تقي زاده

تقي زاده

Des milliers de réfugiés rohingyas ont manifesté samedi au nom de la "justice" dans les immenses camps de réfugiés du Bangladesh, à l'occasion du premier anniversaire du début d'un exode sans précédent de Birmanie voisine. 
 
"Nous demandons justice à l'ONU", ont scandé les membres de cette communauté musulmane apatride, dont 700.000 membres ont fui l'année dernière la Birmanie échapper à ce que les Nations unies considère comme une épuration ethnique menée par l'armée.
 
Dans ce qui est désormais le plus grand camp de réfugiés de la planète, avec près d'un million de personnes au total, le chaos de l'automne 2017 a accouché d'une mer de cabanons de bambous et de bâches où règnent désespoir et misère absolue.

Dans des rassemblements surprise et rarissimes dans ces camps surveillés de près par les autorités du Bangladesh, une foule de Rohingyas est sortie samedi de ses cahutes et s'est jointe à des manifestations et marches pacifiques pour commémorer un "jour noir".

Le 25 août 2017, une vague de répression de l'armée birmane à l'encontre de la minorité paria est débutée. Cette campagne militaire a provoqué des déplacements de populations d'une magnitude jamais vue dans cette région pourtant enferrée dans un cycle sans fin de haine et de violences intercommunautaires depuis des décennies.
 

Au Bangladesh, des manifestants arboraient des foulards marqués "Sauvez les Rohingyas", d'autres agitaient des drapeaux. "Plus jamais: jour du souvenir du génocide rohingya. 25 août 2018", proclamait une bannière sur une colline du camp de Kutupalong.
Le cheikh Choheib âgé de 81 ans, qui vit dans une petite maison de deux pièces en Afrique, a rédigé 70 fois le Coran. 
Un petit film sur ses activités coraniques lui a valu un voyage à la Mecque où il a été récompensé pour ses 60 années de service au Coran, lors d’une cérémonie au Centre de recherches coraniques de Ryad.  
 
L’Iran enverra  cette année ses représentants aux compétitions coranique en Croatie et en Russie.
Le 25e concours coranique  international de Croatie se tiendra du 27 au 29 octobre dans les catégories de récitation et de mémorisation du Saint Coran.

Selon ISNA, le département des affaires coraniques de l’organisation iranienne d’Owqaf et des affaires caritatives a annoncé que la République islamique d’Iran aurait des représentants dans les deux catégories.

Kazem Azarpira se disputera pour l'Iran en récitation tandis que Mohammad Rasoul Takbiri participera à la catégorie de mémorisation.

Né en 1991, Azarpira est étudiant en Fiqh et droit islamique. Il a commencé à apprendre la récitation du Coran à l'âge de 17 ans et a bénéficié de l'expertise de maîtres coraniques tels que Mehdi et Nasser Daghagheleh, Seyed Karim Mousavi et Gholam Reza Shahmiveh.

Takbiri est né à Téhéran en 1995 et a commencé à apprendre le Coran par cœur en 2007. Il a réussi à mémoriser l'intégralité du livre sacré en deux ans.

Le Centre des affaires coraniques avait déjà désigné Abuzar Karami comme représentant de l’Iran au 19ème concours international du Coran en Russie.

L'événement coranique se tiendra à Moscou du 18 au 20 octobre.

En 2017, le récitant Iranien Amir Laal Avval a remporté le premier prix du concours russe du Coran.
 

Selon un communiqué distribué par le mouvement Amal, ce dernier organise une cérémonie le vendredi 31 août à Baalbeck à l’Est du Liban pour marquer le 40e anniversaire de la disparition de l’imam Moussa Sadr, premier président du Haut Conseil Islamique Chiite du Liban en 1978.


Cette cérémonie se tiendra le vendredi 31 août à 17:30 sur la place “Qassam”, avec pour slogan “Idéologie et Stabilité”.


Le président du parlement libanais Nabih Berri prononcera un discours au cours de cette cérémonie.


Le mouvement Amal, fondé par l'imam Moussa Sadr en 1975, a appelé tous les Libanais à participer à cette cérémonie qui commence dès 17 : 30, heure locale, à Baalback, capitale de la province de Bikaa Est.


L’imam Moussa Sadr, président du Haut Conseil Islamique Chiite du Liban et ses deux compagnons, le cheikh Mohammad Yacoub et le journaliste Abbas Badreddine, ont disparu au cours d’une visite en Libye en 1978.


L’Imam Sadr a joué un rôle d’importance dans le renforcement de la résistance en fondant le mouvement chiite AMAL, et dans le maintien de l’unité du Liban en instaurant la coexistence entre différentes communautés religieuses.

