Personne n’a contesté les règles de Otan durant la Guerre froide, sauf la France. Mais au vu de ses dérives depuis 2001, chacun de ses membres (sauf la Turquie) songe à en sortir, y compris les USA pour qui elle est pourtant indispensable. Le rapport interne montre ce qu’elle devrait devenir illustre ses contradictions et la difficulté à la réformer.

تقي زاده
Salat ala-Nabbi, SALAWAT
La Prière sur le Prophète (P)
O 'Alî! Quiconque oublie de prier sur moi aura manqué le chemin du Paradis.(574)
Ceux qui auront le plus droit à mon intercession le Jour de la Résurrection seront ceux qui auront le plus prié sur moi.(575)
Chaque fois qu'un membre de ma Communauté prie sur moi sincèrement et de tout coeur, Allah priera sur lui dix fois, élèvera dix fois sa position, inscrira dix bonnes actions à son actif et effacera dix péchés de son passif.(576)
Je serai auprès de la Balance le Jour du Jugement. Je prierai sur moi pour faire pencher le plateau des bonnes actions de celui dont le plateau des péchés serait plus lourd (que le plateau des bonnes actions).(577)
(C'est dire combien la Prière sur le Prophète constitue un acte méritoire pour Allah)
Élevez vos voix en priant sur moi, car la prière sur moi conjure l'hypocrisie.(578)
Quiconque accomplit une Prière sans y prier sur moi ni sur les Gens de ma Maison (Ahl-ul-Bayt), sa Prière ne sera pas acceptée.(579)
Après avoir prononcé le tachahhud dans la Prière, dites: Allâhumma çalli 'alâ Mohammadin wa âle Mohammadin, wa bârik 'alâ Mohammadin wa âle Mohammadin wa-raham Mohammadan wa âle Mohammadin kamâ çallayta wa bârakta wa tarahhamta 'alâ Ibrâhîma wa 'alâ âle Ibrâhîm, innaka Hamîdun Majîd (O mon Dieu!
Prie sur Mohammad et sur la Famille de Mohammad, et bénis Mohammad et la Famille de Mohammad, et couvre de Ta Miséricorde Mohammad et la Famille de Mohammad, comme Tu as prié sur Ibrâhîm et la Famille d'Ibrahîm, comme Tu les a bénis et comme Tu les a couverts de Ta Miséricorde. Certes, Tu es Digne de louanges et Glorieux).(580)
Notes :
574. . "Makârim al-Akhlâq", op. cit., p. 444.
575. . Idem, p. 312.
576. . Idem, p. 312.
577. . Idem, p. 312.
578. . Idem, p. 313.
579. 579. Relaté par Ibn Mas'ûd et cité dans "Sunan al-Dârqutnî": 136.
580. 580. Relaté par Ibn Mas'ûd, cité dans "Sahîh Ibn Mâjah": Kitâb al-Salât', p. 65
Casse-tête à l’Otan
- Le gigantesque siège de la plus importante organisation militaire de l’histoire.
Alors que l’hyper-puissance états-unienne est en déclin avancé et que le président Donald Trump avait évoqué une possible sortie de son pays de l’Otan, les États-membres s’interrogent sur l’avenir de l’alliance atlantique. C’est pourquoi, son secrétaire général, Jens Stoltenberg, a institué en avril une Commission de réflexion, composée de 10 personnalités atlantistes, pour définir ce que serait l’Otan en 2030.
Son objectif était de redéfinir l’alliance comme ce fut le cas, en 1967, après la sortie de la France du commandement intégré et alors que la période de vingt ans durant laquelle il n’était pas possible de sortir du Traité allait prendre fin.
À l’époque le ministre belge des Affaires étrangères, Pierre Harmel, avait entrepris de coordonner une très vaste consultation en prenant en compte la volonté française d’indépendance nationale. S’adaptant à la logique du président Charles De Gaulle, il distingua les aspects politiques (le Traité), des aspects militaires (l’Organisation).
Bien sûr, Pierre Harmel était fondamentalement acquis à la domination états-unienne sur le « Monde libre ». En tant que démocrate-chrétien, il était opposé à l’URSS tout autant pour son athéisme que pour ses principes collectivistes. À ce titre, il s’était engagé dans le Mouvement des dirigeants chrétiens [1] organisé par le Pentagone.
