تقي زاده

تقي زاده

Le nouveau gouvernement récemment formé a prêté serment lundi devant le président Bachar al-Assad.
Au début du mois, M. al-Assad avait approuvé le nouveau gouvernement, dont nombre des ministres faisaient partie du gouvernement précédent.

Le 22 juin, M. al-Assad avait promulgué un décret nommant le ministre de l'Electricité, Imad Khamis, comme Premier ministre et remplaçant M. Wael al-Halqi.

Composé de 32 membres, le gouvernement dirigé par M. Khamis comprend 14 nouveaux ministres et quatre ministres d'État , notamment le ministre de l'Information, Ramez Tarjaman, ancien directeur de la chaîne de télévision nationale.

Les ministres du ministère de l'Electricité, du ministère de l'Industrie, du ministère de l'Économie, du ministère du Pétrole et du ministère des Finances, ont tous été remplacés.

Le ministre de la Défense, Fahed Jassem al-Fraij, le ministre des Affaires étrangères, Walid al-Moallem, le ministre de l'Intérieur, Muhammad al-Sha'ar et le ministre de la Justice, Najm al-Ahmad, ont été reconduits dans leurs fonctions.
Les parents du tireur embusqué, qui a abattu cinq policiers la semaine dernière à Dallas, ont assuré que leur fils avait changé progressivement après avoir servi au sein de l'armée américaine. Il vivait comme un "ermite", selon une interview publiée lundi.
 
 
Micah Johnson était "très déçu" de ses expériences en tant que soldat, après avoir notamment servi en Afghanistan entre novembre 2013 et juillet 2014, explique sa mère, selon des extraits d'une interview au groupe multimédia TheBlaze.


"L'armée n'était pas ce que Micah pensait que cela serait", affirme-t-elle. "Peut-être que l'idéal qu'il voyait dans notre gouvernement, ce qu'il pensait de notre armée, cela n'était tout simplement pas à la hauteur de ses attentes".
mardi, 12 juillet 2016 07:44

L'ouverture d'une enquête sur Netanyahou

Le procureur général d'Israël Avichai Mandelblit a annoncé dimanche avoir ordonné l'ouverture d'une enquête préliminaire sur le Premier ministre Benyamin Netanyahou suite à des allégations d'agissements criminels.
Le procureur général n'a pas précisé la nature exacte de l'enquête, et a souligné que celle-ci était bien une enquête préliminaire, et non une enquête criminelle à proprement parler.

"Je souhaite vous informer qu'à la lumière d'informations reçues sur des affaires en lien avec le Premier ministre et avec d'autres personnalités, le procureur général a procédé à un certain nombre de consultations, et a décidé d'ouvrir une enquête préliminaire", a déclaré le Bureau du Procureur général dans un communiqué.


Vendredi, la chaîne d'information Channel 2 a en effet déclaré que l'affaire en question impliquait le transfert de larges sommes d'argent à des fins non-politiques sur les comptes en banque de certains membres de la famille du Premier ministre.

Channel 10 a pour sa part déclaré que M. Netanyahou et un autre haut responsable de la sphère judiciaire étaient impliqués dans une affaire de corruption, et potentiellement de blanchiment d'argent.
mardi, 12 juillet 2016 07:41

