
تقي زاده
Les forces israéliennes attaquent Gaza sous la menace d’une invasion terrestre
Les forces israéliennes, secondées par des avions de guerre, ont mené un bref raid terrestre dans le centre de Gaza dans le cadre d'une incursion terrestre qu'elles menaçaient de lancer dans l'enclave assiégée.
L'armée israélienne a annoncé vendredi matin que son infanterie avait mené un "raid ciblé dans le secteur central de la bande de Gaza", soutenu par des "chasseurs et des drones".
Selon l'armée israélienne, les chars et l'infanterie israéliens ont mené un raid similaire dans le nord de la bande de Gaza la nuit précédente.
Cette déclaration intervient alors que des dizaines de milliers de soldats israéliens se sont massés le long de la barrière séparant les territoires occupés de Gaza, en prévision d'une éventuelle incursion terrestre.
On craint que cette incursion n'entraîne une augmentation exponentielle du nombre de Palestiniens tués dans les frappes aériennes israéliennes depuis le 7 octobre, qui dépasse désormais les 7 000.
Gaza: la famine est utilisée comme une « arme de guerre » par Israël
Oxfam affirme que seulement 2% de la nourriture qui aurait été livrée est entrée à Gaza depuis qu'Israël a imposé un blocus complet sur l'enclave côtière. Il indique que même si une petite quantité d’aide alimentaire a été autorisée, aucune importation commerciale de nourriture n’a été livrée.
L’ONU affirme que les hôpitaux de la bande de Gaza n’admettent désormais que les cas d’urgence car ils manquent dangereusement de carburant. C’est parce qu’Israël bloque les livraisons de carburant à Gaza. Dans le même temps, l'UNRWA, l'agence des Nations Unies chargée des opérations humanitaires à Gaza, affirme qu'elle pourrait fermer ses portes dans les prochaines heures en raison d'un manque de carburant.
Leader: les USA, complices définitifs des crimes du régime sioniste à Gaza (Débat)
Le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Ali Khamenei, a déclaré lors d'une rencontre ce mercredi 25 octobre avec des membres du Congrès de commémoration des martyrs de la province de Lorestan que « les États-Unis sont les complices définitifs des crimes du régime sioniste à Gaza ».
« La présence des dirigeants des pays tyranniques et méchants dans les territoires occupés témoigne de leur inquiétude face à la désintégration et l’effondrement du régime sioniste », a-t-il fait remarquer.
« Les États islamiques ne devraient pas rester passifs. La victoire définitive appartient à la Palestine », a-t-il affirmé.
« La population de Gaza est réellement opprimée et cet ennemi impitoyable et sanguinaire, le régime terroriste usurpateur, ne connaît aucune limite à ses crimes. »
L'honorable Ayatollah Khamenei a appelé les gouvernements musulmans à rester prudents et vigilants sur la question palestinienne. « Les pays islamiques et leurs porte-parole politiques ne devraient pas céder à la campagne d’intoxication de l’Occident. Ils ne devraient non plus qualifier les Palestiniens de "terroristes" en répétant [leurs allégations ] », a-t-il averti. « Les Américains qualifient de terroristes les Palestiniens qui défendent leur foyer et leur patrie, mais le régime usurpateur qui usurpe leurs maisons et leurs territoires n'est-il pas terroriste ? »
« Que tout le monde sache que dans ce conflit et dans les conflits suivants, la victoire appartiendra à la nation palestinienne et que le monde futur sera celui de la Palestine, pas celui du régime sioniste », a conclu le Leader de la Révolution islamique.
Ghada Hoballah, géopoliticienne et Ayssar Midani, experte des questions politique, s'expriment sur ce sujet.
