Les puissances mondiales et régionales réunies mardi à Vienne en vue de résoudre la crise syrienne ne sont pas parvenues à un accord sur le prochain tour des négociations de paix.

Selon l’agence de presse Fars, les ministres des Affaires étrangères du groupe international de soutien à la Syrie (GISS) réunis dans la capitale autrichienne n’ont pas trouvé d’accord sur la date du prochain tour des pourparlers de paix sur la Syrie.

Selon Reuters, les opposants syriens ont annoncé que si la situation sur le terrain ne s’améliorait pas, ils ne retourneraient pas à la table des négociations.

Il est à noter que la réunion du groupe international de soutien à la Syrie a débuté mardi avant midi à Vienne où était présent le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif et qu’elle s’est clôturée à 18 heures.

Arrivé lundi soir à Vienne, M. Zarif s’est entretenu, en marge de la réunion du GISS, avec certains responsables présents dans la capitale autrichienne et il est retourné mercredi matin à Téhéran.

Par ailleurs, l’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie Staffan de Mistura a, de son côté, insisté sur l’impératif de renforcer les coopérations internationales notamment celles des Etats-Unis et de la Russie afin d’accorder des aides humanitaires aux civils syriens.

« La crise humanitaire en Syrie doit être la priorité de tous les pays et acteurs régionaux et internationaux », a-t-il ajouté.

Depuis le début 2016, 44 accusations d’abus sexuels qui auraient été commis par des Casques bleus ont été recensées par les Nations unies.

Selon l'AFP, 29 cas concernent la mission de l’ONU en République centrafricaine (Minusca), 7 autres ont aussi été recensés en République démocratique du Congo (RDC), deux en Haïti et d'autres en Côte d'Ivoire, Soudan du Sud ou Mali notamment.

Les soldats ou policiers soupçonnés viennent pour la plupart de République démocratique du Congo et du Congo-Brazzaville, ainsi que du Niger, du Maroc et d'Afrique du Sud, selon un décompte publié mardi par l'ONU.

Ce décompte n'inclut pas les accusations révélées début avril et mettant en cause la force française Sangaris en Centrafrique (RCA) ainsi que les contingents burundais et gabonais de la Minusca. 

Pour rappel, l'ONU avait recensé 69 cas d'abus sexuels sur l'ensemble de l'année 2015.

Les pays fournisseurs de Casques bleus, seuls habilités à sanctionner les coupables, ne montrent aucun empressement à le faire. Ainsi, seuls 26 cas sur les 69 recensés en 2015 ont fait l’objet d’enquêtes abouties qui ont entraîné des peines de prison de quelques semaines contre trois soldats.

Pour les faits recueillis en 2016, trois enquêtes ont pour l’instant abouti et deux militaires ont été punis de peines de prison.

C`était le Le troisième jour de mois Chabane de la 4ème année de l'hégire à Médine.un beau jour, un grand  joie au sein de la famille de saint Prophète( que la paix soit sur lui et sa famille). il venait naître  le deuxième petit fils de Messager Dieu(psl) :Al-Hussein .

Le prophète (pslp) en fut très ravi, et dès qu'il entendit la bonne nouvelle, il accourut vers la maison de sa fille Fatima-Zahra et Ali ,pour le s’en féliciter...
Le prophète (pslp) entreprit lui même d'exécuter les rites recommandés pour le nouveau né : appel à la prière à l'oreille droite, formule de l'établissement de prière à l'oreille gauche et quelques invocations...c`est lui-même qui a choisit le nom Hussein pour son petit fils.

En effet, Le Prophète Hàroune (le frère de Prophète Moise (as)) avait 2 enfants appelés Shabbar et Shabbir. La traduction de Shabbar en arabe est Hassan et celle de Shabbir est Hussein."ce qui fait penser au hadith authentique de saint Prophète (psl) qui disait : "Oh Ali! Tu es pour moi ce que Hàroune était pour Moïse sauf qu`il n`y a pas de prophète après moi.

son titre est : Sayyidu' Shuhada , le Sibt (Al-Asghar).

Le septième jour de sa naissance, l'Imam Ali(as) fit le sacrifice du mouton et distribua la viande aux pauvres et aux orphelins.

