تقي زاده

تقي زاده

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a réagi aux dernières accusations du président américain Donald Trump contre Téhéran.

Dans un tweet, Mohammad Javad Zarif a déclaré que Trump ne pouvait pas détourner l’attention de ses échecs catastrophiques en mettant ses propres citoyens en danger à l’étranger.

Le président sortant des États-Unis a prévenu mercredi qu’il tiendrait « l’Iran pour responsable » en cas d’attaque mortelle contre des Américains en Irak, à l’approche du premier anniversaire de la mort du général iranien Qassem Soleimani.

« Notre ambassade à Bagdad a été touchée dimanche par plusieurs roquettes », a rappelé le président américain sortant sur Twitter, évoquant une attaque qui a causé des dégâts matériels, mais aucun décès. « Devinez d’où elles venaient : d’IRAN », a-t-il ajouté.

Le secrétaire d’État Mike Pompeo avait également fait les mêmes remarques, affirmant que des groupes soutenus par l’Iran avaient mené l’attaque. Téhéran a rejeté ces accusations comme étant irresponsables, affirmant que Washington voulait créer des tensions dans la région avec de fausses déclarations.

 

Qui aurait cru que pour son premier voyage post- appel à participer à la reconstruction des ruines de la guerre, le vice PM azerbaïdjanais choisirait de se rendre en Iran alors même que tous ces 44 jours de conflit déclenché à l’instigation de l’axe US/OTAN au Caucase sud n’avait autre objectif que de placer Bakou face à Téhéran, objectif dont le discours du président turc prononcé lors de la parade de la victoire à Bakou a largement porté la signature. Mais près de deux mois après la fin du conflit, les choses semblent s’orienter dans un sens totalement inverse : la Turquie en est toujours à prier Moscou à l’inclure dans ses patrouilles militaires dans le Haut-Karabakh. Quant à Israël qui pompe 40 % de ses besoins en pétrole depuis l’Azerbaïdjan, l’inquiétude le dispute à la méfiance.  

Au point d’inventer des histoires à dormir debout : alors que l’axe Israël/Turquie n’a jamais cessé de collaboré ensemble que ce soit en Syrie, en Afrique ou encore en Méditerranée, Times of Israël prétend à une médiation azerbaïdjanaise pour une reprise des liens Tel-Aviv- Ankara !

Après s’être retrouvé assiégé par les membres de Haredim protestant contre le service militaire obligatoire, le commandant de l’armée sioniste aurait tiré sur les manifestants non armés en raison d’une intervention tardive d’une unité spéciale de police.

Terrifié, le général Yoel Strick, a échappé à la foule à l’entrée de la ville de Qods alors qu’il s’apprêtait à tirer avec son arme personnelle sur les manifestants protestant contre l’arrestation d’un étudiant qui ne s’était pas présenté au bureau de recrutement pour recevoir son sursis de service dans l’armée israélienne, a rapporté le journal Yedioth Aharonot.

Le représentant américain en Syrie a mis les Forces démocratiques syriennes en garde contre tout acte de provocation à l’encontre d’Ankara.

Lors d’une interview avec le Woodrow Wilson International Center for Scholars situé à Washington, D.C., l’envoyé spécial des États-Unis pour la Syrie, James Jeffrey, a invité les FDS à s’abstenir de quatre actions, faute de quoi, ils subiront de lourdes pertes.

Il y a quatre mesures, affirme James Jeffrey, que les FDS doivent respecter, si elles pensent à leur survie : ne pas empêcher l’arrivée des tankers transportant du pétrole à Damas ; ne pas organiser de référendum comme l’ont fait les Kurdes en Kurdistan irakien en 2017 ; éviter de développer des relations avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ; et ne jamais attaquer le territoire turc depuis le nord-est de la Syrie.

