
تقي زاده
L’OTAN ne sera pas la bienvenue si c’est contre l’Iran (Haïder al-Abadi)
« L’Irak ne permettra pas que l’OTAN utilise son espace aérien et terrestre contre l’Iran », a affirmé le Premier ministre irakien.
Selon l’agence de presse iranienne IRNA, lors de sa conférence de presse hebdomadaire, ce mardi 20 février, le Premier ministre irakien Haïder al-Abadi a affirmé que l’Alliance du traité de l’Atlantique nord (OTAN) ne serait jamais autorisée à utiliser le territoire irakien pour prendre des mesures contre l’Iran.
À noter que les ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN ont récemment dit « oui » à la demande des États-Unis de créer une mission élargie d’entraînement et de conseil des forces armées irakiennes, dans le but d’empêcher la résurgence du groupe terroriste Daech.
De nouvelles cargaisons de chlore arrivent en Syrie
Trois camions, chargés des cargaisons de chlore, sont arrivés dans la province syrienne d’Idlib, en provenance de la Turquie.
Selon la chaîne de télévision syrienne al-Akhbariya, « les groupes terroristes, soutenus par l’Occident, ont préparé un nouveau scénario en vue d’en faire un film visant à accuser l’armée syrienne d’utiliser des armes chimiques et du chlore contre les civils ».
Les groupes terroristes lancent, de temps à autre, des attaques au chlore contre les civils dans l’objectif d’en imputer la responsabilité au gouvernement de Damas.
Ce scénario a été répété en 2013 à Alep, en 2014 dans la Ghouta orientale et en 2016 à Khan Cheikhoun, dans la province d’Idlib.
Selon des médias syriens, « les terroristes opérant dans la Ghouta orientale sont en train de distribuer des masques parmi les habitants, une partie de la préparation de leur nouveau scénario anti-Damas ».
Par ailleurs, l’armée turque a lancé, il y a quelques jours, une attaque aux gaz toxiques contre les habitants d’un village, près d’Afrin. Un certain nombre d’habitants ont été transférés à l’hôpital avec les symptômes tels que des problèmes respiratoires et des démangeaisons cutanées.
L’armée turque a lancé, le samedi 20 janvier, une offensive militaire baptisée « Rameau d’olivier » contre les unités kurdes à Afrin, dans le nord de la Syrie.
Le régime israélien remplace ses soldats par des robots
Après que plusieurs soldats israéliens ont subi de graves blessures dans la bande de Gaza où ils étaient partis enlever des drapeaux palestiniens, le régime israélien vient d’avoir une idée de génie : remplacer ses soldats par des robots.
Et ce sont donc des robots qui ont enlevé hier tous les drapeaux palestiniens flottant dans la bande de Gaza.
Samedi, 4 soldats israéliens, qui étaient allés décrocher un drapeau palestinien à la frontière entre Gaza et les territoires occupés de 1948, ont été blessés par l’explosion d’une bombe.
C’est après cet incident que les chasseurs du régime israélien ont à plusieurs reprises attaqué la zone. En réponse, les batteries antiaériennes des Brigades Izz al-Din al-Qassam ont tiré sur les chasseurs, les faisant fuir de la région.
Le ministre français des Affaires étrangères se rendra bientôt à Téhéran
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a annoncé ce mardi qu’il se rendrait en Iran et en Russie dans les prochains jours.
Selon Reuters, Le Drian a fait cette annonce devant le Parlement français, en ajoutant qu’une catastrophe humanitaire courait en Syrie et qu’il fallait faire quelque chose pour mettre un terme à la guerre dans ce pays.
Le Drian était attendu à Téhéran à la fin du mois de décembre 2017 mais sa visite avait été reportée.
Par ailleurs, les ministres des Affaires étrangères de l’Espagne et des Pays-Bas devraient arriver ce soir en Iran.
Cisjordanie : un jeune Palestinien blessé par les tirs des Israéliens
Un jeune Palestinien a été blessé par les tirs des militaires israéliens qui fuyaient du camp de réfugiés d’al-Dahicha en Cisjordanie.