Seyedena  Hussein avait vécu six ans à côté de son grand père, le saint Prophète Mohammad (psl). Après la mort de ce dernier, l'imam Hussein resta avec son père, le commandeur des croyants Ali ibn Abi Talib (p).

Après le martyre de son père , il prêta serment de fidélité à son frère l'Imam Hassan  et lui accorda son plein soutien dans sa résistance contre la rébellion de Muawiya qui voulait  instaurer la dictature de la dynastie de Bèni Omeyyeh...
La position de l’Imam Al-Hussayn auprès du Prophète (p) et sa place dans la Sunna
Fait significatif- lorsqu’on sait que la Sunna ou la Tradition consiste en les paroles, les gestes et le comportement du Prophète(psl).Le Messager de Dieu le couvrait publiquement de son amour et de sa tendresse, et le portait ainsi que son frère aîné, Al-Hassan, contre sa poitrine en exprimant à haute voix, devant ses Compagnons, cet amour paternel généreux:

«Ô mon Dieu! Je les aime et j’aime ceux qui les aiment».1

La métaphore suivante en dit long sur l’amour que le Prophète éprouvait et exprimait pour ses deux petits-fils:

«Mes deux fils (le Prophète avait coutume d’appeler, ses deux petits-fils: "mes fils") que voici sont mes deux basilics de ce bas-monde ».2

Et les propos suivants ne laissent plus de doute sur la portée et la profondeur de cet amour:

«Al-Hussayn fait partie de moi, et je fais partie d’Al-Hussayn. Dieu aimera celui qui aura aimé Al-Hussayn».3

«Celui qui aime Al-Hassan et Al-Hussayn m’aura aimé, et celui qui les déteste, m’aura détesté».4

Propos réitérés et confirmés à maintes autres occasions. Par exemple, lorsqu’un jour, le Prophète (p) qui accomplissait sa prière, que  Al-Hassan et Al-Hussayn se bousculaient sur son dos, en ces moments de recueillement, et que des gens vinrent les éloigner, dit:

«Laissez-les... Par mon père et ma mère, celui qui m’aime, doit les aimer aussi».5

Ou encore cette autre métaphore révélatrice, utilisée par le Prophète(sawas) pour mettre en évidence la position prédestinée de l’Imam Al-Hussayn auprès de Dieu:

«Celui qui se réjouirait de voir un homme destiné au Paradis qu’il regarde Al-Hussayn».6

Malgré toutes les tentatives perfides des Omayyades de justifier l'assassinat d'al-Hussayn et de déformer la noble cause pour laquelle il se battait, l'attachement des Musulmans au petit-fils du Prophète alla grandissant après son martyre. Car, comment auraient-ils pu se détacher de lui, s'ils voulaient rester attachés au Message de leur religion, alors qu'ils savaient que ce martyr faisait partie des Ahl-ul-Bayt (la famille du Prophète) que le Coran leur ordonne d'aimer:

«Dis: " Je ne vous demande aucun salaire pour cela, si ce n'est votre affection envers les proches".(18) A celui qui accomplit une telle action, nous répondrons par quelque chose de plus beau encore». (Coran, XLII, 23);

Selon al-Samhoudi (et selon Anas cité par Ahmad ibn Hanbal) :

"pendant 6 mois ,Le saint Prophète (psl) venait chaque matin à la porte de Ali, Fatima al-Hassan et al-Hussayn, et, tenant les deux poteaux (de la porte), il s'écriait trois fois "A la prière, à la prière, à la prière", et de réciter ce verset coranique : "Ô vous les Gens de la Maison (Ahl al-Bayt) : Dieu veut éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement". (Coran, XXXIII, 33)

  قال النبی ص :  إن لقتل الحسين حرارة في قلوب المؤمنين لا تبرد أبدا

Le Noble Prophète (S) dit : " Assurément, il existe dans les cœurs des Mu'minin (croyants), en respect au martyre d'Al-Hussayn (AS), une ardeur qui ne s'apaise nullement ".


