تقي زاده

تقي زاده

mercredi, 29 décembre 2021 17:54

Face à face Israël/Ansarallah...

Le site Web de la chaîne de télévision Al-Mayadeen a publié lundi 27 décembre une note portant sur l’intensification des attaques de la coalition saoudienne contre le Yémen, notamment le bombardement barbare des zones d’habitation et le massacre sans merci des civils yéménites, par lequel Riyad espère pouvoir empêcher les avancées des forces yéménites sur divers front surtout à Maarib.

« Comme si la guerre n’en était qu’à ses balbutiements, la coalition d’agression américano-saoudienne a hystériquement intensifié ses raids aériens sur les zones d’habitation et les cibles civiles dans la capitale yéménite, de l’aéroport international civil de Sanaa au pont des Soixante-dix et ses environs, passant par les hôpitaux et les prisons, la rue al-Zubayri dans le quartier le plus peuplé de la ville, ainsi que des établissements civils et le quartier “libyen” dans le district de Maeen ».

L’auteur de l’article, Ali Zafer, écrit que « cette fois-ci, l’ennemi israélien a employé la méthode de l’ennemi israélien. À travers une sorte de préavis à l’attaque, la coalition a prétendu que les établissements civils sont utilisés à des “fins militaires”, ou qu’ils servent de “stocks d’armement”. C’est sous ce prétexte que la coalition a commis tout récemment un crime horrible contre une famille pauvre à al-Mahwit, faisant une dizaine de morts et blessés, tous des civils. Cette histoire a fait de la coalition l’objet de sarcasmes de la part des activistes des réseaux sociaux, qui ont posté en grand nombre des photos d’enfants yéménites, avec une triste légende photo : “Voici les prétendus stocks d’armes dont parlaient les Saoudiens et Américains !” »

« Étant donné la récente vague d’escalade, certains suggèrent fortement une hypothèse qui leur paraît vraisemblable, d’après laquelle le régime saoudien a récemment embauché des experts militaires israéliens pour diriger ses salles d’opération dans le Royaume, afin de continuer ses crimes contre le Yémen et les Yéménites », indique l’article qui ajoute : « Ce qui renforce cette hypothèse c’est que le régime saoudien a au recours récemment, d’une manière sans précédent en 7 ans, à des frappes contre les cibles civiles à Sanaa, précédées de “messages d’avertissement” et de “propagandes trompeuses”, à l’instar de ce que faisait l’ennemi israélien dans ses guerres d’agression contre le Liban et Gaza. »

« Par ailleurs, Sanaa avait précédemment annoncé qu’il disposait d’informations confirmant l’implication directe de l’ennemi israélien dans l’agression contre le Yémen. Pour leur part, les Israéliens ont franchement annoncé que leur intérêt réside dans la victoire de la “coalition arabe”, et que son échec signifie leur défaite. En plus, ils ont ouvertement parlé des “intérêts communs” et de “peurs partagées” ».

L’auteur tient à dire que « la récente vague d’intensification des attaques contre les civils yéménites interprète la confusion et le désespoir auxquels est parvenue la coalition saoudienne après les échecs consécutifs à Maarib et sur d’autres fronts de combat, tandis que toutes ses options militaires et non militaires semblent être vouées à l’échec ». « Ces crimes ont pour but d’augmenter la pression sur [le gouvernement de salut national] de Sanaa afin qu’il revienne à la table des négociations, dominée par les revendications politiques des États-Unis et de l’Arabie saoudite, sans aucun signe concret qui laisse s’attendre à une levée du siège, un arrêt des agressions et un retrait des forces étrangères ».

« Parallèlement à l’escalade d’attaques militaires de la coalition d’agression, les Nations unies, avec le feu vert de Washington, ont exercé des pressions sur Sanaa sous prétexte d’un dossier humanitaire, ce qui est marqué par une réduction de 60 % d’aides humanitaires, annoncée par le Programme alimentaire mondial (PAM), tandis que le Programme de santé mondiale a lui aussi menacé de suspendre la subvention du diesel et de l’essence destinée au secteur de la santé yéménite. Simultanément auxdites mesures, la coalition d’agression a poursuivi la piraterie maritime contre les navires transportant des dérivés du pétrole, les empêchant d’atteindre le port de Hudaydah.

