تقي زاده

تقي زاده

Les meilleurs participants au concours national de la mémorisation du Saint Coran de cette année et celui des concepts coraniques ont été honorés lors d'une cérémonie dimanche.

La cérémonie s'est déroulée au Mosalla Imam Khomeini (RA) de Téhéran en marge du 35ème Concours International du Coran de la République Islamique d'Iran.

Un certain nombre de responsables, dont Hamid Reza Tayyebi, chef du Centre académique iranien pour l'éducation, la culture et la recherche (ACECR), et Hamid Saber Farzam, chef du Centre des activités coraniques des universitaires iraniens ont assisté à la cérémonie.

Dans une allocution, Abdolhadi Feqhizadeh député du département pour le Coran et Etrat  du ministère de la Culture iranien a noté que le concours avait eu lieu dans plus de 400 villes à travers l'Iran.

Il a ajouté que plus de 240 000 élèves ont passé l'examen, qui se déroulait dans 27 catégories de mémorisation du Coran et de concepts coraniques en janvier.

Lors de la cérémonie, les responsables de trois médias, dont l'Agence internationale de presse du Coran (IQNA), ont été honorés pour avoir couvert au mieux les nouvelles de l'examen coranique.

تجلیل از برگزیدگان آزمون سراسری حفظ و مفاهیم قرآن

Le 3 Chaaban, un beau jour à Médine à l`époque de Saint Prophète psl

C`était le troisième jour de mois Chaaban de la 4ème année de l'hégire à Médine. Un beau jour, une grande joie au sein de la famille de saint Prophète (que la paix soit sur lui et sa famille). Il venait naitre le deuxième petit fils de Messager Dieu (psl) : Al-Hussein.

Le prophète (pslp) en fut très ravi, et dès qu'il entendit la bonne nouvelle, il accourut vers la maison de sa fille Fatima-Zahra et Ali, pour les ‘en féliciter...

Le prophète (pslp) entreprit lui-même d'exécuter les rites recommandés pour le nouveau-né : appel à la prière à l'oreille droite, formule de l'établissement de prière à l'oreille gauche et quelques invocations...c`est lui-même qui a choisi le nom Hussein pour son petit-fils.

En effet, Le Prophète Haroun (le frère de Prophète Moise (as)) avait 2 enfants appelés Shabbar et Shabbir. La traduction de Shabbar en arabe est Hassan et celle de Shabbir est Hussein. “Ce qui fait penser au hadith authentique de saint Prophète (psl) qui disait : "Oh Ali! Tu es pour moi ce que Hàroune était pour Moïse sauf qu`il n`y a pas de prophète après moi.

Son titre est : Sayyidu' Shuhada, le Sibt (Al-Asghar).

Le septième jour de sa naissance, l'Imam Ali (as) fit le sacrifice du mouton et distribua la viande aux pauvres et aux orphelins.

Seyedena Hussein avait vécu six ans à côté de son grand père, le saint Prophète Mohammad (psl). Après la mort de ce dernier, l'imam Hussein resta avec son père, le commandeur des croyants Ali ibn Abi Talib (p).

Après le martyre de son père, il prêta serment de fidélité à son frère l'Imam Hassan et lui accorda son plein soutien dans sa résistance contre la rébellion de Muawiya qui voulait instaurer la dictature de la dynastie de Bèni Omeyyeh...

La position de l’Imam Al-Husayn auprès du Prophète (p) et sa place dans la Sunna

Fait significatif- lorsqu’on sait que la Sunna ou la Tradition consiste en les paroles, les gestes et le comportement du Prophète (psl).Le Messager de Dieu le couvrait publiquement de son amour et de sa tendresse, et le portait ainsi que son frère aîné, Al-Hassan, contre sa poitrine en exprimant à haute voix, devant ses Compagnons, cet amour paternel généreux:

«Ô mon Dieu! Je les aime et j’aime ceux qui les aiment».1

La métaphore suivante en dit long sur l’amour que le Prophète éprouvait et exprimait pour ses deux petits-fils:

«Mes deux fils (le Prophète avait coutume d’appeler, ses deux petits-fils: "mes fils") que voici sont mes deux basilics de ce bas-monde ».2

Et les propos suivants ne laissent plus de doute sur la portée et la profondeur de cet amour:

«Al-Husayn fait partie de moi, et je fais partie d’Al-Husayn. Dieu aimera celui qui aura aimé Al-Hussayn».3

«Celui qui aime Al-Hassan et Al-Husayn m’aura aimé, et celui qui les déteste, m’aura détesté».4

Propos réitérés et confirmés à maintes autres occasions. Par exemple, lorsqu’un jour, le Prophète (p) qui accomplissait sa prière, que Al-Hassan et Al-Husayn se bousculaient sur son dos, en ces moments de recueillement, et que des gens vinrent les éloigner, dit:

«Laissez-les... Par mon père et ma mère, celui qui m’aime, doit les aimer aussi».5

Ou encore cette autre métaphore révélatrice, utilisée par le Prophète (sawas) pour mettre en évidence la position prédestinée de l’Imam Al-Husayn auprès de Dieu:

«Celui qui se réjouirait de voir un homme destiné au Paradis qu’il regarde Al-Husayn».

