تقي زاده

تقي زاده

Alors que l'envoi d'une vaste gamme d'équipements militaires par les pays occidentaux à Kiev pour la guerre contre la Russie ainsi que l'infiltration de groupes subversifs ukrainiens en Russie se poursuivent, le directeur du service de renseignement extérieur russe (SVR) a fait état de l'entraînement de terroristes par les États-Unis pour mener des opérations contre Moscou.

Les États-Unis utilisent leur base militaire d'Al-Tanf en Syrie, à la frontière avec l'Irak et la Jordanie, pour former des terroristes de Deach visant à mener des actes de sabotage non seulement sur le territoire syrien, mais aussi dans les régions russes, a déclaré le directeur du service russe de renseignement extérieur, Sergueï Naryshkin, lors d'une réunion internationale de hauts représentants de la sécurité ce mercredi 24 mai.

Ce 24 mai, à l'occasion de l'anniversaire de la libération de la ville iranienne de Khorramshahr, occupée par l’armée irakienne sous l’ancien dictateur Saddam Hussein, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a cité sur son compte Twitter le Leader de la RII, l’honorable ayatollah Khamenei, qui a réaffirmé que l’épopée de résistance et la libération de Khorramshahr était un événement unique dans l'histoire du monde.

« (La libération de) Khorramshahr est devenue une bannière de fierté et de résistance de la nation iranienne. L’épopée de la libération de la ville de Khorramshahr doit trouver son statut dans le monde », s’est-il félicité. Et de poursuivre : « Que le souvenir de cette journée historique et inoubliable soit toujours célébré par vous, chers frères et braves hommes du champ de bataille. »La libération de Khorramshahr lors des huit années de la Défense sacrée est un tournant dans l'histoire de l'Iran ; un événement héroïque qui a prouvé la puissance défensive et la mesure collective des Iraniens dans la lutte contre les puissances agressives.

Le 3 Khordad, soit le 24 mai, marque l'anniversaire de la libération de la ville de Khorramshahr dans le calendrier iranien.

La guerre imposée par le régime baathiste d'Irak - avec le soutien des grandes puissances et de leurs alliés dans la région - contre la République islamique entre 1980-1988, la deuxième plus longue guerre du XXe siècle après la guerre du Vietnam, est connue sous le nom de Défense sacrée dans l'histoire iranienne. Elle a commencé un an après la victoire de la Révolution islamique. 

Durant huit ans, l'Iran a mené des opérations d’envergure dans le respect de son intégrité territoriale.

Située dans la province du sud-ouest de l'Iran, Khorramshahr a été capturée par les troupes irakiennes en 1980 et a été sous l’emprise de l’ennemi pendant 575 jours.

Les forces iraniennes ont repris la ville portuaire stratégique du sud-ouest lors d'une opération à grande échelle baptisée Beit ol-Moqaddas en 1982.

Les masses et tous les échelons de la société iranienne se sont unis pour défendre l’Ordre islamique et affronter les puissances colonialistes mondiales.

La libération de Khorramshahr marque également la défaite de Saddam et de ses maîtres, et la victoire a changé le rapport de force dans la guerre imposée en faveur des forces iraniennes. Sa reconquête est due à l’endurance, la persévérance et le sacrifice des combattants iraniens.

Autrefois connue sous le nom de « mariée du Moyen-Orient », Khorramshahr est aujourd'hui devenue un symbole de la résistance en Iran.

Alors que certains des murs criblés de balles sont encore intacts, partout ailleurs dans la ville, il y a un signe qui rappelle la résistance du 24 mai.

Selon certaines informations, Khorramshahr devrait accueillir une conférence nationale sur le tourisme de guerre pour honorer la bravoure et le courage des hommes et des femmes qui ont sacrifié leur vie pour protéger le pays.

Quelque 25 spots sont à ce jour recensés dans la ville portuaire, ce qui en fait une destination incontournable en matière de tourisme de guerre.

La guerre imposée a commencé lorsque l'Irak, sous le dictateur déchu Saddam, a envahi l'Iran le 22 septembre 1980 et a duré huit ans.

