تقي زاده

تقي زاده

La plus grande base militaire des États-Unis en Afghanistan a été attaquée par les Talibans.

Zabiullah Mujahid, porte-parole des Talibans, a annoncé, samedi 25 août, que les forces de ce groupe avaient tiré, la veille, une salve de missiles en direction de la base militaire de Bagram, la plus grande base américaine en Afghanistan.

Il a prétendu que l'attaque aurait fait un grand nombre de victimes et de lourds dégâts matériels chez les Américains.

Cette nouvelle a été confirmée par Seifallah Bidar, maire de Bagram, précisant que plusieurs missiles avaient été tirés, vendredi 24 août au soir, en direction de la base militaire US à Bagram.

 

Selon le journal libanais Al-Akhbar le gouvernement syrien a officiellement appelé le mouvement de la Résistance islamique libanaise, Hezbollah à maintenir sa présence dans ce pays même après la fin des combats militaires du Nord.

Selon une demande officielle du gouvernement syrien, le Hezbollah maintiendra sa présence en Syrie, a rapporté l'agence de presse iranienne Mehr, citant Al-Akhbar.

D’après cette nouvelle, les forces du Hezbollah resteront en Syrie une fois que les combats auront pris fin sur les axes nord-ouest et nord-est de la Syrie.

Al-Akhbar a rapporté que le terrain a été rendu propice pour que le Hezbollah maintienne sa présence en Syrie, le plus longtemps possible.

 

L’artillerie de l’armée tunisienne a pilonné les positions des groupes terroristes sur la frontière séparant l’Algérie et la Tunisie.

Le porte-parole du ministère tunisien de la Défense Mohammed Zakaria a déclaré, samedi 25 août, que l’artillerie de l’armée avait pilonné, de nouveau, plusieurs bases situées sur les hauteurs de l’ouest de la province de Kasserine, dans l’ouest de la Tunisie et à la frontière de l’Algérie, où s’étaient réfugiés les terroristes.

Mohammed Zakaria a pourtant refusé de donner plus de détails à propos de ces opérations en se contentant de qualifier cette opération de « préemptive ».  

« Cette attaque préemptive a eu lieu dans le cadre d’une série d’opérations militaires de l’armée visant à assurer la sécurité des zones frontalières entre la Tunisie et l’Algérie », a souligné le porte-parole du ministère tunisien de la Défense.

Simultanément aux opérations antiterroristes de l’armée tunisienne, les forces algériennes, elles aussi, gardent un œil sur les agissements suspects des groupes terroristes dans la même région.

Selon les médias algériens et tunisiens, nombre de terroristes sont actuellement actifs sur la frontière algéro-tunisienne où ils disposent des repaires pour y cacher armes, drogues et véhicules.

L’armée algérienne fouille et sécurise les monts des provinces de Tébessa et d’El-Tarf depuis lesquels les terroristes tentent de s’infiltrer dans les régions de l’Est.

Lors d'une rencontre, le jeudi 23 août, avec son homologue russe, le Conseiller à la sécurité nationale des États-Unis a de nouveau évoqué la probabilité d’une intervention militaire contre la Syrie. Une rencontre à Genève qui a duré cinq heures.

John Bolton, le conseiller du président américain à la sécurité nationale a déclaré à son homologue russe, Nikolaï Patrouchev que son pays est prêt à employer la force en Syrie. Une menace, sous prétexte d'éventuel recours à l'arme chimique par Damas.

« Les États-Unis disposent de renseignements selon lesquels le président Bachar Assad aurait recours aux armes chimiques pour reprendre la province d’Idlib », a-t-il prétendu.

Il a averti qu’en cas de nouvelle attaque chimique, les États-Unis lanceraient une frappe plus forte que par le passé.

Nikolaï Patrouchev (G) et son homologue américain John Bolton, conseiller du président américain à la sécurité nationale, à Genève, le 23 août 2018. © US Mission Photo

Quatre sources bien informées du contenu des entretiens Bolton-Patrouchev, ont transmis leurs renseignements à Bloomberg sous couvert d’anonymat.

Dans le même cadre, le ministre russe de la Défense a fait part de la nouvelle tentative États-Unis/France/Grande-Bretagne de prendre pour cible la Syrie.