Malgré toutes les tentatives perfides des Omeyyades de justifier l'assassinat d'al-Husayn et de déformer la noble cause pour laquelle il se battait, l'attachement des Musulmans au petit-fils du Prophète alla grandissant après son martyre. Car, comment auraient-ils pu se détacher de lui, s'ils voulaient rester attachés au Message de leur religion, alors qu'ils savaient que ce martyr faisait partie des Ahl-ul-Bayt (la famille du Prophète) que le Coran leur ordonne d'aimer:

«Dis: " Je ne vous demande aucun salaire pour cela, si ce n'est votre affection envers les proches". (18) A celui qui accomplit une telle action, nous répondrons par quelque chose de plus beau encore». (Coran, XLII, 23);

Selon al-Samhoudi (et selon Anas cité par Ahmad ibn Hanbal) :

"Pendant 6 mois, Le saint Prophète (psl) venait chaque matin à la porte de Ali, Fatima al-Hassan et al-Hussayn, et, tenant les deux poteaux (de la porte), il s'écriait trois fois "A la prière, à la prière, à la prière", et de réciter ce verset coranique : "Ô vous les Gens de la Maison (Ahl al-Bayt) : Dieu veut éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement". (Coran, XXXIII, 33)

قال النبي ص

إن لقتل الحسين حرارة في قلوب المؤمنين لا تبرد أبدا

Le Noble Prophète (S) dit : " Assurément, il existe dans les cœurs des Mu'minin (croyants), en respect au martyre d'Al-Hussayn (AS), une ardeur qui ne s'apaise nullement ".

Note:

1. M. D. Al-Tabari, p. 124, et Ibn Kathîr: "Istich-hãd Al-Hussayn" (le Martyre d’al-Hssayn), p. 138.

2. Id. Ibid.

3. Al-Tarmathî, cité par Ibn Kathîr dans "Istich-hãd Al-Hussayn", op. cit. p. 139.

4. M. D. Al-Tabari, op. cit. p. 124.

5. Id. Ibid, op. cit. p. 229. Ce Hadith est cité par Abou Hãtam.

6. Id. Ibid, p. 229.

7. Id. Ibid, p. 129.

8. Id. Ibid, p. 124.

L'ancien chef d'état-major de l'armée britannique, Lord Richards, appelle Londres à envoyer des troupes à Idlib au nord-ouest de la Syrie pour soutenir les terroristes.

Critiquant le niveau insuffisant de la frappe aérienne, menée par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, contre la Syrie, le général Lord Richards, chef d'état-major de l'armée britannique de 2010 à 2013, a exhorté la Première ministre Theresa May à dépêcher des forces terrestres à Idlib, rapporte Sputnik.

Ce général britannique a également insisté sur la nécessité de l’instauration par l’Occident d’une zone de sécurité dans la province d’Idlib, frontalière de la Turquie où ont été transférés des milliers de terroristes, partis de leurs fiefs d'Alep, de Homs et de la banlieue de Damas.

Ce général britannique prétend être préoccupé par une éventuelle future attaque de l'armée syrienne contre Idlib, région qui est, toujours, sous le contrôle des terroristes.  

S’agissant des récentes frappes tripartites américaines menées contre la Syrie en collaboration avec les armées française et britannique, sous prétexte de répondre à l'attaque chimique présumée menée le 7 avril à Douma, dans la Ghouta orientale, l’ancien chef de l'armée britannique s'en est réjoui. Cette frappe était, rappelons-le, une violation flagrante de la souveraineté de la Syrie et du droit international.  

« Ce n’est pas suffisant », a-t-il lancé, exhortant la soi-disant coalition antiterroriste américaine en Syrie à « élargir ses mesures punitives et à frapper des cibles particulières telles que  les aéroports. »

Qualifiant de geste « minime » les frappes tripartites, Lord Richards a déploré « le temps perdu » par les Occidentaux pour « changer le cours de la guerre en Syrie. »  

Les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont frappé illégalement samedi dernier la Syrie, en représailles à une attaque présumée chimique imputée, injustement, à l'armée syrienne.

Ces pays ont tiré plus de 100 missiles sur la Syrie, mais un nombre significatif d'entre eux, à savoir deux tiers, selon les sources syriennes et russes, ont été interceptés par la DCA syrienne.