Téhéran a accepté la résolution 598 du Conseil de sécurité de l'ONU qui a déclaré Saddam comme l'initiateur de la guerre, mettant fin au conflit en août 1988.

Selon l'agence de presse palestinienne Shehab, la salle des opérations conjointes des groupes de résistance palestiniens, a publié une photo du prisonnier palestinien malade Walid Daqqa, détenu depuis 37 ans, affirmant que le peuple palestinien ne voulait plus que ses prisonniers soient tués en martyr dans les prisons du régime sioniste.

Auparavant, le Bureau d'information des prisonniers palestiniens avait averti que le prisonnier palestinien malade Walid Daqqa pourrait être tué en martyr comme un autre détenu Khader Adnan. Par ailleurs, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a déclaré que la vie de Daqqa devait se terminer en prison.

Le soi-disant Comité pour la libération des prisonniers dans les prisons israéliennes doit tenir une réunion mercredi pour discuter de la possibilité d'une libération anticipée de Walid Daqqa qui souffre d'un cancer de la moelle osseuse. Dans le même temps, les cercles israéliens dirigés par le bureau du procureur du régime d'occupation ont exigé le refus de la libération anticipée de Daqqa.

Selon l'annonce du Département des affaires des prisonniers palestiniens, Walid Daqqa a été transféré lundi à l'hôpital Assaf Hroufieh après que son état s'est aggravé.

Le prisonnier palestinien de 60 ans, Waleed Daqqa est en prison depuis 1986 et a été condamné à la réclusion à perpétuité, peine qui a ensuite été réduite à 37 ans de prison. Sans oublier que sa peine a été ramenée à 39 ans en 2018.  

Les forces terrestres du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) ont fait état ce mercredi 24 mai du démantèlement d'un groupe terroriste et de la mort de deux terroristes dans le sud-est de l'Iran.

Les relations publiques de la base Qods des forces terrestres du CGRI ont annoncé dans un communiqué qu’un groupe terroriste armé qui prévoyait de commettre des actes de terrorisme et de sabotage dans le sud-est du pays a été démantelé.

Les menaces contre le programme nucléaire iranien sont de la roupie de sansonnet car l'industrie nucléaire de l'Iran est devenue tout à fait autonome, a fait savoir le porte-parole de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA).

Au cours d'une réunion des chefs des missions diplomatiques iraniennes tenue au ministère des Affaires étrangères à Téhéran, Behrouz Kamalvandi a déclaré que même les ennemis reconnaissaient désormais les capacités nucléaires de la République islamique. 

"Étant donné l'autonomie de l'Iran en matière nucléaire, toute menace contre l'industrie nucléaire du pays est de la roupie de sansonnet", a-t-il déclaré.

"L'industrie nucléaire agit comme une force motrice pour le développement d'autres secteurs industriels, elle ne se limite pas à un domaine spécifique, a souligné Kamalvandi. L'Iran peut fournir à un million de patients des médicaments radiopharmaceutiques."

Le porte-parole de l'OIEA a par ailleurs rappelé que toutes les annonces de Washington sur le fait que les sanctions ne porteraient pas sur les médicaments étaient fausses en pratique. « La vérité a été toute autre », a-t-il souligné.

Pour sa part, Mohammad Eslami, le chef de l'OIEA, a mis l'accent sur les réalisations nucléaires de l'Iran, notamment le développement de la technologie pour produire de l'eau lourde. « De nombreuses entreprises de différents pays veulent de l'eau lourde iranienne et ses dérivés », a-t-il déclaré.

"Aujourd'hui, l'ensemble du cycle du combustible nucléaire, à savoir l'exploration, l'extraction, le traitement des mines, la conversion, l'enrichissement et la production du combustible et son utilisation dans les réacteurs, est réalisé par nos jeunes experts et scientifiques qui travaillent dur", a expliqué Eslami.

Il a également dit que la capacité de l'Iran concernant le cycle du combustible nucléaire « ne peut être ignorée ou niée par quiconque dans le monde ».