Les groupes armés terroristes et les Casques blancs soutenus par Londres, entre autres, se préparent pour une autre attaque au gaz pour offrir à l’Occident le prétexte nécessaire pour une nouvelle offensive militaire en Syrie.

Moscou accuse ouvertement Londres d’aides aux terroristes, dont les Casques blancs qui sont une banche d’al-Qaïda pour qu’ils soient prêts pour la nouvelle attaque chimique dans le pays.

Par ailleurs, le ministère russe de la Défense fait allusion à l’entrée du destroyer USS the Sullivans dans les eaux du golfe Persique en affirmant que ce destroyer avait débarqué un bombardier stratégique de type B-1B au Qatar censé participer à la prochaine offensive de l’Occident en Syrie.

Lire aussi : Le trio occidental comptait modifier le rapport de forces dans la Ghouta orientale (Syrie)

Pour rappel, les États-Unis ont déjà déployé près de 2 000 effectifs dans le nord-est de la Syrie. En avril 2017, les navires américains dans les eaux de la mer Méditerranée ont tiré près de 60 missiles de croisière sur la Syrie. Le 14 avril 2018, les États-Unis et leurs alliés franco-britanniques ont encore une fois passé à l’offensive en Syrie, en lançant des centaines de missiles sur des régions au cœur du pays sinistré dont 70 ont été interceptés selon des estimations du ministère russe de la Défense. L’attaque balistique est survenue alors que les forces gouvernementales étaient sur le point de reconquérir Douma, ville principale de la région de la province de Ghouta, située au nord-est de Damas.

Existe-t-il une réelle tension entre la France et Israël? Après avoir reçu une mise en garde de l'Élysée concernant la détention par Israël du Français Salah Hamouri, l'armée israélienne accuse l'ONG française MFS d'avoir en son sein des "éléments terroristes". Tout ceci sur fond de l'annulation de la visite en Israël du président Emmanuel Macron, visite qui était prévue au mois de novembre. Aucune explication officielle n’a d'ailleurs été fournie dans le communiqué de l'Élysée émis à ce sujet.

Les analystes ne peuvent pas, toutefois, détacher cette annulation de celle du Premier ministre Édouard Philippe qui devait se rendre en Israël au mois de mai au motif de “problèmes d’emploi du temps”. Tel-Aviv avait mis à l'époque cette décision du Premier ministre français sur le compte des réactions qu'aurait suscité le voyage de M. Philippe en Israël en pleins affrontements à Gaza. Mais la crise semble être plus profonde. 

Toujours est-il que le lundi 20 août, les soldats israéliens ont tué un infirmier de l'association médicale humanitaire internationale française Médecins sans frontières (MSF). Le vendredi 24 août, l'ONG a confirmé la mort d'un de ses employés, tué par les soldats israéliens.

« MSF confirme qu'un de ses employés, Hani Mohammed al-Majdalawi, a été tué à Gaza le lundi 20 août 2018 », a indiqué l'organisation dans un communiqué.

« MSF essaie de vérifier et de clarifier les circonstances de cet incident extrêmement grave et n'est pas en mesure de commenter davantage à ce stade », ajoute le communiqué.

Jeudi 23 août, le Cogat, un organisme du ministère israélien des Affaires militaires en charge des opérations civiles dans les territoires palestiniens, avait traité dans un communiqué MSF de « terrorisme sans frontières » : « Hani al-Majdalawi a tenté de s’infiltrer dans le nord de la bande de Gaza à travers la barrière de sécurité alors qu’il était armé d’un fusil. Il a ouvert le feu sur les forces militaires et leur a même lancé un engin explosif », a prétendu le Cogat, remettant ainsi en cause l'action de MSF à Gaza. 

Hamouri toujours en détention en Israël 

Les accusations apportées par Israël contre MSF constituent l'un des épisodes de la crise qui couve entre Israël et la France. En effet, le régime de Tel-Aviv détient depuis un an Salah Hamouri, un ressortissant français. Pire, il vient de prolonger sa détention administrative, provoquant la réaction de Paris. La France reste "préoccupée" par le maintien en détention administrative de Hamouri et surtout par le fait que sa détention est prolongée jusqu'au 30 septembre.

