, ni le chemin de Dieu, je n’étais pas guidé et j’étais faible devant Satan, j’étais esclave de mes passions. Puis Ta Lumière et Ta Gentillesse ont pénétré ce cœur englouti par les ténèbres et m’ont pris dans Ton Amour et m’as fait comme Tu voulais que je sois ; un serviteur pieux et propre.
Pour cela je te remercie car cela mérite des remerciements à l’infini car si Tu ne l’avais pas fait, l’enfer serait ma demeure éternelle ; cela mérite des remerciements à l’infini car Tu m’as fait parmi les croyants par Ta générosité, Tu as purifié mon cœur des impuretés par Ta bonté ; cela mérite des remerciements grandioses car Tu m’as mis dans le droit chemin et loin de l’idolâtrie.
Chers frères et sœurs, venez pour qu’ensemble nous nous purifions et purifions nos cœurs ainsi que nos corps, pour qu’ensemble nous retournions vers le chemin du Seigneur des mondes et pour être les hôtes de Dieu pendant ce mois béni de Ramadan, mois qui est une occasion pour remercier Dieu et pour entrer dans le camp des croyants. Venez pour qu’ensemble nous nous débarrassions de toutes les impuretés qui ont découlé de notre négligence et de nos passions. Remercions Le Seigneur à jamais, remercions-Le à l’infini et éloignons nous de toutes formes d’incroyance.

dimanche, 05 mai 2019 19:08

600 missiles s'abattent sur Israël

Le trafic ferroviaire a été perturbé, ce dimanche 5 mai, à Beer-Sheva, dont les chemins de fer ont été attaqués par la Résistance palestinienne.

Les combattants de la Résistance palestinienne ont pris pour cible avec leurs missiles les chemins de fer de Beer-Sheva, une ville située dans le sud des territoires occupés par Israël. L’attaque a totalement paralysé le trafic ferroviaire dans cette ville.  

Concernant le trafic aérien, l’aérodrome de Hecarim et l’aéroport militaire de Nifatim, dans le sud des territoires occupés par Israël, ont été la cible des missiles de la Résistance palestinienne.

En mer, Israël a fermé une zone libre de pêche en Méditerranée, de crainte de nouvelles frappes au missile de la Résistance.

Selon la chaîne 13 d’Israël, les frappes de représailles de la Résistance palestinienne ont largement perturbé la vie quotidienne des Israéliens : tous les refuges sont ouverts, les conditions de guerre règnent et les réservistes ont été convoqués.

Dans le même temps, les sirènes d’alerte ont retenti dans plusieurs colonies israéliennes, y compris à Dimona et à Rehovot, situées à une soixantaine de kilomètres de Gaza. Il en a été de même à Ashkelon, Beer-Sheva, Kiryat Gat et Ashdod.

La République islamique d’Iran a vivement condamné les attaques barbares de l’armée israélienne contre la bande de Gaza, faisant des dizaines de morts et de blessés chez les Palestiniens, dont des femmes et des enfants.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Seyyed Abbas Moussavi, a déclaré ce dimanche 5 mai que les crimes d’Israël se poursuivaient grâce au soutien illimité des États-Unis et au silence de marbre de certains États islamiques.

M. Moussavi a rendu hommage aux combats légitimes et à la résistance du peuple palestinien face au régime occupant israélien et a souligné qu’il relevait du droit légitime des Palestiniens de se défendre face aux atrocités des Israéliens.

Le diplomate iranien a ensuite appelé les organisations régionales et internationales à passer rapidement à l’acte pour mettre fin aux agressions constantes du régime israélien contre le peuple sans défense et innocent de la Palestine.

L’éditorialiste du journal Rai al-Youm qui paraît à Londres a réagi à la décision des États-Unis de supprimer les dérogations accordées à plusieurs pays pour importer le brut iranien.

« Plusieurs jours après la décision de la Maison-Blanche de ne pas proroger les dérogations autorisant les transactions pétrolières avec l’Iran, les pétroliers géants qui transportent le brut iranien prennent le large depuis le détroit d’Hormuz et l’océan Indien vers les ports de l’Inde, de la Chine, de la Corée du Sud et du Japon comme avant », a écrit Abdel Bari Atwan.