Imam Hussein as disait : Les gens sont les esclaves de cette vie alors qu'ils tâtent à peine la religion. Ils continuent à garder cette dernière tant qu'elle leur rapporte du bien, mais dès qu'ils sont touchés par l'épreuve, les religieux deviennent rares.
-Si vous n'arrivez pas à être de bons croyants alors au moins soient des hommes libres.
Un poète s’est identifié à lui et a adressé en son nom ces paroles au Seigneur :
« Par amour de Toi,
J’ai abandonné toute la créature.
Pour Te voir,
J’ai rendu mes enfants orphelins.
Même si, pour m’obliger à ne pas T’aimer,
Tu me coupes en morceaux,
Le cœur ne fera que T’aimer ! ».

Notes:

1. M. D. Al-Tabari, p. 124, et Ibn Kathîr: "Istich-hãd Al-Hussayn" (le Martyre d’al-Hssayn), p. 138.

2. Id. Ibid.

3. Al-Tarmathî, cité par Ibn Kathîr dans "Istich-hãd Al-Hussayn", op. cit. p. 139.

4. M. D. Al-Tabari, op. cit. p. 124.

5. Id. Ibid, op. cit. p. 229. Ce Hadith est cité par Abou Hãtam.

6. Id. Ibid, p. 229.

7. Id. Ibid, p. 129.

8. Id. Ibid, p. 124.

Hazrat Abolfazl Abbas, né dans la ville de Médine, situé dans la péninsule arabique, 4 Shaaban de l'année lunaire 26 hégire.

Il était un homme qui possédait une grande connaissance, grâce aux enseignements qu'il avait reçus de la famille du Prophète (P), de sorte que la plupart des gens ont eu recours à lui pour résoudre leurs problèmes de toutes sortes.

Hazrat Abbas Abolfazl (P) était connu comme un héros et symbole de courage et de sacrifice. Il a donné sa vie pour amener l'eau à la famille et les adeptes du troisième imam des musulmans chiites, l'Imam Hussein (P), le jour de 'Ashura', le dixième jour de Muharram, le calendrier lunaire, lorsque l'Imam il a été martyrisé avec ses 72 compagnons il y a plus de 1300 ans à Karbala, en Irak.

Dans le calendrier persan, le jour 4 de Shaaban a été désigné comme Journée des anciens combattants. Le peuple iranien, dans toutes les régions du pays, allé aux lieux saints pour commémorer l'anniversaire de naissance de Hazrat Abbas Abolfazl (P).

Le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, quitte ce lundi soir Téhéran pour Vienne où il participera mardi 17 mai à la réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS).

Selon l’agence Tasnim, une équipe de vice-ministres et de directeurs du ministère des Affaires étrangères accompagnera M. Zarif à Vienne, car en marge de la réunion du GISS, la délégation iranienne s’entretiendra aussi avec les représentants américains et européens de la dissipation des obstacles qui existent toujours devant l’application des accords nucléaires.

Selon Russia al Yaum, Sergueï Lavrov a martelé : « Les terroristes essaient d’attirer les jeunes et leur but est d’étendre le (soi-disant) Qualifiât depuis le Portugal jusqu’au Pakistan. »

Concernant les attaques aériennes russes et la destruction des infrastructures terroristes en Syrie, il a ajouté : «  La lutte contre le terrorisme est très complexe. »  Rappelant que la Turquie était accusée par certains pays d’avoir fait du commerce de pétrole avec Daech, il a déclaré que les frappes aériennes russes avaient eu comme conséquence d'améliorer la situation en Syrie et en Irak.

Sergueï Lavrov: Les pays de l’OTSC ont une approche commune des relations à mener avec l’OSCE, l’OTAN et l’UE.

Selon un communiqué du ministère russe des AE, aujourd’hui, lundi, Lavrov, après une rencontre à Minsk avec son homologue biélorusse, Vladimir Macki, a affirmé devant les journalistes : « La Russie, la Biélorussie et la plupart des membres de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) ont une approche commune des actions à mener dans le cadre de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE) et des relations à entretenir avec l’OTAN et l’Union européenne.»

Lavrov en évoquant le fait que l’Occident cherche à accroître les tensions sur la question de la sécurité des missiles a déclaré : « La Russie et la Biélorussie n'ont jamais été partisanes de ces politiques hostiles ou de la confrontation politique et militaire ; elles cherchent à négociatier avec l’Europe sur le sujet de la sécurité balistique et le renforcement de la stabilité de tous les pays de ce continent.»

