تقي زاده

تقي زاده

Les forces de la Turquie et de la Jordanie se sont déployées sur les frontières avec la Syrie et se préparent pour une agression militaire contre ce pays.
Les forces militaires turcs et jordaniennes ont annoncé aujourd’hui pour la première fois qu’elles se sont déployées sur les frontières avec la Syrie et qu’elles sont prêtes à y pénétrer.
Ces deux pays ont joué un rôle crucial dans l’équipement et la formation des opposants de Bachar al-Assad. Ils poursuivent le plan de la création d’une zone tampon dans ce pays.
Actuellement, la Turquie a déployé 18.000 militaires sur ses frontières avec la Syrie dans le Nord. Elle a mis en état d’alerte ses avions de combat pour une éventuelle une zone d’exclusion aérienne au-dessus territoire syrien.
Des sources de sécurité ont également fait part de la mise en état d’alerte des forces militaires jordanienne sur les frontières du Sud de la Syrie.
La Jordanie et le régime sioniste sont prêts à créer en cas de besoin une zone d’exclusion aérienne au-dessus de cette partie de la Syrie. Ces actes ont amené le président russe Vladimir Poutine, a réitéré encore une fois son soutien indéfectible au gouvernement légitime de Bachar Assad.

Le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif doit faire mardi son retour à Vienne, après une journée de consultations à Téhéran qui pourraient donner le "la" des derniers jours de la négociation sur le nucléaire.
Une chose semble certaine dans ce feuilleton à rebondissements, entamé il y a plus de 20 mois: la date butoir initialement fixée pour arracher un accord historique, ce mardi 30 juin, sera dépassée. Aucune autre limite n'a été fixée, même si une extension à long terme des négociations semble exclue.

Mais l'issue des discussions reste incertaine - "il est trop tôt pour porter un jugement", a prévenu lundi le secrétaire d'Etat américain John Kerry - alors que des points essentiels de la négociation n'ont toujours pas été tranchés.

M. Zarif, dont le retour à Téhéran dimanche soir après un week-end de consultations diplomatiques à Vienne n'a pas été interprété comme un signe positif ou négatif par ses homologues des grandes puissances, retrouvera dans la capitale autrichienne son homologue américain John Kerry.

Ils seront rejoints dans la journée par le Russe Serguei Lavrov, avant l'arrivée dans la semaine des autres chefs de la diplomatie du P5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Russie, Chine, France et Allemagne). Les politiques sont maintenant appelés à "de difficiles décisions", selon la formule du chef de la diplomatie britannique Philip Hammond, pour solder le contentieux.

Un accord cadre a été conclu début avril dans la douleur à Lausanne, et les experts de toutes les parties travaillent depuis sans relâche pour finaliser les termes d'un texte définitif.

- Inspection des sites iraniens -
Lundi, M. Kerry, seul ministre des Affaires étrangères resté à Vienne après un week-end de ballet diplomatique, avait rencontré Yukiya Amano, le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), l'organe de l'ONU qui jouera un rôle clé dans la vérification de la mise en oeuvre de l'accord, s'il est conclu.

L'inspection des sites suspects iraniens par l'AIEA constitue un des points cruciaux de la négociation. L'agence a certes déjà accès aux sites nucléaires iraniens déclarés, mais voudrait avoir la possibilité d'élargir son périmètre d'inspections, y compris à des sites militaires.

Une demande à laquelle le Guide suprême iranien Ali Khamenei, décisionnaire ultime sur le dossier nucléaire, s'est catégoriquement opposé à plusieurs reprises.

"L'idée n'est pas que nous devons avoir accès à tous les sites militaires, parce que les Etats-Unis eux-mêmes ne permettraient à personne d'avoir accès à tous leurs sites militaires", a reconnu lundi un haut responsable américain sous couvert de l'anonymat.

 

Au moins deux personnes ont été tuées et 40 blessées mardi dans un attentat suicide contre le quartier général de la police de la province afghane du Helmand, fief des rebelles talibans, a-t-on appris auprès des autorités.
Les combattants talibans n'avaient pas revendiqué l'attentat dans l'immédiat, mais le Helmand et la province voisine de Kandahar, dans le sud de l'Afghanistan, sont le berceau de leur insurrection.