L’auteur ajoute que le président des États-Unis Donald Trump et ses principaux conseillers comme le secrétaire d’État Mike Pompeo ou le conseiller à la sécurité nationale John Bolton se taisent et évitent toute déclaration triomphale, étant donné que la Chine, l’Inde et la Turquie, qui constituent les principaux clients du pétrole iranien, continuent leurs transactions avec Téhéran, d’autant plus que Washington confirme que les navires marchands et les navires de guerre américains ont dû se soumettre à la volonté de la marine iranienne qui les questionne, lors de leur passage au détroit d’Hormuz, sur leur trajet, leur destination ou leur cargaison, en sachant pertinemment que c’est l’Iran qui domine et contrôle le détroit stratégique d’Hormuz.

 

Le choc est loin d'être amorti : en l'espace de 14 heures, quelques 500 missiles ont été tirés depuis Gaza contre Israël! C'est bien mieux qu'en novembre dernier quand la Résistance a décidé de riposter aux frappes israéliennes par missiles tirant là aussi  500 engins mais en 48 heures, contre les colonies du nord de Tel-Aviv. En novembre Israël n'a pas osé reconnaître le bilan des pertes ou des blessés. Mais en mai, il a été amené par la force de frappe de rendre public le bina de trois morts et 83 blessés. Du coup, le régime de Tel-Aviv qui s'apprête à annexer la Cisjordanie, à annexer le Golan , à liquider Gaza, ...en est à implorer une trêve auprès de l'Egypte qui fort occupé à soutenir le Libyen Haftar ne semble qu'écouter à moitié l'allié israélien.

A l'heure qu'il est, le cabinet sécuritaire israélien a ouvert grand les portes des abris à Tel-Aviv, en attendant que la Brigade d'al-Qods mette à exécution sa menace de frapper l'aéroport de Tel-Aviv voire la centrale atomique de Dimona. Pour le reste les F-16 israéliens se donnent en ce moment même à ce qu'ils savent le mieux faire, à savoir se lancer à la chasse des civils des frappes aveugles contre l'est et l'ouest de Gaza. 11 personnes dont un enfant de 14 mois ont déjà péri sans que les médias mainstream en parlent.

L’armée syrienne et ses alliés se préparent à lancer une offensive limitée le long de l’axe Hama-Idlib dans les prochains jours. C’est la première fois depuis le début de 2019 que l’armée et ses alliés veulent mener une offensive d’une grande envergure sur l’ensemble du territoire.

Champ de bataille :

Malgré certaines affirmations selon lesquelles l’offensive de l’armée syrienne viserait l’ensemble du gouvernorat d’Idlib, une source militaire a dit au site d’information Al-Masdar News que l’objectif principal de cette opération serait d’expulser toutes les forces terroristes et les groupes armés de la zone démilitarisée qui s’étend de la plaine d’al-Ghaab à la ville d’Abou Dhuhour.

Selon cette source, l’armée va cibler plus précisément les zones qui se trouvent encore sous le contrôle des groupes terroristes dans une partie de la plaine d’al-Ghaab, celle qui est la plus proche de Hama. Cette opération viserait également les points de contrôle installés par les terroristes à proximité des bases des forces gouvernementales à Mhardeh et à al-Sqaylabiyeh, mais aussi les villes et les villages au sud d’Idlib se trouvant à l’intérieur de la zone démilitarisée.

À en croire cette source qui a requis l’anonymat, l’armée syrienne n’a actuellement pas l’intention de s’activer au-delà de la zone démilitarisée, car cela nécessiterait une plus grande mobilisation de forces militaires et une coopération entre la Turquie et la Russie.

Forces mobilisées :

L’offensive de l’armée syrienne sera dirigée par les « Forces du tigre » (unité d’élite commandée par le général Souheïl al-Hassan, lui-même surnommé « le Tigre »), la garde républicaine et la 4e division blindée. Ces unités militaires opéreront sur des axes distincts le long de la zone démilitarisée.

Pour cette opération, les Forces du tigre enverront leurs unités Taha et Tarmeeh se battre, tandis que les brigades 104, 105 et 106 de la Garde républicaine participeront également aux combats.

Ces corps seront épaulés par la 5e division d’infanterie, la 11e division blindée des chars d’assaut et les Forces de défense nationale (FDN).

Selon le site d’information Al-Masdar News, la Russie fournira le soutien principal aux forces de l’armée syrienne. L’Iran assurera un rôle de conseiller à l’armée syrienne, étant donné que contrairement à la Russie, l’Iran n’est pas très présent dans le nord-ouest de la Syrie.

