تقي زاده

تقي زاده

Le commandant des forces terrestres de l'armée iranienne a salué le "rôle central" du commandant martyr iranien, le général de corps d'armée Qassem Soleimani, dans la lutte contre le terrorisme, en déclarant que son chemin se poursuivra certainement.
"Le général Soleimani a joué un rôle essentiel dans l'anéantissement de Daech", a déclaré samedi le général de brigade Kiumars Heidari, quelques jours avant l'anniversaire du martyre du commandant suprême de la lutte antiterroriste.

"Le général Soleimani a été le seul pionnier dans la lutte contre les terroristes de Daech, tant dans la région que dans le monde", a-t-il ajouté.

Le commandant de la Force terrestre de l'armée a décrit le général Soleimani comme l'une des figures irremplaçables de l'histoire de la résistance, déclarant que le martyre du haut commandant iranien n'entravera pas la lutte contre les terroristes qui sont soutenus par l'Arrogance mondiale.

Les terroristes américains ont assassiné le général Soleimani, le commandant de la Force du Quds du Corps des gardiens de la révolution islamique, ainsi qu'Abu Mahdi al-Muhandis, chef adjoint du Hashd al-Sha'abi irakien, et leurs compagnons en prenant pour cible leurs véhicules devant l'aéroport international de Bagdad le 3 janvier.

L'acte de terreur a été perpétré sous la direction du président américain Donald Trump, le Pentagone assumant la responsabilité de l'attaque.

Le général Soleimani est considéré par les personnes en quête de liberté dans le monde entier comme la figure clé de la victoire contre Daech, le groupe terroriste le plus notoire au monde, dans les combats en Asie occidentale.
Le président Hassan Rohani a déclaré samedi que s'il n'y a plus de zones rouge dans le pays, la lutte pour contenir la pandémie doit se poursuivre avec la plus grande coopération entre les autorités et la population.
S'adressant à la réunion du Comité national de prévention et de lutte contre le coronavirus à Téhéran, M. Rohani a déclaré : "Je suis heureux de dire qu'aujourd'hui, nous n'avons plus de zones rouges [de coronavirus] en Iran ; les zones oranges ont également été réduites à zéro ; cependant, nous devons continuer à améliorer la situation".

Le président a exprimé sa gratitude à la nation pour sa coopération au cours des dernières semaines, qui a permis une baisse considérable du nombre d'infections quotidiennes et de décès dus aux maladies respiratoires.

M. Rohani a également souligné que "la victoire sur la maladie est possible, mais elle peut être un peu difficile et prendre du temps. Nous allons certainement gagner et nous devons rester fermes et savoir que la victoire est certaine".

Le président a noté que plus de 25 millions d'Iraniens qui ont été infectés par le coronavirus ont vaincu la maladie, mais que 30 à 35 millions d'autres personnes risquent de la contracter.

L'Iran a renforcé ses restrictions localisées liées au coronavirus au cours des deux derniers mois afin d'éviter une épidémie qui tue près de 500 personnes chaque jour, en appliquant des restrictions de voyage, en fermant les commerces non essentiels et en imposant un couvre-feu nocturne dans les régions les plus touchées par le virus.

Les mesures rigoureuses imposées ces deux derniers mois semblent avoir permis d'endiguer la troisième vague d'infections, puisque le nombre de villes en état d'alerte maximale pour le coronavirus est passé de 160 à zéro au cours de cette période.

Le nombre de décès est également tombé à un tiers par rapport à ceux de septembre.

Le ministère iranien de la santé a annoncé 6 021 nouveaux cas de coronavirus vendredi (le plus faible depuis la mi-octobre) et 132 décès (le plus faible depuis début septembre).

Le gouvernement travaille dur pour neutraliser et éliminer les sanctions américaines

M. Rohani a déclaré que le gouvernement déploie tous les efforts possibles pour neutraliser et éliminer les sanctions illégales imposées par l'administration du président américain sortant Donald Trump.