L'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) est une organisation à vocation politico-militaire fondée le 7 octobre 2002. Elle regroupe l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Russie et le Tadjikistan.

L’OSCE quant à elle, avec 57 états participants (depuis l’Amérique du Nord jusqu’en Europe et en Asie) est la plus grande organisation de sécurité régionale du monde. Son but serait d’œuvrer en faveur de la paix, de la démocratie et de la stabilité pour plus d’un milliard de personnes.

Une nouvelle vague de protestations contre la politique de rigueur envahit les grandes villes européennes.

Les citoyens européens sont en colère contre les mesures prises par les gouvernements pour développer la politique de rigueur et diminuer les dépenses publiques.

En Grèce, une manifestation a eu lieu lundi 16 mai à Athènes pour protester contre la hausse des impôts sur le revenu et la baisse des retraites. Les manifestants criaient des slogans contre l’austérité et les politiques de la zone euro. Ils ont demandé au gouvernement de mettre fin à sa politique de baisse des dépenses publiques.

Le gouvernement grec applique la politique de rigueur à plein régime depuis 2009. Les créanciers internationaux (surtout l’Union européenne et le Fonds monétaire international) ont exigé d’Athènes la baisse considérable de ses dépenses en échange des milliards d’euros d’aides financières à la Grèce.

Dans ce contexte, le Premier ministre Alexis Tsipras qui a gagné les élections en promettant la fin de la rigueur, a fini par accepter les conditions des créanciers.

Les manifestations de lundi à Athènes étaient une réponse à Nuit debout en France qui a appelé à une journée de mobilisation internationale pour lutter contre l’austérité.

Les Athéniens n’étaient pas les seuls à répondre à cet appel, car des manifestations similaires ont eu lieu dans des dizaines de villes d’Europe comme à Paris ou encore à Madrid. 

Le conseiller en communication du Ministère irakien de la défense a fait part des échanges avec Moscou concernant la livraison de nouveaux missiles de type Kornet.

Il a ainsi affirmé : « Nous en avons déjà reçu une partie et l’autre devrait arriver bientôt à Bagdad. »

Le Conseiller en communication du Ministère irakien a affirmé que l’armée irakienne avait besoin de ces missiles afin de s’en servir contre les terroristes qui sévissent encore dans le pays.

Les missiles Kornet ont déjà montré leur efficacité dans la lutte contre Daech.

"Nous avons renforcé les capacités de défense contre les États-Unis, et nous continuerons de les améliorer. Nous l'avons fait en raison des menaces américaines constantes contre la nation iranienne ", a déclaré mercredi l'amiral Ali Fadavi.

Selon le commandant de la marine du CGRI "Il est naturel que quand un pays, leur nation et de ses forces armées sont menacées, ont la capacité de lutter contre de telles circonstances, et même de renforcer leurs capacités."

Il a ajouté que les Etats-Unis, contrairement à l'image puissante qui tente de lui-même, n'a pas les capacités militaires du passé, et les nations qui ont fait l'objet d'une répression américaine depuis des années doivent maintenant résister à Washington, à comme il l'a fait la Révolution islamique (1979) dans sa journée.

Déclarations de commandant iraniens ont été faites peu après le Congrès américain examiner un projet de loi contre les manœuvres des forces navales de l'Iran dans le golfe Persique par "déstabiliser" considérer.

Persan Ministère des Affaires étrangères des États-Unis a fermement condamné l'ingérence les questions de sécurité dans le golfe Persique et a déclaré que son pays "est applicable à toute mesure qu'elle juge appropriée pour établir la sécurité et de maintenir la paix et la stabilité" dans la région.

Pendant ce temps, le CGRI a averti que l'Iran, en vertu de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS), établie en 1982, est autorisé à bloquer le passage d'un navire américain et ses alliés à travers le détroit d'Ormuz si menacé.

Dans ses remarques pertinentes, le leader de la révolution islamique, les ennemis avertis de l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, et en particulier des États-Unis, les côtes du Golfe appartiennent aux gens puissants de l'Iran.