Le nouveau groupe de réflexion vient de rendre son rapport, le 25 novembre 2020.
Contrairement aux attentes, il n’imagine pas de nouveaux horizons, mais appelle à se recentrer sur ce qui unit les États-membres : les « valeurs communes » définies par le Traité constitutif de l’Alliance : « les principes de la démocratie, les libertés individuelles et le règne du droit » [2]. De fait, les principes de la démocratie viennent d’être violés aux États-Unis par les fraudes électorales, tandis que les libertés individuelles ont été restreintes dans chaque État membre à l’occasion de l’épidémie de Covid-19. Quant au règne du droit, il n’existe plus en Turquie.
Préambule
Ici, un préambule s’impose. Jamais l’Otan n’a été une « alliance » au sens d’une libre association de partenaires visant à renforcer leur défense. Au contraire, dès sa fondation, tous ont été contraints d’accepter un commandement militaire éternel des États-Unis et de lui obéir. Dans la pratique, l’Otan est une légion étrangère au service des Anglo-Saxons : le Pentagone en premier, Whitehall en second. Cette violation flagrante du principe de souveraineté énoncé par la Charte de l’Onu a contraint l’Otan à pratiquer un discours biaisé.
Sa noble et belle rhétorique ne doit pas masquer son management de voyou. Durant la Guerre froide, les Anglo-Saxons utilisèrent un service secret de l’Alliance pour veiller à ce que les États-membres acceptent toujours leur commandement. Ils constituèrent un réseaux stay-behind, prétendument pour résister en cas d’invasion soviétique. Cependant ils n’utilisèrent ce réseau que pour éliminer toute velléité d’indépendance. Ils organisèrent des assassinats de dirigeants et suscitèrent des coups d’État chez leurs partenaires. Ces faits sont aujourd’hui enseignés dans les académies militaires anglo-saxonnes et ont été étudiés en détail par de nombreux historiens [3].
Ce système perdure depuis la fin de la Guerre froide sous une autre forme. Chaque Etat-membre a été sommé d’autoriser par écrit les Anglo-Saxons à les espionner avec l’aide de leurs propres fonctionnaires, ainsi que l’a révélé Edward Snowden et qu’on a pu le constater encore le mois dernier au Danemark [4].
Enfin le commandement militaire anglo-saxon n’hésite pas à violer les statuts de l’Alliance lorsque cela l’arrange. Ainsi, c’est lui, et non pas le Conseil atlantique qui y était opposé, qui a décidé le bombardement de la Libye et le renversement de Mouamar el-Kadhafi.
Une commission sous surveillance
Dans ces conditions, il serait naïf de croire que la Commission de réflexion ait eu la liberté de penser par elle-même.
Elle était présidée par Wess Mitchell, ancien assistant du secrétaire d’État Rex Tillerson pour les affaires européennes et eurasiatiques ;
Il se trouve que Wess Mitchell est l’auteur d’une surprenante étude, La Doctrine du Parrain [5], qui ne figure pas sur sa biographie diffusée par l’Otan. Il y compare les trois principales écoles de politiques étrangères US aux méthodes des trois fils du « parrain », Don Vito Corleone, les héros des livres de Mario Puzzo et des films de Francis Ford Coppola. Il y prêche pour un mélange de soft et de hard power, incluant les techniques mafieuses.
Or, comment ne pas retrouver ces méthodes dans des opérations de chantage dont plusieurs autres membres de la commission ont fait l’objet dans les années passées. Attention : les éléments que nous allons présenter ne signifient pas que certains membres de la commission ont commis des crimes très graves, mais qu’ils en ont eu connaissance et les ne les ont pas dénoncés.