Toutes ces pressions sont planifiées par un maestro américain, dans l’espoir de pousser Sanaa à accepter les revendications de Washington et Riyad, dont la première est le gel des opérations militaires contre les positions de la coalition dans la ville de Maarib et ce qui en reste à Wadi Ubaidah ».

L’article d’Al-Mayadeen ajoute que « face à cette escalade, la position de Sanaa n’a pas changé, et le plafond de ses revendications politico-militaires n’a nullement reculé ». « “Au cours de la récente vague d’escalade, les Avant-gardes de Sanaa ont pu récolter de nouveaux gains sur le terrain en libérant plus de 1 200 km2 dans le gouvernorat d’al-Jawf, dans le cadre de l’opération Fajr du désert”, a annoncé le porte-parole des forces armées yéménites, le général de brigade Yahya Sarre, et à cela s’ajoute de nouveaux gains sur le terrain à Maarib et à Balaq oriental ».

L’intensification des raids saoudiens a renforcé, selon l’article, la motivation des forces yéménites et d’Ansarallah afin de poursuivre avec une détermination renforcée ses opérations jusqu’aux profondeurs du territoire saoudien, tant que la coalition n’aurait pas arrêté ses agressions.

Par la suite, l’article fait allusion aux dernières opérations des forces yéménites à Jizan dans le sud de l’Arabie saoudite. « Pour une première fois, des missiles plus efficaces à haute précision ont été tirés sur une cible industrielle que les forces yéménites ont qualifiée de névralgique ». « Des informations qui ont fuité à ce sujet montrent que les opérations au missile des forces yéménites ont causé de vastes dégâts matériels et de grosses pertes en vies humaines pour la coalition, et cela pourrait être le début d’une douloureuse riposte à l’intensification des frappes saoudiennes », conclut l’article.

mercredi, 29 décembre 2021 17:53

Message blindé à Sa Majesté!

Le Grand Prophète-17 ne fut pas que missile et drone : l'Iran a aussi lancé la production en masse de son char emblématique "Karrar". L'armée iranienne (…) a pu produire ses équipements au niveau national.

Ce mois-ci, ces efforts comprenaient le montage d'un nouveau système anti-missile sur les tourelles de ses chars T-72M de conception pour les protéger des attaques. et  Le système a été testé et sera installé sur les tourelles des chars. Il sera capable de dévier tous les types de missiles en brouillant leurs systèmes. Mais il y a plus : les exemples incluent l'installation d'un système de défense active avec une capacité Soft Kill, des systèmes d'alerte laser, des couvertures montées sur des réservoirs telles qu'un vêtement pour réduire le rayonnement infrarouge, un système d'arme télécommandé pour l'artillerie lourde, une nouvelle génération de blindage Réaction explosive et ... tous ont été parmi les réalisations importantes de ce grand projet national.

En mars 2021, le ministre britannique de la Défense laissait entendre que son pays finirait par payersa dette envers l'Iran dont et surtout des chars Chieftain payés mais non pas livrés à l'Iran. La MAE actuelle de sa Majesté a également annoncé vouloir payer la dette iranienne. Mais l'Iran a-t-il réellement besoin des gadgets britanniques?  

Karrar est une plateforme de tir polyvalente, capable de traverser toute une gamme d’environnements différents. Ce puissant char est équipé d’un système de navigation et l’affiche pour le conducteur et dispose également un système d’automatisation de munitions. Un blindage composite renforcé fournit à l’équipage et aux équipements du char une protection maximale, lui octroyant une autonomie opérationnelle plus longue pour tirer depuis l’intérieur, en plein champ de bataille et dans différentes conditions. S’agissant du niveau de protection, le nouveau char iranien est équipé d’une protection blindée contre tous les types d’armes anti-blindage. Il a également la capacité d’adapter le camouflage à tout type d’environnement. 