Daech ne représente pas l'islam

Le quotidien Affairs Today, organe des étudiants de Glasgow en Grande-Bretagne a souligné dans un article que Daech ne représentait pas l'islam.
Selon le site Internet de Affairs Today, l'attentat terroriste perpétué dans la sainte mosquée du Prophète (psl) à Médine annonçait la fin d'une semaine sanglante qui avait commencé par l'attentat d'Istanbul au cours duquel 41personnes avaient trouvé la mort et qui était suivi par les attentats de Dacca et de Bagdad.
Le point à signaler à propos de ces attentats c'est qu'ils ont été commis dans des pays où la majorité de la population est musulmane.
Beaucoup de gens ne savent même pas que durant ses quelques années d'existence, le groupe terroriste de Daech a tué beaucoup plus de musulmans que de non musulmans des pays occidentaux.
Contrairement à ce que pensent les gens, Daech n'est pas un groupe qui hait les occidentaux, sinon il concentrerait ses activites dans les pays occidentaux.
Les gens pensent que les membres de Daech luttent pour l'islam alors qu'ils cherchent à réaliser leurs objectifs politiques au nom de l'islam, sans dépendre vraiment de cette religion.
Affairs Today conclut son article en précisant :"Le seul moyen de lutter contre Daech c'est que l'oinion publique mondiale n'accepte pas l'idéé que ce groupe terroriste combat pour l'islam, parce que Daech n'est pas l'islam. "
Trois kamikazes ont fait exploser leurs bombes lundi près de mosquées dans trois villes d'Arabie saoudite, dont la sainte Médine. En moins de 24 heures, une rare vague d'attentats suicide a frappé le royaume.
Les attaques, qui ont tué au moins quatre personnes, n'ont pas été revendiquées dans l'immédiat. Mais leur mode opératoire rappelle celui du groupe Daech qui a revendiqué plusieurs attentats suicide meurtriers dans le royaume depuis plus d'un an.


En début de soirée, une attaque s'est produite devant la Mosquée du prophète à Médine (ouest), très fréquentée par les fidèles en ces derniers jours du ramadan, le mois de jeûne sacré, selon la chaîne de télévision à capitaux saoudiens Al-Arabiya.


La télévision a montré des images de flammes se dégageant d'un parking proche de la mosquée. Médine est la deuxième ville sainte de l'islam après la Mecque. Quatre agents de sécurité ont été tués et cinq autres blessés dans cet attentat suicide, a annoncé un porte-parole du ministère saoudien de l'Intérieur dans un communiqué.


Quasi-simultanément dans l'est du royaume, un kamikaze s'est fait exploser près d'une mosquée chiite dans la ville de Qatif, a ajouté le porte-parole. Celui-ci a également déclaré que des restes humains appartenant à trois personnes avaient été découverts sur les lieux et qu'une enquête était en cours.


La vague d'attentats a commencé à l'aube à Jeddah (ouest) où un kamikaze s'est fait exploser près d'une mosquée, qui est située à proximité du consulat des Etats-Unis. Deux agents de sécurité ont été légèrement blessés, a indiqué le ministère de l'Intérieur. Aucun membre du personnel du consulat n'a été atteint selon l'ambassade américaine à Ryad.
Les forces israéliennes ont détruit les maisons en Cisjordanie de deux Palestiniens auteurs en décembre d'une attaque au couteau, a indiqué lundi l'armée.
 Les démolitions ont eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi dans le camp de réfugiés de Qalandia, entre Jérusalem et Ramallah en Cisjordanie occupée, et ont été suivies de heurts faisant quatre blessés côté palestinien, a constaté un journaliste de l'AFP.

Les forces de sécurité sionistes ont détruit les maisons de Issa Assaf et Annan Abou Habsa, qui avaient été abattus après une attaque ayant eu lieu le 23 décembre près de la Vieille ville de Jérusalem, a annoncé la porte-parole de l'armée.

Les forces israéliennes sont entrées et nous ont informés qu'elles allaient détruire la maison. Je ne sais ce qu'elles gagneront en faisant cela, a déploré à l'AFP Mohamed Abou Habsa, le père d'un des assaillants, assis sur les décombres de sa demeure.

L'agence des Nations unies pour l'aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA) a condamné dans un communiqué ces démolitions, affirmant que la décision israélienne est une forme de punition collective.

Les opérations de démolition ont provoqué de violents heurts avec les Palestiniens du camp qui ont lancé des pierres et ouvert le feu, a poursuivi la porte-parole, en indiquant que les forces de sécurité avaient répliqué par des tirs.

