Le 3 février, le régime israélien, juste quelques heures après que le Hezbollah eut intercepté et détruit par le tir d'un missile antimissile sol-air et un seul, un "Hermes 450", drone tactique de l'armée de l'air sioniste et ce, dans le ciel de Zahrani, soit à 60 kilomètres en profondeur du territoire libanais, Israël, littéralement paniqué à l'idée d'avoir à perdre le ciel du Liban qui lui sert d'arrière base depuis 2005 date de l'expulsion de l'armée syrienne du Liban a lancé une énième campagne de frappe contre Quneïtra, l’aéroport de Damas, Mezzah et Kizwah. Mais le choc senti quelques heures auparavant dans le ciel du sud du Liban, un ciel d'où le Hezbollah compte visiblement et grâce aux qualités requises en termes de Défense antiaérienne en 10 ans de guerre en Syrie, cumuler les coups à la Hermes 450, s'est vu soudain s'amplifier!