تقي زاده

تقي زاده

lundi, 07 novembre 2022 09:14

La nature dans le Coran

La nature dans le Coran


: «فَلْیَنْظُرِ الاِنْسانُ إلی طَعامِهِ أنّا صَبَبنا الْماءَ صَبّاً ثمَّ شَقَقْنا الْأرضَ شَقّاً فَأَنبَتنا فِیهَا حَبّاً وَ عِنَباً وَ قَضْباً وَ زَیتُوناً وَ نَخلاً وَ حَدائِقَ غُلباً وَ فاکِهَةً وَ أبّاً مَتاعاً لَّکُم وَ لِأنعامِکُم»
♦️Que l’homme considère donc sa nourriture: C’est Nous qui versons l’eau abondante, puis Nous fendons la terre par fissures et y faisons pousser grains, vignobles et légumes, oliviers et palmiers, jardins touffus, fruits et herbages, pour votre jouissance vous et vos bestiaux. (Coran80: 24-32)

«أَفَلاَ یَنظُرُونَ ... إِلَى الْجِبَالِ کَیْفَ نُصِبَتْ .
♦️Ne considèrent-ils donc pas… et les montagnes comment elles sont dressées. (Coran88 :19)

خَلَقَ السَّمَاوَاتِ بِغَیْرِ عَمَدٍ تَرَوْنَهَا وَأَلْقَىٰ فِی الْأَرْضِ رَوَاسِیَ أَنْ تَمِیدَ بِکُمْ
♦️Il a créé les cieux sans piliers que vous puissiez voir; et Il a enfoncé des montagnes fermes dans la terre pour l’empêcher de basculer avec vous. (Coran31:10)

مُتَّکِئِینَ فِیهَا عَلَى الْأَرَائِکِ ۖ لَا یَرَوْنَ فِیهَا شَمْسًا وَلَا زَمْهَرِیرًا
♦️Ils y seront accoudés sur des divans, n’y voyant ni soleil ni froid glacial. (Coran 76:13)

« إِنَّ فِی خَلْقِ السَّمَاوَاتِ وَالأَرْضِ وَاخْتِلاَفِ اللَّیْلِ وَالنَّهَارِ وَالْفُلْکِ الَّتِی تَجْرِی فِی الْبَحْرِ بِمَا یَنفَعُ النَّاسَ وَمَا أَنزَلَ اللّهُ مِنَ السَّمَاءِ مِن مَّاء فَأَحْیَا بِهِ الأرْضَ بَعْدَ مَوْتِهَا وَبَثَّ فِیهَا مِن کُلِّ دَآبَّهٍ وَتَصْرِیفِ الرِّیَاحِ وَالسَّحَابِ الْمُسَخِّرِ بَیْنَ السَّمَاء وَالأَرْضِ لآیَاتٍ لِّقَوْمٍ یَعْقِلُونَ؛
♦️Certes dans la création des cieux et de la terre, dans l’alternance de la nuit et du jour, dans le navire qui vogue en mer chargé de choses profitables aux gens, dans l’eau qu’Allah fait descendre du ciel, par laquelle Il rend la vie à la terre une fois morte et y répand des bêtes de toute espèce dans la variation des vents, et dans les nuages soumis entre le ciel et la terre, en tout cela il y a des signes, pour un peuple qui raisonne. (Coran 2:164)

«وَ الْبَلَدُ الطَّیِّبُ یَخْرُجُ نَباتُهُ بِإِذْنِ رَبِّهِ وَ الَّذی خَبُثَ لایَخْرُجُ إِلّا نَکِداً کَذالِکَ نُصَرِّفُ الْآیاتِ لِقَوْمٍ یَشْکُرُونَ؛
♦️Le bon pays, sa végétation pousse avec la grâce de son Seigneur; quant au mauvais pays, (sa végétation) ne sort qu’insuffisamment et difficilement. Ainsi déployons-Nous les enseignements pour des gens reconnaissants. (Coran7:58)

وَ لَقَدْ خَلَقْنَا الْإِنْسانَ مِنْ سُلالَةٍ مِنْ طینٍ؛
♦️Nous avons certes créé l’homme d’un extrait d’argile. (Coran23:12)
هُوَ أَنشَأَکُم مِّنَ الأَرْضِ وَاسْتَعْمَرَکُمْ فِیهَا
♦️De la terre Il vous a créés, et Il vous l’a fait peupler (et exploiter). (Coran11:61)