Le président a fait référence aux récentes remarques du leader iranien, en disant : "Nous faisons tout ce que nous pouvons pour rendre ces sanctions inefficaces et les éliminer et tout le monde doit travailler dans ce sens".

Il a reproché au régime américain d'entraver la lutte du pays contre la pandémie de coronavirus, en déclarant : "Nous avons lutté pendant des heures pour tout argent qui entre dans le pays ou toute marchandise qui est exportée".

L'Iran fait partie des pays durement touchés par le coronavirus qui est apparu pour la première fois en Chine fin décembre 2019 avant de se propager à travers le monde.

Cependant, les sanctions américaines illégales ont entravé la lutte contre le virus en Iran.

Le gouverneur de la Banque centrale d'Iran, Abdolnasser Hemmati, a déclaré jeudi qu'il n'y avait plus d'obstacles à l'achat de vaccins contre les coronavirus malgré les difficultés causées par les États-Unis, dix mois après l'apparition du virus dans le pays.
dimanche, 27 décembre 2020 09:34

Qui détruit le Liban et pourquoi ?

Si la destruction de cinq États du Moyen-Orient élargi au cours des deux dernières décennies a nécessité des guerres meurtrières, celle du Liban a été réalisée par les Libanais eux-mêmes, sans qu’ils s’en rendent compte. La résistance a vu impuissante le pays s’effondrer. Il est en effet possible de gagner une guerre sans avoir à la livrer.

En quelques mois, le Liban que l’on présentait souvent —à tort— comme « le seul État démocratique arabe », voire comme la « Suisse du Moyen-Orient », s’est effondré. Successivement, des manifestations populaires contre la classe politique (octobre 2019), une crise bancaire (novembre 2019), une crise sanitaire (juillet 2020), une explosion au port de Beyrouth (août 2020) ont provoqué une disparition soudaine des classes moyennes et une baisse générale du niveau de vie de l’ordre de 200 %.

Du point de vue libanais, cette horreur serait due à la gestion catastrophique du pays par la classe politique, dont tous les dirigeants seraient corrompus à l’exception du responsable de la communauté confessionnelle à laquelle appartient celui que l’on interroge. Ce préjugé absurde révèle une population intolérante et masque la réalité.

Depuis l’occupation ottomane [1], singulièrement depuis l’indépendance en 1942, et plus encore depuis la guerre civile (1975-90), la population libanaise ne forme pas une Nation [2], mais un agrégat de communautés confessionnelles. La Constitution et les Accords de Taëf attribuent toutes les fonctions politiques et désormais tous les emplois publics, non pas selon les capacités des citoyens, mais en fonction de quotas communautaires. Chaque communauté a choisi ses chefs, généralement d’anciens seigneurs de la guerre civile, que la communauté internationale a reconnus. Ceux-ci ont géré en leur nom propre les subventions que les anciennes puissances coloniales leur ont offertes pour leur communauté. Ils se sont attribués des redevances mirobolantes, qu’ils ont transférées depuis longtemps à l’étranger, mais ont aussi distribué de très grosses sommes d’argent pour entretenir leur « clientèle » à l’image des antiques sénateurs romains. Il est donc parfaitement stupide de les accuser aujourd’hui de corruption alors qu’on les a célébrés durant des décennies pour le même travail.

Ce système était entretenu par les États-Unis et l’Union européenne. Ainsi le président de la Banque du Liban, Riad Salamé, était célébré comme le meilleur argentier du monde occidental avant d’être accusé d’avoir caché une centaine de millions de dollars sur des comptes personnels au Royaume-Uni. Ou encore, la haute-représentante de l’Union européenne, Federica Mogherini, prétendait octroyer une aide au Liban pour résoudre sa crise des déchets tout en aidant les deux anciens Premiers ministres, Saad Hariri et Najib Mikati, à détourner une centaine de millions de dollars de cette somme [3].

Seuls les Libanais, qui ont été maintenus dans un état d’inconscience politique durant quatre-vingt ans et n’ont toujours pas compris ce qu’ils ont vécu durant la guerre civile, ne s’en rendent pas compte.