Selon le journal en ligne Rai al-Youm, suite aux provocations américaines et sionistes en Asie occidentale et leurs tentatives visant à pousser le Maroc à normaliser ses relations avec le régime sioniste, les États-Unis cherchent aujourd’hui à provoquer une guerre entre les pays du Maghreb, à savoir le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie. Ils exploiteraient les différends du territoire contesté du Sahara occidental.

Selon Abdel Bari Atwan, ceux qui suivent les agissements sionistes et américains au Maghreb et les questions marginales liées à la normalisation des relations avec l’entité sioniste dans toutes ses dimensions ont la forte impression qu’il existe déjà un plan bien calculé pour séparer le Maroc des pays arabes et islamiques et secouer la stabilité et la sécurité dans ce pays.

« La célébration médiatique d’hier à Rabat dirigée par Jared Kushner, le gendre de Trump, et son voyage à bord d’un avion de la compagnie israélienne El Al à la tête d’une délégation accompagnée par Meir Ben-Shabbat, conseiller à la sécurité nationale du régime d’Israël, était un acte provocateur non seulement contre nous, mais aussi contre toute la nation arabe et musulmane du Maghreb », a-t-il indiqué.

Ce mercredi 23 décembre, l'entité sioniste qui vient de subir la 4ème décapitation de son exécutif en l'espace de quelques mois avec en amont la dissolution de la Knesset, et le naufrage du fantomatique cabinet Gantz-Netanyahu a tenu en toute discrétion un exercice militaire de nature non déterminée, là où son "Lethal Arrow", organisé avec fracas au mois d'octobre et impliquant tout ce que l'entité compte de militairement vendable a fait un fracassant Pschitt sous le coup des drones de reconnaissance du Hezbollah.

Sur fond d’instabilité politique dans les territoires occupés, les groupes de la Résistance palestinienne s’apprêtent à contrecarrer toute éventuelle attaque du régime sioniste à l’approche du départ de Donald Trump de la Maison-Blanche. 

Informés d’un possible acte de trahison du régime sioniste contre la Palestine avant la fin du mandat du président américain, les groupes de la Résistance palestinienne organisent leur première manœuvre conjointe, a rapporté une source locale citée ce jeudi 24 décembre par le journal libanais Al-Akhbar.

« La manœuvre conjointe a pour but d’identifier les objectifs échelonnés des groupes de Résistance lors des conflits, y compris les moyens d’élargir le conflit et les mécanismes de pression militaire contre les occupants, l’entente sur un nom commun pour toutes les batailles, l’intégration du renseignement militaire dans la salle des opérations conjointes des groupes de la Résistance palestinienne et le plus important : l’achèvement des missions militaires des groupes palestiniens », a détaillé la source.

Mercredi et en réaction à l'annonce de l'arrivée de l'USS Georgia dans le golfe Persique, le vice président du Parlement iranien a affirmé que le batiment à propulsion nucléaire était d'ors et déjà dans le filet de l'Iran : "quand l'ennemi s'approche de nous, nous sommes largement plus confiants que d'habitude car nous l'avons en ligne de mire. Notre cordon de sécurité commence dans le golfe Persique pour s'étendre à la mer d'Oman puis allaer vers le nord en océan Indien. Tout ce qui y bouge et qui est potentiellement un emenace pour notre sécurité est dans notrre viseur.. on pourrait ne pas frapper cette cible mais s'en emparer... Dasn le cas contraire, une frappe contre un batiment nucléiare, ce sont les Amis des USA dans la région qui devraient s'en inquiéter car toute fuite de radioactivité nuira d'abord à eux, qui dépendent pour l'eau potable des eaux du golfe Persique".. 

Une destruction de l'USS Georgia par les missiles iraniens est-elle en vue? 

jeudi, 24 décembre 2020 23:35

Hadith du jour

Le Prophète (pslf) a dit :

« Tout Musulman doit faire une aumône tous les jours.»

On lui dit : « Celui qui peut le faire. »

Il (pslf) répliqua :

« Enlever un obstacle nuisible sur le chemin est une aumône.»

( Bihâr vol.72 p50 )
#Angel313