وَنَزَّلْنَا مِنَ السَّمَاء مَاء مُّبَارَکًا
♦️Et Nous avons fait descendre du ciel une eau bénie. (Coran50: 9)
وَأَنْـزَلْـنَـا مِنَ السَّمَاءِ مَاءً بـِقَـدَرٍ فَأَسْـکَـنَّاهُ فِی الْأَرْضِ
♦️Et Nous avons fait descendre l’eau du ciel avec mesure. Puis Nous l’avons maintenue dans la terre. (Coran23: 18)

«...وَ یُفسِدُونَ فِی الأرضِ أولَئِکَ هُمُ الخاسِرُونَ»
♦️Et sèment la corruption sur la terre. Ceux-là sont les vrais perdants. (Coran2,27)

أَوْ کَظُلُماتٍ فِی بَحْرٍ لُجِّیٍّ یَغْشاهُ مَوْجٌ مِنْ فَوْقِهِ مَوْجٌ مِنْ فَوْقِهِ سَحابٌ ظُلُماتٌ بَعْضُها فَوْقَ بَعْضٍ إِذا أَخْرَجَ یَدَهُ لَمْ یَکَدْ یَراها وَ مَنْ لَمْ یَجْعَلِ اللَّهُ لَهُ نُوراً فَما لَهُ مِنْ نُورٍ
♦️[Les actions des mécréants] sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde: des vagues la recouvrent, [vagues] au-dessus desquelles s’élèvent [d’autres] vagues, sur lesquelles il y a [d’épais] nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres. Quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu’Allah prive de lumière n’a aucune lumière. (Coran 24 :40)
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lundi, 07 novembre 2022 09:13

Comment peut-on décrire Dieu ?

L’Imam Jafar as-Sadiq (as) dit à propos de l’Unicité: 
«Dieu est Très-Grandiose, Très-Elevé, les serviteurs ne peuvent pas Le décrire ni atteindre l’Essence [la Réalité] de Sa Grandeur; Les regards ne Le perçoivent pas alors qu’Il saisit les regards.

Et Il est le Très-Subtil et le Très-Bien-Informé; Il n’est pas décrit par «comment», ni par «où», ni par «tel»; 
 
Et comment Le décrire par «comment» alors que c’est Lui qui a modulé le «comment» pour devenir «comment», de sorte que j’ai connu le «comment» en tant qu’Il l’a modulé pour nous (le «comment»)? 
 
Ou comment le décrire par «où», alors que c’est Lui qui a déterminé le «où» pour devenir «où», de sorte que j’ai connu le «où» en tant qu’Il l’a déterminé pour nous (le «où»)? 
 
Et comment Le décrire par «tel», alors que c’est Lui qui a déterminé le «tel» pour devenir «tel», de sorte que j’ai connu le «tel» en tant qu’Il nous l’a déterminé (le «tel»)? 
 
Dieu, qu’Il soit Béni et Exalté, est à l’intérieur de tout lieu et à l’extérieur de toute chose. Les regards ne Le perçoivent pas alors qu’Il saisit les regards. Il n’y a de Dieu que Lui le Très-Elevé, le Très-Grandiose et Il est le Très-Subtil, le Très-Bien-Informé. 
 
Usûl al-Kâfî, vol. 1 Kitâb at-Tawhid Bâb 32 p156, H12

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Un nouveau sondage montre que plus de 60% des Américains craignent que la désinformation n'influence les décisions des électeurs pour les élections de mi-mandat du 8 novembre, que les démocrates risquent de perdre face aux républicains.

Un sondage de Knight Foundation, une organisation à but non lucratif qui investit dans le journalisme et les arts, et Ipsos a révélé que plus de 6 Américains sur 10 ont déclaré qu'ils étaient très ou assez préoccupés par le fait que les membres de leur communauté prennent des décisions sur la base d'informations fausses ou trompeuses lors des élections de mi-mandat.

Pour que la démocratie fonctionne, il faut que les gens votent, ce qui suppose qu'ils soient informés, et la presse est là pour les tenir informés. Bien que simple en théorie, en pratique, il y a un problème ; les Américains ne font pas confiance aux médias.

