Plus personne en Israël ne doute désormais que ce qui s'est passé le 17 et le 24 janvier entre Ansarallah et Emirats des Zayed a été un test ou mieux dit un exercice pour viser dans pas trop longtemps Israël : ce chef d'œuvre d'attaque hydrique du 17 janvier où une vingtaine de Samad-3 ont quitté ensemble le Yémen pour atteindre quelques heures plus tard le port, l'aéroport d'Abou Dhabi alors même que cinq missiles, 4 de croisière et un balistique de type Zolfaghar se lâchaient sur les réservoirs et les stocks pétroliers, non loin de la centrale atomique de Barakah, les sionistes y ont vu la reproduction avant l'heure de l'attaque contre Eilat et Dimona. Plus le 24, quand Ansarallah a lancé un nouveau cocktail balistique contre les Emirats avec une part cette fois plus importante de missiles balistiques qu'on cru être des Barkhan-3, l'entité s'est laissée totalement convaincre que c'était elle, la vraie cible, Al Dhafra ayant été royalement visé par un double Barkan contre quoi le PAC-3 n'a rien pu et le THAAD américain, pas grand choses, lui, qui a tiré plusieurs missiles intercepteurs pour tenter tant bien que mal à contrer l'attaque.