Décidément le président Jupiter a raté son coup: outre une opinion français hostile à une intervention militaire non mandatée, les syriens de France dénoncent sa participation aux frappes du 14 avril. Ils étaient des dizaines de personnes à se rassembler, samedi 21 avril, à Paris pour dénoncer l’intervention militaire française en Syrie et exprimer leur soutien au président syrien Bachar al-Assad.

Des dizaines de personnes se sont rassemblées, samedi 21 avril, place du Trocadéro à Paris. Les manifestants ont exprimé leur soutien au gouvernement de Bachar al-Assad et dénoncé les « prétextes mensongers » avancés par le trio France/USA/Grande-Bretagne pour attaquer la Syrie.

Les manifestants ont scandé des slogans, dont et surtout « Vive l’armée arabe syrienne » et brandit des drapeaux de la Syrie et des portraits du président syrien Bachar al-Assad.

« Nous sommes ici en tant que Français pour dire au peuple syrien que la France n’accepte pas la décision « macroniste »,  a dit Imad Hamrouni, analyste politique du monde arabe et musulman.

En organisant de spectaculaires exercices navals au large de Taïwan, Pékin montre la puissance de sa marine à ses voisins asiatiques et adresse un avertissement à son rival américain.

Les forces navales chinoises ont traversé les eaux au sud de Taïwan et effectué des exercices militaires dans le Pacifique occidental.

La démonstration de force organisée en fin de semaine dernière entre la Chine et l’île de Taïwan dans l’océan Pacifique, une parade de 48 navires de guerre dont le Liaoning, le tout premier porte-avions construit par les arsenaux chinois, a fait grosse impression.

Les chasseurs J-15 ont décollé vendredi du Liaoning, seul porte-avions opérationnel de Chine, pour s'entraîner dans la région située à l'est du canal de Bashi, entre Taïwan et les Philippines, a rapporté samedi le journal officiel de l'Armée populaire de libération.

Les destroyers chinois ont effectué des exercices offensifs et défensifs pour tester leurs capacités, a indiqué le PLA Daily.

La Chine a intensifié ses démonstrations militaires dans la région au cours de la dernière semaine.

Mercredi, la marine a effectué des exercices de tir réel dans le détroit de Taïwan, ce qui, selon les médias, constitue une réponse directe aux « provocations » de Taïwan.

L’agence de presse russe Sputnik a fait allusion dans un article au dévoilement par l’Iran d’un nouveau missile de croisière intelligent et anti-drone, affirmant que ce nouveau missile intelligent iranien a suscité la stupéfaction des experts.

Évoquant le dévoilement du nouveau système de missiles, baptisé Kamin-2, lors de la parade marquant la journée de l’Armée en Iran, le mercredi 18 avril, Sputnik a écrit qu’il s’agit d’un « projectile équipé d’un système de téléguidage électro-optique volant à basse altitude, qui cible les véhicules aériens sans pilote (UAV) à basse altitude, conçu et amélioré en y incorporant les dernières technologies grâce aux experts et spécialistes iraniens ». 

« Si ce missile est doté d’un système de téléguidage électro-optique, il ressemble donc au missile de croisière israélien Delilah, conçu pour viser des cibles mobiles et relocalisables avec une erreur circulaire probable (CEP) de 1 mètre », a écrit Sputnik.

Tout comme l’armée de l’air iranienne l’a annoncé, ce missile téléguidé par infrarouge est tiré par le copilote du chasseur.  

L’agence de presse russe a ensuite fait allusion au discours du président iranien Hassan Rohani selon lequel « les armements iraniens ne seront pas utilisés contre ses voisins arabes » avant de conclure ainsi : 

« Lors de la parade de la Journée de l’armée en Iran, outre les chasseurs et les bombardiers de l’armée de l’air, le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a dévoilé son nouveau système de missiles baptisé Kamin-2, conçu pour faire face aux drones armés de l’ennemi ainsi qu’aux chasseurs volant à basse altitude. »

Le président de la République islamique d’Iran Hassan Rohani a adressé un message à son homologue syrien Bachar al-Assad à l’occasion du jour anniversaire de l’indépendance de la Syrie.

Dans cette lettre, le président Rohani a souligné que le gouvernement iranien veulent rester aux côtés du peuple et du gouvernement syriens pour les aider à reconstruire leur pays, tout comme il est resté à leur côté dans les combats contre le terrorisme.

Présentant ses sincères félicitations à l’occasion du 17 avril, journée nationale et jour anniversaire de l’indépendance de la Syrie, le président iranien a affirmé que la vaillante nation syrienne avait fait beaucoup de sacrifice pour accéder à l’indépendance et chasser les puissances colonialistes.

« Aujourd’hui, elle mène d’inlassables combats pour neutraliser les complots des ennemis et émanciper le pays du joug des terroristes et elle obtient chaque jour de nouvelles victoires », a-t-il dit.

