
تقي زاده
Des équipements d'espionnages israéliens, découverts, près des côtes syriennes !
On les croyait limités, au seul Golan, et bien, on se trompait! Les appareils d'écoute et d'espionnage "made in Israel" viennent d'être découverts, près des côtes syriennes, par l'armée nationale syrienne. Les équipements portent les étiquettes de leur constructeur.
Selon Sama, "ces appareils, très sophistiqués, sont destinés à la mise à l'écoute et à prendre des images, et ils étaient abandonnés, près des côtés syriennes". Cette information a, également, été confirmée par le journal "Yediot Aharonot". Al-Nosra et d'autres milices terroristes agissent, en Syrie, en étroite collaboration avec le régime sioniste. C'est, d'ailleurs, avec leur appui, que les Israéliens ont obtenu les informations nécessaires, pour frapper le centre de recherche de l'armée syrienne, dans la banlieue de Damas.
Imam Khamenei: La précipitation et la colère de l’ennemi sont des signes du progrès de l’ordre islamique
Le Guide Suprême de la Révolution Islamique qui avait reçu jeudi 7 mars le président et les membres du conseil des experts du Guide a estimé que la précipitation, la colère et la brutalité de l’ennemi étaient des signes du progrès de l’ordre islamique.
Selon le site du bureau du Guide Suprême de la Révolution Islamique, l’honorable Imam Khamenei, a reçu jeudi le président et les membres du conseil des experts, présentant lors de cette audience une parfaite analyse des avancées et des progrès du peuple iranien, 34 ans après la victoire de la révolution islamique, estimant qu’il était nécessaire d’avoir une vue de long terme sur les idéaux et les objectifs de l’ordre islamique.
« La foi en Islam, une volonté ferme, la confiance en peuple et la préservation et le renforcement de l’esprit sont les principaux facteurs de la poursuite du mouvement en avant et de la réalisation de grands succès et la solution des problèmes provisoires », a-t-il dit.
Estimant qu’une vue de long terme sur les questions liées au management du pays et les objectifs et les idéaux de l’ordre comptaient parmi les importants facteurs de la poursuite de la marche en direction des objectifs fixés pour l’ordre islamique, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a ajouté : « A long terme, il existe une bonne connaissance des objectifs et de l’itinéraire pris par l’ennemi et sur la même base, les problèmes et les hauts et bas sont prévisibles. »
Estimant que les circonstances actuelles sont beaucoup plus difficiles et plus compliquées que la période de lutte précédant la victoire de la révolution islamique, l’Imam Khamenei a indiqué : « Dans les circonstances actuelles, il faut éviter la courte vue et les regards à court terme, et en ayant la foi en Islam et en s’appuyant sur le peuple, assurer la poursuite de la marche en avant. »
Le Guide suprême de la révolution islamique a estimé que l’un des devoirs des oulémas et des religieux consistait en le maintien et le renforcement de l’espoir chez le peuple notamment la jeunesse, soulignant : « Il faut toujours souffler dans le four de l’espoir, d’autant plus que les signes de l’espoir sont nombreux. »
L’Imam Khamenei a présenté la poursuite des réussites croissantes du peuple iranien comme l’un des signes de l’espoir, soulignant : « La grandeur actuelle et le fait que le peuple iranien sert du centre intellectuel dans le monde de l’Islam, la domination du discours religieux dans le pays, les progrès scientifiques et technologiques, l’influence politique et internationale de l’ordre islamique et les démarches infrastructurelles entreprises au niveau de la justice, sont les importants acquis que l’on ne pouvait croire avant la révolution islamique ou aux premiers temps suivant sa victoire. »
Présentant ces acquis comme signes du progrès de l’ordre islamique, il a ajouté : « Un autre signe de ces progrès, résiden dans la précipitation, la colère et la brutalité de l’ennemi dans l’action. »
Le Guide Suprême de la Révolution Islamique a souligné : « Si l’ordre islamique n’avait eu de progrès, les ennemis n’étaient pas si précipités et en colère. »
Estimant que le nucléaire est l’un des défis à venir de l’ordre islamique, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a souligné : « Certes ce défi ne nous a nui et ne nous nuira pas. »
Faisant allusion à la récente réunion des 5+1 à Almati au Kazakhstan, il a indiqué : « Au cours de cette rencontre, les occidentaux n’ont franchi aucun pas important, qui soit considéré comme un avantage, mais ils ont seulement reconnu une petite partie de nos droits. »
L’honorable Imam Khamenei a présenté les boycotts comme un autre défi, ajoutant : «Il semble que les boycotts aient pour prétexte le nucléaire, mais ils cherchent un objectif de long terme que les occidentaux suivent. »
Qualifiant d’un sujet important la massive participation de la population au défilé du 10 février, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a souligné : « Les évaluations faites par les experts et les gens expérimentés montrent que la participation du peuple au défilé du 10 février était plus dense, plus chaleureuse et plus enthousiastes que les années précédentes. »
Faisant allusion aux futures élections présidentielles iraniennes, l’Imam Khamenei a émis l’espoir que le président élu pourra obtenir la satisfaction divine et approcher le peuple de leurs grands vœux.