Comment ne pas remarquer que l’effondrement du Liban, fait suite à ceux du Yémen, de la Syrie, de la Libye, de l’Irak et de l’Afghanistan ? Comment ne pas remarquer qu’en 2001, le secrétaire à la Défense US, Donald Rumsfeld, et son conseiller, l’amiral Arthur Cebrowski, préconisaient d’adapter la mission des forces armées US au capitalisme financier naissant ? Selon eux, il convenait de détruire toutes les structures étatiques de tous les États du « Moyen-Orient élargi » afin que nul —ennemi ou ami— ne puisse empêcher l’exploitation de la région par les multinationales états-uniennes.

Si nous admettons que cette « Guerre sans fin » (sic), proclamée par le président George W. Bush, se poursuit effectivement, nous devons constater que la destruction des structures étatiques du Liban a été réalisée à moindre frais.

Toutefois, compte-tenu de l’efficacité de la résistance libanaise, il convenait d’atteindre cet objectif par des moyens non-militaires échappant à la vigilance du Hezbollah. Tout avait déjà été décidé en avril 2019 ainsi qu’en a attesté la réponse états-unienne à la délégation libanaise venue visiter le département d’Etat US [4].

Quatre puissances coalisées, les États-Unis, le Royaume-Uni, Israël et la France ont joué un rôle déterminant dans ce plan.
- Le Pentagone a fixé l’objectif : détruire le Liban et exploiter les champs de gaz et de pétrole (plan de l’ambassadeur Frederic C. Hof).
- Whitehall a fixé la méthode [5] : manipuler la génération postérieure à la guerre civile afin de dégager le système actuel sans le remplacer. Ses spécialistes de la propagande ont ainsi organisé la prétendue « révolution d’octobre » qui, contrairement à ce que l’on a parfois cru, n’avait absolument rien de spontané [6].
- Israël a détruit l’économie grâce à son contrôle de toutes les communications téléphoniques (sauf le réseau privé du Hezbollah) et son implantation dans le système bancaire mondial. Il a provoqué la déroute bancaire en convainquant des cartels de drogues sud-américains qui avaient placé leurs avoirs au Liban de les retirer brutalement. Il a privé le pays de son poumon économique, le port, en le bombardant avec une arme nouvelle [7].
- La France, quant à elle, a proposé de privatiser tout ce qui pouvait l’être et remis en scène Saad Hariri pour le réaliser. Elle s’est appliquée à verser de belles paroles tout en marginalisant le Hezbollah [8].

En définitive, les vingt prochaines années devraient être consacrées au pillage du pays, notamment de ses hydrocarbures, tandis que les Libanais continueront à s’en prendre à des boucs-émissaires et à ignorer leurs véritables ennemis. D’ores et déjà, le port israélien d’Haïfa a partiellement remplacé celui de Beyrouth. À terme, le pays lui-même devrait être divisé et la partie au sud du fleuve Litani rattachée à Israël [9].

Il convient cependant de conserver à l’esprit que la coalition USA-UK-Israël-France n’est pas composée d’États égaux, mais commandée exclusivement par les États-Unis. En Libye, les USA ont seuls empoché le pactole pétrolier. Malgré les promesses qui leur avaient été faites, leurs alliés n’ont eu que des miettes. Le même scénario peut se reproduire au Liban. Aucun de leurs alliés ne pourrait tirer profit de leur crime commun.

 
 
 

[1] Les Libanais ne reconnaissent pas l’Empire ottoman comme une puissance coloniale, ce qu’elle était pourtant. NdA.

[2] Par définition, le Liban n’étant pas une nation ne peut être ni une démocratie, ni une république. NdA.

[3] « Des fonds européens détournés par Mogherini, Hariri et Mikati », Réseau Voltaire, 24 janvier 2020.

[4] « L’administration Trump contre le Liban », Réseau Voltaire, 2 mai 2019.