Symbole de l’autorité des forces armées de la République islamique d’Iran dans le domaine de la guerre au sol, « Karrar » est doté d’un système de contrôle de tir électro-optique, de capteur de distance laser, et de logiciel de balistique. À cela s’ajoute la capacité de tirer sur des cibles fixes et mobiles jour et nuit. Fort d’un guidage laser très précis, le char dernier cri iranien est également capable de tirer des missiles.

Le National Interest de ce fin décembre 2021 écrit  : « En 2020, l'Iran a dévoilé une version fortement améliorée et modifiée du char, le T-72M1, qui comportait une tourelle modifiée avec un blindage plat sur le côté et une trappe simplifiée à ouverture vers l'avant. La coupole et la mitrailleuse du commandant ont été supprimées, ce qui lui donne l'apparence d'un T-90 plus moderne.  Les chars T-72 Karrar modifiés seraient en service au sein du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) et sont équipés d'un système de camouflage qui permet de dissimuler la détection des radars infrarouges thermiques, tandis qu'on pense également qu'ils sont équipés d'un électro-système de contrôle de tir optique, télémètres laser et ordinateur balistique. »

« En développant un char de combat localement, Téhéran a relevé un défi et comme toujoursµ.  Son armement principal est un canon à âme lisse 2A45M/M-2/M-5 de 125 millimètres avec un stabilisateur. Il peut être équipé d'un nouveau système anti-missile. »

Le journal Al-Akhbar a révélé, dans un nouvel article, les nouvelles dimensions et détails de la nouvelle ambassade américaine au Liban, disant que Washington utilisait cet endroit comme nouvelle base d'espionnage dans la région.

Les États-Unis se classent au deuxième rang mondial (après la Chine) pour le nombre de missions diplomatiques dans le monde, y compris des ambassades dans 166 pays (sur 193) des États membres des Nations Unies, un État observateur au Vatican et deux ambassades au Kosovo et à Taïwan (non incluses dans les Nations Unies), en plus des délégués conjoints dans les ambassades d'autres pays tels que l'Iran et la Syrie.

Après la déclaration de la création de l'entité sioniste, le 14 mai 1948, les États-Unis ont été le premier pays à reconnaître l'entité usurpatrice, et James MacDonald (un proche conseiller du président Harry Truman) a présenté ses lettres de créance en tant que premier ambassadeur américain à Israël.

Les récents exercices militaires conjoints du CGRI font toujours couler beaucoup d’encre. En quoi ces manœuvres ont-elles été différentes des précédentes ? Quoi qu’il en soit, le monde entier a constaté qu’après les manœuvres, de hauts responsables israéliens ont montré une certaine reculade dans leur soi-disant langage martial.

Des unités des forces terrestre et maritime, et celles de la force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), ainsi que des unités du Bassidj (force populaire) ont participé à l’exercice conjoint Grand Prophète-17 qui avaient lieu à partir du lundi 20 décembre pendant cinq jours sur les côtes iraniennes du golfe Persique, dans le détroit d’Hormuz ainsi que dans la zone générale des provinces de Homozgan, Bouchehr et Khouzestan (sud et sud-ouest du pays).

Les unités participantes se sont entraînées à une vaste gamme d’opérations, y compris les opérations au drone (UAV), le bombardement de cibles spécifiques, la destruction de navires ennemis avec des missiles antichars, les opérations militaires amphibies menées, une spécialité des commandos des Saberin, les opérations de destruction d’engins explosifs et les opérations d’assaut héliportées, à quoi s’ajoutent une couverture sans faille de défense aérienne de la zone où se déroulaient les manœuvres, sans oublier la destruction des cibles sur sol et en mer par le feu d’artillerie avec une performance des chars modernisés, et une utilisation inédite des munitions de proximité et le tir de missiles de croisière navals à précision.

mercredi, 29 décembre 2021 17:44

Le Kremlin convie le président Raïssi en Russie

Lundi 27 décembre, les négociations entre l’Iran, l’UE et le groupe 4 +1 ont repris dans le but d’obtenir une levée effective des sanctions illégales imposées par Washington à Téhéran.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré mardi devant la presse que Moscou et Téhéran se préparaient actuellement grandement à entreprendre des échanges très importants.