En ce qui concerne les embargos mis en œuvre par les ennemis contre la république islamique d'Iran, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a évoqué une autre réalité.
« La réalité c’est que les pays soumettant l’Iran aux embargos, souffrent aujourd’hui des problèmes beaucoup plus difficiles qu’ils n’arrivent pas à résoudre », a-t-il dit.
L’Imam Khamenei a souligné : « Les Etats-Unis et l’Europe se trouvent aujourd’hui entre deux dilemmes et en tout état de cause, ils se dirigent vers la dépréciation de leur puissance économique. »
Le système économique islamique est fondé sur la morale
Dans le domaine moral et des qualités humaines qui influent sur nos relations avec Dieu, nous-mêmes, les autres et le monde qui nous entoure, il y a des choses positives et des choses négatives qui influent sur notre comportement.
Lors de la récente réunion organisée au Centre des activités coraniques universitaires, sur « la morale dans le système économique islamique », l’Hodjat-ol-islam Sayed Hussein Mir Moezzi, membre du Comité d’élaboration des modèles islamiques de progrès et de consommation, et chercheur au Centre de recherches culturelles et islamiques, a déclaré que le système économique islamique était fondé sur la morale alors que le système capitaliste occidental était fondé sur le profit.
« Dans le domaine moral et des qualités humaines qui influent sur nos relations avec Dieu, nous-mêmes, les autres et le monde qui nous entoure, il y a des choses positives et des choses négatives qui influent sur notre comportement. Il faut faire une distinction entre la morale et le droit, cette distinction a une grande influence dans le domaine économique. La première différence entre ces deux concepts, réside dans leur objectif. Le droit est là pour instaurer un ordre et la justice, alors que la morale a pour objectif le développement de l’être humain. La morale est un domaine individuel réservé à l’être humain, mais le droit est appliqué par des instances gouvernementales qui doivent aussi prendre des mesures en cas d’infraction aux règles fixées par la législation.
Ce point est très important. Le centre des systèmes économiques est constitué par des comportements que les gens ont choisis eux-mêmes alors que les lois ne définissent que des contours et des limites. Il existe donc deux sortes de moyens pour orienter le système économique, le premier est aux mains du gouvernement qui définit les politiques à suivre et constitue ce qu’on appelle « les mains visibles ».
Dans ce programme, le gouvernement entre en action et oriente comme il le désire, le sort de millions de citoyens. Dans le cas où nous voulons lutter contre la pauvreté, si la fraternité et le gout pour la justice règnent dans la société, c’est la société qui contribuera elle-même à la disparition de la pauvreté, sans que le gouvernement n’intervienne sauf dans des cas précis où il peut aider par des subventions, à déraciner complètement la pauvreté dans le pays. Mais si dans cette société, c’est l’égoïsme et la recherche du profit qui dominent, il est évident qu’aucune mesure ne sera prise au niveau de la société et l’appauvrissement ira en s’accroissant. C’est le gouvernement qui devra prendre en charge ces activités et nager à contre courant en imposant des impôts pour lutter contre la pauvreté.
Ce système existe depuis des années et n’a pas eu les résultats souhaités. Nous voyons actuellement les pauvres des pays capitalistes descendre dans la rue pour protester contre l’indifférence des riches. Dans la mondialisation, les riches qui ne pensent qu’à leurs profits, estiment que les capitaux doivent être investis dans des domaines lucratifs et rentables. Par conséquent, s’ils peuvent faire de plus grands profits en investissant à l’étranger, ils doivent le faire sans se soucier de l’avenir et des travailleurs de leur pays. C’est ce que nous appelons la mondialisation à l’occidentale.
Par contre, dans une société où un système moral islamique domine, l’économie se dirigera d’elle-même, vers les objectifs islamiques avec l’aide éventuelle du gouvernement. C’est ce qui différencie l’économie islamique de l’économie libérale occidentale », a-t-il dit.
Est-ce que les chiites tels que les sunnites ont une série d’initiations Soufites et gnostiques?