Prenons le cas de Thomas de Maizière, ancien directeur de la Chancellerie fédérale, puis ministre de l’Intérieur et de la Défense allemand [6]. Laissons de côté son indiscutable sponsoring par des think-tanks US. Avant de devenir le bras droit d’Angela Merkel, cette illustre personnalité a été, entre autres, ministre de l’Intérieur de Saxe (2004-5), fonction au cours de laquelle il a eu à connaitre l’affaire du « marais saxon » (Sachsensumpf). Il a considéré les informations recueillies par ses services comme « sérieuses », mais ne les a pas transmises à la Justice. Il s’agissait d’une affaire de prostitution de mineures impliquant de hautes personnalités locales. Elle a ressurgi des années plus tard, lorsque Thomas de Maizière devint ministre de la Défense, avec la révélation de plusieurs faits qui avaient été étouffés, des remises en cause de témoignages, et des débats parlementaires [7].
Ou encore le cas d’Hubert Védrine, ancien secrétaire général de l’Élysée (1991-95) puis ministre français des Affaires étrangères (1997-2002). Lorsqu’il était le plus proche collaborateur du président François Mitterrand [8], il fut piégé par l’Otan dans une maison où il se rendait deux fois par mois pour participer au Conseil municipal du petit village dont il était l’élu. Sous ses yeux insouciants des membres néo-nazis du réseau stay-behind de l’Otan y installèrent le plus grand studio de pornographie infantile en Europe [9]. L’affaire fut étouffée. De sa propre initiative, le responsable de la sécurité de l’Élysée fit disparaître deux acteurs dont un de « crise cardiaque ». Cependant la mort du second, probablement assassiné par un policier de Renseignement venu abusivement l’interpeller à son domicile, ne passa pas inaperçue et provoqua un débat au Parlement [10].
Dans ces deux cas, la vérité n’ayant pas été exposée, les membres de la Commission sont susceptibles de faire l’objet de chantage.
Un rapport révélateur des conflits internes
Le rapport de la Commission de réflexion, intitulé Otan 2030 : unis pour une nouvelle ère (NATO 2030 : United for a New Era), est très éclairant, plus par ce qu’il aurait dû contenir, mais ne dit pas, que par ce qu’il explicite.
En premier lieu, il insiste lourdement sur les « valeurs communes », ce qui résonne comme une accusation contre les États-Unis et la Turquie. Il propose de non plus de réagir aux manquements constatés (ce qui est en pratique impossible contre Washington), mais de prendre des initiatives avant que ces valeurs aient été violées. Une manière comme une autre de faire du passé table rase et d’exiger que cela ne se reproduise plus.
Il désigne la Russie comme le seul rival actuel et la Chine comme le prochain.
Il récapitule toutes les opérations de l’Otan dans sa zone géographique et hors de cette zone, à l’exception de la destruction de la Libye. On se souvient que cette décision avait été prise par le commandement anglo-saxon dans le dos du Conseil atlantique. Cet « oubli » manifeste une rancœur.
Or, traitant du Sud, le rapport souligne que lorsque les voisins de l’Otan sont plus sûrs, l’Otan est plus sûre ; une manière détournée de rejeter la doctrine Rumsfeld/Cebrowski de destruction systémique des structures étatiques du « Moyen-Orient élargi » et donc de remettre en cause la destruction de la Libye.
Rappelons qu’en 2011, au moment de cette guerre, Mouamar el-Kadhafi était devenu un allié des États-Unis. Il avait été félicité par le président Bush fils, notamment pour avoir renoncé au nucléaire, et avait accepté de confier à Mahmoud Jibril la réorganisation de son économie. Or, du jour au lendemain, Jibril devint le chef de l’opposition et l’Otan somma el-Kadhafi de partir.
Concernant le contrôle des armements, la Commission zappe le traité de l’Onu sur le désarmement nucléaire qu’elle a par ailleurs fermement condamné. Elle renvoie aux travaux de Pierre Harmel, en 1967, et à l’affirmation du double objectif de la dissuasion et de la détente. Là encore, il s’agit d’une condamnation de la dérive actuelle de l’Organisation qui renforce son arsenal tout en rejetant les propositions du président Poutine en matière de désarmement.
À propos des ressources énergétiques, il pose comme une évidence le droit de l’Otan à assurer son plein accès aux ressources d’hydrocarbures dans le monde quels que soient les besoins des autres puissances.
Concernant la guerre de l’information, la Commission de réflexion invite l’Organisation à s’appuyer sur les citoyens. Sans remettre en cause l’appel d’offre du 15 octobre 2020, elle approuve les objectifs du Centre d’excellence des communications stratégiques de Riga, mais en conteste donc les méthodes.