Quatre Palestiniens ont été légèrement blessés lors de ces affrontements, selon un journaliste de l'AFP.
Le ministère koweïtien de l'Intérieur a annoncé lundi que les autorités locales avaient démantelé trois cellules de l'organisation djihadiste Daech qui projetaient des attentats au Koweït.
 
Cinq Koweïtiens ont été arrêtés, dont un policier et une femme qui ont reconnu avoir planifié des attentats contre une mosquée chiite et contre une installation du ministère de l'Intérieur, a déclaré le ministère dans un communiqué.

Toutes les personnes arrêtées ont reconnu être membres de Daech, indique le communiqué. La police koweïtienne recherche en outre un homme originaire d'un Etat non précisé du Golfe persique et un Asiatique qui ont apporté une assistance à l'une des trois cellules, a ajouté le ministère de l'Intérieur.

L'annonce du démantèlement des trois cellules intervient un an après un attentat suicide commis par un Saoudien lié à Daech qui s'était fait exploser dans une mosquée chiite, tuant 26 fidèles. Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier jamais commis au Koweït. La justice koweïtienne a condamné un homme à mort et a infligé des peines de prison de deux à quinze ans à huit personnes pour avoir prêté assistance à l'auteur saoudien de l'attentat.

Le porte-parole a précisé que le maire de Maale Adumim avait été informé dans la nuit de la décision prise par le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son ministre de la Défense Avigdor Lieberman d'autoriser le projet de nouveaux logements dans cette colonie située à l'est de Jérusalem.

Selon des médias, M. Netanyahu a également donné son accord à un projet de 240 nouvelles habitations dans les colonies de Jérusalem-Est, ainsi que pour 600 unités de logements pour les Palestiniens à Beit Safafa, un quartier arabe de la ville.

Les bureaux de MM. Netanyahu et Lieberman ont refusé de commenter ces approbations présumées à Jérusalem-Est ou à Maale Adumim.

La construction des colonies dans les territoires palestiniens est toujours contestée par l'ONU et les ONG internationales défendant les Droits de l'homme.

Personne ne semble comprendre les conséquences de la décision britannique de quitter l’Union européenne. Les commentateurs, qui interprètent la politique politicienne et ont perdu depuis longtemps la connaissance des enjeux internationaux, se sont focalisés sur les éléments d’une campagne absurde : d’un côté les adversaires d’une immigration sans contrôle et de l’autre des « pères fouettards » menaçant le Royaume-Uni des pires tourments.

Or, les enjeux de cette décision n’ont aucun rapport avec ces thèmes. Le décalage entre la réalité et le discours politico-médiatique illustre la maladie dont souffrent les élites occidentales : leur incompétence.

Alors que le voile se déchire sous nos yeux, nos élites ne comprennent pas plus la situation que le Parti communiste de l’Union soviétique n’envisageait les conséquences de la chute du Mur de Berlin en novembre 1989 : la dissolution l’URSS en décembre 1991, puis du Conseil d’assistance économique mutuelle (Comecon) et du Pacte de Varsovie six mois plus tard, puis encore les tentatives de démantèlement de la Russie elle-même qui faillit perdre la Tchétchènie.

Dans un futur très proche, nous assisterons identiquement à la dissolution de l’Union européenne, puis de l’Otan, et s’ils n’y prennent garde au démantèlement des États-Unis.

Quels intérêts derrière le Brexit ?

Contrairement aux rodomontades de Nigel Farage, l’UKIP n’est pas à l’origine du référendum qu’il vient de gagner. Cette décision a été imposée à David Cameron par des membres du Parti conservateur.

Pour eux, la politique de Londres doit être une adaptation pragmatique aux évolutions du monde. Cette « nation d’épiciers », ainsi que la qualifiait Napoléon, observe que les États-Unis ne sont plus ni la première économie mondiale, ni la première puissance militaire. Ils n’ont donc plus de raison d’en être les partenaires privilégiés.