LA GNOSE ET LE CHIISME
On peut avec plusieurs arguments et de différentes manières établir la relation étroite entre la vraie gnose et l’école chiite. Et même beaucoup de gnostique parlent de l’uniformité dans entre ces deux entités. Nous avons par exemple Sayyed Heidar Amoli l’un des illustres gnostiques islamiques qui dit à ce sujet : «la vision du chiisme et la gnose constituent une seule réalité et aboutit à une même vérité car la source et la référence de l’ensemble des sciences chiites conduisent à l’imam Ali (as) et après lui, ses enfants et les petits fils. Et de même, en ce qui concerne la vraie gnose (Al Soufiya). En effet, il n’attribue leurs connaissances et leurs illuminations qu’à lui et à ses enfants. Nous sommes sans ignorer que la base de la gnose et les suites gnostiques aboutissent soit à Koumeil ibn Ziyad Nakhi l’un des disciples particuliers de l’imam Ali (as) ou à Hassan Basri. Hassan Basri fait partie des grands disciples et des épris de l’imam Ali (as). D’autres se rattachent à l’imam Ja’far Sadiq (as) qui fait partie des petits enfants de l’imam Ali (as) et qui est l’imam investi par Dieu…Non seulement les imams chiites étaient les leaders de la législation, les guides de la voie et également les éducateurs et les initiateurs. »[1]
L’analyse de l’unicité réelle entre ces deux demande un cadre beaucoup plus élargie qu’on peut analyser aussi bien du point de vue historique que par rapport au contenu. Mais ce qui est sûr, c’est le pivot central de la gnose. Que ce soit du point de vue théorique, que des facteurs externes, qui n’est rien d’autre que l’homme parfait, le reflet de Dieu vivant, les imams chiites indubitablement constituent les cas les vrais exemples de ce rang élevé. Et à l’époque de l’occultation c’est-à-dire l’époque de la fin du temps, l’imam du temps plus précisément le douzième imam est le maitre de tous les gnostiques. Christ et le Messie (les gnostiques vivants) sont les représentants et les disciples de l’imam du temps.
Donc, non seulement dans le chiisme on a beaucoup de gnostiques, nous avons plusieurs gnostiques qui tirent leurs enseignements de la source pure des imams. On peut dire de manière générale que la nature même de l’imamat et de la succession dans le chiisme n’est fondée que sur l’élévation spirituelle, la connaissance de Dieu qu’on trouve en l’imam. C’est ce qu’on appelle « Wilayat ul Takwiniya » ou encore l’autorité dans l’ordre universel. Dans la définition gnostique, l’imam signifie le cœur de l’univers. La cime du monde contingent qui est la manifestation de l’ensemble des attributs et des noms de Dieu.
LA SUITE DU SOUFISME
La question de l’acquisition et de la connexion dans la suite de l’itinéraire gnostique provient de la relation d’attachement et d’intégrité entre gnostiques complets et le maitre. En guise d’exemple, on peut parler de la relation entre Shams, Tabrizi et Molawi. Toutefois, tout épris qui établi une relation avec un gnostique n’atteint pas forcément le cadre le plus complet d’initiation. D’autre part, nous savons que plusieurs gnostiques par voie intérieure ont acquis la source d’illumination (certes, selon les chiites, cela provient de l’orientation interne de l’imamat ». Raison pour laquelle la plupart d’entre eux, malgré le fait qu’ils aient la permission de beaucoup de gnostiques, ils ne se rattachent pas à une personne particulière ou à une procédure déterminée par un contemporain en ce qui concerne leur acquisition de la vérité mystique. Nous avons par exemple Ibn Arabi qui présente Hizr comme son maitre.
Vu le contexte, après leurs morts, plusieurs gnostiques dans leur voie, leur illumination, on continuait à rattacher leur illumination à lui, malgré le fait que parfois certains ont été victime d’altération. Ce sujet parvenu à un point où une simple connexion à une série de pratiques mystiques ou une race et autres ne sauraient suffire pour exprimer l’appartenance à une école mystique originale.
Ce qui est sûr est qu’il a toujours existé parmi les gens des gnostiques complets et des hommes de Dieu et ils peuvent apparaitre dans n’importe quel costume à n’importe quel lieu. Et ils peuvent aider à l’initiation et l’éducation de ceux qui aspirent à élever leur âme. En effet, Dieu n’est pas avare et tout croyant véridique qui a besoin qu’on lui tienne la main verra arriver de la part de Dieu un gnostique authentique qui l’aidera à suivre le vrai chemin.
Raison pour laquelle, on ne saurait limiter la gnose dans un cadre relatif à une suite Soufite historique comme ils l’entendent. Au contraire, dans certains cas, la recherche gnostique n’a pas été un succès au sein des suites Soufites particulières de l’époque présente. On ne saurait considérer toute relation ou tout attachement d’une suite gnostique comme hérité de la vraie école divine qui exprime la nature même de la doctrine et de la législation des prophètes. Hafiz dit d’ailleurs : « la critique du Soufisme ne veut pas dire toute chose visible car la plupart des voies qu’on suit conduit en enfer.
