En dépit des tentatives américaines, l'Iran n'autorisera pas l'accès de ses sites militaires à des inspecteurs internationaux, a déclaré mercredi le conseiller principal du guide suprême iranien, Ali Khamenei.
Lors d'une conférence de presse, le responsable du Centre de recherches stratégiques du Conseil de discernement, Ali Akbar Velayati, a dit que le monde est contre le projet américain visant à violer l'accord sur le nucléaire que l'Iran a signé avec les grandes puissances en 2015, a rapporté l'agence de presse officielle de la République islamique.
"Nous savons que des responsables américains ont rendu de fréquentes visites à l'organisation de surveillance nucléaire mondiale et qu'ils se sont entretenus avec le chef de l'organisation,'' a déclaré M. Velayati.
Dans cette phrase, il faisait référence à la récente visite que l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, a rendue à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), à Vienne, où elle s'est entretenue avec le directeur général de l'AIEA, Yukiya Amano.
Mardi, Mme Haley a déclaré que des centaines de sites militaires iraniens sont suspects, mais que l'ONU n'y a pas accès.
"Personne n'est autorisé à visiter les sites militaires iraniens,'' a dit M. Velayati, ajoutant que les sites militaires de l'Iran sont liés à la sécurité nationale du pays.
L'Iran a signé le Plan d'action global conjoint (JCPOA) en 2015 avec les États-Unis, la Russie, la Grande-Bretagne, la Chine et la France + l'Allemagne, en vertu duquel Téhéran a accepté de réduire des éléments de son programme nucléaire en échange d'une atténuation des sanctions économiques.
Cependant, suite aux nouvelles sanctions économiques récemment imposées à l'Iran par l'administration Trump, des observateurs ont commencé à redouter que les États-Unis mettent un terme à l'accord sur le nucléaire iranien.
"Nous savons que des responsables américains ont rendu de fréquentes visites à l'organisation de surveillance nucléaire mondiale et qu'ils se sont entretenus avec le chef de l'organisation,'' a déclaré M. Velayati.
Dans cette phrase, il faisait référence à la récente visite que l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, a rendue à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), à Vienne, où elle s'est entretenue avec le directeur général de l'AIEA, Yukiya Amano.
Mardi, Mme Haley a déclaré que des centaines de sites militaires iraniens sont suspects, mais que l'ONU n'y a pas accès.
"Personne n'est autorisé à visiter les sites militaires iraniens,'' a dit M. Velayati, ajoutant que les sites militaires de l'Iran sont liés à la sécurité nationale du pays.
L'Iran a signé le Plan d'action global conjoint (JCPOA) en 2015 avec les États-Unis, la Russie, la Grande-Bretagne, la Chine et la France + l'Allemagne, en vertu duquel Téhéran a accepté de réduire des éléments de son programme nucléaire en échange d'une atténuation des sanctions économiques.
Cependant, suite aux nouvelles sanctions économiques récemment imposées à l'Iran par l'administration Trump, des observateurs ont commencé à redouter que les États-Unis mettent un terme à l'accord sur le nucléaire iranien.