Ce raid du 17 novembre qu'Israël dit avoir lancé depuis le ciel du Golan occupé à l'intention de "l'unité 840 semi-clandestine" de la Force Qods qui, toujours selon Israël, aurait poussé les "habitants du Golan" à "poser les mines anti-personnelles et les engins explosifs improvisés" au passage des soldats du régime sioniste n'aurait jamais dû avoir lieu. L'entité sioniste aurait dû à vrai dire continuer à prendre son mal en patience et ne pas risquer de jouer au Rambo. Pourquoi? Selon les sources proches de l'armée syrienne, la frappe au missile de croisière contre le sud ouest de Damas a toutes les chances de provoquer un nouveau tournant dans le pacte militaire signé au mois de juin avec l'Iran, lequel pacte a ouvert le ciel syrien à la DCA iranienne. En effet, le 17 novembre Bavar- 373 a convaincu l'armée syrienne qu'elle mérite son qualificatif du "bouclier du ciel".