Le porte-parole de l'OIEA e a en outre déclaré que si l'Iran n'avait pas le cycle du combustible nucléaire et que ses réacteurs n'étaient pas actifs, il ne pourrait pas produire de radiopharmaceutiques pour compenser l'impact des sanctions mettant en danger la vie de nombreux patients iraniens.

L'Iran a montré au monde la nature pacifique de son programme nucléaire en signant le Plan global d'action conjointe (PGAC) avec six puissances mondiales en 2015. Mais le retrait unilatéral de Washington en mai 2018 et sa réimposition ultérieure de sanctions contre Téhéran ont suspendu les coopérations et la mise en application de l’accord.

Les négociations entre les parties à l'accord ont débuté à Vienne en avril 2021, avec l'intention de ramener les États-Unis dans le PGAC et de mettre fin ainsi à la campagne de "pression maximale" contre l'Iran.

Les pourparlers sont cependant au point mort depuis août 2022 en raison de l'insistance de Washington à ne pas lever toutes les sanctions anti-iraniennes et à offrir les garanties nécessaires qu'il ne sortirait plus de l'accord.

Le ministère russe de la Défense a déclaré mardi que la Russie avait dépêché un avion de chasse Su-27 pour « empêcher les violations de la frontière de l'Etat » par deux bombardiers américains, a rapporté l'AFP.

« Après le retrait des avions de guerre étrangers de la frontière de la Russie, le chasseur russe est retourné à son aérodrome d'origine » sans incident, a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.

Le communiqué indique que « le vol du chasseur russe a été effectué dans le strict respect des règles internationales d'usage de l'espace aérien ».

L'interception a été confirmée par le porte-parole du Pentagone, le général Pat Ryder, qui a précisé que ces bombardiers participaient à un « exercice prévu de longue date en Europe ».

Entretien intime de ceux qui implorent (Mounajat Al-Moutawassilîne) de Imam Zeinulabidine (as):


Par [la grâce] du nom de Dieu le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux

1-     Mon Dieu, je n’ai pas d’intermédiaire auprès de Toi que Ta bienveillante Compassion, je n’ai d’entremise auprès de Toi que les bienfaits de Ta Miséricorde et l’intercession de Ton Prophète, Prophète de la Miséricorde et Sauveur de la nation du tourment, aussi, fais en sorte qu’ils soient, tous deux, une cause de l’obtention de Ton Pardon, et (rends-les) un moyen pour gagner Ton Agrément.

Déjà, mon espoir s’est logé dans l’enceinte sacrée de Ta Magnificence, mon ambition a fait halte dans la cour de Ta Générosité, alors, réalise en Toi mon espoir, achève en bien mon action, admets-moi au nombre des Elus que Tu as établis au cœur de Ton Jardin, que Tu as hébergés dans la maison de Ta Noblesse, dont les yeux se sont réjouis à Ta Vue le jour de Ta Rencontre, à qui Tu as donné en héritage les demeures de la Loyauté, dans Ton Entourage.

2-     O Celui en dehors de qui les visiteurs ne trouvent pas de meilleur accueil, ô Celui en dehors de qui ceux qui sont intentionnés [vers Lui] ne trouvent pas de plus miséricordieux, ô le Meilleur de celui avec qui s’est isolé le solitaire, ô le plus Compatissant de celui auprès de qui le banni a trouvé asile.

Vers la largesse de Ton Pardon, j’ai tendu les bras, aux pans de Ta Générosité, j’ai accroché mes mains, alors, ne me réponds pas par la privation, ne m’éprouve pas par la déception et la perte, ô Celui qui entend les invocations, ô le plus Miséricordieux de ceux qui font miséricorde !
 

بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِیمِ

إِلٰهِى لَیْسَ لِى وَسِیلَةٌ إِلَیْكَ إِلّا عَوَاطِفُ رَأْفَتِكَ، وَلَا لِى ذَرِیعَةٌ إِلَیْكَ إِلّا عَوَارِفُ رَحْمَتِكَ، وَشَفَاعَةُ نَبِیِّكَ نَبِیِّ الرَّحْمَةِ، وَمُنْقِذِ الْأُمَّةِ مِنَ الْغُمَّةِ، فَاجْعَلْهُما لِى سَبَباً إِلَىٰ نَیْلِ غُفْرانِكَ، وَصَیِّرْهُما لِى وُصْلَةً إِلَى الْفَوْزِ بِرِضْوَانِكَ، وَقَدْ حَلَّ رَجَائِى بِحَرَمِ كَرَمِكَ، وَحَطَّ طَمَعِى بِفِنَاءِ جُودِكَ، فَحَقِّقْ فِیكَ أَمَلِى، وَاخْتِمْ بِالْخَیْرِ عَمَلِى، وَاجْعَلْنِى مِنْ صَفْوَتِكَ الَّذِینَ أَحْلَلْتَهُمْ بُحْبُوحَةَ جَنَّتِكَ، وَبَوَّأْتَهُمْ دَارَ كَرامَتِكَ؛ وَأَقْرَرْتَ أَعْیُنَهُمْ بِالنَّظَرِ إِلَیْكَ یَوْمَ لِقائِكَ، وَأَوْرَثْتَهُمْ مَنَازِلَ الصِّدْقِ فِى جِوارِكَ.

 

یَا مَنْ لَایَفِدُ الْوَافِدُونَ عَلَىٰ أَكْرَمَ مِنْهُ، وَلَا یَجِدُ الْقَاصِدُونَ أَرْحَمَ مِنْهُ، یَا خَیْرَ مَنْ خَلَا بِهِ وَحِیدٌ، وَیَا أَعْطَفَ مَنْ أَوَىٰ إِلَیْهِ طَرِیدٌ، إِلَىٰ سَعَةِ عَفْوِكَ مَدَدْتُ یَدِى، وَبِذَیْلِ كَرَمِكَ أَعْلَقْتُ كَفِّى، فَلا تُولِنِى الْحِرْمَانَ، وَلَا تُبْلِنِى بِالْخَیْبَةِ وَالْخُسْرانِ، یَا سَمِیعَ الدُّعاءِ، یَا أَرْحَمَ الرَّاحِمِینَ.

Nous  pouvons apporter une réponse à cette question à travers plusieurs points :

1- C'est Dieu Tout-Puissant qui a créé
l'homme et a légiféré cette religion pour lui. Il connait la meilleure manière de la communiquer aux gens.
Ainsi, Il dit dans Son Coran : {...Tu n’es qu’un avertisseur, et à chaque peuple un guide...} (13\7).
Il s’agit là d’ un texte clair qui indique la présence d'un guide pour chaque peuple. Dans la culture des Chiites Imamites, il est l'imam.

2- La Sunna du Prophète (pslf) a
confirmé dans de nombreux textes l'existence de la Progéniture avec le Coran et a dirigé les gens en leur ordonnant d'adhérer à Ahl al-Bayt (as), avec le Coran, comme l’ indique le Hadith authentique des deux poids. Pour plus de détails, vous pouvez vous référer au livre « Az-zuhrat fi hadith al-itra » par Sheikh Abu Al-Mundhir Sami Al-Masry.
Al-Hakim a rapporté de Ibn Wathilah, qu'il a entendu Zayd ibn Arqam (que Dieu soit satisfait de lui) dire : “Le Messager de Dieu (pslf) campait entre La Mecque et Médine, près des arbres de cinq grands jardins. Le peuple balaya ce qui était sous les arbres, puis le Messager de Dieu (pslf) qui arriva le soir, pria. Il se leva ensuite pour faire un sermon, remercia et loua Dieu, fit des rappels, donna des conseils et dit :  "Ô peuple, je laisse derrière moi deux choses afin que vous ne vous égariez pas si vous les suivez. Et ils sont : le livre de Dieu, et les gens de ma maison (les ahloul bayt)". (Al-Mustadrak des Deux Sahihs, volume 3, page 118).