Les nouvelles sont remises en question, mises en doute et non crues par des millions de personnes, ce qui constitue un véritable défi pour la démocratie.

La confiance des citoyens dans le gouvernement, ses institutions et les médias est essentielle au fonctionnement de la démocratie dans n'importe quel pays. Pourtant, aujourd'hui, la confiance est en baisse.

La Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) lance avec succès le transporteur suborbital à trois étages Qaem 100 à combustible solide.

L'essai en vol suborbital du moteur du premier étage « Rafe » du lanceur à combustible solide Qaem 100 s'est effectué avec succès, ce samedi 5 novembre, en présence du général de brigade Amir Ali Hajizadeh, commandant de la Force aérospatiale du CGRI et d'un groupe d'officiels et de responsables des forces armées.

Selon ce rapport, le lanceur à combustible solide Qaem 100 est un satellite qui, avec trois étages de combustible solide, est capable de placer des satellites pesant 80 kg sur une orbite de 500 km de la surface de la Terre.

Un haut commandant militaire iranien a fermement rejeté les allégations des États-Unis et de l'Ukraine selon lesquelles la République islamique est impliquée dans la guerre en Ukraine.

S'adressant aux journalistes samedi 5 novembre, Abolfazl Shekarchi, porte-parole des forces armées iraniennes, a déclaré que « le régime au pouvoir en Ukraine est totalement inféodé aux sionistes et aux Américains ».

« Ces propos et accusations attribués à l'Iran par les présidents des États-Unis et de l'Ukraine sont de purs mensonges et des calomnies », a-t-il ajouté.

L'Afghanistan qui avait réussi à interdire la culture du pavot à partir de 2001 est redevenu la principale source d'héroïne au monde au cours de chacune des vingt années d'intervention américaine. Avec 20 à 30% du produit national brut de l'Afghanistan lié à l'opium, Kaboul est à bien des égards en proie à la production et au trafic de drogue. Une situation à laquelle a réagi le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, annonçant que la production d'opium dans ce pays d'Asie du Sud avait été multipliée par 50 depuis l'invasion américaine.

Ali Bagheri Kani, vice-ministre iranien des Affaires étrangères, a tenu ces propos lors de la conférence intitulée :"Le 21e siècle et un monde libéré de la domination américaine", qui s'est tenue ce samedi 5 novembre à Téhéran. « La production de pavot en Afghanistan a été multipliée par 50 après la présence des États-Unis [dans le pays] », a-t-il ajouté.

"Les décisions et les actions des Américains, telles que leur présence en Afghanistan et en Irak, se sont révélées inefficaces et non constructives. » 

Le déclin de la puissance américaine fait l'objet d'un consensus parmi la plupart des observateurs, même les observateurs américains", a-t-il ajouté.

« La puissance de l'Amérique n'est plus efficace et l'Amérique recourt à la force pour atteindre ses objectifs. Bien sûr, l'utilisation de la force ne peut pas apporter les objectifs des Etats-Unis », a ajouté le diplomate iranien, ajoutant que la puissance américaine est en déclin et finira par s'effondrer. 

Après une mise en garde de la Moscou à Londres concernant son implication dans le pays, il a été signalé que des agents du renseignement britannique travaillent à la création et à la formation d'une « armée terroriste » secrète en Ukraine chargée d'attaquer des cibles russes en Crimée au nom du Service de sécurité ukrainien (SSU).

Citant des documents divulgués, le site Web The Grayzone a rapporté que des agents du renseignement britannique avaient conclu un accord avec l'Ukraine pour organiser et former une armée terroriste dite « Partisan ».

Selon le rapport, qui détaille les plans de ces documents, l'armée secrète avait été chargée de mener des opérations de sabotage et de reconnaissance en Crimée, précisément le type d'attaques observées ces dernières semaines.

Dans ce même sujet, le gouverneur de Sébastopol, Mikhail Razvozhaev, a rapporté, samedi 29 octobre, que les forces russes avaient réussi à déjouer une attaque de drone ukrainien sur le port de la ville, sans faire de victimes ni de dégâts matériels importants.

 

Il y a 43 ans, j’ai été détenu au sommet de la Statue de la Liberté à New York pour avoir participé à une manifestation pacifique contre l’administration Jimmy Carter qui a accueilli Mohammad Reza Pahlavi après que la Révolution islamique populaire a renversé le monarque soutenu par l’Occident.