Selon les gnostiques, le critère d’identification d’un vrai gnostique parmi les imposteurs et cet effet extraordinaire de l’amour divin qui illumine l’existence de la personne et cet effet se transmet dans la vie d’un vrai initié qui durant un bon bout de temps le ressent au fin fond de lui contrairement à celui qui prétend juste avec leurs bouches qu’ils sont des gnostiques et qui avec des propos et des affirmations prétendent suivre les propos des grands maitres de gnose. Une attitude qui aboutit à l’égarement des disciples qui viendront s’attacher à lui. Cela a conduit à ce que beaucoup de gens aient une vision particulièrement négative sur la nature de la gnose elle-même.
GNOSE ISLAMIQUE DANS LE MONDE ACTUEL
La gnose islamique à une époque où la puissance de la technologie et ses effets ont envahi le monde ainsi que la corruption et la dépravation peut avoir plus de rôle pour sauver l’homme. La concrétisation d’une telle gnose est possible, elle fait également partie des nécessites car non seulement la piété de l’âme ne peut se consolider que dans la perception spirituelle et on ne peut pas juste se contenter de l’aspect apparent.
D’ailleurs, d’un point de vue, la compréhension de ces obstacles dans le monde moderne et le déploiement des différentes formes qui choses qui noient l’âme dans les turpitudes, l’athéisme et pousse à la toxicomanie et les suicides démontrent que plusieurs hommes sont entrée dans la gnose par contrainte à la fin du temps. Et ils présentent le plus de capacité à retourner totalement vers la spiritualité. Une spiritualité directe, effective que l’homme peut acquérir à travers la science et l’illumination. A partir de là, l’homme accèdera à la richesse de l’âme et manifestera une sorte de désintéressement total par rapport aux choses de ce bas monde et de la ruse qu’’elle présente c’est-à-dire les choses de ce bas monde.
Nous rappelons au début que la gnose n’est pas quelque chose qui se distingue de la religion et de la doctrine. Elle est même la vraie nature de la religion. Raison pour laquelle le programme de la gnose pratique dans le fond s’inspire de la législation divine. Avec la seule différence que la législation divine trouve un aspect beaucoup plus avec la lumière de la gnose est orienté vers un but beaucoup plus élevé. La législative en soi signifie la voie et la connaissance de Dieu. Et le but final de la gnose mène à cette même connaissance de Dieu. La législation islamique ne se limite pas essentiellement à une série de rites et de pratiques religieuses répandues aujourd’hui dans la société. Ce sont des directives pratiques, essentielles pour préserver la substance interne de l’homme et le propulser vers la propulsion, la connaissance de soi, et la connaissance de Dieu.
Si la législative et la piété sont observées selon les niveaux (qui le tout en fait constitue les dispositions morales de l’âme de l’homme), l’être développera en soi la capacité de recevoir la lumière spirituelle interne. On appelle cela « Carica » (la voie). Cette voie a n’abouti à rien d’autre que la vérité «Hakika ».
Le premier pas dans la voie de l’élévation de l’âme vers Dieu et de l’initiation passe d’abord par le repenti et la décision absolue d’abandonner le péché, afin de remplir de manière générale les conditions nécessaires pour recevoir les directives divines. Ces directives peuvent se manifester à l’initié à différents moyens. L’opportunité de s’inspirer des hommes et d’élever ceux qui ont suivi une voie et qui sont devenus des modèles divins est un élément important pour obtenir les directives divines particulières. Bref, ce qui est important dans l’initiation est l’évolution dans la voie de la gnose et le fait de se faire tenir la main par un professeur accompli. L’homme le plus heureux est celui qui est en relation avec un tel homme complet.
Si le disciple de dans la voie de a gnose développe une volonté complète, quel que soit où il se trouve, Dieu le guidera. L’étude de la vie des grands gnostiques montre comment les gens de différentes ont été assistés par Dieu dans leurs vies. Et comme ils disent, certains ne s’attendaient même pas qu’un jour, ils allaient rencontrer des grands gnostiques. Raison pour laquelle, la puissance de Dieu pour guider les hommes ne se limite à aucun temps et cette puissance ne connait également aucune limite. De même, le niveau d’affection que les hommes de la vérité ont pour guider les autres hommes est au-delà de ce que les gens qui ont besoin d’être guidés développent en eux. Raison pour laquelle, la sincérité dans la sollicitation reçoit inévitablement une réponse positive de la part de Dieu. Ce qu’on voir rarement à notre époque, c’est l’engagement ferme d’abandonner totalement les choses du bas monde. Autrement dit, la guidance divine particulière attend tout serviteur.
Il convient également de rappeler que les grands gnostiques otn toujours existé dans le monde chiite. Et durant les derniers siècles, la plupart se sont livrés à l’orientation des jeunes initiés et ils ont éduqué beaucoup de disciples. Entre autres, nous avons l’exemple de l’Ayatollah Mirza Ali Agha Kazi, Molla Hossein Kali Hamdani, l’Ayatollah Ansari Hamdani et beaucoup d’autres qui se sont adonnés durant des années à éduquer et enseigner les disciples dans l’école chiite. Et aujourd’hui, plusieurs disciples ou ceux dont ignore l’identité sont en train d’éduquer d’autres initiés.