Réaction après le communiqué de presse diffusé par l’ambassade d’Israël à Dakar ce samedi 7 octobre 2023 après l’attaque-riposte du Hamas
A QUI FAIRE CONFIANCE POUR RECOUVRER LEUR DROIT SUR LEURS TERRES OCCUPEES PAR ISRAËL ? Par Cheikh Oumar Tall, Directeur du mensuel Le Jour Al Yawmou A qui les Palestiniens devront-ils faire confiance ? Aux Européens ? A l’Onu ? La question reste posée. Quand on sait qu’on ne peut pas mettre sur le même plan toutes les résolutions de l’Onu, les unes étant obligatoires, les autres étant de simples recommandations. Les résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité votées au lendemain de la guerre de juin 1967 et qui constituent le fondement du processus de paix sont obligatoires (binding) mais malgré leur caractère obligatoire, Israël a toujours refusé de les respecter et de les appliquer. Pendant que ce même Conseil de sécurité s’acharne contre l’Irak de Saddam Hussein et contre l’Iran de l’Imam Khomeiny pour les obliger à appliquer les résolutions de l’Onu, comme sur la question de la bombe atomique possédée par Israël et que l’on refuse pour l’Iran ? Pourquoi Israël qui possède plus de 200 bombes atomiques refuse-t-il les inspections de l’Agence internationale de l’Onu ? Et pourtant, c’est cette même résolution du Conseil de sécurité de l’Onu qui a permis la création de l’Etat d’Israël en 1947. Par contre, la résolution 194 votée par l’Assemblée générale de l’Onu en décembre 1948 n’était qu’une simple recommandation. C’est l’article 11 de cette résolution qui a abordé la question du retour chez eux en Palestine (actuel Israël) des réfugiés arabes palestiniens. Des milieux officiels européens déclarent ouvertement que l’Europe ne créera jamais les conditions de la désintégration de la désintégration de l’Etat juif. Car, disent-ils, accorder le droit au retour ou œuvrer directement ou indirectement au retour des réfugiés dans leurs foyers c’est donner un chèque blanc aux réfugiés arabes palestiniens, à leurs enfants et petits-enfants.Les 800.000 réfugiés de la guerre de 1948-49 chassés, expulsés de leurs maisons par l’armée israélienne sont devenus après 50 ansd’exil 4 millions à l’extérieur de la Palestine (actuel Israël). Les autoriser à rentrer, équivaut à la disparition de l’Etat hébreu au bout d’une génération. Il faut rappeler que l’essentiel de la population israélienne est originaire des pays de l’Europe de l’est. D’ailleurs il était question dans un premier temps, d’implanter l’Etat d’Israël en Argentine ou en Ouganda. C’est à la dernière minute que l’Onu et les Britanniques ont créé l’Etat d’Israël sur les terres de la Palestine. Pour l’histoire, nous vous rappelons la fameuse déclaration de Lord Balfour. Considérant l’holocauste et les camps de concentration pour exterminer les juifs, les Israéliens devraient régler leurs comptes avec leurs parents européens, singulièrement les Allemands. Au lieu de cela, ils rejettent leur colère et se vengent sur les populations palestiniennes innocentes et qui ne sont en rien responsables de leurs malheurs. Dans ces conditions, est-ce que l’Intifada et le Jihad que prônent les Islamistes, du Hamas palestinien et Hezbollah libanais ne s’imposent donc pas pour chasser les envahisseurs israéliens et libérer la Palestine ? Donc tout acte que les Palestiniens font contre ces usurpateurs israéliens est question de vengeance, riposte, résistance et légitime défense pour libérer leur patrie. C’est pourquoi quand l’occident parle du droit d’Israël de se défendre, mais quel droit a-t-il de se défendre quand on sait que c’est Israël lui-même qui s’est introduit et s’est accaparé des terres palestiniennes ? Donc pourquoi Israël a le droit de se défendre alors que les propriétaires de la terre palestinienne n’ont pas le droit se défendre ? En Afrique du sud, le système de l’apartheid n’a été éliminé que par la force des armes, etpar la pression tant à l’intérieur qu’à l’extérieur par l’Anc, qui a toujours été déclaré « mouvement terroriste » par Prétoria et ses soutiens occidentaux ce n’étaient pas des négociations surtout bidon telles que Camp David 1 et 2, les accords d’Oslo ;etc et à n’en plus finir, qui avaient libéré les Noirs d’Afrique du sud. Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne et du parti politique laïc le Fatah qu’il dirige et le monde arabo-musulman devraient accepter l’évidence que désormais seule le lutte armée que prône le parti politique islamique le Hamas est en mesure de régler la question palestinienne et le sort de la mosquée d’Al Aqsa. Signalons que le Hamas est sorti vainqueur des dernières élections législatives du parlement palestinien. Dans sa quête de recouvrer les terres palestiniennes le Hamas est donc en plein droit d’utiliser tous les moyens politiques ou autres, y compris par les armes. Compte tenu de cette réalité historique, je m’offusque contre le gouvernement sénégalais qui condamne l’attaque du Hamas contre Israël alors que les pays de la Oumma islamique soutiennent fermement cette riposte, ou cet acte de résistance. Surtout quand on sait que la bande de Gaza est sous blocus depuis des décennies et subit régulièrement des attaques de l’armée aérienne israélienne qui tue la vaillante population civile palestinienne. Il y a quelques jours seulement d’ailleurs, le gouvernement israélien a sorti une carte qui rayait carrément le territoire palestinien qu’il incluait dans le territoire usurpé d’Israël.Un député européen s’est indigné de l’attitude de l’Europe qui ne réagit pas face aux atrocités commises par Israël contre les Palestiniens alors que s’il s’agissait d’un seul ukrainien braqué par les armes russes, tous les européens auraient crié au scandale. La vie d’un Ukrainien vaut-elle mieux que celle d’un Palestinien ?S’était-t-il demandé, en dénonçant l’hypocrisie de la commission européenne et du parlement européen. Cheikh Oumar Tall
L'Iran met en garde contre les soutiens au génocide à Gaza
S’adressant aux bellicistes sionistes et aux hommes d'État américains, le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies : « Nous ne sommes pas d’accord avec l'expansion de la guerre dans la région, mais si le génocide à Gaza se poursuit, vous ne serez pas épargnés par cet embrasement. »
Lors de la réunion de l'Assemblée générale à New York, le ministre iranien des Affaires étrangères a rappelé que l'Iran a joué un rôle constructif dans la promotion de la paix et de la stabilité et dans la lutte contre le terrorisme et Daech.