Les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne menacent désormais de frapper de nouveau l'armée syrienne. Le prétexte qu'ils incitent cette fois est toujours le même : une prétendue attaque chimique de Damas à venir. D'ors et déjà, des convois chargés de chlore aurait été transférés à Idlib, là où "les casques blancs" s'apprêtent à mettre au point un nouveau scénario chimique et fournir le prétexte nécessaire aux agresseurs américains, français et britanniques qui ont joué un scénario identique en avril dernier juste avant de déclarer forfait dans la Ghouta orientale. Une délégation américaine s'est d'ailleurs rendue à Hassaké visiblement avec un plan de guerre dans sa poche.  

Quelques heures après l'arrivée de la délégation américaine, une explosion a eu lieu. Des sources syriennes ont fait part de l’explosion d’une bombe de forte intensité dans la banlieue sud de Hassaké, simultanément au vol massif d’hélicoptères américains dans le ciel de la ville d’al-Shaddadeh, sous contrôle des Unités de protection du peuple kurde (YPG).

Selon Al-Akhbariya, simultanément aux patrouilles d’hélicoptères Apache de l’armée de l’air américaine dans le ciel d’al-Shaddadeh, une forte explosion s’est produite dans la banlieue sud de Hassaké. Le rapport reste évasif sur l'origine de cette explosion. D’autre part, les médias proches de "l'opposition syrienne" ont fait état de l’arrestation de 30 jeunes dans le village de Sandaliya au sud-est de Manbij, dans la banlieue du nord-est d’Alep, pour des "raisons inconnues". S'agit-il des jeunes syriens opposant aux préparatifs de combats mis en place par les forces US et de l'OTAN qui se manifestent? 

Cela intervient alors qu’une source proche du commandement des Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par les États-Unis, a déclaré, samedi 25 août, que les forces de la coalition US avaient installé, dans les aéroports militaires de Kobané et Ramilan dans la province de Hassaké, des radars sophistiqués en vue de créer une zone d’exclusion aérienne.

Le chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, Alexeï Tsygankov, affilié au ministère russe de la Défense, a annoncé que plusieurs milliers de terroristes se préparent à attaquer les zones de Hama et Alep en Syrie.

Plusieurs milliers de terroristes équipés de blindés et d’armes lourdes sont prêts à attaquer, depuis la province syrienne d'Idlib, les régions de Hama et d’Alep, a déclaré aux journalistes le général Alexeï Tsygankov.

Il a également précisé qu’ « Abu Mohammed al-Joulani, chef du groupe terroriste du Front al-Nosra, a invité tous les groupes terroristes actifs à Idlib à s'engager dans l’opération contre le gouvernement syrien ».

Le responsable russe a noté que les terroristes à Idlib avaient arrêté quelque 500 partisans du règlement politique du conflit syrien.

Le chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie a par ailleurs noté que dans la région de Jisr al-Choghour, une ville du gouvernorat d'Idlib, des exercices sous la direction d’un groupe qui se nomme « Casques blancs », sont en cours dans la région « dans le cadre de leur préparation à une mise en scène de l'attaque chimique ».

Pourquoi l'armée israélienne qualifie-t-elle le Hezbollah d'armée la plus forte du Moyen-Orient après l'armée israélienne? Y a-t-il une « exagération » dans la description pour induire en erreur l'opinion publique? Selon le célèbre éditorialiste du monde arabe, il n'existe aucune exagération : la réalité est que les armées arabes ne sont plus ennemis d'Israël et que la seule force arabe à lui tenir tête, c'est le Hezbollah.

L’armée israélienne organise ses exercices militaires pour se préparer à une guerre contre le Hezbollah qui pourrait se solder par l'infiltration des combattants de la Résistance libanaise dans le nord d’Israël et des tirs de missiles contre les villes israéliennes.

L'éditorialiste de Rai al-Youm Abdel Bari Atwan y revient et écrit :

« Nous n’avons pas été surpris par les déclarations d’un haut officier de l’armée israélienne qui a qualifié le Hezbollah de deuxième plus forte armée du Moyen-Orient après Tsahal. Et la raison en est bien claire : en effet, il s'agit d'une force armée qui a pu vaincre, à elle seule, et à deux reprises,  Israël au sud du Liban. La première défaite date de l'an 2000, quand le Hezbollah a contraint l’armée israélienne à se retirer du sud du Liban puisque ses commandants ont été incapables d'encaisser les conséquences des combats d’usure que leur avait infligés le Hezbollah. Le deuxième échec remonte à 2006 où les combattants du Hezbollah ont vaincu les militaires ultra-armés d’Israël au bout de 33 jours de combat », a souligné Abdel Bari Atwan.

Moscou réitère la mission permanente de ses navires de guerre en Méditerranée, en raison de la persistance des menaces terroristes en Syrie. Sur fond de menace d’une attaque conjointe menée par les USA, la France et le Royaume-Uni visant la Syrie, les frégates de lance-missiles de la Flotte russe en mer Noire rejoignent donc le groupe de travail russe opérant sur la Méditerranée. 

