
تقي زاده
Le ministre iranien de la Défense: Mattis devrait consulter un médecin
" Le secrétaire à la Défense Vous devriez consulter un médecin; Je pense qu'il avait de la fièvre et délirait ", dit le commandant militaire iranien en référence aux déclarations Mattis selon laquelle l'Iran est pas un pays démocratique et est le facteur le plus déstabilisant au Moyen-Orient.
Dans ses remarques en marge d'une réunion du cabinet iranien, ministre de la Défense a rappelé que le pays perse chaque fois que Washington a tenté d'agir contre l'Iran, directement ou indirectement, le peuple iranien a montré que ne tolère pas le mépris, l'insulte ou la menace de toute puissance mondiale.
Le ministre iranien de la défense a rejeté les déclarations « honteuses » Mattis mardi, porte atteinte à ses vue du droit international, et a souligné que les Américains devraient chercher à résoudre leurs propres problèmes, plutôt que de se mêler des affaires des autres les pays.
Le brigadier-général a également parlé EIIL (Daesh, en arabe) groupe terroriste, alors que l'idéologie de la bande takfiri a perdu toute trace de base rationnelle, donc vous ne trouvez pas l'acceptation partout dans le monde.
Après avoir fait allusion au fait que le Takfiri terroriste perd ses zones de concentration en Irak et dans de nombreuses régions de la Syrie, Dehqan dit que dans le cas où il y a un sérieux sera en mesure d'éliminer les terroristes laissés dans le Moyen Orient.
Ce n'est pas la première fois que Mattis est contre la République islamique d'Iran. Ce qu'il a fait fin mai dernier quand, dans une interview accordée à la chaîne de télévision américaine CBS, a accusé Téhéran de déstabiliser le Moyen-Orient et de tenter d'assassiner le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir.
Ministère iranien des Affaires étrangères a rejeté ces accusations durement de chef du Pentagone et biffé ces réclamations « fabriquées et dénuées de fondement ».
L'arrêt de l'unique centrale électrique de la bande de Gaza
La bande de Gaza, avec une population de plus de deux millions d'habitants, connaît une grave crise énergétique depuis la mi-avril en raison des conflits entre le mouvement du Hamas, qui contrôle l'enclave, et le président palestinien Mahmoud Abbas sur la question des taxes, imposées par le gouvernement de M. Abbas sur le carburant industriel nécessaire à la centrale.
Les responsables de la société de l'électricité de Gaza ont déclaré que l'enclave, assiégée par Israël pendant plus de dix ans, a besoin d'environ 500 mégawatts d'électricité.
Si les quatre turbines de la centrale électrique fonctionnent normalement, la centrale peut produire environ 80 mégawatts, avec 120 mégawatts reçus d'Israël et environ 30 mégawatts reçus d'Egypte.
Cette situation se poursuit depuis 2007, année à laquelle le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza, où les approvisionnements en électricité des civils ont été souvent coupés.
Depuis avril dernier, Israël a réduit ses approvisionnements électriques à la bande de Gaza à 55 mégawatts, et les lignes électriques égyptiennes sont toujours endommagées en raison de la situation de sécurité au Sinaï.
Il y a deux semaines, l'Égypte a livré environ 4 millions de litres de carburant à Gaza pour rendre la seule centrale électrique opérationnelle, mais le problème de la pénurie d'électricité dans la bande de Gaza n'a jamais été résolu.
Le régime israélien cherche à finaliser un accord gazier avec la Turquie
"Nous déployons d'énormes efforts pour conclure l'accord", a dit M. Steinitz, ajoutant que M. Albayrak pourrait se rendre en Israël cette année.
Des entreprises turques et israéliennes discutent du projet de construction du gazoduc qui permettra d'acheminer du gaz naturel vers l'Europe depuis le gisement de gaz Leviathan, au large des territoires occupés palestiniens, dans la mer Méditerranée, a rapporté Anadolu.
Les deux ministres se sont rencontrés une première fois, à Istanbul, en octobre dernier, en marge du congrès mondial de l'énergie, car leurs régimes avaient l'intention de normaliser leurs liens diplomatiques après une interruption de six ans. En 2010, les forces israéliennes avaient lancé un raid à l'encontre d'un navire turc qui se dirigeait vers la bande de Gaza. Dix passagers turcs avaient trouvé la mort.
Dehqan met en garde les États-Unis contre toute tentative contre l’Iran
En réaction aux récentes déclarations de son homologue américain, le ministre iranien de la Défense a fait savoir que le peuple iranien ne tolérerait aucune menace, aucune humiliation, ni aucun affront de la part de quelque puissance que ce soit, en ajoutant que si les États-Unis et leurs alliés commettaient une action contre l’Iran, ils le regretteraient.
« Chaque fois que les États-Unis ont tenté de commettre une action contre l’Iran, le peuple iranien le leur a fait regretter », a affirmé aux journalistes ce mercredi 12 juillet le ministre iranien de la Défense, le général Hossein Dehqan.