Traitant de l’unité de l’alliance, la Commission souligne l’engagement de tous à défendre un membre lorsqu’il est attaqué (article 5). Elle explique alors, faisant allusion au comportement de la Turquie, que cet engagement ne pourra être tenu que si chaque État-membre respecte strictement les « valeurs communes » de l’Organisation. Depuis la publication du rapport, le secrétaire d’Etat US, Mike Pompeo, est venu dire à ses homologues tout le mal qu’il pensait de la Turquie. Il rendait ainsi possible une exclusion d’Ankara de l’alliance, voire une éventuelle guerre contre lui.
Non sans humour, la Commission suggère la création d’un Centre d’excellence pour la résilience démocratique.
À propos du fonctionnement de l’alliance, la Commission tente de prévenir une nouvelle violation des statuts de l’alliance sous prétexte d’une urgence comme ce fut le cas pour la destruction de la Libye. Elle préconise donc des consultations le plus en amont possible, notamment avec l’Union européenne et les partenaires de la zone Indo-Pacifique susceptibles d’adhérer à l’Otan.
Conclusion
Malgré les pressions exercées sur des membres de la Commission consultative, celle-ci n’a pas éludé les vrais problèmes, mais s’est abstenue de les expliciter. Chacun est conscient que l’alliance est un outil de domination des Anglo-Saxons, ceux qui souhaitent s’en affranchir tentent de ne pas se laisser embarquer à leurs frais dans de nouveaux conflits.
[1] Ce groupe de prière œcuménique international est toujours très actif. Il est aujourd’hui connu sous le nom de « La Famille ». Son siège est à la propriété des Cèdres, juste à côté du Pentagone. Tous les chefs-d’état major US depuis la Seconde Guerre mondiale en ont fait partie, plusieurs chef d’État et de gouvernement actuels aussi. Cf. The Family : The Secret Fundamentalism at the Heart of American Power, Jeff Sharlet , HarperCollin (2008) et les archives de l’auteur.
[2] « Traité de l’Atlantique Nord », Réseau Voltaire, 4 avril 1949.
[3] Nato’s Secret Armies : Operation Gladio and Terrorism in Western Europe, Daniele Ganser, Franck Cass (2004). Version française : Les Armées Secrètes de l’OTAN : Réseaux Stay Behind, Opération Gladio et Terrorisme en Europe, Éditions Demi-Lune, (2007). Le texte de ce livre est disponible en français et en espagnol sur le site du Réseau Voltaire.
[4] « Continuation des réseaux Stay-Behind de l’Otan au Danemark », Réseau Voltaire, 20 novembre 2020.
[5] “Pax Corleone”, Hulsman, John Hulsman & Wess Mitchell, The National Interest n°94, March-April 2008. The Godfather Doctrine, John Hulsman & Wess Mitchell, Princeton University Press (2006).
[6] L’auteur de cet article est un ancien camarade de collège de Thomas de Maizière.
[7] Die Zeit des Schweigens ist vorbei (Le temps du silence est fini), Mandy Kopp, Ullstein Taschenbuchvlg (2014). L’affaire a aussi inspiré ce roman à clés : Im Stein (Dans la pierre), Clemens Meyer, S. Fischer (2013).
[8] François Mitterrand et la famille Védrine se sont liés en 1942 au service de Philippe Pétain.
[9] L’auteur de cet article a été un des premiers témoins entendu par la police judiciaire dans cette affaire. Il a reçu les félicitations du Mémorial Yad Vachem pour son enquête sur ces réseaux néo-nazis.
[10] Mort d’un pasteur, l’affaire Doucé, Bernard Violet, Fayard (1994).