Pour conclure, nous vous demandons de consulter les articles de l’Ayatollah Mohammad Shouja’i pour avoir une idée générale en ce qui concerne la voie pour l’initiation de la gnose pratique, un ouvrage en trois volumes.[2] Dans cet ouvrage, les étapes de la gnose pratique sont développées avec beaucoup plus de détails : vice et de
1 - La captivation ou la concentration de la divinité.
2 – Le repenti et le retour vers le but principal.
3 – La purification interne ou se débarrasser de tout toutes mauvaises attitudes morales ;
4 – La sollicitation et la lutte.
5 – la première étape de la surveillance de soi.
6 – La deuxième étape de la surveillance de soi.
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[1] - Jami ul Asrar Wouo Manbah ul Anwar de Sayyed Heidar Amoli, page 4, les éditions Ilmi et Farhanghi, 1368.
[2] - vol 1, Les fondements théoriques de la purification de soi. Vol 2, la voie pratique de la purification (1), vol 3 les voies pratiques de la purification (2), cette œuvre a été publiée par les éditions Sourouch (les éditions de la télévision nationale).
"L'Iran se dresse devant la dictature internationale"(Larijani)
"La stratégie minutieuse et intelligente de la RII se dresse devant la dictature, sur la scène internationale", a déclaré le Président du Parlement iranien.
"La prévention de la dictature, sur la scène internationale, constitue la stratégie minutieuse et sage de la RII, et les Américains l'ont, concrètement, constatée, en Afghanistan, en Irak, au Liban, et à Gaza", a précisé, aujourd'hui, jeudi, Larijani, lors du Forum général «Défense nationale, défense tous azimuts», à la faculté suprême de la défense nationale de Téhéran. "Des puissances influant sur la région sont en train de prendre forme, en Asie", a-t-il souligné, en allusion à la multiplication des puissances économiques et médiatiques, dans le monde. En ce qui concerne la croissance accrue des tendances islamiques, dans la région, il a fait savoir que les ennemis cherchent à confisquer cet éveil. "Actuellement, nous assistons au déclin du régime sioniste, dans lequel l'Iran a joué un rôle crucial", a-t-il poursuivi, avant d'ajouter : "Les Occidentaux et certains pays de la région, en tant qu'entremetteurs des puissances hégémoniques, sont décidés à perturber le cours des événements, en Syrie, et les pays dictatoriaux, pour soi-disant instaurer la démocratie, envoient des armes, en Syrie. "Le fait que l'Agence internationale de l'Energie atomique, (AIEA), déclare vouloir dissiper les inquiétudes, par ses inspections, diffère de ce qui intervient, lors des négociations, visant, seulement, à distraire les opinions publiques", a fait remarquer le Président du Parlement iranien, Ali Larijani.
Décès de Chavez: le message d'Ahmadinejad
Le président de la RII, Mahmud Ahmadinejad, a présenté, au terme d’un message, ses condoléances à l’occasion du décès du président vénézuélien, Hugo Chavez, à tous les peuples, au peuple et gouvernement vénézuéliens ainsi qu’à ses proches. « Hugo Chavez incarne tous les combattants et révolutionnaires de l’histoire glorieuse mais aussi triste de l’Amérique latine, il a été leur héritier et il est la manifestation de la quête de la liberté des populations latino-américaines et de toutes les nations réprimées. Chavez est l’étendard des combattants anticolonialistes et porte-étendard de l’amitié entre les peuples, a réitéré le président Ahmadinejad dans son message. « Hugo Chavez s’est dressé avec courage devant le maximalisme des arrogants et il a su briser la lourde pression médiatique, économique et même les coups d’état à son encontre, souligne le message.
Qui a tué Chavez?
Le vice-Président vénézuélien, Nicolas Maduro, a accusé, mardi, les «ennemis historiques» du Venezuela d'avoir provoqué le cancer, dont souffrait le Président Hugo Chavez, dont on a annoncé la mort, en fin d'après-midi. Deux fonctionnaires américains ont été, aussitôt, expulsés. Lors d'une intervention transmise, en direct, à la télévision, à l'issue d'une réunion des hauts responsables politiques et militaires du pays, Nicolas Maduro a précisé qu'une commission scientifique enquêterait sur cette possibilité. «Nous n'avons aucun doute, arrivera un moment, dans l'histoire, où nous pourrons créer une commission scientifique, [qui révélera] que le commandant Chavez a été attaqué, avec cette maladie [...] Les ennemis historiques de cette patrie ont cherché un point faible, pour atteindre la santé de notre commandant». Le vice-président a comparé la situation à celle de la mort de Yasser Arafat, en 2004, soutenant que le leader palestinien avait été, volontairement, contaminé par une maladie, par ses ennemis. M. Maduro a annoncé l'expulsion d'un attaché militaire américain, qu'il a accusé de tenter de provoquer un complot militaire contre le président vénézuélien. Un peu plus tard, le ministre des Affaires étrangères a fait état du renvoi d'un autre fonctionnaire américain, pour conspiration.