Et dans Musnad Ahmad : “Je laisse parmi vous deux califes, le Livre de Dieu étant une corde tendue entre les cieux et la terre, et ma maison, et ils ne se sépareront pas jusqu'à leur retour à moi au bassin”. (Musnad Ahmad : 5/182, et Fada'il Al-Sahaba : 2/603). Al-Albani l'a qualifié d'authentique dans le livre de As-Sunnah par Ibn Abi Asim (337).

Ici, nous soulignons que le fait de chercher des chaînes de narrateurs du hadith qui a été établi comme fréquent est une erreur.

De ce qui précède, nous remarquons que le texte coranique, qui met l'accent sur l'existence d'un guide pour chaque peuple, est tout à fait cohérent avec le texte prophétique selon lequel la famille purifiée ne se sépare pas du Livre ; il indique l'existence d'un imam de la famille du prophète à chaque époque.

3- Nous ne trouvons pas de preuves
dans le Livre et la Sunna ordonnant l'obligation de se référer uniquement au Livre et à la Sunna.
Le hadith «  j'ai laissé deux sujets parmi vous, vous ne vous égarerez pas tant que vous vous y accrocherez : le Livre de Dieu et ma Sunna » est un hadith non reconnu. Certains soutiennent qu’il s’agit d’un hadith fabriqué.
D’autres l’ont considéré comme faible tels que :
- Ahmed Saad Hamdoun, qui a dit :
«sa chaîne de transmission est faible car parmi les narrateurs se trouvent 8« Salih Ibn Musa al-Talhi… » « Shar usul i’itiqad Ahlus-Sunna » (p. 8), compilé par Ahmed Saad Hamdoun .

- Hilmi Kamel As'ad, dit dans son
commentaire sur « Al-Ghaylaniyat » (1/510) : « Sa chaîne de transmission est très faible ».

- Fawaz Ahmad Zumrli a dit dans son
commentaire sur Aqidah A’Imat as-salaf : « Sa chaîne de transmission est très faible ».

- Sheikh Muhammad Al-Amin dans le
forum Ahl al-Hadith dit la même chose.

- Sheikh Hatem Al-Sharif, a déclaré
sur le site Internet Islam Today : "Le hadith susmentionné a été inclus par l'Imam Malik dans Al-Muwatta' no. (2618) sous une forme de commentaire, non connectée qui n'a pas de narrateur.
Certains savants ont essayé de lui trouver une chaîne de transmission mais cela n'aboutit pas scientifiquement..." Il n’ y a donc rien qui prouve l'authenticité de ce hadith.

- Hassan al-Saqqaf a dit que ce hadith
est fabriqué (Sahih sifat salat An-Nabi 289).

4- Cette narration nous montre le
défaut de la question posée, car elle contredit le Coran et les paroles du Prophète (pslf).

5- Si nous examinons davantage,
nous constaterons que le Coran et la Sunna ne suffisent pas à garantir la non division de la nation, sa dispersion et l’accusation envers les uns et les autres d'être des incroyants.
Tous les groupes revendiquent leur adhésion au Livre et à la Sunna, même si elles y adjoignent un imam, comme c'est le cas des  chiites.

Ensuite, les savants et ceux de la même école de pensée diffèrent dans l'explication des significations du Coran et de la Sunnah.
Ceci est clair pour quiconque passe en revue les livres de jurisprudence, d'interprétation et de commentaires sur les hadiths.
Si le Coran et la Sunnah étaient suffisants, alors les sunnites eux-mêmes ne diffèreraient pas et n'auraient pas été en désaccord.
Leurs différences ne se limitent pas à la seule jurisprudence, mais ils diffèrent plutôt sur leurs croyances.
Ainsi, les salafistes, les ash'arites et les maturidites sont tous sunnites, mais leur compréhension du  monothéisme diffère ainsi sur de nombreuses questions doctrinales.