« Le secrétaire américain à la Défense ferait mieux de consulter son médecin. Je crois qu’il a de la fièvre et qu’il délire », a déclaré le général Dehqan.
« Daech est devenu une idéologie dépourvue de tout fondement raisonnable », a-t-il précisé.
« Tous les engins dont disposent les forces armées iraniennes sont fabriqués par le ministère de la Défense », a-t-il indiqué.
La Russie ne peut plus faire preuve de patience à l’égard de Washington
En faisant allusion dans un communiqué à la récente tension diplomatique avec les États-Unis, le Kremlin a affirmé que Moscou ne pouvait plus faire preuve de patience à l’égard de Washington.
« Moscou ne peut plus tolérer la tension dans ses relations diplomatiques avec les États-Unis », a annoncé ce mercredi 12 juillet le Kremlin, a rapporté Reuters.
« La Russie à l’intention de se comporter envers les États-Unis conformément au principe de réciprocité », a également affirmé le Kremlin.
Le Kremlin a démenti, aujourd’hui, toute implication dans la rencontre de 2016 entre le fils aîné du président américain Donald Trump et une avocate russe, qualifiant le dernier scandale visant l’équipe de Trump de « feuilleton qui dure depuis trop longtemps ».
« En vertu du droit international, la Russie ne peut plus supporter cette situation et elle se doit d’appliquer le principe de réciprocité », a précisé le porte-parole du Kremlin, Dimitri Peskov, selon ce rapport.
Pour rappel, en 2016, Washington a expulsé des diplomates russes et saisi les avoirs de l’ambassade de Russie.
« Mais nous nous attendons à ce que nous collègues à Washington fassent preuve d’une volonté politique pour mettre fin aux cas de violation des lois internationales qu’ils ont avoué avoir commis », a poursuivi Peskov.
Le porte-parole russe n’a pas indiqué à quelle date Moscou déciderait des mesures concrètes en représailles à l’expulsion fin 2016 par l’administration américaine de 35 diplomates russes.
Toutefois, « Moscou n’attend aucune concession de la part de l’administration de Trump », a fait savoir Peskov.
Trois accords signés, la coopération ferroviaire irano-italienne renforcée
Les sociétés de chemins de fer de la République islamique d’Iran et de l’Italie ont conclu trois accords en matière de coopération, d’investissement et d’éducation.
Le directeur général du Ferrovie dello Stato Italian (FS), Renato Mazzoncini, et le PDG de la société de chemins de fer de la République islamique d’Iran, Saïd Mohammad-Zadeh, ont signé, ce mardi 11 juillet, un contrat d’un montant d’un milliard deux cents millions d’euros qui prévoit la conception et la construction d’une ligne à grande vitesse reliant les villes iraniennes de Qom et d’Arak. Cette ligne sera longue de 125 kilomètres.
Ce contrat a été signé en marge d’une rencontre entre les deux responsables iranien et italien.
Le deuxième accord ferroviaire a été conclu entre les sociétés de chemins de fer iranienne et italienne et l’Université Elm-o-Sanat de Téhéran. Cet accord prévoit l’établissement des coopérations scientifiques et académiques entre les parties iranienne et italienne.
Le troisième accord a été signé entre l’Université Elm-o-Sanat et une université italienne qui permettra à ces deux établissements de mener des coopérations scientifiques concernant les voies ferroviaires.
Selon M. Saïd Mohammad-Zadeh, le 11e gouvernement iranien a investi un milliard et demi de dollars dans le secteur ferroviaire. Par ailleurs, le Haut Conseil de l’Économie a accepté d’allouer une somme de 7,5 milliards de dollars supplémentaires aux chemins de fer en puisant dans les économies réalisées sur la consommation de carburant.
Donald Trump et Vladimir Poutine sont-ils toujours des amis ?
Le feu vert de la Maison-Blanche à une nouvelle série de sanctions anti-russes, à peine une semaine après un tête-à-tête entre Vladimir Poutine et Donald Trump, a douché les espoirs d’un réchauffement Moscou-Washington.
Le site web Rosbalt a publié, le mardi 11 juillet, un article traitant des relations russo-américaines.
« Le refus de Donald Trump de mettre sur pied un groupe de travail conjoint russo-américain en matière de sécurité cybernétique, sujet traité lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Hambourg, ne fut pas la seule mauvaise surprise, puisque la Maison-Blanche s’est dite prête à soutenir les nouvelles sanctions anti-russes. Le directeur aux affaires législatives de la Maison-Blanche, Marc Short, a déclaré, ce lundi 10 juillet, que la Maison-Blanche apporterait son soutien indéfectible à un projet de loi prévoyant l’adoption de nouvelles sanctions contre l’Iran et la Russie. Le feu vert de Washington audit projet de loi a été annoncé après une longue période d’incertitude, car ce projet, une fois entériné, restreindra les prérogatives du président des États-Unis quant à une possible révision des sanctions et l’empêchera, le cas échéant, de réagir adéquatement à des cas particuliers », lit-on dans l’article.