[5] Une fuite de documents officiels britannique atteste de ce rôle. Lire Complete infiltrating Lebanon (65,11 Mo). Les résultats ambitionnés ont manifestement été tenus : les Libanais souffrent tellement qu’ils ne voient plus ni l’origine de leurs problèmes, ni les solutions à portée de main, cf. “Taking Lebanon’s Pulse after the Beirut Explosion”, Michael Robbins, Arab barometer, December 15, 2020.

[6] « Les Libanais, prisonniers de leur Constitution », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 21 octobre 2019.

[7] « Israël joue avec les nerfs des Libanais », Réseau Voltaire, 30 septembre 2020.

[8] « La mauvaise pièce du président Macron au Liban », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 29 septembre 2020.

[9] « Vers une partition du Liban ? », Réseau Voltaire, 8 octobre 2020.

dimanche, 27 décembre 2020 09:32

Hadith du jour

Imam Ali, Prince des Croyants (as): 


" Ne suivez pas la majorité, suivez la vérité." 
 
" Celui qui aura purifié son coeur, Dieu le regardera." 
 
" La Religion est Amour et l'Amour est Religion." 
 
" Priez pour les autres avant de prier pour vous." 
 
" Soyez certain que, quelque part, quelque chose vous attend après la Patience, qui vous ébouira, et qui vous fera oublier l'amertume de la souffrance."

L'Imam Jafar al-Sâdiq, sixième descendance du Prophète (p) dit: 

«Les entretiens intimes (munâjât) des "connaisseurs" (les mystiques) avec Allah reposent sur trois fondements (ou sentiments principaux): 

La crainte, l'espérance et l'amour. La crainte découle de la science, l'espérance de la certitude et l'amour de la connaissance. L'indice de la peur est la fuite, celui de l'espérance est la demande, et celui de l'amour est la préférence donnée au bien-aimé à toute autre chose. Lorsque la science entre dans la poitrine, le mystique craint, et lorsqu'il craint, il fuit, et lorsqu'il fuit, il est sauvé. Quand la lumière de la certitude brille dans le cœur, le mystique voit la Grâce, et lorsqu'il parvient à voir la Grâce, il espère, et lorsqu'il goûte les délices de l'espoir, il demande, et lorsqu'il obtient la satisfaction de sa demande, il trouve. Lorsque la lumière de la connaissance jaillit dans le cœur, le vent de l'amour souffle, et lorsqu'il souffle, le mystique se sent réjoui à l'ombre du Bien-Aimé auquel il donne la préférence à toute autre chose et s'attache à suivre scrupuleusement et minutieusement Ses Ordres et Ses Enseignements. Ces trois fondements sont comme le Haram (la ville de la Mecque), la Mosquée et la Kaâba: quiconque entre dans le Haram jouit de l'immunité contre les poursuites des gens, et quiconque entre dans la Mosquée, ses sens sont assurés qu'ils ne seront pas utilisés pour commettre un péché, et quiconque entre dans la Kaâba, son cœur est assuré qu'il ne sera pas occupé à autre chose que l'invocation d'Allah».

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a réagi aux dernières accusations du président américain Donald Trump contre Téhéran.

Dans un tweet, Mohammad Javad Zarif a déclaré que Trump ne pouvait pas détourner l’attention de ses échecs catastrophiques en mettant ses propres citoyens en danger à l’étranger.

Le président sortant des États-Unis a prévenu mercredi qu’il tiendrait « l’Iran pour responsable » en cas d’attaque mortelle contre des Américains en Irak, à l’approche du premier anniversaire de la mort du général iranien Qassem Soleimani.

« Notre ambassade à Bagdad a été touchée dimanche par plusieurs roquettes », a rappelé le président américain sortant sur Twitter, évoquant une attaque qui a causé des dégâts matériels, mais aucun décès. « Devinez d’où elles venaient : d’IRAN », a-t-il ajouté.

