تقي زاده

تقي زاده

Le processus d'évacuation de milliers de chiites syriens de diverses zones assiégées de la Syrie en guerre continuait dimanche, quelques heures après l'attentat suicide qui a visé des bus de déplacés, tuant au moins 90 personnes.Plus de 7.000 personnes avaient été évacuées vendredi de quatre localités syriennes assiégées: deux rebelles --Madaya et Zabadani, près de Damas-- et deux progouvernement --Foua et Kafraya (nord-ouest)--, en vertu d'un accord signé par le Qatar, soutien de la rébellion, et de l'Iran allié de la Syrie.

Mais celles-ci s'étaient retrouvées bloquées durant des heures samedi, prisonnières de leurs bus, près d'Alep, la grande ville du Nord, et incapables d'arriver à leurs destinations finales, en raison de désaccords entre les parties adverses.

C'est ce moment qu'a choisi un kamikaze pour faire exploser sa camionnette piégée à côté des 75 bus transportant des chiites syriens évacués de Foua et Kafraya, deux localités progouvernement, causant un carnage.

Le correspondant de l'AFP à Rachidine, banlieue rebelle à l'ouest d'Alep où étaient stationnés les bus, a vu de nombreux cadavres, dont ceux d'enfants, et des membres arrachés jonchant le sol, ainsi qu'un grand nombre de blessés.
 
L’explosion d’une bombe dans la province de Van, au sud-est de la Turquie, a fait au moins deux morts et deux blessés.Selon l’agence de presse Dogan, deux personnes ont été tuées et deux autres blessées dans la déflagration d’une bombe, le vendredi 14 avril, dans la province turque de Van.

Selon cette source, l’explosion de cette bombe dans le district de Catak, dans la province de Van, a tué un soldat et un gardien de village.

Le dispositif a été actionné par des membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), selon la même source.

Un raid aérien des forces de sécurité turques pour capturer les auteurs de cette attaque est en cours dans la zone.
 

La Russie entend optimiser ses systèmes de missiles tactiques sol-sol Iskander-M d’ici 2020.

Le PDG du holding russe de hautes technologies Rostec Sergueï Tchemezov a déclaré que sa société avait mis au point, ces dernières années, plus de vingt systèmes d'armements de haute précision.

« Conformément à la stratégie de l'armement, nous voulons, d'ici les dix prochaines années, perfectionner les systèmes de missiles d'opération tactiques. Après 2020, nous présenterons une version modernisée du système de missiles sol-sol Iskander-M ​», a-t-il annoncé. 

La Russie a annoncé que les systèmes de missiles tactiques sol-sol Iskander-M seraient utilisés par l’armée durant les 30 prochaines années.

Le système de missile tactique Iskander-M (SS-26 Stone, selon le code de l'Otan) porte deux missiles balistiques à courte portée. Chacun d'entre eux peut être tiré séparément. En vol, l'opérateur terrestre peut reconfigurer son ciblage en l'ajustant si nécessaire pour frapper des cibles mobiles telles que des rampes de lancement de missiles, des colonnes de tanks ou des convois d'approvisionnement, explique Sputnik. Les missiles sont capables d’échapper aux systèmes de défense aérienne de l’ennemi et bénéficient d’une haute précision en temps pluvieux. 

En Afghanistan, les troupes américaines ont utilisé pour la première fois leur bombe non nucléaire la plus puissante.

La bombe MOAB. ©Fars News

C’est le commandant des forces américaines en Afghanistan, le général John Nicholson, qui a ordonné l’usage de cette bombe dans ce pays.

Selon CNN, cette bombe GBU 43 MOAB (Massive Ordnance Air Blast Bomb) — qui, en raison de son acronyme et de sa taille, est aussi surnommée « Mother of All Bombs » (Mère de toutes les bombes) — a explosé dans l’est de l’Afghanistan.

Avec un poids de près de 9,7 tonnes, la MOAB est la plus puissante bombe non nucléaire que l’on trouve dans les arsenaux de l’armée américaine.

La conception de la MOAB s’est achevée en 2003. Selon un plan opérationnel défini à l’époque, cette bombe devait être larguée par des C-130 Hercules américains sur les cibles concernées.

Mais la Russie a fabriqué 4 ans plus tard sa bombe baptisée Father of All Bombs (FOAB), ce qui signifie « Père de toutes les bombes ».

La bombe à implosion testée par les Russes serait quatre fois plus puissante que la MOAB.

Les Russes estiment avoir l’intention de remplacer ses petites bombes nucléaires par sa bombe géante FOAB.

En vertu des lois internationales, les MOAB et FOAB sont des bombes conventionnelles. Sans prendre en considération leurs puissances destructrices, leur emploi ne se heurte pas aux obstacles juridiques des armes non conventionnelles.

Au moins 22 personnes ont péri mercredi au Sénégal dans un incendie d'origine inconnue sur le site d'un rassemblement religieux musulman dans la région de Tambacounda (sud-est), a appris l'AFP jeudi auprès des sapeurs-pompiers.
 
date de publication : Thursday 13 April 2017 19:46
Code d'article: 265257
 
Sénégal: au moins 22 morts pendant un rassemblement religieux
 
La catastrophe s'est produite à Médina Gounass, à environ 530 km au sud-est de Dakar, où affluent chaque année des centaines, voire des milliers de fidèles musulmans pour la "daaka", retraite spirituelle organisée pendant une douzaine de jours.

"Le bilan ce (jeudi) matin est de 22 morts et 87 blessés", dont une vingtaine dans un état grave, a déclaré à l'AFP un responsable au groupement national des sapeurs-pompiers joint par téléphone, précisant que ce décompte était provisoire.