Pire que leur précision, les missiles d'Ansarallah sont de plus en plus "furtifs"
Les USA pourraient-ils ne pas "blacklister" Ansarallah? Vu l'ampleur de la défaite que la Résistance yéménite a fait subir aux Patriot US, et à l'ensemble de la flotte aérienne US/OTAN au point que sa Majesté Elizabeth a été contraint d'envoyer sa propre Force spéciale "soutenir" les "sites pétroliers d'Aramco " - et on se demande comment puisque Ansarallah a déjà fait la peau des Tornado britanniques avec ses missiles sol-air- le balcklistage est inévitable. Surtout que suite aux dernières frappes au missile Qods-2 contre Djeddah en Arabie l'essence commence à manquer en Arabie saoudite. Certains analystes voient à travers la tentative de faire réconcilier Arabie-Qatar, une réaction à l'impasse yéménite dans lequel patauge l'Amérique. Car les choses vont s'empirer, les missiles d'Ansarallah vont gagner en portée te n puissance et les cibles à abattre se multiplieront dans les semaines à venir. Et Israël qui croit pouvoir faire sien Socotra en pâtira.
Golfe Persique: Moscou se dit préoccupé par les agissement d’Israël
Sur fond des menaces croissantes du déclenchement d’une guerre majeure au Moyen-Orient suite à l’assassinat du scientifique iranien, le ministre russe des Affaires étrangères met en garde contre les agissements d’Israël dans le golfe Persique.
Ayant pris part à la réunion virtuelle du Dialogue méditerranéen, le vendredi 4 décembre, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a mis en garde contre la situation dans le golfe Persique et les actions arbitraires du régime sioniste.
« La situation dans la région du golfe Persique est devenue extrêmement préoccupante. Le président russe Vladimir Poutine a récemment suggéré la tenue d’un webinaire entre les membres permanents du Conseil de sécurité, avec l’Iran et l’Allemagne », a déclaré le chef de la diplomatie russe.
« La proposition envisageait des étapes de coordination qui éviteraient une nouvelle escalade et des progrès vers la coordination de l’index des travaux conjoints pour aider à établir un système de sécurité collective dans le golfe Persique », a-t-il expliqué.
Plus loin dans son discours, Sergueï Lavrov a appelé le régime sioniste à s’abstenir de toute action unilatérale dans les territoires occupés, y compris la Cisjordanie, déclarant que la situation ne peut pas être entièrement stabilisée, car le conflit entre les Arabes et Israël n’est toujours pas résolu.
10 pétroliers iraniens défient la IVe flotte US
Au mépris des sanctions américaines, l’Iran envoie sa plus grande flotte de pétroliers vers le Venezuela.
La plus grande flotte de pétroliers d’Iran comprenant dix pétroliers avec des expéditions de carburant est en route vers le Venezuela pour aider le pays à faire face aux pénuries de carburant au plus fort des sanctions américaines, a rapporté Bloomberg, ce samedi 5 décembre.
Une partie de la flottille d’environ 10 navires iraniens aidera également à exporter du brut vénézuélien après avoir déchargé du carburant, ont déclaré les sources à Bloomberg sous couvert de l’anonymat, car la transaction n’est pas publique.
L'évacuation de la moitié du personnel de l'ambassade US à Bagdad vise à faire pression sur le gouvernement irakien
L’ambassadeur d’Iran à Bagdad a annoncé que le commandant de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) avait rencontré le Premier ministre et le président irakiens lors de sa récente visite en Irak.
Iraj Masjedi, ambassadeur iranien à Bagdad, a déclaré lors d’une interview à Al-Alam que le général Ismaïl Qaani, commandant de la force Qods du CGRI, avait rencontré de hauts responsables irakiens.
"L’Iran forme un front contre l’occupation israélienne dans le Golan" (Al-Jarida)
Le journal koweïtien Al-Jarida affirme que l’Iran a l’intention de créer un nouveau front contre l’occupation israélienne dans le Golan.
Al-Jarida prétend que l’un des commandants de l’axe de la Résistance a informé le journal que l’Iran et les groupes de résistance avaient l’intention d’armer 5000 membres des Forces populaires de l’ouest de la Syrie et du Golan occupé pour former un front contre l’occupation du régime sioniste.
L’Imam al-Mahdî (ajf) et la « Pierre noire »
« J’arrivai à Bagdad en l’an 337 pour aller au Hajj. C’était l’année où les Qarâmitat (ou Qarmatians)* devaient rendre la Pierre Noire à la Maison de Dieu (al-Ka‘abah) et ma grande préoccupation était de savoir qui allait replacer la pierre, car il avait été dit, dans un des livres qui avaient relaté ce triste épisode, que celui qui allait replacer la Pierre Noire serait l’Argument du Temps –comme cela avait été à l’époque d’al-Hajjâj, quand l’Imam ‘Alî(p) fils de Hussein(p) Zein al-‘Abidine la remit à sa place–.