Le secrétaire d’État Mike Pompeo avait également fait les mêmes remarques, affirmant que des groupes soutenus par l’Iran avaient mené l’attaque. Téhéran a rejeté ces accusations comme étant irresponsables, affirmant que Washington voulait créer des tensions dans la région avec de fausses déclarations.

 

Qui aurait cru que pour son premier voyage post- appel à participer à la reconstruction des ruines de la guerre, le vice PM azerbaïdjanais choisirait de se rendre en Iran alors même que tous ces 44 jours de conflit déclenché à l’instigation de l’axe US/OTAN au Caucase sud n’avait autre objectif que de placer Bakou face à Téhéran, objectif dont le discours du président turc prononcé lors de la parade de la victoire à Bakou a largement porté la signature. Mais près de deux mois après la fin du conflit, les choses semblent s’orienter dans un sens totalement inverse : la Turquie en est toujours à prier Moscou à l’inclure dans ses patrouilles militaires dans le Haut-Karabakh. Quant à Israël qui pompe 40 % de ses besoins en pétrole depuis l’Azerbaïdjan, l’inquiétude le dispute à la méfiance.  

Au point d’inventer des histoires à dormir debout : alors que l’axe Israël/Turquie n’a jamais cessé de collaboré ensemble que ce soit en Syrie, en Afrique ou encore en Méditerranée, Times of Israël prétend à une médiation azerbaïdjanaise pour une reprise des liens Tel-Aviv- Ankara !

Après s’être retrouvé assiégé par les membres de Haredim protestant contre le service militaire obligatoire, le commandant de l’armée sioniste aurait tiré sur les manifestants non armés en raison d’une intervention tardive d’une unité spéciale de police.

Terrifié, le général Yoel Strick, a échappé à la foule à l’entrée de la ville de Qods alors qu’il s’apprêtait à tirer avec son arme personnelle sur les manifestants protestant contre l’arrestation d’un étudiant qui ne s’était pas présenté au bureau de recrutement pour recevoir son sursis de service dans l’armée israélienne, a rapporté le journal Yedioth Aharonot.

Le représentant américain en Syrie a mis les Forces démocratiques syriennes en garde contre tout acte de provocation à l’encontre d’Ankara.

Lors d’une interview avec le Woodrow Wilson International Center for Scholars situé à Washington, D.C., l’envoyé spécial des États-Unis pour la Syrie, James Jeffrey, a invité les FDS à s’abstenir de quatre actions, faute de quoi, ils subiront de lourdes pertes.

Il y a quatre mesures, affirme James Jeffrey, que les FDS doivent respecter, si elles pensent à leur survie : ne pas empêcher l’arrivée des tankers transportant du pétrole à Damas ; ne pas organiser de référendum comme l’ont fait les Kurdes en Kurdistan irakien en 2017 ; éviter de développer des relations avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ; et ne jamais attaquer le territoire turc depuis le nord-est de la Syrie.

Selon le journal en ligne Rai al-Youm, suite aux provocations américaines et sionistes en Asie occidentale et leurs tentatives visant à pousser le Maroc à normaliser ses relations avec le régime sioniste, les États-Unis cherchent aujourd’hui à provoquer une guerre entre les pays du Maghreb, à savoir le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie. Ils exploiteraient les différends du territoire contesté du Sahara occidental.

Selon Abdel Bari Atwan, ceux qui suivent les agissements sionistes et américains au Maghreb et les questions marginales liées à la normalisation des relations avec l’entité sioniste dans toutes ses dimensions ont la forte impression qu’il existe déjà un plan bien calculé pour séparer le Maroc des pays arabes et islamiques et secouer la stabilité et la sécurité dans ce pays.

« La célébration médiatique d’hier à Rabat dirigée par Jared Kushner, le gendre de Trump, et son voyage à bord d’un avion de la compagnie israélienne El Al à la tête d’une délégation accompagnée par Meir Ben-Shabbat, conseiller à la sécurité nationale du régime d’Israël, était un acte provocateur non seulement contre nous, mais aussi contre toute la nation arabe et musulmane du Maghreb », a-t-il indiqué.