De même que Margaret Thatcher n’avait pas hésité à détruire l’industrie britannique pour transformer son pays en un centre financier mondial ; de même ces conservateurs n’ont pas hésité à ouvrir la voie à l’indépendance de l’Écosse et de l’Irlande du Nord, et donc à la perte du pétrole de la mer du Nord, pour faire de la City le premier centre financier off shore du yuan.

La campagne pour le Brexit a été largement soutenue par laGentry et le palais de Buckingham qui ont mobilisé la presse populaire pour appeler à revenir à l’indépendance.

Contrairement à ce qu’explique la presse européenne, le départ des Britanniques de l’UE ne se fera pas lentement parce que l’UE va s’effondrer plus vite que le temps nécessaire aux négociations bureaucratiques de leur sortie. Les États du Comecon n’ont pas eu à négocier leur sortie parce que le Comecon a cessé de fonctionner dès le mouvement centrifuge amorcé. Les États membres de l’UE qui s’accrochent aux branches et persistent à sauver ce qui reste de l’Union vont rater leur adaptation à la nouvelle donne au risque de connaître les douloureuses convulsions des premières années de la nouvelle Russie : chute vertigineuse du niveau de vie et de l’espérance de vie.

Pour la centaine de milliers de fonctionnaires, d’élus et de collaborateurs européens qui perdront inévitablement leur emploi et pour les élites nationales qui sont également tributaires de ce système, il convient d’urgence de réformer les institutions pour les sauver. Tous considèrent à tort que le Brexit ouvre une brèche dans laquelle les Eurosceptiques vont s’engouffrer. Or, le Brexit n’est qu’une réponse au déclin des États-Unis.

Le Pentagone, qui prépare le sommet de l’Otan à Varsovie, n’a pas non plus compris qu’il n’était plus en position d’imposer à ses alliés de développer leur budget de Défense et de soutenir ses aventures militaires. La domination de Washington sur le reste du monde est terminée.

Nous changeons d’ère.

Qu’est-ce-qui va changer ?

La chute du bloc soviétique a d’abord été la mort d’une vision du monde. Les Soviétiques et leurs alliés voulaient construire une société solidaire où l’on mette le plus de choses possible en commun. Ils ont eu une bureaucratie titanesque et des dirigeants nécrosés.

Le Mur de Berlin n’a pas été abattu par des anti-communistes, mais par une coalition des Jeunesses communistes et des Églises luthériennes. Ils entendaient refonder l’idéal communiste débarrassé de la tutelle soviétique, de la police politique et de la bureaucratie. Ils ont été trahis par leurs élites qui, après avoir servi les intérêts des Soviétiques se sont engouffrés avec autant d’ardeur pour servir ceux des États-uniens. Les électeurs du Brexit les plus engagés cherchent d’abord à retrouver leur souveraineté nationale et à faire payer aux dirigeants ouest-européens l’arrogance dont ils ont fait preuve en imposant le Traité de Lisbonne après le rejet populaire de la Constitution européenne (2004-07). Ils pourraient eux aussi être déçus par ce qui va suivre.

Le Brexit marque la fin de la domination idéologique des États-Unis, celle de la démocratie au rabais des « Quatre libertés ». Dans son discours sur l’état de l’union de 1941, le président Roosevelt les avaient définies comme (1) la liberté de parole et d’expression, (2) la liberté de chacun d’honorer Dieu comme il l’entend, (3) la liberté du besoin, (4) la liberté de la peur [d’une agression étrangère]. Si les Anglais vont revenir à leurs traditions, les Européens continentaux vont retrouver les questionnements des révolutions française et russe sur la légitimité du pouvoir, et bouleverser leurs institutions au risque de voir resurgir le conflit franco-allemand.