Hamad contre Assad : l’un des deux partira!
« L’émir du Qatar est obsédé par la Syrie et considère la bataille en cours comme étant une bataille personnelle. Hamad est certain qu’il paiera le prix si Assad triomphe, pour cette raison il investit tous ses efforts pour renverser le président syrien ».Telle est la conclusion d’un livre français nouvellement paru et rédigé par les deux journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot.Sous le titre « Qatar : les secrets du coffre-fort », les deux journalistes rapportent les propos de certains politiciens et diplomates occidentaux et arabes, selon lesquels « l’équilibre interne à Doha sera ébranlé si la crise syrienne se prolonge encore, parce qu’un conflit intérieur oppose le Premier ministre Hamad ben Jassem ben Jabr al Thani au prince héritier Tamim qui adopte une approche différente sur le dossier syrien ».Par ailleurs, un diplomate français a déploré devant les deux écrivains que « l’autorité au Qatar ne planifie pas à long terme mais travaille seulement à court terme… c’est ici où réside son point faible ».
Selon certains extraits de ce livre, le Qatar a décidé en été 2012 d’armer l’opposition syrienne qui combat sur le terrain.« Des unités de forces spéciales qataries se sont déployées à la frontière turque et jordanienne mais leurs tentatives répétées de s’infiltrer en Syrie n’ont pas réussi. Toutefois la situation en Syrie a changé depuis septembre dernier. Les responsables des Nations Unies en Syrie ont révélé que des forces spéciales qataries sont arrivées à l’intérieur de la Syrie, c’est ce qu’un membre de la famille royale qatarie confirme ».« En été dernier, les qataris sont intervenus avec un soutien saoudien dans la guerre en Syrie dont la chambre d’opération était basée à Adana en Turquie. Ceci a permis aux Turcs de superviser l’afflux d’armes légères, notamment les kalachnikovs et des obus anti-char. Les rebelles ont commencé à acheter ces armes du marché noir grâce à l’argent des envoyés saoudiens, libanais et qataris ».
Différend saoudo-qatari
Spécialisés dans les affaires arabes, Malbrunot et Chesnot indiquent que « depuis aout 2012, les différends ont commencé à se faire voir entre les qataris et les saoudiens. Les musulmans soutenus par le Qatar et la Turquie ont voulu superviser les réseaux de transfert d’armement aux rebelles afin de renforcer leur contrôle sur le terrain.Les Saoudiens se sont irrités, et les combattants sur le terrain se sont divisés en deux parties : les frères musulmans soutenus par le Qatar d’une part, et les salafistes par l’Arabie Saoudite de l’autre…Les Qataris ont agi en Syrie à la base de leur expérience en Libye : «Quand un commandant d'une brigade armée refuse d’obéir à leurs ordres, les Qataris paient une grosse somme d’argent à son assistant qui fait défection et forme un nouveau groupe, ce qui a provoqué la dislocation des rebelles …« En automne dernier, le président français François Hollande a rencontré le premier ministre qatari. Hollande a rassuré son hôte de la poursuite des opérations secrètes conjointes entre les forces françaises et qataries pour soutenir l’opposition syrienne ».
Le différend d’Ibrahimi avec le Qatar
Citant Qays elAzzaoui, ambassadeur de l’Irak à la ligue arabe, les deux journalistes français rapportent que la Ligue arabe est dirigée par le Qatar. Selon lui, c’est Doha qui a fait pression sur les ambassadeurs du Yémen, de l’Egypte, du Soudan et de la Tunisie pour voter pour l’expulsion de la Syrie de la ligue arabe.Dans ce livre on dévoile l’implication du Qatar dans le renversement de Mouammar Kadhafi et dans l’acheminement d’armes via le Soudan.Les deux auteurs s’attardent sur le pétrole et l’argent qataris ainsi que sur leurs relations diplomatiques et l’achat de clubs de sport, mais tout ceci n’équivaut pas aux investissements émiratis en France, selon eux.Georges Malbrunot et Christian Chesnot ont travaillé pendant de longues années dans le monde arabe et ont été enlevés en Irak. Malbrunot s’est rendu en Syrie ces deux dernières années. Il fut parmi les premiers journalistes à dévoiler l’implication de miliciens étrangers et des djihadistes non syriens sur le terrain, et à dénoncer l’entrainement occidental des groupes armés syriens.