Toute l’île de la Liberté abritant la sculpture néoclassique colossale douée par la France a été immédiatement évacuée.

Six d’entre nous qui protestions contre la décision du gouvernement américain se sont enchaînés à la statue tout en tenant d’énormes banderoles condamnant le soutien continu de Washington au despote impitoyable.

Nous avons rapidement été arrêtés, fouillés à nu, menottés dans le dos et détenus pendant plus de huit heures avant d’être transférés dans une prison de Manhattan.

Le traitement inhumain que nous ont infligé la police américaine et le système judiciaire du pays à la suite de l’action de protestation, qui a coïncidé avec la prise de contrôle de l’ambassade des États-Unis à Téhéran, a renforcé ma conviction que les revendications occidentales exagérées de défense des droits de l’homme étaient creuses.

J’ai réalisé que le soi-disant droit à la liberté d’expression et d’autres « libertés » décrites dans le premier amendement étaient des outils publicitaires sans fondement pour faire avancer les ambitions inhumaines, discriminatoires et hégémoniques du complexe militaro-industriel américain à travers le monde.

Les étudiants qui ont repris l’ambassade des États-Unis à Téhéran -devenue plus tard connue sous le nom de « Nid d’espionnage » - ont révélé à travers des documents classifiés que l’enceinte tentaculaire située au cœur de la capitale iranienne était utilisée pour orchestrer des attaques vicieuses des plans de coup d’État pour renverser la République islamique nouvellement fondée.

Les étudiants ont ensuite publié les documents accablants sous la forme de livres en plusieurs volumes pour révéler le sinistre agenda des « diplomates » américains en poste en Iran, mais les documents incriminés n’ont jamais été autorisés à être publiés aux États-Unis.

Après l’évacuation de l’île abritant la Statue de la Liberté, le Federal Bureau of Investigation et d’autres agences de sécurité et de renseignement américaines ont tenté de nous faire libérer de la statue en promettant de nous libérer sans inculpation.

Nous nous sommes conformés, mais seulement pour être fermement menottés et détenus sans nourriture ni eau jusqu’à ce que nous soyons transférés dans la soirée à la prison de Manhattan, où nous avons décidé de faire une grève de la faim pour protester contre le traitement inhumain qui nous était infligé. Nous avons été placés dans une cellule miteuse, où les gardiens de prison ont délibérément mis en scène des manœuvres moqueuses pour briser notre volonté en mangeant odieusement devant nous.

Finalement, nous avons comparu devant le tribunal et avons donné une caution pour réapparaître pour la condamnation environ un mois plus tard. Nous avons été frappés d’une amende de 50 $ et de 6 mois de probation, ce qui signifiait que nous devions nous présenter chaque mois à une autorité policière pour prouver que nous nous comportions bien.

Peu de temps après mon retour à Chicago - une grande ville du Midwest où j’ai vécu et fréquenté l’université - j’ai découvert que son conseil municipal avait soumis une proposition d’expulsion de tous les étudiants iraniens inscrits dans les collèges et universités de la ville à l’époque.

Un groupe d’étudiants iraniens m’a demandé de les représenter lors d’une audience délibérant sur l’adoption de la législation raciste. Lorsque j’ai assisté à l’audience fictive, j’ai été choqué de voir un étudiant-activiste américain témoigner contre la proposition, sévèrement raillé par les échevins de la ville (membres du conseil) avec un langage incroyablement obscène, puis brutalement battu et traîné hors de la salle d’audience par des policiers.

Alors que j’attendais mon tour de témoigner et que je m’interrogeais sur mon sort après avoir témoigné, j’ai simplement commencé à sourire aux législateurs à l’air méchant, seulement pour être insulté avec colère et demandé « de quoi tu ris ? »

J’ai alors décidé de sortir de la salle après avoir rappelé aux législateurs de la ville qu’il était inutile de témoigner puisque leur esprit était déjà fixé par des préjugés.

J’ai appris plus tard que le projet de proposition n’était jamais devenu loi parce qu’il défiait tous les droits fondamentaux énoncés dans la Constitution américaine sous le préambule « We the People ».

