Les attaques de l'armée israélienne contre les hôpitaux détruisent le système de santé de Gaza et devraient faire l'objet d'une enquête en tant que crimes de guerre, a déclaré Human Rights Watch alors que les hôpitaux de Gaza sont hors service.

Human Rights Watch, (HRW) a rejeté dans un nouveau rapport les allégations des sionistes prétendant que la Résistance palestinienne utilisait les hôpitaux de Gaza à des fins militaires. Cette organisation souligne que les attaques israéliennes contre les hôpitaux et les infrastructures médicales constituent un crime de guerre et que les Etats-Unis et l'Europe devraient cesser de soutenir militairement le régime israélien.

À la suite des attaques brutales et constantes du régime sioniste contre des centres civils, en particulier les hôpitaux, les centres médicaux et de santé dans la bande de Gaza, HRW a annoncé qu’aucune preuve ne justifiait de priver les hôpitaux et les ambulances de leur statut protégé conformément aux normes de droit international.

Des groupes de défense des droits vont poursuivre le gouvernement néerlandais pour avoir « soutenu » les crimes israéliens à Gaza.

Quatre groupes de défense des droits poursuivent le gouvernement néerlandais pour sa position sur le conflit à Gaza, qui, selon eux, équivaut à soutenir les violations commises par Israël, rapporte l’agence Anadolu.

Dans une déclaration commune mardi, Oxfam Novib, Amnesty International, PAX et The Rights Forum ont affirmé que les Pays-Bas sont « en partie responsables des violations des lois de la guerre et des punitions collectives infligées à la population civile de Gaza », notamment en raison de leurs exportations continues d'armes en Israël.

Ces déclarations contre le gouvernement néerlandais ont été évoquées depuis que malgré l'augmentation significative du nombre de victimes civiles à Gaza, le gouvernement d’Amsterdam poursuit ses exportations des armes vers Tel-Aviv sans faire aucun cas des lois sur les droits de l'homme. 

L'ambassadeur d'Iran en Belgique a condamné les États-Unis et l'Union européenne pour leur approche partiale face au génocide en cours mené par le régime israélien contre la bande de Gaza assiégée.

Gholamhossein Dehghani a fait ces remarques lundi lors d'une conférence de presse, aux côtés des ambassadeurs des États membres de l'Organisation de la coopération islamique (OCI), à Bruxelles, la capitale belge.

« Au cours des 30 derniers jours, nous avons été témoins d’une approche partiale de l'Union européenne, des États-Unis et de nombreux pays européens à l'égard des actes criminels commis par Israël à Gaza », a-t-il déclaré.

« Malgré le tollé mondial et les demandes de cessez-le-feu émanant de la population dans la rue, des États-Unis à l'Europe en passant par l'Australie, les décideurs occidentaux ne tiennent malheureusement pas compte des souhaits du peuple », a ajouté l'envoyé iranien.

La France et l'Angleterre poursuivent leurs programmes d’entraînement au combat qui ont formé des dizaines de milliers d’Ukrainiens au combat sur la ligne de front contre la Russie.

Les médias ont rapporté lundi 13 novembre que la France et la Grande-Bretagne avaient commencé à entraîner des milliers de soldats ukrainiens pour contrer une nouvelle vague d'attaques militaires russes.

Les alliés occidentaux de l'Ukraine, dont la France et l'Angleterre, poursuivent en effet leurs programmes de formation qui préparent des dizaines de milliers de soldats ukrainiens sur la ligne de front contre la Russie.

Le ministère iranien de la Défense s’oriente vers la fabrication d’équipements militaires révolutionnaires, envisageant des guerres basées sur de telles technologies dans le futur, a déclaré, lundi 13 novembre, le vice-ministre iranien de la Défense, le général de brigade Mehdi Farahi, lors de la première conférence internationale commémorant le 12^e anniversaire du martyre du général Hassan Tehrani Moqaddam, connu pour ses efforts incessants dans le développement du programme balistique du pays.

Les experts iraniens du ministère de la Défense ne cherchent pas à fabriquer de simples pièces militaires, ils se dirigent désormais vers la production d'équipements militaires de pointe, a déclaré le général Mehdi Farahi, avant d'ajouter que de telles réalisations militaires renforceraient davantage le pouvoir de dissuasion de l'Iran.