Selon lui, les blessés ont été évacués à l'hôpital régional de Tambacounda, à près de 80 km au nord de Médina Gounass.

Parmi les blessés, outre les brûlés, dont certains sévèrement atteints, figurent des victimes de la bousculade ou de chocs avec des objets sur le site, a indiqué cette source, précisant ignorer l'origine du feu.
Loin des préjugés véhiculés par les médias, l’Islam est loin d’être une religion qui prône la violence. L’ingénieur américain Tom Anderson, s’est donné pour mission d’analyser les trois ouvrages sacrés (la Bible, l’Ancien Testament et le Saint-Coran) en procédant de la manière la plus objective possible.
Il a conçu un logiciel d’étude pour révéler les champs lexicaux de chaque livre Saint. Son étude comparative met en exergue que le livre où la «violence», le «meurtre» et la «destruction» sont le plus mentionnés est la Bible avec 5,3% suivi de l’Ancien Testament avec 2,8%. Le Saint-Coran est celui dont le pourcentage est le plus bas avec 2,1%.
D’autre part, la «Grâce» et le «Pardon» sont largement présents dans le Saint-Coran avec 6,3% (contre 2,9% dans la Bible et 0,7% dans l’Ancien Testament Une nouvelle démonstration du caractère fraternel et humaniste de l’Islam.
Le Coran orné d’or et de bronze de Seyed Ali Asghar Mousavian a été offert au mausolée de Najaf.
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
Lors d’une cérémonie à l’occasion de l’Anniversaire de la naissance de l’Imam Ali (as), organisée dans la grande salle « Hazrate Zahra (as) » du sanctuaire, le Coran a été dédié en présence de responsables et de représentants de l’Astan Qods-e Alawi et des autres sites religieux d’Irak, de représentants des Références religieuses chiites, d’étudiants et de professeurs des centres d’enseignement islamique, et de responsables gouvernementaux.
Cette cérémonie a commencé avec une lecture coranique suivie du discours de Seyed Nezar Hashem Jabal al-Matin, administrateur de l’Astan Qods-e Alawi, sur la personnalité de l’Imam Ali (as) et de chants religieux. 
Seyed Ali Mousavian, calligraphe iranien, a ensuite offert son Coran orné d’or et de bronze qui sera exposé au musée de l’Astan Qods-e Alawi. 
Ce Coran de 54 pages de 20 sur 30 cm, est rédigé en écriture Naskh, pèse 30 kilos et ses pages alignées font 8 mètres de longueur.
 
 
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
 
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
 
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
 
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
 
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
 
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
 
Cadeau d’un Coran orné d’or au mausolée de Najaf
Les centres islamiques européens ont fêté l’anniversaire de la naissance de l’Imam Ali (as) dans différentes villes.Le centre islamique de Hambourg a organisé une grande fête pour les amoureux des Ahl-ul-bayt (as) ainsi que le centre « Imam Ali (as) » de Stockholm, le centre « Fatemeh Zahra (as) » d’Helsinki, le centre islamique d’Angleterre et le centre « Imam Ali (as) » de Vienne. 
Les programmes étaient des discours, des chants religieux, des compétitions et des poèmes en l’honneur du Prince des croyants, et l’organisation des prières en commun.
Un imam de la mosquée de Torcy (Seine-et-Marne), fermée mardi par le gouvernement accusé des prêches "légitimant le jihad armé", a été suspendu de son poste de professeur de mathématiques, a annoncé le ministère de l'Education nationale jeudi, confirmant une information de RTL.Selon l'arrêté de fermeture de la préfecture, ce professeur du lycée Jean-Moulin de Torcy "était soupçonné de faire du prosélytisme dans les établissements scolaires", d'où sa suspension par le rectorat de Créteil "en attendant une commission disciplinaire", a précisé le ministère à l'AFP
 
Entre rires et larmes, Muhammad Ashraf évoque ses retrouvailles avec ses enfants après plus de 25 ans de séparation entre eux, partis au Pakistan, et lui resté en Inde: l'interminable conflit cachemiri déchire toujours des milliers de familles."Mon fils avait 12 ans quand ils sont partis, et maintenant mon petit-fils a 16 ans. Je suis si heureux de voir tous mes petit-fils et petites-filles", dit à l'AFP ce militaire indien retraité, à la barbe bien taillée.

C'est au terme d'une véritable odyssée qu'il a enfin pu se rendre au Cachemire pakistanais pour les serrer dans ses bras -- un épilogue doux-amer, car ces retrouvailles ne sont que temporaires.

En 1990, M. Ashraf servait dans les forces indiennes loin de son village de Karen, situé près de la frontière pakistanaise dans la partie indienne du Cachemire, lorsqu'y a éclaté une violente insurrection contre New Delhi.

En octobre de cette année-là, sa famille a pris la fuite par crainte des rafles et des tortures auxquelles les autorités indiennes étaient accusées par la presse et la population de recourir pour réprimer le soulèvement.

En même temps que 20.000 autres habitants du Cachemire indien, ils ont traversé la frontière et se sont réfugiés au Pakistan.
M. Ashraf, resté derrière, n'a été mis au courant de leur fuite qu'une semaine plus tard. Sa famille était loin de se douter qu'il lui faudrait plus d'un quart de siècle pour le retrouver.

"L'âge d'or de ma vie, celui que j'aurais dû passer avec ma famille, est fini", soupire le septuagénaire.

Sa tragédie est celle de milliers de familles, divisées par un conflit qui remonte à la Partition meurtrière du sous-continent indien en 1947, à la fin de la colonisation britannique.