
تقي زاده
Syrie: reprise du processus d'évacuation après un attentat sanglant contre les chiites
Mais celles-ci s'étaient retrouvées bloquées durant des heures samedi, prisonnières de leurs bus, près d'Alep, la grande ville du Nord, et incapables d'arriver à leurs destinations finales, en raison de désaccords entre les parties adverses.
C'est ce moment qu'a choisi un kamikaze pour faire exploser sa camionnette piégée à côté des 75 bus transportant des chiites syriens évacués de Foua et Kafraya, deux localités progouvernement, causant un carnage.
Le correspondant de l'AFP à Rachidine, banlieue rebelle à l'ouest d'Alep où étaient stationnés les bus, a vu de nombreux cadavres, dont ceux d'enfants, et des membres arrachés jonchant le sol, ainsi qu'un grand nombre de blessés.
Explosion dans la province turque de Van
Selon cette source, l’explosion de cette bombe dans le district de Catak, dans la province de Van, a tué un soldat et un gardien de village.
Le dispositif a été actionné par des membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), selon la même source.
Un raid aérien des forces de sécurité turques pour capturer les auteurs de cette attaque est en cours dans la zone.
Russie: les missiles Iskander-M modernisés verront le jour après 2020
La Russie entend optimiser ses systèmes de missiles tactiques sol-sol Iskander-M d’ici 2020.
Le PDG du holding russe de hautes technologies Rostec Sergueï Tchemezov a déclaré que sa société avait mis au point, ces dernières années, plus de vingt systèmes d'armements de haute précision.
« Conformément à la stratégie de l'armement, nous voulons, d'ici les dix prochaines années, perfectionner les systèmes de missiles d'opération tactiques. Après 2020, nous présenterons une version modernisée du système de missiles sol-sol Iskander-M », a-t-il annoncé.
La Russie a annoncé que les systèmes de missiles tactiques sol-sol Iskander-M seraient utilisés par l’armée durant les 30 prochaines années.
Le système de missile tactique Iskander-M (SS-26 Stone, selon le code de l'Otan) porte deux missiles balistiques à courte portée. Chacun d'entre eux peut être tiré séparément. En vol, l'opérateur terrestre peut reconfigurer son ciblage en l'ajustant si nécessaire pour frapper des cibles mobiles telles que des rampes de lancement de missiles, des colonnes de tanks ou des convois d'approvisionnement, explique Sputnik. Les missiles sont capables d’échapper aux systèmes de défense aérienne de l’ennemi et bénéficient d’une haute précision en temps pluvieux.
Afghanistan : les USA utilisent leur bombe non nucléaire la plus puissante
En Afghanistan, les troupes américaines ont utilisé pour la première fois leur bombe non nucléaire la plus puissante.

C’est le commandant des forces américaines en Afghanistan, le général John Nicholson, qui a ordonné l’usage de cette bombe dans ce pays.
Selon CNN, cette bombe GBU 43 MOAB (Massive Ordnance Air Blast Bomb) — qui, en raison de son acronyme et de sa taille, est aussi surnommée « Mother of All Bombs » (Mère de toutes les bombes) — a explosé dans l’est de l’Afghanistan.
Avec un poids de près de 9,7 tonnes, la MOAB est la plus puissante bombe non nucléaire que l’on trouve dans les arsenaux de l’armée américaine.
La conception de la MOAB s’est achevée en 2003. Selon un plan opérationnel défini à l’époque, cette bombe devait être larguée par des C-130 Hercules américains sur les cibles concernées.
Mais la Russie a fabriqué 4 ans plus tard sa bombe baptisée Father of All Bombs (FOAB), ce qui signifie « Père de toutes les bombes ».
La bombe à implosion testée par les Russes serait quatre fois plus puissante que la MOAB.
Les Russes estiment avoir l’intention de remplacer ses petites bombes nucléaires par sa bombe géante FOAB.
En vertu des lois internationales, les MOAB et FOAB sont des bombes conventionnelles. Sans prendre en considération leurs puissances destructrices, leur emploi ne se heurte pas aux obstacles juridiques des armes non conventionnelles.
Sénégal: au moins 22 morts pendant un rassemblement religieux
"Le bilan ce (jeudi) matin est de 22 morts et 87 blessés", dont une vingtaine dans un état grave, a déclaré à l'AFP un responsable au groupement national des sapeurs-pompiers joint par téléphone, précisant que ce décompte était provisoire.
Selon lui, les blessés ont été évacués à l'hôpital régional de Tambacounda, à près de 80 km au nord de Médina Gounass.
Parmi les blessés, outre les brûlés, dont certains sévèrement atteints, figurent des victimes de la bousculade ou de chocs avec des objets sur le site, a indiqué cette source, précisant ignorer l'origine du feu.
Le Coran est moins violent que la Bible et l’Ancien Testament
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf








Commémoration de la naissance de l’Imam Ali (as) en Europe
France: Une mosquée fermée et son imam, prof de maths, suspendu par l'Education nationale
Séparés à vie: l'invisible coût du conflit au Cachemire
C'est au terme d'une véritable odyssée qu'il a enfin pu se rendre au Cachemire pakistanais pour les serrer dans ses bras -- un épilogue doux-amer, car ces retrouvailles ne sont que temporaires.
En 1990, M. Ashraf servait dans les forces indiennes loin de son village de Karen, situé près de la frontière pakistanaise dans la partie indienne du Cachemire, lorsqu'y a éclaté une violente insurrection contre New Delhi.
En octobre de cette année-là, sa famille a pris la fuite par crainte des rafles et des tortures auxquelles les autorités indiennes étaient accusées par la presse et la population de recourir pour réprimer le soulèvement.
En même temps que 20.000 autres habitants du Cachemire indien, ils ont traversé la frontière et se sont réfugiés au Pakistan.
M. Ashraf, resté derrière, n'a été mis au courant de leur fuite qu'une semaine plus tard. Sa famille était loin de se douter qu'il lui faudrait plus d'un quart de siècle pour le retrouver.
"L'âge d'or de ma vie, celui que j'aurais dû passer avec ma famille, est fini", soupire le septuagénaire.
Sa tragédie est celle de milliers de familles, divisées par un conflit qui remonte à la Partition meurtrière du sous-continent indien en 1947, à la fin de la colonisation britannique.