Malheureusement, je tombai gravement malade au point de craindre pour ma vie. Je ne pouvais pas faire ce que je voulais [aller au Hajj]. Je remis une enveloppe fermée à une personne du nom d’Ibn Hisham, dans laquelle je demandais combien de temps j’allais vivre et si j’allais mourir de cette maladie, et lui dis de se rendre à La Mecque pour la remettre à celui qui allait replacer la Pierre Noire dans la Ka‘abah. J’insistais sur le fait que j’attendais sa réponse. »
Ibn Hisham se rendit à La Mecque au moment où il fut décidé que la Pierre Noire devait être remise. Il raconta ce qu’il lui arriva.
« Beaucoup de monde assistait à ce grandiose évènement, signe du retour de la paix et de la sécurité en cet endroit. Je donnai de l’argent à des gardiens de la Maison de Dieu pour qu’ils me laissent près de la Ka‘abah de sorte à pouvoir voir celui qui poserait la Pierre Noire et pour qu’ils me protègent de la bousculade.
Chaque fois qu’un homme essayait de poser la pierre, la foule retenait son souffle. Mais la pierre vacillait et ne restait pas en place. Alors, une autre personne essayait à sa place jusqu’à ce qu’enfin arrivât un jeune homme au teint brun, avec un beau visage. Le silence se fit à nouveau. Il avança, prit la pierre et la posa dans la Ka‘aba.. La pierre se stabilisa, comme si elle n’avait jamais été retirée. Alors, des voix d’approbation s’élevèrent de toutes parts. Le jeune homme se retira tout aussitôt, sortant par une des portes de la mosquée sacrée.
Je bondis de ma place et me mis à le suivre, repoussant les gens à droite et à gauche au point que les gens pensaient que j’étais devenu fou. Les gens me regardaient et moi je ne le quittais pas des yeux. Je courais très vite derrière lui, laissant les gens loin derrière moi, alors que, lui, semblait marcher lentement. Mais je n’arrivais pas à le rattraper.
Quand il arriva à un endroit où personne ne pouvait le voir, il s’arrêta et se tourna vers moi. Il me dit : « Donne-moi ce que tu as. » Je lui donnai l’enveloppe. Sans même regarder à l’intérieur, il me dit : «
Dis lui qu’il n’a pas à avoir peur de cette maladie. Ce qui doit arriver inévitablement
[la mort] arrivera dans trente ans. »
J’étais comme paralysé. Des larmes coulaient de mes yeux et je ne pouvais pas bouger. Il me laissa et s’en alla. »
[ Bihâr al-Anwâr, vol.52 p58-59 H41 ]
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#khadimatAlQaem ajf
Israël : universités, centres de recherche, centrales nucléaires et électriques … en état d’alerte
À la suite de la mort en martyr du scientifique iranien Mohsen Fakhrizadeh près de Téhéran, les hauts fonctionnaires et employés qui travaillent et travaillaient déjà dans l'installation nucléaire israélienne à Dimona ont été sommés d’être plus prudents que jamais de leurs activités quotidiennes, ont rapporté les médias israéliens.
Un scientifique qui était autrefois employé dans l'installation de Dimona a notamment été invité à modifier sa routine. Il lui a notamment été conseillé de se méfier des colis suspects et de tout événement inhabituel, selon les informations obtenues par la chaîne d’information israélienne, Kan.
La Russie et l’Iran examinent le corridor Nord-Sud
Kirsan Ilioumjinov et Kazem Jalali ont examiné la mise en application du projet du corridor de transport international Nord-Sud.
Kazem Jalali, ambassadeur de la République islamique d’Iran en Russie, et Kirsan Ilioumjinov, ancien président de la République de Kalmoukie et renommé expert économique et politique russe, se sont entretenus, vendredi 4 décembre, des projets économiques et humanitaires ainsi que du corridor du transport Nord-Sud.