M. Rohani a précisé que la RII resterait comme avant aux côtés du peuple et du gouvernement syriens pour les aider à rétablir la sécurité et la stabilité à travers la Syrie.

Il a souhaité une victoire finale imminente sur le terrorisme en Syrie.

Le groupe terroriste Daech chercherait à établir de nouveaux passages entre l’Irak et la Syrie, rapportent des sources de sécurité irakiennes.

Zahir Bahadeli, un commandant de la brigade des gardes-frontières d’Irak, a annoncé que les chasseurs irakiens avaient mené sept attaques aériennes contre les bastions de Daech dans la localité d’al-Wada près de la Syrie. 27 terroristes ont été éliminés et quatre tunnels détruits.

« Le renseignement de la coalition américaine a joué un rôle crucial dans la réussite de ces opérations destinées à endiguer l’infiltration des terroristes via les frontières de la Syrie », a-t-il expliqué.

Habib al-Shamari, officier de police dans la province de Diyala, a également fait état de frappes contre les positions de Daech à Hawd al-Zor au nord-est de la ville de Bakouba, chef-lieu de la province de Diyala. Deux terroristes, dont un leader de Daech, ont été tués.

Une source militaire irakienne a par ailleurs confirmé l’intention de Daech de créer de nouveaux passages entre l’Irak et la Syrie. « Ce groupe terroriste a tenté à plusieurs reprises de s’infiltrer dans les zones frontalières, mais elles sont parsemées de postes de contrôle et de gardes-frontières. La frontière entre les deux pays fait des kilomètres et sa protection n’est pas chose facile, ce qui donne à Daech l’opportunité de s’y aventurer », a-t-elle précisé.

En Syrie, Daech a accès à des armes et à une aide financière. En Irak, ses éléments sont entraînés et formés dans le désert. Le danger de Daech persiste encore dans la zone frontalière entre les deux pays.

Rencontrez le missile défensif Shahab Saqeb de fabrication iranienne conçu pour détruire des cibles de faible niveau avec une grande efficacité capable d'atteindre des cibles jusqu'à onze kilomètres de distance. Cette réalisation d'ingénierie de pointe a été conçue par des experts de l'industrie de la défense iranienne.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : La longueur du missile est d'environ 2,9 mètres, son poids est de 84 kilogrammes et sa vitesse de 740 mètres par seconde, a rapporté mercredi l'agence de presse iranienne Tasnim.
 
Shahab Saqeb a une portée de 500 à 8500 mètres contre des cibles aériennes qui volent à 400 mètres par seconde, 10 km contre des cibles à des vitesses de 300 mètres par seconde et 11 km contre des hélicoptères.

Le missile iranien est équipé de nouvelles hélices à réaction, ce qui lui permet d'améliorer sa capacité à mieux influer sur les cibles aériennes ennemies.

Ce missile fait partie des nombreuses autres réalisations que les ingénieurs iraniens ont récoltées, après la révolution islamique, en concevant des systèmes de radar, des systèmes de missiles et des systèmes de détection, de guidage et de contrôle de la défense antiaérienne.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti vendredi que son armée était prête à toute évolution face à l'Iran. 
 
Les combattants de Tsahal (Forces de défense israéliennes) et les services de sécurité sont prêts à toute évolution de la situation. Nous allons nous battre contre celui qui tente de nous faire du mal", a déclaré M. Netanyahu au début de la réunion extraordinaire du cabinet à Tel Aviv, pour marquer le 70ème anniversaire de la création d'Israël.

Vendredi, le ministre israélien de la Guerre, Avigdor Liberman, a mis en garde l'Iran contre une attaque visant le régime hébreu.

"Nous sommes prêts pour tous les scénarios. Nous sommes prêts pour un scénario multi-front et je ne me souviens pas d'une époque où nous étions si bien préparés et si prêts, à la fois pour l'armée et pour le peuple d'Israël", a déclaré M. Liberman.

Jeudi soir, M. Netanyahu a également appelé à une action contre l'Iran, lors d'une réception en l'honneur du corps diplomatique en Israël, à l'occasion du 70ème anniversaire de la création d'Israël. "L'Iran est l'ennemi de nous tous -- d'Israël, du monde arabe, de la civilisation", a-t-il suggéré.

Israël n'a toujours pas de commentaire sur une frappe de missiles contre la base aérienne syrienne T-4 de Tiyas, située dans l'est de la province de Homs, le 9 avril. La frappe a fait 14 morts. L'Iran, la Syrie, la Russie et certains responsables américains ont indiqué explicitement qu'Israël était responsable de cette frappe.

Le président russe Vladimir Poutine a appelé à M. Netanyahou d'éviter des actions qui pourraient déstabiliser la situation en Syrie et a souligné l'importance de ne pas violer la souveraineté de la Syrie.