Depuis la chute de leur régime en 2001, ils y prennent pour cibles tant la police et l'armée afghanes que les symboles du gouvernement de Kaboul.

L'attaque de mardi à Lashkar Gah, la capitale provinciale du Helmand, s'est produite dans la matinée.

Un kamikaze a fait exploser un camion piégé à l'entrée du quartier général de la police, a indiqué à l'AFP Farid Ahmad Obaïd, porte-parole de la police provinciale.

Nos premières informations font état de deux morts et de 40 blessés, a-t-il dit.

Omar Zouak, porte-parole du gouverneur de cette province méridionale, a confirmé ce bilan, précisant que les personnes décédées, un homme et une femme, étaient des civils.

La plupart des blessés sont aussi des civils qui ont été touchés par des éclats de verre alors qu'ils étaient chez eux, a-t-il précisé.

Le directeur du Comité de sécurité nationale du Kazakhstan Nourtaï Abikaïev a appelé lundi la communauté internationale à créer une liste unifiée des organisations terroristes et à introduire des sanctions politiques et économiques contre les partisans de telles organisations.
M. Abikaïev a lancé cet appel alors qu'il s'exprimait à l'occasion de la Conférence régionale d'Asie centrale et du sud sur la lutte contre l'extrémisme violent. Il a expliqué que l'attention excessive portée au groupe terroriste Daech sur internet et dans les médias était souvent déformée et poussait des extrémistes locaux à commettre des actes terroristes dans leurs pays via des groupes ou seuls.

Selon lui, surmonter toutes les sortes d'extrémisme et de terrorisme international nécessite des efforts collectifs de la majorité des Etats, des pays et de la communauté mondiale dans son ensemble. Dans ce but, il a appelé ses collègues des autres pays et des organisations internationales à créer une liste unifiée des organisations terroristes et à établir des sanctions politiques et économiques pour condamner l'assistance à de telles organisations.

Une telle mesure aidera à éliminer les critères différents qui sont souvent utilisés dans le cadre des sujets de droit international, a-t-il expliqué.

Le site d’information «fananews.com» a annoncé que les 12èmes compétitions internationales coraniques d’Algérie dans le domaine de la récitation et de la mémorisation, se dérouleront du 20ème au 26ème jour du mois de ramadan, dans la ville d’Alger.

Le ministère des Oqafs et des questions religieuses a annoncé que 66 pays avaient été invités dont certains pays non islamiques comme la Russie, le Canada, l’Inde et les Philippines.
Mohamad Khakpour, originaire de Machhad, qui a pris la seconde place aux compétitions nationales iraniennes de mémorisation et a participé aux compétitions de Jordanie en 2013, représentera l’Iran à ces compétitions.
L’Arabie saoudite a annoncé qu’Ahmad ben Ali al Sedis, directeur de la faculté des sciences coraniques de l’université islamique de Médine, fera partie du jury.

lundi, 29 juin 2015 22:16

Ramadhãn, le mois de la consolation

Le Prophète a décrit le mois de Ramadhãn comme étant, entre autre, le mois de la consolation. Cette appellation est d’autant plus adéquate que le jeûne est une véritable institution d’aide aux nécessiteux. L’lmam Al-Bãqir a dit à ce propos: «Dieu a prescrit l’obligation de jeûner pour que le riche ressente l’affliction de la faim et s’attendrisse sur le pauvre". (1)
Son fils, l’Imam Al-Sãdiq, reprend cette explication et la développe: «Dieu a prescrit le jeûne pour que le riche et le pauvre vivent sur un pied d’égalité, car, le riche n’a pas l’occasion de connaître la famine pour penser au pauvre, étant donné qu’il peut manger tout ce qu’il veut et quand il veut. Aussi, Dieu a-t-Il voulu mettre sur un pied d’égalité Ses créatures en obligeant le riche à éprouver la faim et son affliction afin qu’il s’attendrisse sur le faible et compatisse à l’affamé»(2).