Le Brexit marque aussi la fin de la domination militaro-économique US ; l’Otan et l’UE n’étant que les deux faces d’une seule et unique pièce, même si la construction de la Politique étrangère et de sécurité commune a été plus longue à mettre en œuvre que celle du libre-échange. Récemment, je rédigeais une note sur cette politique face à la Syrie. J’examinais tous les documents internes de l’UE, qu’ils soient publics ou non publiés, pour arriver à la conclusion qu’ils ont été rédigés sans aucune connaissance de la réalité de terrain, mais à partir des notes du ministère allemand des Affaires étrangères, lui-même reproduisant les instructions du département d’État US. J’avais eu il y a quelques années à effectuer la même démarche pour un autre État et j’étais arrivé à une conclusion similaire (sauf que dans cet autre cas, l’intermédiaire n’était pas le gouvernement allemand, mais le français).

Premières conséquences au sein de l’UE

Actuellement, des syndicats français rejettent le projet de loi sur le Travail qui a été rédigé par le gouvernement Valls sur la base d’un rapport de l’Union européenne, lui-même inspiré par les instructions du département d’État US. Si la mobilisation de la CGT a permis aux Français de découvrir le rôle de l’UE dans cette affaire, ils n’ont toujours pas saisi l’articulation UE-USA. Ils ont compris qu’en inversant les normes et en plaçant les accords d’entreprise au-dessus des accords de branche, le gouvernement remettait en réalité en cause la prééminence de la Loi sur le contrat, mais ils ignorent la stratégie de Joseph Korbel et de ses deux enfants, sa fille naturelle la démocrate Madeleine Albright et sa fille adoptive la républicaine Condoleezza Rice. Le professeur Korbel assurait que pour dominer le monde, il suffisait que Washington impose une réécriture des relations internationales dans des termes juridiques anglo-saxons. En effet, en plaçant le contrat au-dessus de la Loi le droit anglo-saxon privilégie sur le long terme les riches et les puissants par rapport aux pauvres et aux misérables.

Il est probable que les Français, les Hollandais, les Danois et d’autres encore tenteront de se détacher de l’UE. Ils devront pour cela affronter leur classe dirigeante. Si la durée de ce combat est imprévisible, son issue ne fait plus de doute. Quoi qu’il en soit, dans la période de bouleversement qui s’annonce, les ouvriers français seront difficilement manipulables, à la différence de leurs homologues anglais, aujourd’hui désorganisés.

Premières conséquences pour le Royaume-Uni

Le Premier ministre David Cameron a argué des vacances d’été pour remettre sa démission à octobre. Son successeur, en principe Boris Johnson, peut donc préparer le changement pour l’appliquer instantanément à son arrivée à Downing Street. Le Royaume-Uni n’attendra pas sa sortie définitive de l’UE pour mener sa propre politique. À commencer par se dissocier des sanctions prises à l’encontre de la Russie et de la Syrie.

Contrairement à ce qu’écrit la presse européenne, la City de Londres n’est pas directement concernée par le Brexit. Compte tenu de son statut particulier d’État indépendant placé sous l’autorité de la Couronne, elle n’a jamais fait partie de l’Union européenne. Certes, elle ne pourra plus abriter les sièges sociaux de certaines compagnies qui se replieront dans l’Union, mais au contraire elle pourra utiliser la souveraineté de Londres pour développer le marché du yuan. Déjà en avril, elle a obtenu les privilèges nécessaires en signant un accord avec la Banque centrale de Chine. En outre, elle devrait développer ses activités de paradis fiscal pour les Européens.

Si le Brexit va temporairement désorganiser l’économie britannique en attente de nouvelles règles, il est probable que le Royaume-Uni —ou tout au moins l’Angleterre— se réorganisera rapidement pour son plus grand profit. Reste à savoir si les concepteurs de ce tremblement de terre auront la sagesse d’en faire profiter leur peuple : le Brexit est un retour à la souveraineté nationale, il ne garantit pas la souveraineté populaire.

Le paysage international peut évoluer de manière très différente selon les réactions qui vont suivre. Même si cela devait tourner mal pour certains peuples, il vaut toujours mieux coller à la réalité comme le font les Britanniques plutôt que de persister dans un rêve jusqu’à ce qu’il se fracasse.