Peskov n’a pas détaillé ses propos qui se rapportaient très probablement à la prochaine rencontre qui doit avoir lieu début avril entre les présidents iranien et russe.

Ali Bahadori Jahromi, porte-parole du gouvernement, a déclaré mardi au cours d’une conférence de presse : « À la suite de stratégiques échanges qu’ils ont eu, le président Poutine a invité le président Raïssi à se rendre à Moscou et ce dernier effectuera cette visite fort probablement en début de l’année qui arrive. Ce voyage s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des relations internationales avec les pays du monde entier et plus particulièrement avec les États de la région ».

Quant aux négociations de Vienne et la levée des sanctions unilatérales et illégales imposées à Téhéran par Washington, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian a déclaré : « L’important est que nous avons maintenant un texte commun et unifié sur lequel notre équipe de négociation se concentre et que les parties adverses se concentrent elles aussi sur les questions que nous avons mises entre parenthèses, c’est-à-dire les questions où il y a un désaccord ».

Les exercices militaires de grande envergure organisée par le CGRI au cours desquelles une réplique de Dimona a été pulvérisée à coup de drones et 16 missiles balistiques synchronisés ont suffi à faire pâlir les Sionistes. A cet égard, The Jerusalem Post s’est intéressé dans son édition du 25 décembre au dévoilement d’un nouveau lanceur de drones iranien au cours des manœuvres baptisées « Grand Prophète-17 ».

L'attaque contre la réplique de l’installation nucléaire de Dimona a eu lieu lors du récent exercice militaire Grand Prophète-17 menée conjointement par le CGRI et son armée de l'air.

« L’Iran dispose de divers types de drones mais c'est la première fois qu’un nouveau lanceur de drones en essaim iranien est révélé au public. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des menaces de l'Iran », rapporte le journal.

L’Iran a dévoilé un nouveau lanceur de drones, capable de lancer à des intervalles bien chronométrées cinq drones de différents types ; un lanceur mobile propre à être embarqué à bord des camions. Il pourrait donc être déguisé en fret et ressembler à n'importe quel autre camion commercial sillonnant les routes.

« Nous savons maintenant que le Shahed-136 n'est pas seulement un drone-kamikaze mais aussi un drone de combat. L'Iran a conçu une nouvelle façon de lancer les drones en essaim, dans le but de viser des cibles vulnérables ou pour sonder les défenses aériennes », a averti le journal.

Il précise que le Shahed-136 est un drone de taille moyenne et qu’il contient une ogive, ce qui en fait une arme potentiellement dangereuse et difficile à identifier en raison de ses dimensions et de sa faible section radar.

Une attaque simultanée de missiles et de drones a été simulée avec succès contre le centre nucléaire de Dimona. 16 missiles balistiques et 5 drones-kamikazes ont été employés à cet effet ce qui témoigne de la tentative délibérée de l'Iran de menacer directement Israël.

Dans le passé, les Etats-Unis détenaient exclusivement la technologie des drones, mais maintenant, l'Iran, la Chine et d'autres puissances sont entrées en jeu.

« L'Iran a beaucoup investi dans la technologie des drones kamikazes. Des rapports récents du Centre « Alma » pour la recherche et l'éducation suggèrent que le Hezbollah pourrait avoir environ 2 000 drones, dont beaucoup sont basés sur des modèles iraniens », rapporte le Jerusalem Post.

Pour sa part, l'expert militaire russe Yuri Lamin dans une interview avec le journal russe Kommersant, a déclaré que « le tir de 16 missiles balistiques iraniens lors de l'exercice a montré que les menaces de l'Iran ne sont pas sans fondement. »

L'analyste a souligné que quatre des missiles étaient capables d'atteindre le territoire israélien depuis l'Iran. Les missiles Zelzal et Zulfiqar n'atteignent pas Israël directement depuis le territoire iranien, mais il est donc possible que leur utilisation pendant les exercices soit un signal d’alarme.

mardi, 28 décembre 2021 15:33

Syrie: le Tu-22 russe frappe!