Le président américain a annulé la rencontre de son secrétaire d’État en Corée du Nord prétextant l’absence de progrès dans le désarmement nucléaire de Pyongyang et la guerre commerciale sino-américaine.

Le tempétueux milliardaire a affirmé hier, vendredi 24 août, avoir annulé le voyage de Mike Pompeo, secrétaire d'État américain, prévu en début de semaine prochaine, en Corée du Nord en raison d’un manque de progrès sur la dénucléarisation qu’il a en partie imputée à la Chine.

 

L’armée de l’air algérienne décide de remplacer ses MIG-25 par 18 avions de chasse russes de type Su-35 de 4e génération. Elle semble également négocier la partie russe de la commande de chasseurs Su-34.

« L'Armée algérienne aurait commandé à la Russie des chasseurs Su-35 de 4e génération » a annoncé le 22 août le site algérien d'informations militaires Menadefense. Contactée par Sputnik, l'ambassade d'Algérie à Moscou a refusé de s’exprimer sur la récente information.

Selon la source algérienne, cette annonce a été faite par le président de l'entreprise russe Rosoboronexport, Vladimir Mikheev, lors de la cérémonie d’ouverture du salon Army 2018, le 21 août, à Moscou,.

 
Près de 2,4 millions de fidèles en pèlerinage à La Mecque ont entamé mardi le rituel de la lapidation de Satan, au premier jour de l'Aïd al-Adha, la fête du sacrifice célébrée par les musulmans à travers le monde. 
 
Scandant "Allah Akbar" ("Dieu est le plus grand"), les fidèles avancent par vagues successives, sous l'oeil vigilant des forces de sécurité, pour jeter des cailloux sur la grande stèle symbolisant Satan dans la vallée de Mina, près de La Mecque (ouest de l'Arabie saoudite).

Tout le monde a en mémoire la bousculade gigantesque de 2015 à Mina qui avait fait quelque 2.300 morts, mais les pèlerins disent ne pas craindre la répétition d'une telle catastrophe.

"Nous sommes sous la protection de Dieu", clame May Khalifa, une Egyptienne de 37 ans qui vit à Ryad.

Une pluie de petites pierres s'abat sur la stèle vers laquelle convergent les fidèles, dont les mouvements sont contrôlés par des milliers de policiers et d'agents de la défense civile, ainsi que par des caméras de surveillance mises en place par les autorités saoudiennes pour empêcher tout incident.

"Grâce à Dieu, il n'y a ni grosse bousculade, ni encombrement durant le hajj cette année", relève Mohammed Osman (28 ans), un habitué du pèlerinage.

Ce rituel est redouté en raison d'incidents mortels qui s'y sont produits avant même la bousculade de 2015 et qui ont poussé les autorités à aménager le lieu avec des couloirs en béton et des ponts suspendus conçus pour assurer la fluidité des mouvements de foules.

"Je suis très excité", dit Moueenddine Ahmed, un pèlerin de 35 ans venu du Bangladesh.

"Je me sens bien en dépit de la température élevée", ajoute-t-il alors que le mercure dépasse de loin les 40° celcius.
Le président libanais appelle Washington à mettre en garde Israël contre toute violation de la souveraineté libanaise. 
 
Lors d’une rencontre entre Michel Aoun et Robert Story Karem, secrétaire adjoint à la Défense des États-Unis chargé de la politique de sécurité internationale, tenue ce vendredi 24 août dans le palais Baabda, le président libanais a appelé Washington à faire pression sur Israël pour qu’il mette un terme à ses graves atteintes à la souveraineté libanaise, en particulier aux violations continues de son espace aérien par des bombardiers de Tel-Aviv afin d’attaquer les territoires syriens.

En février 2018, un avion espion israélien avait été intercepté dans l’espace aérien libanais.

Michel Aoun a assuré Robert Story Karem du respect scrupuleux de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l’ONU, approuvée en 2006 pour mettre fin à la guerre de 33 jours entre le Hezbollah et Israël.

Les deux parties ont discuté du renouvellement du mandat de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), qui expire à la fin du mois.

M. Aoun a notamment souligné « l’importance du soutien de Washington pour renouveler le mandat de la FINUL, sans aucune modification de ses fonctions, de ses effectifs et de son budget, car cela contribue au maintien de la stabilité ».

