Il y a effectivement un mouvement de balançoire : depuis que la Turquie otaniste a commencé à saigner à Idlib, ayant perdu une dizaine de soldats rien que ces dix derniers jours par de mystérieuses attaques menées à l'aide de missiles antichars AT13 Metis-M, de fabrication russe et qu'elle commence à émettre des signes d’essoufflement en disant "oui et non" au demande de retrait de la Russie de ses pseudo bases d'observation dans le nord syrien, le Pentagone a compris que le "scénario turc" a fait son temps, Ankara ayant échoué à mettre en place une DCA propre à battre les aviations russes et syriennes au nord de la Syrie et créé par la même occasion une zone no-fly au grand dame de la base aérienne russe de Qamichli qui, rappelons-le, abrite non seulement des hélicoptères promptes à chasser les blindés américains mais encore les batteries de missiles S-400.