Hamas : la poursuite de la guerre contre Gaza rendra la région hors de contrôle
Le mouvement de résistance islamique de la Palestine, Hamas, a averti que la poursuite de la guerre d’agression du régime israélien contre la bande de Gaza « rendrait la région entière hors de contrôle ».
Ismaïl Haniyeh, chef du bureau politique du Hamas, a lancé un avertissement jeudi 26 octobre, au 20e jour d’une guerre acharnée menée par le régime israélien contre l’enclave côtière qui a jusqu’à présent fait plus de 7 000 morts.
« La poursuite de l’agression contre Gaza rendra toute la région incontrôlable. C’est devenu une question brûlante et personne ne peut en prédire le cours ou l’issue », a-t-il insisté.
Gaza : 3 000 enfants tués par Israël depuis le 7 octobre, selon l'envoyé palestinien à l'ONU
L’ambassadeur palestinien auprès des Nations unies, Riyad Mansour, a affirmé jeudi lors d’une session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies que 7 000 Palestiniens avaient été tués par les attaques israéliennes à Gaza, ajoutant que 70 % de toutes les personnes tuées sont des femmes et des enfants.
« Quelque 3 000 enfants ont été tués par Israël depuis les attaques lancées le 7 octobre », a-t-il dénoncé.
« Je le répète, 3 000 enfants, des enfants innocents, des anges tués à Gaza au cours des trois dernières semaines », a-t-il déploré.
« Est-ce la guerre que certains d’entre vous défendent ? Je le répète, est-ce la guerre que certains d’entre vous défendent ? », s’est-il adressé aux États occidentaux.
Les forces américaines et alliés ont été attaquées 16 fois en Irak et en Syrie ce mois-ci (Pentagone)
Au milieu de l’indignation régionale face au soutien massif des États-Unis aux bombardements incessants du régime israélien contre les Palestiniens dans la bande de Gaza, les États-Unis affirment que leurs forces et leurs alliés ont été attaqués à au moins 16 reprises à travers l’Irak et la Syrie voisine ce mois-ci.
Depuis le 17 octobre, « les forces américaines et de la coalition ont été attaquées au moins 12 fois en Irak [et] quatre fois en Syrie », a déclaré jeudi 26 octobre le général de brigade Pat Ryder, porte-parole du Pentagone.
Ryder a déclaré que la dernière de ces attaques a eu lieu jeudi 26 octobre dans la région du Kurdistan (nord de l’Irak), n’ayant causé « aucune victime » imposant seulement « quelques dégâts mineurs aux infrastructures ».
Le « silence stratégique » du Secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah, perturbe les sionistes
Par Julia Kassem
Au milieu des bruits assourdissants des sirènes des raids aériens et du barrage incessant de roquettes qui frappent les maisons palestiniennes dans la bande de Gaza densément peuplée, seul le son du silence du secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah, est le plus assourdissant.
Depuis que le mouvement de Résistance libanais a averti de rejoindre la guerre au cas où le régime israélien poursuivrait son ambitieux plan d’« invasion terrestre », les Israéliens et les Américains ont été contraints de rester les bras croisés et d’envisager différents scénarios et conséquences de cette opération téméraire et risquée.
Le président américain Joe Biden, selon un article paru sur le site web Axios, était « particulièrement préoccupé » lors de sa rencontre avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à Tel-Aviv que le Hezbollah ne « décide de rejoindre la guerre », ce qui « augmenterait les chances d’un conflit plus large » dans la région de l’Asie de l’Ouest.
Au milieu de la rhétorique guerrière dans les coulisses à Tel-Aviv et à Washington, une question que tout le monde semble se poser est la suivante : comment le mouvement de résistance libanais du Hezbollah réagirait-il, si la guerre s’étendait ?
Les gros titres des médias occidentaux et sionistes de ces dernières semaines soulignent l’importance du Hezbollah et la manière dont le mouvement peut détruire les calculs de l’ennemi sioniste en cas d’offensive terrestre.