« Nous espérons que les États-Unis adopteront une politique de promotion de la paix au Moyen-Orient et dans le monde, car cela apporterait la tranquillité et la stabilité à tout le monde », a déclaré M. Aoun.

Aoun n’a pas hésité à vanter la performance de l’armée libanaise, qui a vaincu les terroristes de Daech dans l’Est libanais et accompli toutes les tâches qui lui avaient été confiées pour le maintien de la stabilité, le démantèlement des noyaux terroristes actifs ou inactifs et le contrôle des camps de réfugiés.

Michel Aoun a souligné sa volonté d’entamer un dialogue sur la stratégie défensive après la formation du nouveau gouvernement.
Le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a lancé un appel à articles pour la Conférence de l'Unité islamique qui sera tenue du 24 à 26 novembre dans la capitale iranienne. 
 
Dans son appel que vous pouvez consulter ci-dessous, le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques invitent les penseurs et les élites du monde musulmans à contribuer, par leur(s) article(s), à la 32ème Conférence de l'Unité islamique.



Trente-deuxième Conférence Internationale sur l'Unité Islamique
24-26 novembre 2018
Titre : « Qods : axe de l'unité de l’Oummah »
Appel à articles
32ème Conférence Internationale sur l'Unité Islamique
24-26 novembre 2018
« Qods ; axe de l'unité de l’Oummah »

À l’ombre des bénédictions d’Allah le Tout-Puissant et à l’occasion propice de la Semaine de l'unité et de l'anniversaire de bienheureuse naissance du prophète Muhammad (SAWA) et de son noble petit-fils, l'Imam Jafar Sadeq (AS), le Forum Mondial pour le Rapprochement des écoles de pensée islamiques organise la trente-deuxième Conférence internationale sur l'Unité Islamique de 24 à 26 novembre 2018 à Téhéran, avec pour titre : « Qods : axe de l'unité de l’Oummah ».

Le titre de la conférence indique clairement que l’Oummah musulmane devrait concentrer ses efforts sur la recherche de solutions pour les défis auxquels la Palestine est confrontée, ce qui met de lourdes responsabilités sur les épaules de l’Oummah islamique.

Il ne fait aucun doute que l’occupation de la Palestine par un groupe de criminels racistes et sanguinaires est la plus grande catastrophe dont souffre le monde de l’islam. Cette occupation est la principale raison des crises, des conflits, de la division et du sous-développement de la Palestine, ainsi que du déplacement, du massacre et de la destruction des maisons des Palestiniens.

Ces jours-ci, la question cruciale de la Palestine connaît ses moments les plus difficiles alors que la grande nation palestinienne s’est encore élevée pour continuer ses Marches du Retour et l’Intifada et ne reviendra pas sur son Droit au Retour dans les territoires occupés.

Personne, à l'exception des sionistes, ne nierait le droit au retour pour les Palestiniens, car toutes les résolutions internationales confirment explicitement que retourner dans leur pays d'origine est le droit légitime des Palestiniens qui doit se réaliser.

Le peuple palestinien persiste à revendiquer ses droits, et ceci moyennant des convois de martyrs et de militants blessés. Cela ne pourrait pourtant se poursuivre que si les épris de la liberté du monde se rallient aux côtés des Palestiniens et soutiennent leurs marches du retour. Par conséquent, le monde musulman assume une lourde et énorme responsabilité à cet égard.

Par ailleurs, les Américains et les sionistes ont intensifié, par le soi-disant "accord du siècle", leurs transgressions pour mettre un terme aux revendications justes du peuple palestinien en faveur de la liberté et du retour. À Dieu ne plaise que cet "accord" se réalise- ce qui ne se réalisera jamais -, cela aboutira à l'humiliation et l’infâmie de toute la région, tout en laissant les droits des Palestiniens être confisqués et leur territoire être occupé. Dans ce cas, les sionistes domineraient le destin et le sort des Palestiniens.

Afin de préparer le terrain pour cet accord perfide, les États-Unis ont déplacé leur ambassade à Al-Qods occupée en dépit de la forte opposition des États musulmans et non musulmans. Peu de temps après un tel acte odieux, la Knesset du régime sioniste a approuvé une loi par laquelle le droit à l'autodétermination n'est accordé qu'aux Juifs en Palestine, portant ainsi son racisme à son apogée. Cette loi raciste est sans pareille même parmi tous les régimes racistes passés qui ont été jetés à la poubelle de l’histoire.