Selon l’agence de presse iranienne Arya, les forces du régime usurpateur israélien ont attaqué différentes régions de Cisjordanie et arrêté sept Palestiniens.
Citant des sources palestiniennes, l’agence de presse Arya ajoute ce mardi 20 février qu’un jeune Palestinien a été blessé par les tirs des militaires israéliens qui fuyaient du camp de réfugiés d’al-Dahicha en Cisjordanie.
Et si Israël a intensifié ses attaques contre les Palestiniens, les autorités de ce régime ne manquent pas de chercher des excuses pour les justifier.
L'Iran alerte sur des actes d'espionnage de militants écologistes
Le chef de l'appareil judiciaire iranien, l'ayatollah Sadeq Amoli Larijani, a déclaré lundi que les services de renseignement de certains pays utilisent de plus en plus des activités environnementales pour dissimuler des opérations d'espionnage sur le territoire iranien.
Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : "Dans les événements récents, nous avons tous été témoins que certaines personnes ont recueilli des informations déguisées en portails spéciaux. Aujourd'hui, l'espionnage est devenu courant sous la protection des activités civiles ", a déclaré le ministre perse.
Dans des déclarations faites à des responsables judiciaires, l'ayatollah Amoli Larijani a également mis en garde contre les tentatives de l'Occident, plus concrètes des Etats-Unis, et de ses alliés régionaux, d'infiltrer l'Iran.
Amoli Larijani a déposé cette plainte après que Kavus Seyed Emami, militant écologiste présumé, de double nationalité irano-canadienne, a été arrêté en janvier dernier pour espionnage.
Emami était l'une des personnes clés qui était en contact direct avec un militaire américain qui s'était rendu en Iran pour fonder un centre d'espionnage sous le couvert d'activités environnementales.
Mardi, le procureur général iranien, Abas Jafari Dolatabadi, a rapporté l'arrestation de plusieurs agents du service de renseignement israélien (le Mossad) et de la Central Intelligence Agency. (CIA, pour son acronyme en anglais) qui visait entre autres les activités des missiles iraniens, en utilisant des caméras spécialisées avec lesquelles ils observaient apparemment l'environnement.
Dolatabadi a rapporté que plusieurs des détenus ont avoué qu'ils collectaient des informations avant de les transférer aux États-Unis. à travers des agents secrets.
L'armée turque veut assiéger la ville syrienne Afrine
Baptisée "Rameau d'olivier", l'opération lancée par l'armée turque et ses supplétifs rebelles syriens vise les Unités de protection du peuple (YPG), alliées kurdes de Washington en Syrie, mais considérées comme "terroristes" par la Turquie.
Bien qu'il ait reconnu avoir perdu 32 soldats, Ankara répète à l'envi que l'offensive avance "comme prévu".
Les forces turques ont certes pris à ce jour le contrôle de plus de 30 villages, mais ces localités sont situées pour la plupart dans des zones frontalières du nord de la région d'Afrine.
"Comme nous agissons pour éviter de mettre en danger nos forces de sécurité et en tenant compte des civils, il peut sembler que nous avançons lentement", a convenu M. Erdogan.
Derniers moments de la vie de Fatima az-Zahrâ’ (a)
Les événements les plus importants au cours des derniers mois de la vie de Fatima (a) furent :
- Le décès de son père, le Prophète Muhammad (s)
- L’événement de Saqîfa
- S’emparer du califat et de la succession du Prophète (s)
- L’usurpation de Fadak
- Le sermon de Fadakpar Fatima az-Zahrâ’ (a)
Comme l’Imam Ali (a), Fatima az-Zahrâ’ (a) fut contre l’événement de Saqîfa et le califat d’Abu Bakr. C’est pour cette raison qu’on attaqua la maison de l’Imam Ali (a) et blessa Fatima (a).
