Le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux affaires humanitaires s'est dit indigné de la passivité de la communauté internationale face aux souffrances du peuple syrien.

Jeudi, lors d'une réunion du Conseil de sécurité consacrée à la situation en Syrie, le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux affaires humanitaires, Stephen O'Brien, s'est dit indigné de la passivité de la communauté internationale face aux souffrances de la population civile syrienne.

M. O'Brien a rappelé que le dernier rapport de la Commission d'enquête internationale indépendante sur la Syrie note que Daech a commis, dans l'est de la Syrie, des actes de génocide ainsi que de multiples crimes contre l'humanité et crimes de guerre contre les Yézidis.

L'ONU a annoncé qu'environ 5 millions de syriens vivant dans des régions hors d'accès ont besoin d'aide humanitaire. Le chiffre est d'un million de plus de ce que les Nations Unies avaient annoncé auparavant.

Cette situation s'explique par des raisons multiples, dont et surtout l'augmentation de l'insécurité dans certaines régions, a précisé le responsable onusien.

"Il y a plusieurs raisons à la hausse de ces chiffres ; la plus importante serait l'escalade de l'insécurité dans des régions comme Alep, Raqa ou Hassaka, mais aussi l'accès limité pour y faire parvenir les aides humanitaires", a précisé Stephen O'Brien.

« Il y a quelque chose de fondamentalement injuste dans un monde où les attaques contre des hôpitaux et des écoles, des mosquées et des marchés, contre des groupes ethniques et religieux, sont tellement devenues monnaie courante qu'elles ne provoquent plus de réaction », s'est ému M. O'Brien. « Et pourtant le monde continue de voir la Syrie se désintégrer dans une effusion de sang », a déploré le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux affaires humanitaires.

Au nom Allah le miséricordieux , le plus miséricordieux

-  Il existe un type de jeûne qui se fait pendant des jours consécutifs pour expier les péchés encourus  Quelqu'un qui fait le voeu de jeûner doit le faire.

-  Il y a également un autre type de jeûne qui ne se fait pas sous forme de jours consécutifs [comme par exemple, le fait de rattraper des jours du mois du ramadhan].

-  Les jeûnes volontaires peuvent compenser les manquements produits lors des jeûnes obligatoires.

-  Nous avons : al ‘achoura, ‘arafah,  mais aussi le 13, 14, et 15ème jour dans le mois lunaire, les lundi et les jeudi, les six jours du chawal et jeûner le plus possible pendant le mois du muharram et de cha’ban.

-  Il ne faut pas commencer à jeûner un vendredi ou jeûner un samedi à moins qu’il ne s’agisse d’un jeûne obligatoire.

-  Il n’est pas permis de jeûner pendant toute une vie. Il est egalement interdit de jeûner deux ou trois jours à la suite sans s’arrêter [ c'est à dire sans rompre le jeûne au maghreb - coucher du soleil - ],  comme il est illcite de jeûner les deux jours de l'aïd.

Sept gendarmes ont été tués lors de l'attaque jeudi du camp de Nguagam, qui accueille des réfugiés et des déplacés nigériens fuyant le groupe terroriste nigérian Boko Haram, dans le sud-est du Niger.

« Sept gendarmes ont été tués. Ils ont été inhumés aujourd’hui (vendredi) », a affirmé vendredi à l'AFP une source humanitaire sous couvert de l’anonymat. Ce bilan a été confirmé par une source sécuritaire.

L’attaque avait eu lieu peu après le passage d’une importante délégation ministérielle comprenant aussi des députés et des représentants du personnel onusien et humanitaire dans la région.

26 soldats nigériens et nigérians ainsi que des civils avaient été tués lors de cette attaque, qui a provoqué l’exode de quelque 50.000 personnes.

Sous haute surveillance militaire, la mission ministérielle nigérienne avait procédé à une distribution de vivres dans la matinée et était repassée par Nguagam en fin de journée. Elle visait à se rendre compte de la situation après l’attaque du 3 juin et montrer l’appui du gouvernement aux populations, selon le ministre de l’Intérieur Mohamed Bazoum.

L’attaque du 3 juin contre la ville frontalière de Bosso est l’une des plus meurtrières menées par Boko Haram au Niger depuis que ce pays est officiellement entré en guerre contre ces insurgés takfiristes en février 2015.

Selon le porte-parole du Conseil de sécurité de Russie, son pays ne laissera pas sans réponse les démarches de l'OTAN, qui cherche à renforcer ses frontières à l'Est.