Et d’ajouter : « À peine une semaine après que les présidents américain et russe se furent retrouvés à Hambourg, Donald Trump s’est finalement décidé à complaire aux élus du Congrès en soutenant l’adoption d’une nouvelle série de sanctions anti-russes. La Russie voit en cette démarche la perspective de nouvelles restrictions, dont l’annulation, voire la révision, semble très peu probable. C’est la raison pour laquelle Moscou envisage des mesures de rétorsion. Dans la foulée, le ministère russe des Affaires étrangères vient d’annoncer la possibilité d’expulser une trentaine de diplomates américains du territoire russe. Cependant, cette décision semble avoir été prise en réaction à l’expulsion de plusieurs diplomates russes et à la confiscation de deux immeubles appartenant à l’ambassade russe aux États-Unis. Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a dénoncé, le lundi 10 juillet, la réticence des États-Unis quant au règlement de ce problème juridique [la confiscation des bâtiments appartenant à la Russie sur le sol américain, NDLR], étant donné que ce pays se prend pour un gendarme sur le plan du droit international. Lavrov a rappelé que cette situation était due aux politiques de Barack Obama et qu’elle persistait en raison des tendances anti-russes du Congrès américain. Il paraît que les mesures de rétorsion que préparent les Russes ne se limitent pas à une simple riposte et qu’elles sont plutôt alimentées par la remarquable dégradation des relations Moscou-Washington à l’issue de la première rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine à Hambourg, laquelle a vraiment frustré les responsables du Kremlin. »
Rosbalt s’est ensuite référé à l’analyse de plusieurs experts géopolitiques, qui croient que les relations Moscou-Washington ont connu leur âge d’or sous le mandat du président Obama, surtout par rapport à celui de Donald Trump. En réalité, Donald Trump, un homme d’État imprévisible qui ne connaît pas bien les règles diplomatiques, n’envisage nullement d’établir des relations amicales avec Moscou et dans une conjoncture où le bras de fer entre la Russie et les États-Unis semble plus sérieux que jamais, c’est le Kremlin qui est donné perdant.
Washington envisage de renforcer son intervention militaire en Libye
Deux responsables américains ont annoncé que la nouvelle approche des États-Unis envers la Libye consistait à renforcer leur intervention politique et militaire dans ce pays.
Selon Fars News, citant les deux responsables américains, la nouvelle stratégie militaire et politique de Washington envers Tripoli consistant à augmenter ses interventions d'ordre politique et militaire en Libye serait finalisée dans les semaines à venir par le président Donald Trump.
"A l'appui de ce projet, Washington tente de rétablir la conciliation entre les partis rivaux à l'est et à l'ouest de la Libye", ont constaté ces responsables américains, cités par la chaîne de télévision américaine CNN. Selon le même rapport, cela pourrait ainsi aboutir à la réouverture de l'ambassade américaine dans ce pays arabo-africain et à de nouvelles tentatives d'échange de renseignements, menées bien entendu par les forces spéciales de l'armée US.
"Une telle approche pourrait baliser le terrain aux visites régulières des diplomates et de l'ambassadeur américain entre autres qui ne sont pas présents en Libye faute de sécurité", selon ce même rapport.
Les États-Unis étudient également la réouverture de leur consulat à Benghazi, fermé suite à l'attaque de 2012 au cours de laquelle 4 diplomates américains ont perdu la vie.
Washington a par ailleurs l'intention de réouvrir le centre de coordination entre les forces américaines et les responsables libyens pour faciliter l'échange de renseignements sur le terrorisme.
L'armée américaine envisage également de proposer des stages de formation et des séances de consultation aux forces de l'armée libyenne.
En cas d'approbation de ce projet, 50 militaires des Forces spéciales américaines seront déployés dans ce pays.
Les femmes musulmans sont des victimes préférées des actes islamophobes
Le Registre de l'islamophobie d’Australie a aussi établi un profil type de l’agresseur : il s’agirait principalement d’hommes seuls d’origine anglo-celte dont les ancêtres sont des colons des Iles Britanniques.
Les actes antimusulmans sont plus fréquents lorsque des événements tragiques liés au terrorisme se produisent comme la prise d’otage dans un café à Sydney en décembre 2014 ou encore les attentats de novembre 2015 à Paris. Cependant, ce sont l'existence et la visibilité des musulmans qui sont les principales moteurs de l'islamophobie selon l'enquête. L'IRA a été crée en septembre 2014 afin de recenser les actes antimusulmans à travers le pays.
Cisjordanie: le régime israélien deux Palestiniens
Aucun soldat n'a été blessé, a indiqué une porte-parole de l'armée.
Depuis octobre 2015, les Territoires palestiniens sont en proie à des violences mais celles-ci ont considérablement diminué ces derniers mois.