Aujourd’hui, les Iraniens célèbrent chaque année le 4 novembre comme la Journée nationale contre l’Arrogance mondiale en participant à des manifestations depuis l’enceinte qui abritait autrefois l’ambassade des États-Unis à Téhéran pour rappeler ce qui s’est passé ce jour-là en 1979.

C’est toujours d’actualité alors que les États-Unis continuent de s’immiscer dans les affaires intérieures d’autres nations, y compris l’Iran.

Cette année, les manifestations dans tout le pays ont attiré une foule beaucoup plus importante que les années précédentes, des personnes de tous horizons dénonçant les gouvernements occidentaux pour avoir fomenté des troubles meurtrières dans le pays par le biais de campagnes médiatiques et politiques visant à provoquer un « changement de régime » en Iran.

Les Iraniens semblent de plus en plus déterminés à résister et à faire campagne avec rigueur contre tous les stratagèmes menés par les États-Unis pour s’immiscer non seulement dans leur pays, mais dans le monde entier.

Mohsen Badakhsh est éducateur et journaliste indépendant.

(Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement celles de Press TV.)

 

« Un bombardier stratégique américain B-1B participera aux exercices aériens conjoints en cours avec la Corée du Sud », a déclaré un responsable militaire à Séoul, qui a considéré cette décision comme une démonstration de force contre les tirs de missiles de représailles de Pyongyang.

« B-1B doit participer à l'entraînement de l'après-midi », a déclaré samedi 5 novembre un responsable du ministère sud-coréen de la Défense, cité dans un rapport de l'AFP, sans donner de détails sur la dernière journée des exercices militaires - baptisés « Vigilant Storm » - qui ont commencé lundi et devaient initialement se terminer vendredi.

Selon le rapport, bien que le bombardier B-1B ne porte plus d'armes nucléaires, l'US Air Force le désigne comme « l'épine dorsale de la force américaine de bombardement à longue portée » qui peut frapper n'importe où dans le monde.

La soi-disant démonstration de force est intervenue un jour après que la Corée du Sud a déployé ses avions de combat en réponse à ce qu'elle a prétendu être la mobilisation de 180 chasseurs à réaction nord-coréens.

Les drones que l’Iran a donnés à la Russie datent de plusieurs mois avant la guerre en Ukraine, souligne le ministre iranien des Affaires étrangères. 

Le ministre iranien des Affaires étrangères affirme que la livraison de drones iraniens à la Russie date de plusieurs mois avant la guerre en Ukraine, et que si leur utilisation par les Russes dans la guerre contre l’Ukraine est prouvée, son pays ne restera pas indifférent.

En marge de la première réunion internationale du Groupe des amis pour la défense de la Charte des Nations Unies à Téhéran, le ministre des Affaires étrangères a déclaré à l’adresse des participants et des correspondants de différents médias : « Nos relations avec la Russie se basent sur le principe de bon voisinage et les intérêts mutuels. Les pays occidentaux ont récemment fait un tapage médiatique concernant la remise par la RII des missiles et des drones à la Russie. Des rumeurs sur la livraison des missiles aux Russes sont complètement fausses, mais la question de la livraison des drones à l’armée russe est correcte ».

Et à Amir Abdollahian d’ajouter : « Nous avons pourtant fourni à la Russie un nombre limité de drones des mois avant la guerre en Ukraine. Dans ce sens, nous avons convenu avec le ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine que s’ils ont des preuves authentiques sur l’utilisation par Moscou de nos drones en pleine guerre, ils devraient nous les fournir. »

M. Amir-Abdollahian a déclaré : « Nous avons programmé un rendez-vous il y a deux semaines avec la partie ukrainienne dans un pays européen. Notre délégation comprenant des responsables militaires et politiques s’y est rendue, mais malheureusement, la partie ukrainienne a annulé la rencontre au dernier moment. En effet, les États-Unis et certains pays européens, en particulier l’Allemagne, ont demandé à la délégation ukrainienne de ne pas participer à cette réunion. […] ».

« Lors de notre conversation téléphonique, le ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine et moi avons convenu que s’il existe un document [sur l’utilisation des drones iraniens par l’armée russe lors de la guerre], Kiev le fournira à Téhéran, et si la partie ukrainienne tient sa promesse, on pourra pouvoir examiner l’affaire dans les prochains jours. Lesdits documents nous intéressent », a précisé le plus haut diplomate iranien.