L'armée israélienne a reconnu que deux de ses effectifs ont été tués et quatre autres blessés lundi soir lors de combats terrestres avec la Résistance palestinienne dans le nord de la bande de Gaza.

Le major Issaschar Natan et le sergent d'état-major Itay Shoham qui faisaient partie d'une brigade commando ont été tués dans des affrontements du Nord de la bande de Gaza, lit-on dans le communiqué de l’armée israélienne.

Les équipages aériens des escadrons d'hélicoptères de sauvetage et les combattants de l'unité 669 ont procédé depuis le début de l’opération terrestre à plus de 260 d’évacuation de mort et de blessés de la zone de combat dans la bande de Gaza.

L’armée israélienne a pris pour cible avec deux missiles un convoi de journalistes dans le village de Yaroun, situé dans la zone frontalière entre le Liban et les territoires palestiniens occupés, ont fait savoir lundi 13 novembre, les sources d’information libanaises.

À la suite de cette attaque, le bureau des relations publiques du Hezbollah libanais a publié un communiqué, condamnant l’attaque des militaires du régime d’occupation israélien contre les journalistes en exercice dans le sud du Liban.

Considérant cette attaque israélienne comme un crime et une agression flagrante visant à empêcher les médias de dénoncer les actes terroristes du régime, le mouvement de la Résistance libanaise a souligné que ce crime s'inscrivait dans le bilan sanglant du régime israélien à l'encontre des médias et des journalistes.

Le Mouvement de résistance islamique de la Palestine, Hamas, a réagi, lundi 13 novembre, à la déclaration de Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, contre la Résistance palestinienne, rapporte l’agence de presse Fars. D’après le mouvement Hamas, Borrell a altéré les faits et soutenu les occupants dans les crimes qu’ils continuent à commettre contre les Palestiniens.

Dans une déclaration au nom de l’Union européenne, Borrell a tout récemment condamné le Hamas et insisté sur ce qu’il appelle le « droit d’Israël à se défendre ».

Le Hamas y a réagi en indiquant que Josep Borrell a altéré la réalité par ses accusations d’après lesquelles la Résistance aurait utilisé les hôpitaux et les civils comme boucliers humains.

« Ces accusations représentent le soutien de l’Europe aux occupants pour commettre davantage de crimes contre les enfants et les civils sans défense », précise le Hamas.

Citant le média indonésien Republik, l’édition anglaise d’Al-Mayadeen rapporte que des activistes malaisiens et indonésiens ont appelé au boycott des produits liés à Israël en signe de protestation contre le génocide des Gazaouis par le régime israélien.

L’appel au boycott a été initialement lancé par des groupes de défense des droits de l’homme en Indonésie et en Malaisie et s’est progressivement développé pour attirer l’appui de divers partis politiques, a indiqué le média.

La liste comprendrait des sociétés telles que Coca-Cola, Starbucks, McDonald’s, KFC, Nestlé et IBM.

« Nous, à la Chambre des représentants, appelons à ce que ce mouvement de boycott des produits israéliens devienne la position officielle du gouvernement indonésien et soit suivie par toutes les entreprises et la société indonésiennes », a déclaré à Republika Amin Ak, membre du Parlement indonésien.

Des milliers de colons et de soldats israéliens sont aux prises avec la dépression en Palestine occupée où le bilan des suicides montre une hausse depuis le 7 octobre dernier.

Le journal israélien Maariv appelle « le samedi noir » le 7 octobre dernier marquant l’éclatement d’une guerre qui a entraîné de graves problèmes de santé psychique à des milliers de colons et militaires israéliens.

« Des centaines de soldats israéliens souffrent désormais de graves problèmes psychiques dus à la gravité de l’état de choc qu’ils ont vécu le 7 octobre (et de la gravité de la guerre dont ils ont été témoins avec le déclenchement de l’invasion terrestre à Gaza) ; cela à tel point que le secteur psychiatrique du système de santé israélien en est lourdement sous pression », écrit Maariv ; or, « les experts ne savent toujours pas quelles conséquences ces problèmes auront à long terme pour ceux qui en souffrent », ajoute le rapport.