Riyad, a-t-il peur d'une entente politique Téhéran-Washington ?
L'Arabie saoudite était l'une des 9 pays que le Secrétaire d'Etat américain, Johk Kerry, a visités, au cours de sa première tournée régionale, en tant que Ministre des A.E.John Kerry qui, pour certains, se différencie de son prédécesseur Hillary Clinton, par une préférence pour la tolérance et surtout, l'interaction, avec Téhéran, a, pourtant, prononcé à Riyad, des paroles qui neutralisent des rumeurs sur le changement de la politique étrangère américaine, sous le second mandant d'Obama. « La fenêtre pour le dialogue avec l'Iran ne restera pas ouverte pour toujours », a affirmé John Kerry à Riyad, dans une prise de position apparemment partagée par son homologue saoudien Saoud Al-Fayçal qui, en plus, s'est déclaré inquiet en raison du programme nucléaire iranien. A ce propos, le journal en ligne irdiplomacy.ir a demandé l'avis du Dr. Ali-Akbar Assadi, sur les positions des Etats-Unis et de l'Arabie saoudite envers l'affaire nucléaire, mais aussi, au sujet de la perspective des relations Riyad-Washington et de leurs soucis communs, des inquiétudes américaines liées à la croissance du salafisme en Syrie et de l'appui saoudien aux forces extrémistes sur la donne syrienne, sans oublier leur approche envers l'affaire Bahreïnie. Les lignes qui suivent sont retirées de cette interview.
''Les relations américano-saoudiennes pendant le premier mandant de Barack Obama étaient en quelque sorte le prolongement des relations stratégiques établies, depuis des années, entre les deux pays, non sans quelques changements issus des différents de points de vue, sur un fond d'évolutions régionales et d'émeutes populaires.
Dans la foulée des soulèvements populaires dans des pays comme l'Egypte et la Tunisie, les Etats-Unis ont réalisé qu'ils ne pouvaient plus soutenir Moubarak et Ben Ali ; ils ont donc accepté le changement de pouvoir dans ces pays, jouant plutôt la carte des groupes révolutionnaires et des courants populaires. Cette attitude a pourtant provoqué le mécontentement de Riyad, en ce qui concerne la politique régionale de Washington. Mais pour ce qui concerne le cas de Bahreïn et de Yémen, l'Arabie saoudite a accepté, en quelque sorte, l'approche américaine, compatible, d'ailleurs, avec les considérations sécuritaires et régionales des Saoud.
S'agissant de la Syrie, on pourrait dire que les Américains et Saoudiens ont de vastes soucis partagés. Les deux pays ont donc adopté une politique presque semblable. Malgré certains différends, nous sommes été témoin de la poursuite des relations politico-sécuritaires entre Washington et Riyad ; les plus grandes transactions militaires concernent la vaste vente d'armements américains à l'Arabie saoudite : un cas parmi les plus célèbres dans l'histoire de l'industrie militaire états-unienne.
L'Arabie saoudite est toujours un allié stratégique des Etats-Unis dans la région. Vu le rôle régional de l'Arabie saoudite, notamment, sur le plan énergétique, les Etats-Unis souhaitent donc maintenir ces sérieuses relations et interactions avec Riyad qui a accueilli John Kerry dans sa première tournée régionale.
Les soucis communs Riyad-Washington sont axés sur quatre points importants :
-Endiguer l'influence régionale iranienne, y inclus également les débats contre le programme nucléaire du pays.
-La sécurité et la stabilité du golfe Persique sont liées à la coopération entre les Etats-Unis et les pays du CCGP, avec un affaiblissement du poids iranien. De cette opinion, résulte une autre: Riyad et Washington sont contre un changement politique structurel à Bahreïn.
-Concernant l'affaire syrienne, les deux pays sont pour le changement géopolitique du pouvoir, pas seulement en Syrie, mais dans toute la région du Cham et si possible, suivi par une redéfinition de l'équilibre du pouvoir interne, au Liban.
-Parlant du processus de paix moyen-orientale, les Etats-Unis et l'Arabie saoudite plaident pour la poursuite du processus déjà établi, reposant sur la solution de deux Etats.