Au moment où les Américains se font très petits en Irak puisqu'à l'approche de l'échéance du 31 octobre les attaques anti convoi US montent en nombre et en ampleur et qu'Ain al-Asad, tout comme Harir et

Balad voient les Yankees soit disparaître pour de bon soit renoncer au treillis pour le passeport diplomatique par crainte d'avoir à nouveau à faire face aux drones et aux missiles, la Russie, elle, a annoncé avoir pris la décision d’équiper sa troisième base militaire en Syrie d'avions de chasse, d'y déployer les radars et la DCA bref interférer avec ce que possèdent les USA de base en Irak, en Turquie et à Tanf. Avia.pro écrit : " Aux deux bases dont disposent les militaires russes en Syrie, s'en rajoutera une de plus. L'armée russe est occupée à construire un aérodrome militaire dans la ville de Qamichli dans le but d'y déployer- dans un avenir proche, des avions de combat et des bombardiers, des systèmes de défense aérienne, des systèmes de guerre électronique et un certain nombre de troupes russes seront déployés. Aujourd'hui, seuls des hélicoptères militaires russes et des avions militaires de transport et de reconnaissance sont basés sur le territoire de l'aérodrome militaire de Qamichli. Au cours des six derniers mois, les capacités de l'aérodrome occupé par l'armée russe ont considérablement augmenté - diverses installations radar ont été déployées, ce qui permet de prendre le contrôle non seulement d'un secteur important de l'espace aérien syrien, mais aussi de l'espace aérien des voisins la Turquie et l'Irak, ainsi que le contrôle de l'espace aérien au-dessus de la base militaire américaine dans la zone d'Al-Tanf.

Mais cette information prend tout son sens au regard de cette tout autre nouvelle où apparaît le Tu-22 russe. Ainsi et pour la première fois, des images de la frappe de bombardiers russes à longue portée Tu-22M3 sur des terroristes turcs sont apparues sur le Web.
Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a présenté une séquence vidéo unique montrant le moment où le Tu-22 bombarde massivement les positions de terroristes turcs et brille les bombardiers supersoniques. Les images ont été prises lors d'une opération spéciale menée par l'armée russe pour sauver un pilote dont l'avion a été abattu par un chasseur F-16 turc.

Sur les images vidéo présentées, la dernière étape de l'opération pour sauver le pilote russe est visualisée. Dès que l'armée russe s'est retirée dans la zone de sécurité, une paire de bombardiers supersoniques russes à longue portée a largué 24 bombes sur des terroristes pro Ankara bombes, qui ont détruit les positions terroristes quitte à les empêcher d'obtenir des informations précieuses.

Les experts prêtent attention à la rapidité de l'arrivée des bombardiers russes à longue portée - Selon un certain nombre d'hypothèses, ces derniers pourraient en effet être basés sur le territoire de l'Iran voisin qui a ouvert son ciel par le passé aux MiG-29 russes. 

Au cours d’un exercice militaire conjoint, les brigades de la Résistance islamique de la Palestine ont tiré des missiles sol-mer, manière de communiquer un sérieux avertissement à l’adresse d’Israël au 13ème anniversaire de son agression contre Gaza.

Les brigades de la Résistance palestinienne affiliées à la branche militaire du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) ont mis en garde le régime sioniste contre la poursuite des agressions contre les Palestiniens ; ces dernières ont d’ailleurs annoncé que « les missiles Qassem-10 sont prêts à être tirés ».

Au 13e anniversaire des agressions du régime sioniste contre Gaza [l’opération militaire israélienne dans la bande de Gaza, qui débuta le samedi 27 décembre 2008], ces brigades ont également annoncé en utilisant des plateformes de réseaux sociaux qu’elles resteraient « le bouclier solide des Palestiniens » et qu’elles continueraient de défendre la terre, les valeurs sacrées et les droits du peuple et des prisonniers palestiniens.

« Plusieurs missiles sol-mer “Qassem-10” ont été tirés dans le cadre du renforcement des capacités militaires des forces de la Résistance », ont-elles ajouté.