« La Russie donnera une réponse proportionnelle à toutes les actions de l’OTAN visant à renforcer les frontières de l'Alliance en Europe de l'Est », a déclaré l'adjoint du Secrétaire du Conseil de sécurité de Russie, Evgeny Loukianov, cité par Sputnik.

"Il n'y a pas de quoi s'agiter. La réponse sera adéquate, efficace et bon marché", a-t-il déclaré lors du forum économique de Saint-Pétersbourg.

Il y a quelques jours, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré lors d’une conférence commune avec son homologue finlandais à Moscou que la Russie prendrait des mesures nécessaires en réaction aux activités de l’OTAN en Baltique.

L’Alliance atlantique a organisé, il y a quelques jours, la grande manœuvre « Baltops-2016 » en Finlande.

Depuis 2014, l’OTAN a renforcé sa présence militaire en Europe, et notamment en Europe de l’Est, aux portes de la Russie, sous prétexte de contrer l’ingérence russe dans l’est de l’Ukraine. 

Le haut-commissaire de l'agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, a remercié, lors d’une rencontre à Téhéran avec les responsables iraniens, l’Iran pour ses 37 ans d'hospitalité à l'égard des réfugiés afghans.

Le haut responsable onusien, Filippo Grandi, a rencontré samedi matin à Téhéran le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, au cours de laquelle il a remercié l’Iran pour son hospitalité pendant trois décennies ainsi que les fonds dépensés pour l’éducation des réfugiés afghans.

"Les aides internationales reçues par l’Iran étaient malheureusement très faibles. La RII a dépensé beaucoup d’argent dans le domaine de la santé et de l’éducation pour les réfugiés afghans. Il est exemplaire."

Le haut-commissaire onusien a écrit sur sa page Twitter :

"J’ai remercié le ministre Zarif pour l’hospitalité de l’Iran pendant 37 ans vis-à-vis des réfugiés afghans."

La Turquie, considérée comme un passage pour l’entrée des terroristes en Syrie, est en train d’ériger un mur de 350 kilomètres le long de la frontière avec la Syrie.

Selon les sources de sécurité turques, Ankara a terminé la construction d’un épais mur en béton de 170 kilomètres le long de la frontière syrienne dans les provinces frontalières d’Hatay et Sanliurfa.

Au terme de ce projet, ce mur aura une longueur de 350 kilomètres et comprendra 14 provinces à majorité kurde. Ce mur fait partie d’un projet élaboré par le ministère turc de la Défense en vue d’empêcher le trafic et la circulation illégale des terroristes entre le territoire syrien et la Turquie.

Au cours de ces dernières semaines, les villes frontalières de la Turquie, dont Kilis et Sanliurfa, ont été la cible d’attentats terroristes au court desquels plus de 170 personnes ont été tuées.

"La Russie doit comprendre que notre patience est pas infinie. En fait, il est très limité quant à savoir si Al-Asad rendre des comptes ou non", a déclaré Kerry mercredi lors d'une conférence de presse à Oslo, la capitale norvégienne.

Le responsable américain a lancé un appel aux gouvernements de la Russie et la Syrie à respecter le cessez annoncé par Moscou et Washington, en vigueur depuis le 27 Février de cette année.

Ces derniers mots contredisent Kerry, cependant, les récentes déclarations du porte-parole du département d'Etat américain, John Kirby, qui a dit en Avril que le cessez-le-feu "est généralement respectée".

Kerry, quant à lui, estime que le moment est venu pour "une véritable cessation des hostilités" en Irak, et a affirmé que le gouvernement américain travaille "dur" pour atteindre "un accord peut mettre en œuvre une haute feu dans tout le pays et créer un accès humanitaire. "

Un tel accord, dit le chef de la diplomatie américaine, peut donner lieu à la reprise des pourparlers de paix inter-Syriens, qui sont maintenant congelés, de sorte que les parties à la négociation à la table de négociation.

Les paroles de Kerry sur la Syrie font partie des avertissements fréquents des autorités américaines sur les conséquences présumées du président du pays arabe refuse de se retirer à "mettre fin à la crise syrienne qui a vécu pendant cinq ans."

Bien que des États-Unis et les groupes de la soi-disant opposition syrienne cherche à forcer une éviction maximale du président syrien, la Russie et l'Iran ont mis en garde contre les résultats négatifs qui serait licenciement éventuel de Al-Assad.