Les investisseurs qui construisent des hôtels en Iran vont être exemptés d'impôts pendant au moins cinq ans, ont annoncé dimanche des responsables du gouvernement, qui espère voir affluer les touristes après la levée des sanctions internationales."Toutes les activités liées au secteur (...) touristique bénéficient de 100% d'exemptions d'impôts pour une période de 5 à 13 ans en fonction des régions", a déclaré Mohammad Khazaei, vice-ministre iranien de l'Economie, lors d'une conférence à Téhéran rassemblant les représentants du secteur hôtelier de 18 pays, principalement européens.
Selon lui, depuis la levée en janvier des sanctions internationales après un accord à l'été 2015 avec les grandes puissances sur le programme nucléaire iranien, "il y a un afflux historique et sans précédent d'investissements étrangers (...) en Iran".
"Nous avons offert des garanties pour 9 milliards de dollars (8 milliard d'euros) d'investissements étrangers, essentiellement de pays européens", a affirmé M. Khazaei.
Le vice-président iranien, Eshaq Jahangiri, a de son côté déclaré que les investisseurs étrangers "auront le soutien du gouvernement" et qu'il n'y aura pas de "discrimination" entre ces derniers et les investisseurs iraniens.
L'Iran entend construire 300 nouveaux hôtels au cours des cinq prochaines années pour développer le tourisme, secteur qui doit créer 140.000 emplois.
Des projets pour 170 établissements 4 et 5 étoiles sont déjà en cours de démarrage, selon le ministre du Développement urbain et des routes, Abbas Akhoundi. Le tourisme représentait en 2015 7,6% du PIB, "que nous espérons porter à 9% en 2016", a-t-il dit.
Le nombre de touristes venant en Iran est passé de 2,2 millions à 5,2 millions en 2015, l'objectif visé étant de 20 millions d'ici 2025.
Christophe Landais, représentant du groupe français AccorHotels en Iran, a indiqué que le groupe "travaille activement sur 10 à 15 projets" dans les grandes villes.
AccorHotels a été la première entreprise étrangère à ouvrir en octobre 2015 deux hôtels en Iran, l'Ibis et le Novotel, situés à l'aéroport international de Téhéran.
Dirigeant du groupe "Roda Hotels and resorts" basé à Dubaï, Imad W. Elias a estimé que l'Iran était "une mine d'or, un bijou qui doit être exploré".
Selon lui, depuis la levée en janvier des sanctions internationales après un accord à l'été 2015 avec les grandes puissances sur le programme nucléaire iranien, "il y a un afflux historique et sans précédent d'investissements étrangers (...) en Iran".
"Nous avons offert des garanties pour 9 milliards de dollars (8 milliard d'euros) d'investissements étrangers, essentiellement de pays européens", a affirmé M. Khazaei.
Le vice-président iranien, Eshaq Jahangiri, a de son côté déclaré que les investisseurs étrangers "auront le soutien du gouvernement" et qu'il n'y aura pas de "discrimination" entre ces derniers et les investisseurs iraniens.
L'Iran entend construire 300 nouveaux hôtels au cours des cinq prochaines années pour développer le tourisme, secteur qui doit créer 140.000 emplois.
Des projets pour 170 établissements 4 et 5 étoiles sont déjà en cours de démarrage, selon le ministre du Développement urbain et des routes, Abbas Akhoundi. Le tourisme représentait en 2015 7,6% du PIB, "que nous espérons porter à 9% en 2016", a-t-il dit.
Le nombre de touristes venant en Iran est passé de 2,2 millions à 5,2 millions en 2015, l'objectif visé étant de 20 millions d'ici 2025.
Christophe Landais, représentant du groupe français AccorHotels en Iran, a indiqué que le groupe "travaille activement sur 10 à 15 projets" dans les grandes villes.
AccorHotels a été la première entreprise étrangère à ouvrir en octobre 2015 deux hôtels en Iran, l'Ibis et le Novotel, situés à l'aéroport international de Téhéran.
Dirigeant du groupe "Roda Hotels and resorts" basé à Dubaï, Imad W. Elias a estimé que l'Iran était "une mine d'or, un bijou qui doit être exploré".