6- Le Livre et la Sunna sont
silencieux, et ils ont besoin d'une personne pour clarifier leurs significations en se basant sur la certitude, et non sur des hypothèses et des conjectures.
Les compagnons différaient dans la compréhension de leur textes, tout comme les Taabi'in et ceux qui les suivirent. Les érudits continuent toujours à différer.
Par conséquent, certains en arrivent à citer comme preuve le hadith "La différence de ma oumma est une miséricorde".
Cependant, ce hadith n'a aucun fondement dans les livres de la majorité, il est plutôt fabriqué selon eux, comme l'ont déclaré Al-Albani et Ibn Hazm avant lui. (Voir : Silsilat Al-Ahadith Al-Da'ifa, 1/76 h.57, Al-Ihkam fi Usul Al-Ahkam, 5/61).


7- Les textes du Livre et de la Sunna
sont limités. Le peuple dispose d'environ 500 hadiths mentionnant la loi islamique, comme dans Bulugh al-Maram de Ibn Hajar. Ceci représente un petit nombre par rapport aux nombreuses questions jurisprudentielles qui se sont posées au cours de nombreux siècles et les question ne cessent d'émerger.
La raison du manque de hadiths sur les lois islamiques est due à la courte période de législation islamique parmi le public. En effet, l'appel prophétique a duré 23 ans et la législation fut concentrée dans la courte période de vie à Médine, qui a duré dix ans.
Quant aux textes des chiites Imamites, le livre Wasa'il al-Shia' d'al-Hurr al-Amili (d. 1104 AH) a recueilli plus de trente mille hadiths et le nombre augmente si l'on ajoute le Mustadrak al-Wasail de Mirza al-Nouri.
Cette abondance est due à la présence d'un imam parmi les chiites qui suivait le rythme des événements et répondait aux questions émergentes, qui continua à s'étendre jusqu'à l'année 329 AH, début de la grande occultation du douzième Imam (que Dieu hâte sa réapparition)

8- Le Coran comporte de nombreuses
significations et la Sunna comprend l'abrogeant et l'abrogé, l'absolu et le restreint, le général et le spécifique, l'abrégé et le clair.
L’ absence d'un imam qui clarifie ce sens dans les textes est une raison de désaccord et un échec qui affecte la décision légale par laquelle nous adorons Dieu.

9- Nous pouvons également ajouter :
si le plan du Prophète (pslf), était de faire du livre et de la Sunna les seuls références pour la nation, alors Il aurait codifié le Coran et écrit tout ce dont les gens auraient besoin de la connaissance de ce qui est permis et interdit en Islam.
Cependant, Il ne le fit pas selon la croyance de la majorité des musulmans.
Cela indique donc l'insuffisance du Livre et de la Sunna à guider les gens et à s'assurer qu’aucun désaccord n’existe.

Le président iranien Ebrahim Raïssi s'est entretenu avec son homologue syrien Bachar al-Assad après son arrivée à Damas pour une visite historique visant à renforcer les relations bilatérales alors que la Syrie a lancé la saison de la reconstruction après plus d'une décennie de guerre avec des groupes terroristes soutenus par l'étranger.

Le président iranien a eu droit à une cérémonie de réception officielle à son arrivée au Palais du Peuple, puis les hymnes nationaux de la République islamique d'Iran et de la République arabe syrienne ont été joués.

Les rues de la capitale syrienne, Damas, ont été décorées des drapeaux de la République islamique d'Iran et des drapeaux syriens avant la première visite de Raïssi à Damas.

Des explosions ont été entendues dans la bande de Gaza hier soir mardi 2 mai en raison de frappes aériennes lancées par Israël, ont déclaré des témoins et des sources au sein des forces de sécurité palestiniennes.

« L'armée israélienne a lancé des frappes contre plusieurs cibles dans la bande de Gaza en réponse à une série de tirs de roquettes », a indiqué l’armée israélienne dans un bref communiqué.

Les groupes de résistance palestiniens avaient tiré hier une quantité de roquettes sur des colonies israéliennes en représailles à l'agression continue du régime d'occupation. 

Les contre-attaques ont eu lieu mardi après que le régime d'occupation ait ciblé plusieurs endroits à travers Gaza dont la ville de Khan Yunes dans la partie sud de l'enclave.