Ainsi la sensation de faim, suffit-elle en soi, et à elle seule, à rappeler au nanti l’affliction de l’affamé, et à l’inciter à se montrer volontairement généreux envers le démuni. C’est un rappel on ne peut plus concret et sans discours éloquent. Il vaut mille prêches.

Toutefois, l’Islam ne s’est pas contenté de prescrire le jeûne pour inciter les riches à nourrir les pauvres. Il a également promis des récompenses au moins égales sinon supérieures à celles du jeûne lui-même, pour chaque geste de générosité lié au jeûne.
Le Prophète a dit à cet égard: «Quiconque offre le repas de l’Iftãr à un jeûneur aura une récompense égale à celle du jeûne et à celle de la piété accomplie par la force de ce repas»(3).

Quant à l’Imam Al-Bãqir, il dit à ce même propos: «Tout Croyant qui aura offert le repas de l’Iftãr à un autre Croyant, Dieu lui réservera une récompense équivalente à celle de l’affranchissement d’esclave"(4)
Et d’ajouter: "Et s’il lui offre ce repas pendant tout le mois de Ramadhãn, Dieu lui réservera la récompense de celui qui libère trente esclaves croyants, et de cette façon sa Prière sera exaucée par Dieu".

Notes:

1. "Al-Wassã’ël", Tome VII, p.7.

2. "Al-Wassã’ël", Tome VII, p.3

3. "Al-Wassã’ël", Tome IV, Kitãb Al-Çawm, p.101

4. Id. ibid.

Source: «Le Jeûne de Ramadhãn: sa signification et ses statuts», Compilation: Abbas Ahmad al-Bostani, La Cité du Savoir, Montréal, 1998.

Dans un discours devant les familles des martyrs prononcé ce samedi à Téhéran, Téhéran, l'ayatollah Khamenei, rappelant l'attaque américaine contre l’avion de passagers iranien en 1988, qui a tué 290 civils, a souligné que la démolition le dispositif est seulement un des nombreux actes de terrorisme contre l’Iran.

Le chef a dit que les ennemis savent est l'une des exigences fondamentales de l'époque actuelle, avertissant de tentatives pour dissimuler les crimes de l’ennemi.

" Ceux qui veulent couvrir l'inimitié mal USA et certains de ses disciples à travers les parcelles de médias et de propagande sont en fait trahir la nation et de l'Etat ", a-t-il souligné.

" La nation iranienne doit être préparé pour l'ampleur de l'hostilité des ennemis à affronter et à contrecarrer (leurs parcelles) dans le domaine de la guerre douce, comme dans la culture, des sphères politiques et sociales ", a-t-il affirmé.

Se référant aux attaques terroristes de Juillet 1981 (7 de 1360 Tir mois du calendrier lunaire) qui a pris fin la vie de l'ancien président Mohammad Ali Rajai ; ancien Président de la magistrature, l'ayatollah Mohammad Beheshti ; et l'ancien Premier ministre Mohammad Javad Bahonar, le chef spirituel a souligné que de telles attaques ont souligné les hostilités portées contre la Révolution islamique d’Iran (1979) ont aucun fruit.

À son avis, ceux qui ont mené les attaques en 1981, non seulement opérer librement en Europe et aux États-Unis, mais tiennent des réunions avec les autorités de ces pays pour aborder les questions des droits de l'homme.

À cet égard, l'ayatollah Khamenei a souligné que ces positions mettent en évidence les doubles normes et l'avidité des sponsors de droits de l’homme.

Le groupe terroriste pro-américain Moudjahidine Khalq (MKO, pour son sigle en anglais) était responsable de ces attaques et l'effusion de sang de milliers de civils et les autorités iraniennes, après la victoire de la Révolution islamique.

Les membres de ce petit groupe se sont enfuis de l'Iran à l'Irak en 1986, où il a également collaboré avec le dictateur irakien Saddam Hussein exécuté dans le massacre de Kurdes irakiens et la répression des soulèvements populaires dans le sud de l'Irak en 1991.