Après l’événement de Saqîfa, les partisans de l’Imam Ali (a) qui furent contre le califat d’Abu Bakr, se réunirent chez l’Imam Ali (a). Les soldats d’Abu Bakr, dont Umar ibn al-Khattab en tête, menacèrent l’Imam Ali (a) de brûler sa maison en cas de ne pas faire l’allégeance avec Abu Bakr.
Fatima (a) essaya de défendre son mari, l’Imam Ali (a), mais on la frappa et son bébé, Muhsin, fut avorté. Suite à cette attaque, Fatima (a) tomba malade et après quelques jours, elle décéda en martyre.
Dans son testament, Fatima az-Zahrâ’ (a) avait demandé à l’Imam Ali (a) de ne pas autoriser ses ennemis de participer à ses funérailles. Donc, elle lui demanda de l’enterrer en cachet et pendant la nuit.
D’après la plupart des sources, elle mourut en martyre le 3 Jumâdâ al-Âkhira 11 H à Médine.
Opposition au califat d’Abu Bakr
Après l’allégeance de certains Muhadjirun et Ansâr avec Abu Bakr, Fatima (a), l’Imam Ali (a), Banu Hachim et certains compagnons du Prophète (s) s’opposèrent à son califat. Ils se réunirent chez Fatima az-Zahrâ’ (a) et manifestèrent leur contestation.
Parmi les présents chez Fatima (a), on peut citer :
- Abbas b. Abd al-Muttalib, l’oncle du Prophète (s)
- Salmân al-Fârsî
- Abû Dhar al-Ghifârî
- Ammâr b. Yâsir
- Miqdâd b. Aswad
- Ubayy b. Ka’b
- et certains de Banu Hachim
Attaque à la maison de l’Imam Ali (a)
Lorsqu’Abu Bakr fut informé de la réunion des opposants à son califat, chez l’Imam Ali (a), il ordonna de les attaquer.
Umar ibn al-Khattab, accompagné de ses soldats, alla chez l’Imam Ali (a) et demanda à tous ceux qui étaient chez lui de sortir et de prêter le serment d’allégeance avec Abu Bakr. Aussi, il les menaça de brûler la maison, s’ils ne sortaient pas.
Lorsque les soldat d’Abu Bakr attaquèrent la maison de l’Imam Ali (a), on dit à Umar ibn al-Khattab que Fatima (a) était dans cette maison. Umar dit :
« Je brûlerai cette maison, même si Fatima (a) soit dedans ».
Lorsqu’ils entrèrent dans la maison, Fatima (a) défendit son mari, l’Imam Ali (a) et les empêcha d’emmener Ali (a) à la mosquée pour prêter le serment d’allégeance avec Abu Bakr.
Fatima (a) leur dit que s’ils ne laissaient pas son mari, elle se plaindrait auprès d’Allah contre eux.[43] Donc, tous les soldats sortirent de la maison, mais ils emmenèrent tous sauf Ali (a) et Banu Hachim pour les forcer à prêter le serment d’allégeance à Abu Bakr.
Ensuite, pour obliger l’Imam Ali (a) et Banu Hachim à prêter le serment d’allégeance avec Abu Bakr, les soldats revinrent à la maison de l’Imam et brûlèrent la porte. Fatima (a) qui était derrière la porte, fut blessée et ceci causa l’avortement de son bébé, Muhsin b. Ali (a).
D’après un rapport, Qunfudh mit Fatima (a) entre la porte et le mur et la blessa. Ceci fut la raison de l’avortement du bébé de la fille du Prophète (s). Après cet événement, Fatima az-Zahrâ’ (a) tomba malade et après quelques jours, elle décéda en martyre.
Martyre
Après avoir subi beaucoup de calamités et de souffrances au cours des événements qui se passèrent après le décès du Prophète (s), en l’an 11 H, Fatima az-Zahrâ’ (a) décéda en martyre.