En novembre 2018 quand Israël s'est mis à frapper Gaza depuis le ciel, il a eu la mauvaise surprise d'avoir à contrer quelques 500 missiles tirés en 48 heures. Certains d'entre eux ont été des Kornet russes. La Résistance vient de sortir ses Kornet.

En ce deuxième jour consécutif des attaques du régime israélien contre la bande de Gaza, plusieurs maisons ont été prises pour cible. En représailles, la Résistance a tiré une pluie de roquettes contre des villes israéliennes.

Les affrontements entre l’armée israélienne et les groupes de résistance palestiniens dans la bande de Gaza se sont intensifiés depuis samedi, rapporte Fars News citant la chaîne Al-Mayadeen. Deux Palestiniens ont été tués en martyrs et quatre autres blessés dans le bombardement de l’est de la ville de Deir al-Balah, au centre de la bande de Gaza.

Les sirènes d’alarme ont été déclenchées à Be’er Sheva, Netivot, Arad, Ashkelon et Nahal Oz.

Arad est située à 73 kilomètres à l’est de la bande de Gaza. La distance entre Arad et la bande de Gaza est un peu plus longue que celle qui sépare Gaza des installations nucléaires à Dimona, laquelle est d’environ 70 km.

Les médias palestiniens ont rapporté qu’une jeep de l’armée israélienne avait été détruite dans l’est de Beit Hanoun, au nord de la bande de Gaza, avec un missile Kornet.

La France a vivement dénoncé les récentes attaques d’Israël contre la bande de Gaza.

Dans un communiqué, le ministère français des Affaires étrangères a condamné les récentes frappes aériennes de l’armée israélienne visant la bande de Gaza. « La France soutient pleinement les médiations de l’ONU et de l’Égypte », indique le communiqué.

Le ministère français des Affaires étrangères a appelé à épargner les civils et à respecter les droits de l’homme, ajoutant qu’une stabilité durable ne serait pas instaurée à Gaza sans une solution négociée qui garantisse à la fois le retour de l’Autorité autonome palestinienne dans la bande de Gaza et la levée du blocus de Gaza.

« Enfin, la France appelle à une relance du processus de paix au Proche-Orient dont le but sera la création de deux États, Israël et la Palestine, qui vivront en paix et en sécurité l’un à côté de l’autre, avec des frontières reconnues, en vertu du droit international et dans le cadre des paramètres internationaux acceptés », indique le texte.

dimanche, 05 mai 2019 19:01

Israël tape sur la corde sensible russe

L’énergie est toujours le principal souci de l’Europe et Israël prétend maintenant satisfaire les besoins énergétiques du Vieux Continent. Les Israéliens disent envisager de construire le plus long gazoduc sous-marin au monde avec Chypre et la Grèce pour acheminer le gaz de la Méditerranée orientale vers l’Italie et d’autres pays du sud de l’Europe.

Un site internet vient de publier un article sur le projet ambitieux d’Israël pour la construction du plus long gazoduc sous-marin en collaboration avec la Grèce et Chypre pour acheminer le gaz de l’est de la Méditerranée vers l’Italie et d’autres chancelleries européennes, alors que le gisement gazier fait toujours l’objet d’un litige entre le Liban et Israël. Entre-temps, les Américains auraient promis aux Israéliens de les aider à réaliser le projet gazier.

Le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, vient d’approuver le projet. Il se heurtera à un gazoduc concurrent turc, Turk Stream, et à un éventuel pipeline Qatar-Iran-Syrie. Mais, Ankara n’a pas exclu la destruction du gazoduc israélien dans la partie turque de Chypre. 

Considérant l’Iran comme le principal obstacle à sa politique moyen-orientale, Washington joue la carte des sanctions contre Téhéran pour la mise en œuvre du plan américain Deal du siècle.

Les démarches américaines à l’encontre de Téhéran reflètent au premier plan l’intention de Washington de renverser le gouvernement iranien par le biais des sanctions. Nombreux sont ceux qui croient que les sanctions américaines ont pour objectif de conduire l’Iran vers une guerre similaire à celle imposée à l’Irak à l’époque de Saddam Hussein, a écrit le journal El-Nashrah dans son numéro publié le samedi 4 mai.