« Où est Nasrallah ? Le Secrétaire général du Hezbollah reste silencieux face aux attaques à Gaza », a interrogé Middle East Eye. « Nasrallah reste silencieux tandis que des milliers de personnes fuient le Sud-Liban », a écrit le journal israélien Ynetnews. « Le silence inquiétant de Hassan Nasrallah au Liban », a écrit le Jewish News Syndicate.
Ce que révèlent ces gros titres, c’est le désespoir du régime occupant de sortir de la confusion dans laquelle il se trouve et d’avoir une idée de ce qui l’attend grâce au discours de Seyyed Hassan Nasrallah.
Les États-Unis ont exhorté Tel-Aviv à retenir et à retarder l’offensive terrestre, et le régime israélien a jusqu’à présent accepté, principalement en raison de ses propres contraintes et du besoin de renforts américains.
La Résistance palestinienne, qui prend déjà le dessus en termes de stratégie, de force et de puissance, a démontré que l’offensive terrestre serait une proposition coûteuse. Cela a même empêché les chars Merkava, très médiatisés, d’entrer dans les frontières de Gaza, à Khan Younès et Rafah.
Le 25 octobre, le Secrétaire général du Hezbollah a annoncé que 41 combattants de la Résistance libanaise qui sont tombés en martyrs dans les combats contre l’ennemi sioniste après le 7 octobre étaient des « martyrs sur le chemin de Qods », donnant ainsi le ton de ce qui nous attend : la libération complète de Qods du joug de l’occupation sioniste par le Hezbollah.
En allusion à la fin ultime de la bataille actuelle comme la libération de la Palestine, cette annonce a ouvert une nouvelle étape dans les objectifs de l’axe de la Résistance avec plus de conviction et de détermination.
Bien qu’un discours n’ait pas encore été prononcé, les actions de Hassan Nasrallah ont été plus bruyantes que n’importe quel discours : dé-sécurisation de la frontière, provoquant l’évacuation de plus de 40 colonies de peuplement situées dans un rayon de 5 km de la frontière libanaise, touchant chaque cible avec 20 attaques au mortier, plus de 70 tirs d’AGTM, et plus d’une douzaine de Merkavas. Ces actions sont plus éloquentes que les mots, mais il reste encore beaucoup à faire.
Le discours sur l’implication du Hezbollah dans la guerre passe à côté du fait que tous les armements de l’axe de la Résistance sont utilisés avec une coordination et une stratégie minutieuses.
Le 18 octobre, Biden a mis en garde le Hezbollah contre toute participation à la guerre, terrifié par la menace existentielle que le Hezbollah fait peser sur un régime qui n’est en réalité qu’une poudrière. Cette menace existentielle pour l’occupation a incité Biden à conseiller également à son allié Tel-Aviv de ne pas prendre de mesures précipitées et imprudentes.
Alors que le Hezbollah s’est engagé ces dernières semaines dans des batailles limitées contre l’entité sioniste du Nord, visant essentiellement à distraire et à confondre l’ennemi qui est plus faible que la toile d’araignée, il a jusqu’à présent permis à la résistance palestinienne de gérer la situation globale sur la ligne de front.
Le Hezbollah a tissé un nœud autour de l’entité sioniste à partir des fils de sa propre toile faible au Nord – suffisamment pour accroître la confusion et la distraction sans créer d’escalade.
Ce que l’entité sioniste semble implorer, c’est une réponse à sa montre à tic-tac, un signe, une réponse, une étape dans son plan à surveiller, à observer et à enregistrer.
La tactique de patience stratégique, que le groupe de réflexion américain The Washington Institute a décrite comme un « défi persistant pour l’administration Biden » - découle de son concept fondamental islamique (patience) pour être tout autant une stratégie politique de lutte qu’une stratégie politique de lutte personnelle à travers ses épreuves personnelles.
Compte tenu de cela, les faucons de guerre basés à Washington sont loin d’être de bons planificateurs. La Résistance, avec sa stratégie et sa patience, détient ici la clé. Et cette bataille se terminera aussi comme les plans de la Résistance.
Julia Kassem est une écrivaine indépendante, ayant contribué à Riverwise, Against the Current, de Detroit, et à des médias syndiqués à l’échelle nationale tels que Counterpunch, Mintpressnews et TruthOut.
Les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël « effondrés » par la Résistance palestinienne, selon le chef du CGRI
Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) s’est félicité de la défaite « stupéfiante » d’Israël face aux combattants de la Résistance palestinienne. Leur opération a fait s’effondrer le régime occupant et ses alliés, a-t-il affirmé.
Le général de division Hossein Salami a participé jeudi à une conférence dans la ville sainte de Machhad, alors que le régime de Tel-Aviv peine à contrecarrer l’opération Tempête d’Al-Aqsa menée par le mouvement de résistance, Hamas, depuis le 7 octobre.