Il y a de différents avis sur la date du martyre de Fatima (a) qui sont :
- L’avis le plus connu : le 3 Jumâdâ al-Âkhira
- Le 13 Rabî’ ath-Thânî
- Le 20 Jumâdâ al-Âkhira
- Le 3 Ramadan
Avant son martyre, Fatima (a) avait écrit dans son testament qu’elle ne voulait pas que ses ennemis soient présents dans ses funérailles. Donc, elle avait demandé à l’Imam Ali (a)de l’enterrer en cachet et pendant la nuit et d’effacer toute trace de sa tombe.
D’après certains rapports, l’Imam Ali (a) fit les bains rituels de Fatima az-Zahrâ’ (a) par l’aide d’Asmâ’ bt. ‘Umays et fit lui-même la prière sur son défunt.
A part l’Imam Ali (a), certains participèrent à la prière sur le défunt de Fatima (a), mais il y a de différents avis sur leur nom et leur nombre.
Les noms suivants sont cités dans les sources parmi ceux qui participèrent à la prière sur le défunt de Fatima (a).
- L’Imam al-Hasan al-Mujtabâ (a)
- L’Imam al-Husayn (a)
- Abbas b. Abd al-Muttalib
- Miqdâd
- Salmân al-Fârsî
- Abû Dhar al-Ghifârî
- Ammâr Yâsir
- ‘Aqîl b. Abî Talib
- Zubayr
- Abd Allah b. Mas’ûd
- Fadl b. Abbas
Les historiens chiites sont unanimes sur la présence de :
Tombe
D’après les rapports, Fatima az-Zahrâ’ (a) avait commandé un cercueil spécial pour elle-même. Donc, on mit son corps dans ce cercueil et l’apporta vers sa tombe. Enfin, elle fut enterrée pendant la nuit, pour que personne ne sache où elle fut enterrée.
Même si personne ne sait où se situe la tombe de Fatima az-Zahrâ’ (a), d’après les sources, il y a des hypothèses sur l’endroit de son enterrement :
- Elle fut enterrée chez elle.
- Elle fut enterrée entre la tombe du Prophète (s) et son minbar (dans la mosquée du Prophète (s)).
- Elle fut enterrée dans le cimetière d’Al-Baqî’, dans la maison de ‘Aqîl. C’est le même endroit où, après des années, quatre Imams furent enterrés.
La propagande mensongère des ennemis de l’islam ne peut pas cacher les réalités iraniennes
Des ulémas sunnites pakistanais, lors d’une réunion au Bureau du Guide suprême chargé des affaires des musulmans sunnites, ont rencontré des religieux sunnites de la région du
Khorasan Razavi, et ont exprimé leurs idées sur la nécessité de préserver l’unité du monde de l’islam, ajoutant : « La République islamique d’Iran est un refuge pour tous les musulmans et le résultat du combat de grands religieux comme l’imam Khomeiny et l’Ayatollah Khamenei. Nous considérons la République islamique d’Iran comme le seul et vrai soutien des musulmans dans le monde, et la respectons. La propagande mensongère des ennemis de l’islam ne peut pas cacher les réalités iraniennes, et les sunnites iraniens vivent en toute la liberté et pratiquent leur culte sans aucun problème ».
Chaque pays islamique a besoin d’un combattant comme Hadj Qasem Soleimani
Molavi Ale Dad Rasuli Zadeh, imam de la prière du vendredi de Mizân dans la région de Sarbâz (Sistan Baloutchistan), a déclaré que la décision de Trump de reconnaitre la ville de Qods comme capitale du régime sioniste, avait rempli les cœurs des musulmans de colère et de douleur.
«Ces Arabes musulmans qui dansent au son des États-Unis et se réjouissent, ne respectent aucune valeur islamique et ne pensent qu’à leurs intérêts. Les groupes de Daesh au début, ont pris de l’ampleur grâce à leur slogan de lutte contre Israël, mais par la suite
tout le monde a compris leurs mensonges. Il est regrettable que des gens qui se présentent comme des musulmans ne réagissent pas et si nous avions dans le monde de l’islam, plus de gens comme Hadj Qasem Soleimani, Israël n’oserait pas s’opposer aux musulmans bien que Hadj Qasem Soleimani soit capable d’en venir à bout à lui seul», a-t-il dit