Le vieux successeur de Donald Trump, Biden, qui se refuse obstinément depuis son investiture le 20 janvier au terme d'un spectaculaire hold-up électoral de donner un coup de fil au Premier ministre sioniste, un PM mort de peur à l'idée d'être largué par les "goys démocrates" alors qu'Israël patauge en pleine crise politique, militaire, économique et géostratégique, est tout sauf un imbécile : le lundi 9 février, presque au moment où Netanyahu s'entretenait au téléphone avec le président russe de l'Iran et de la Syrie, façon de se faire une idée de l'impact géostratégique de la lettre que le Leader iranien vient d'adresser au chef du Kremlin et où il est question de penser le Moyen Orient post -USA avec tout ce que cela comporte en termes de risques pour l'action militaire israélienne en Syrie, au Liban et ailleurs dans le golfe Persique, Biden faisait savoir sur CNN et par la voix de son secrétaire d'État Blinken qu'une "souveraineté israélienne" au Golan occupé n'a ni tête ni queue et que cette zone ultra-stratégique, "bien que vitale pour la sécurité d'Israël" n'appartient pas à l'entité sioniste. Double coup "fatal" en l'espace d'à peine quelque heures !