L'objectif commun des Etats-Unis et de l'Arabie saoudite, en Syrie, consiste en un changement de pouvoir et un départ de Bachar Assad. Les deux pays soutiennent, donc, les opposants. Les Etats-Unis ont pourtant de plus sérieuses inquiétudes. Des groupes extrémistes dont le front Al-Nosra, lié à Al-Qaïda, exercent désormais une certaine autorité sur la scène et touchent une grande partie des aides financières et en armements régionales. Ces inquiétudes se sont renforcées depuis, surtout, l'assassinat de l'ambassadeur américain en Libye. Les Etats-Unis souhaiteraient, ainsi, que les opposants extrémistes s'affaiblissent, pourquoi pas, avec un arrêt des aides en argent et en armement, et par contre, que les opposants modérés s'affirment davantage. Cette approche se traduit par une préférence relative américaine, pour les approches politiques et qui, pourtant, est accompagnée d'un dosage de pression. De son côté, l'Arabie saoudite a fourni, jusqu'ici, un vaste appui militaire et financier aux opposants dont des forces extrémistes, ce que les Américains n'apprécient pas beaucoup. L'Arabie saoudite, aussi, y a ses propres inquiétudes. Elle ne souhaite nullement que les Frères s'affirment en Syrie, ni dans la région. On pourrait donc dire que les Etats-Unis et l'Arabie saoudite avancent vers une convergence d'approche en Syrie, afin de parvenir à un modèle yéménite, ou presque...''
Mais une importante question s'impose : le printemps arabe, a-t-il provoqué de sérieux différends entre Washington et Riyad ? C'est en ces lignes que le Dr. Ali-Akbar Assadi élabore son analyse, sur cette question :
''Les évolutions survenues en Tunisie et en Egypte ne se sont pas avérées bénéfiques pour l'Arabie saoudite ; c'est, du moins, le sentiment qu'auraient éprouvé les responsables saoudiens, et qui les a conduit à changer d'approche, envers les évolutions de Bahreïn ; or, en raison de la situation géographique de ce pays, lesdites évolutions pourrait sérieusement influer sur l'Est de l'Arabie, en particulier, et sur toute la région du golfe Persique, en général. Les Saoudiens ont donc décidé de passer directement à l'acte, en envoyant des forces à Bahreïn. Bien qu'ils restent critiques envers la situation des droits de l'Homme à Bahreïn, les Etats-Unis n'ont affiché aucune objection officielle envers cette mesure. Cela signifie que les Américains approuvent, quasiment, l'attitude de Riyad. En outre, les intérêts régionaux de l'Arabie saoudite et de leurs alliés semblent compter beaucoup. Cela dit, on ne devrait pas attendre de gros changement dans la donne américano-saoudienne, ni de sérieux différends entre les Âl-e Saoud et la Maison Blanche.''
Le nucléaire iranien semble être un autre important champ d'entente entre Saoud Al-Fayçal et John Kerry. L'expert iranien explique ainsi ses avis sur les raisons de l'opposition sérieuse, côté saoudien, contre les activités nucléaires iraniennes :
''Au sujet de l'Iran, les Etats-Unis et l'Arabie saoudite s'entendent, en ce sens qu'ils leur faudrait enrayer le rôle et l'influence de la RII dans la région. Les saoudiens trouvent le programme nucléaire iranien, comme faisant partie du processus de renforcement de la puissance iranienne, ce qu'ils ne peuvent pas accepter. Ils souhaitent donc que le programme nucléaire iranien soit arrêté ou limité. Riyad aimerait ainsi que l'Occident et surtout, les Etats-Unis puissent affaiblir le poids régional de l'Iran, au travers des pressions au sujet de l'affaire nucléaire. Les Saoudiens regardent d'un mauvais œil les négociations entre l'Iran et les 5+1. Ils s'inquiètent de voir les puissances mondiales tolérer un nouveau mode du poids iranien, ce qui sera, évidemment, une grande source d'inquiétude pour les pays arabes du golfe Persique, notamment, l'Arabie saoudite...''
Syrie : qui est derrière la chute de Raqa?
La chute de Raqa , ainsi que ne cessent de l'affirmer les agences de presse occidentaux , constitue " une grande victoire pour les rebelles anti Assad" .
la ville est située à 160 kilomètres d'Alep au nord de la Syrie. selon le site d'information Al Ahd, " c'est un général émirati à la retraite , le dénommé Mohamad Ahmad Saeed Al Abdolli , originaire de la ville de Fajira aux Emirats qui est derrière l'offensive terroristes contre cette ville" " C'est lui qui avait planifié et commandité l'assaut des milliers de terroristes d'Al Nosra contre Raza et qui a d'ailleurs été abattu par les snipers de l'armée syrienne . il a été le cerveau de cette opération " Toujours selon le site Al Ahd, " Al Abdoli a été également le théoricien de l'attaque du mois dernier contre l'aéroport militaire de Taftanaz dans la banlieu nord d'Idleb. A la dernière nouvelle, pr(s de 250 terroristes d'Al Nosra ont été tués au cours d'accrochages avec l'armée nationale et leusr corps sont abandonéns autour du bâtiment militaire et sécuritaire de Raza. pour l'armée syrienne, la guerre de Raqa n'est pas encore terminée et les renforts viennent d'arriver dans la région en vue de lancer une nouvelle offenisve et de reprendre la ville.