Les rapports de "Flightglobal" établissent que les armes américaines n'ont pas l'efficacité nécessaire, pour faire la guerre contre des pays, tels que la Russie, la Chine et l’Iran, et qu’elles ne peuvent servir qu'à attaquer l’Irak, la Syrie et l’Afghanistan.
Les Etats-Unis ont dépensé des sommes pharamineuses, pour acheter des bombes, à courte portée, et ils n’ont pas investi, suffisamment, pour fabriquer des armes, à longue portée, capables d’éviter les radars, et des armes téléguidées. Selon "Flightglobal", entre 2001 et 2014, les Etats-Unis ont acheté plus de 304.750 armes, pour viser des cibles à une distance de 80 kilomètres, ce qui constitue 96% des armements achetés par le gouvernement américain. Dans l’optique des experts militaires, les armes à courte portée ne sont efficaces que, lorsque les chasseurs bombardiers s’approchent de l’objectif, sans oublier le fait que ces armes n'ont plus d'efficacité, dans les opérations, sur grande échelle.

" Suivant combattants vendredi EIIL mené des attaques contre les chiites à Bahreïn " et annoncé un Daesh senior de la nationalité bahreïnie, Turki al-Binali par pendaison dans son message Twitter.

Notez que mois Turki al-Binali passé le prosélytisme des EIIL dans le petit pays du Golfe Persique sans avoir aucun problème avec la police , cependant, a récemment été inclus dans la liste des 72 citoyens, il a révoqué le nationalité.

Le vendredi, au moins 25 civils koweïtiens ont été tuées et 200 blessées dans un attentat à la bombe par Daesh dans Imam Mosquée Sadiq (P) au Koweït.

La sécurité de Bahreïn se lève dans les lieux saints

Le régime bahreïni a soulevé dimanche le niveau de sécurité dans les mosquées et lieux saints de la monarchie pour prévenir les attaques terroristes.

Dans ce contexte, le ministre de l'Intérieur du régime Manama, Sheikh Rashed bin Abdullah Al Khalifa, a déclaré que, après l'attaque par un terroriste saoudien contre un mausolée chiite au Koweït, ce régime a décidé d'augmenter la sécurité et des mesures de précaution dans les lieux saints.

D'autres rapports que ces mesures consistent en des caméras installation et utilisent des technologies modernes dans les mosquées afin de protéger la vie des citoyens bahreïnies la menace de groupes terroristes.

Après l’attaque, le Koweït a relevé le niveau maximum de sécurité dans les domaines du pétrole, qui sont considérés comme la principale source de revenus.

Selon un législateur koweïtien a dit, cette dernière attaque est la raison du silence des dirigeants du pays pour le renforcement des groupes terroristes en Syrie et en Irak, ainsi que le soutien de certains pays de la région à ces bandes de takfiris.

Au cours des dernières années, certains des pays de la région comme l'Arabie Saoudite, le Qatar, la Jordanie et la Turquie ont fourni toutes sortes de soutien aux groupes terroristes en Syrie et en Irak pour promouvoir leurs propres objectifs politiques.

lundi, 29 juin 2015 21:51

Alep: les pro-Erdogan, contrés....

A Alep et dans sa banlieue, d’autres unités de l’armée ont détruit des véhicules des réseaux terroristes, dans la périphérie de l’Académie aérienne, à l’Ouest de l’aéroport de Naïrab, aux alentours de l'Ecole de l'armée de l'air, à Zibdiah, à Hanano, à Oweijah, à Fafine, à Mir Hossen, à Izaz, à Tamourah et à Talet Chawayah. 

Une source militaire, à Alep, a déclaré que des unités de l’armée avaient mené des opérations intensives contre des repaires des terroristes, ce qui a fait des tués et blessés, parmi eux, dans les quartiers de Zabdieh et Hanano.

Dans la banlieue de Lattaquié, la source a fait savoir que de nombreux terroristes, dont certains étaient de nationalités étrangères, ont été éliminés, au mont de Zahiah et à Kitef Roman.

Des unités de l’armée et des forces armées ont détruit des entrepôts d’engins, d’obus et de roquettes, un véhicule doté d’une mitrailleuse et un autre véhicule blindé, liquidé /10/ terroristes et blessé /22/ autres, à Salma, Qassab, Drochan, Raouda et Kansaba, dans la banlieue-Nord de Lattaquié, a déclaré une source militaire à Sana.