Effectuant un passage planifié par les détroits du Bosphore et de Dardanelles, les frégates de la Flotte russe de la mer Noire, l'Amiral Grigorovich et l'Amiral Essen, dotées de missiles de croisière Kalibr, atteindront d’ici la fin de la journée les eux de la Méditerranée afin de renforcer le groupe de travail méditerranéen de la marine russe, a rapporté samedi 25 août, le service de presse de la Défense russe.

Les États-Unis ont annoncé réactiver leur 2e Flotte chargée de patrouiller en Atlantique dans un contexte d’une confrontation potentielle militaire avec la Russie.

La marine américaine a annoncé officiellement le vendredi 24 août, la réactivation de la 2e Flotte en Atlantique avec pour objectif d'assurer « la couverture de l’ensemble de la région où l’armée russe est, elle aussi, activement présente. »

Selon Voice of America (VOA), l’amiral John Richardson, chef des Opérations navales américaines, qui s’exprimait à bord du porte-avions USS George H.W. Bush, à Norfolk sur la côte Est des États-Unis, a insisté sur le fait que « la marine américaine ne cherchait pas la confrontation, mais que le meilleur moyen d’arrêter le combat est de développer une force navale puissante, mortelle et compétitive.»

L'USS Iwo Jima, navire amiral de la 2ème flotte en 2005. Source : U.S. Navy

« La Deuxième flotte mènera une mission de combat déterminée pour vaincre tout potentiel ennemi », a poursuivi le haut commandant américain.

La marine américaine a annoncé la reprise de patrouilles en Atlantique sous le prétexte de contrer les «menaces croissantes» de la Chine et de la Russie dans la région et le monde.

S’agissant de cette question, le commandant en chef de la marine russe, l’amiral Vladimir Korolev, a déclaré que ses effectifs avaient passé, durant l'année, plus de 3000 jours en missions de patrouille, ce qui constitue un record depuis la chute de l’URSS en 1991.

L’armée de mer russe est à un « excellent niveau », c’est du moins l'avis de l’amiral Vladimir Korolev qui l'a dit lors d'une une interview accordée à l’agence de presse russe, RIA Novosti.

La Deuxième Flotte des États-Unis existait entre les années 1950-2011.

Sa zone de responsabilité couvre l'Océan Atlantique, soit 17 millions de km2.

Pendant la Guerre froide, la 2e Flotte a tenu un rôle dissuasif face aux « menaces croissantes » de la part de l’ex-URSS. Elle fut notamment sollicitée pour le blocus de Cuba pendant la crise des missiles de 1962 ou encore pour l’opération Urgent Fury, à Grenade, en 1983.

Réagissant à ces évolutions, les figures universitaires et les anciens hauts commandants des forces navales américaines ont avoué que la marine US n’était pas suffisamment prête pour intervenir dans une grande guerre.

Selon les commentateurs, les troupes de la Marine américaine, considérées comme étant protégées pendant les décennies précédentes, se retrouvent aujourd’hui dans une situation de vulnérabilité face à d’autres pays, dont la Russie et la Chine, suite au développement des armes de haute précision et de longue portée par les principaux adversaires des États-Unis.

Le président iranien, Hasan Rohani, a assuré que la nation iranienne avec "l’unité" neutralisera une fois de plus les complots de l’ennemi contre lui. 

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Le leader persan dans les déclarations du mausolée du fondateur de la République islamique d’Iran, Imam Khomeini (repos en paix), à Téhéran (la capitale iranienne), a souligné les réalisations de l’Iran envers ses ennemis jurés, les États-Unis et le régime israélien. 

"Nous avons pu contrecarrer les complots du gouvernement des Etats-Unis au Conseil de sécurité des Nations Unies", a souligné Rohani, après avoir rendu hommage, avec les membres de son cabinet, au fondateur de la République islamique et renouvelé sa loyauté avec ses idéaux, à l'occasion de la semaine du gouvernement. 

Dans la situation actuelle de l’Iran, de la région et du monde, a ajouté le président iranien, il est nécessaire de revoir les directives de l’imam Khomeiny, qui nous a enseigné la voie de l’espoir en faisant confiance au pouvoir et aux capacités internes pour surmonter les problèmes du pays. 

Dans un autre moment de ses déclarations, le chef de l'exécutif iranien a également souligné l'échec de la campagne de désinformation menée par Washington contre Téhéran. "Nous avons raté leurs complots (américains) contre notre nation au sein de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)", a-t-il souligné. 

Depuis lors, le locataire de la Maison Blanche, obsédé par les sanctions, a lancé à Washington l’embargo économique de Washington et a menacé les pays et les sociétés étrangères de subir les conséquences s’ils continuent à entretenir des liens économiques avec les Etats-Unis contre Iran. 

Téhéran a souligné à plusieurs reprises que l’Iran est prêt à affronter toutes sortes de complots, même si les ennemis du pays perse saisissent toutes les occasions d’attaquer la République islamique.