Nous sommes convaincus que le destin de ce régime raciste et atroce sera le même destin noir des régimes inhumains précédents et que grâce au dévouement et au courage du peuple de la Palestine, plus particulièrement à travers les marches du retour, et à l’ombre du soutien pratique, scientifique, mental et politique de tous les épris de la liberté du monde mèneraient finalement à l'extinction d'Israël usurpateur en raison de la légitimité et de l'équité de la cause de la résistance palestinienne.

Dans ces circonstances, la Conférence sur l’Unité Islamique portera son attention sur la question de Qods, les marches du retour et les atrocités sionistes contre la première Qibla et le troisième lieu saint des musulmans. La prochaine conférence se tiendra en Iran, qui, au cours des quatre dernières décennies, a déployé tous ses efforts pour soutenir les Palestiniens et qui, pour ces mêmes soutiens à la Cause palestinienne, a constamment été exposé à de nombreuses pressions et complots. « Et dis : "Œuvrez, car Dieu va voir votre œuvre, de même que Son messager et les croyants ! » (Coran, 9 : 105). 
 
Instructions pour la soumission des articles :
1- Les candidats et les participants doivent envoyer un courriel à bainalmelal@yahoo.com pour l'inscription et la soumission de leurs articles.

2- Les documents doivent être envoyés par courrier électronique en format Word et ne doivent pas dépasser 20 pages A4. Les résumés doivent être soumis en arabe, en persan, en anglais ou en français.

3- Les candidats sont priés de soumettre leurs documents en accord avec les thèmes de la conférence.

4- Coordonnés du Secrétariat de la Conférence : Forum Mondial pour le Rapprochement des écoles de pensée islamiques, n ° 248, rue Ayatollah Taleqani, Téhéran, Iran. Boîte postale : 15875-6995. Tél/Fax : +9821 88321618, 88324541.

Secrétariat du Conseil scientifique de la conférence

Thèmes principaux :

 
1- L'idéologie du sionisme ; l'idéologie de l'agression
- Sionisme contre les droits de l'homme
- Illégitimité du sionisme selon le droit international
 
2- Les objectifs de l'Occident derrière la création du sionisme
- semer la discorde au sein de l’Oummah et occuper Celle-ci par des questions marginales
- Établir une base pour leurs actes maléfiques au cœur de l'islam
 
3- La stratégie occidentale pour soutenir le régime sioniste
- Soutien militaire, financier et médiatique
- Judaïsation de la sainte Qods et la destruction de sa structure islamique
- Formation des groupes Takfiris et fomenter la discorde dans le monde musulman
- Complot américain visant à transférer les Ambassades à Qods
- Efforts visant à normaliser les relations avec l'ennemi sioniste
- Présentation des mouvements de résistance comme des organisations terroristes
 
4- « L’Accord du siècle » et ses répercussions dangereuses
- Dominance absolue sur la sainte Qods et la mosquée Al-Aqsa
- Expansion des colonies sionistes illégales
- Attiser les divergences entre les groupes palestiniens
- Créer des obstacles sur la voie de l’Intifada palestinienne
 
5- L’unité de l’Ummah : la seule solution pour dénoncer le projet de l'Arrogance
- Le droit au retour selon le droit international
- La Journée mondiale de Qods et son rôle dans la promotion de l'unité et de la solidarité islamique
- Le Référendum entre Palestiniens pour déterminer le sort de la Palestine
- Les responsabilités des médias du monde musulman dans la mobilisation de l’Oummah
 
6- La Résistance : symbole de l'unité de l’Oummah
- La République Islamique d'Iran et son rôle dans le soutien au mouvement de la Résistance sous la direction de l'Imam Khomeini (RA) et de l'Imam Khamenei (Que Dieu le protège)
- La question de la Palestine et de la Révolution Islamique : quarante ans de soutien continu
- La mission des oulémas, des penseurs et des associations sociales (jeunes, femmes et centres islamiques) pour soutenir le mouvement de la Résistance
- Les enseignements du Saint Coran et la noble tradition du Prophète : l'origine de l'unité islamique
 
Secrétariat du Conseil scientifique de la conférence