تقي زاده

تقي زاده

L'incendie qui s'est déclaré sur un pétrolier au large des côtes syriennes n'a pas été causé par une attaque militaire, mais a éclaté en raison d'une imprudence et d'un manque de précautions de sécurité, a déclaré un responsable militaire syrien, corrigeant un rapport précédent.
Le responsable a fait ces remarques à l'agence de presse iranienne Noor samedi après que l'agence de presse officielle Syrian Arab News Agency (SANA) ait déclaré qu'un incendie s'était déclaré dans l'un des réservoirs du navire alors qu'il se trouvait "près de l'aval pétrolier" dans la ville de Banias, dans la province syrienne de Tartous. SANA a cité le ministère du pétrole et des ressources minérales qui a déclaré que l'incendie "est considéré comme une attaque par un drone venant de la direction des eaux territoriales libanaises".

Le responsable syrien a toutefois rejeté catégoriquement cette notion. Il a déclaré que l'incendie avait été provoqué par le non-respect des mesures techniques et de sécurité lors d'une opération de soudage sur le pétrolier alors qu'il libérait sa cargaison.

Trois des membres de l'équipage, qui effectuaient le processus de soudage, ont été blessés au cours de l'incident, a indiqué le responsable.

Des sources médicales ont également indiqué à Noor news que l'un d'entre eux, qui avait subi des brûlures lors de l'incendie, a succombé à ses blessures, tandis que les deux autres ont été placés en soins intensifs.

Le responsable a déclaré qu'à l'issue de l'enquête des experts sur les éléments techniques qui ont causé l'incident, Damas publierait une correction officielle de la déclaration précédente.

SANA, quant à elle, a indiqué que l'incendie avait été "entièrement éteint".

Tournure des médias israéliens et occidentaux

De manière apparemment coordonnée, les médias israéliens et occidentaux, ainsi que de nombreux autres médias qui leur sont alliés, ont déclaré immédiatement après l'incident que l'incendie avait été provoqué par un drone offensif.

Beaucoup ont même affirmé que le pétrolier était iranien, tandis que d'autres ont prétendu que trois personnes avaient péri dans l'incendie, dans une tentative apparente de dépeindre l'incident comme une attaque israélienne contre des intérêts iraniens ou de dramatiser les dommages causés par l'incendie.

L'incident est survenu après qu'un missile syrien a atterri à moins de 30 kilomètres du site nucléaire militaire le plus sensible du régime israélien, Dimona, dans le désert du Néguev, à l'intérieur des territoires occupés.

Les médias du régime ont affirmé que le projectile avait été tiré sur un avion de combat israélien, mais qu'il avait "survolé" sa cible, et ont cité des responsables israéliens et américains qui ont décrit le missile comme étant "errant".

Peu avant l'incident du missile, l'Iran avait averti Tel-Aviv qu'il riposterait "bientôt" à un acte de terrorisme nucléaire israélien qui a coupé l'électricité dans l'installation nucléaire de Natanz, dans la province centrale d'Ispahan.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a condamné les actes d'agression du régime sioniste contre les résidents d'al-Qods (Jérusalem), appelant à un arrêt immédiat de ces mesures israéliennes brutales.
 
 
Dans une déclaration publiée samedi, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Saeed Khatibzadeh, a salué la résistance du peuple palestinien, en particulier des jeunes d'al-Qods.

Il a également exhorté les organismes internationaux à prendre des mesures afin de mettre un terme aux actions inhumaines du régime israélien contre le peuple palestinien sans défense et à la profanation de la mosquée al-Aqsa.

Le porte-parole iranien a pointé du doigt la poursuite de l'occupation et des crimes des sionistes contre les Palestiniens et a souligné l'importance du soutien à la résistance jusqu'à la libération de la Palestine, rapporte Press TV.

"La terre palestinienne appartient au peuple palestinien et le régime sioniste est un régime usurpateur et occupant", a-t-il déclaré.

Le porte-parole iranien a ajouté que la question palestinienne ne pouvait être réglée qu'en organisant un référendum parmi les principaux habitants de la terre palestinienne.

La violence de la police israélienne et des colons a éclaté dans la zone jeudi soir et s'est poursuivie vendredi, faisant 110 blessés et 50 arrestations parmi les Palestiniens.

Ces violences sont intervenues après que des centaines de colons israéliens sont descendus dans les rues de la vieille ville de Jérusalem al-Qods jeudi, aux cris de "Mort aux Arabes" et "Les Arabes sortent", alors qu'ils manifestaient dans le centre de la ville dans le but, selon eux, de "restaurer la dignité juive" à Jérusalem al-Qods.

Kataeb al-Mujahidin, un groupe de la Résistance palestinienne, a annoncé le début d’un exercice militaire majeur dans la bande de Gaza, affirmant que ses forces étaient prêtes à attaquer le régime sioniste pour défendre la ville de Qods et ses habitants.

Le groupe indique dans un communiqué mener simultanément de vastes exercices militaires baptisés Al-Walad Al-Mafoul sur plusieurs axes, avec des tactiques défensives et offensives dans différentes zones géographiques de la bande de Gaza, selon Al-Manar.

Organisés à l’occasion du vingtième anniversaire de la fondation du groupe de la Résistance, les exercices auront lieu à Gaza pour achever le programme de formation des forces et équiper ces dernières d’équipements, indique le communiqué.

Les forces d’artillerie et de missiles, les forces de la garde côtière, les plongeurs, les forces spéciales et les forces de sécurité participent à ces exercices. Au menu : les exercices militaires simulés contre les forces terrestres de l’armée israélienne dans le littoral de la bande de Gaza, au cours desquels les combattants de la Résistance s’approchent des bateaux du régime sioniste. Les forces de plongée mèneront des attaques navales contre les positions ennemies et les détruiront.

 

 Quatre jours après la méga explosion qui a frapper l'usine de fabrication de missiles en Israël, om sont développés les missiles Arrow, les lanceurs spatiaux Shavit et les missiles antiaérien US ainsi que des projets de développement des satellites militaires, le black out est plus que total sur l'incident. Au contraire des explosions beyrouthines le 4 août 2020, aucun analyste ne s'est intéressé à ce nuage en champignon qui s'est élevé au dessus de Tomer, l'un des sites les mieux barricadés au cœur d'Israël, à Gush Dan qui abrite les bijoux hi Tech sionistes entre autres.

Des affrontements intenses se poursuivent à l’ouest de Maarib. Les mercenaires de la coalition d’agression saoudienne ont préféré prendre la fuite, avec pour prétexte le coronavirus. 

Les combattants yéménites ont accéléré leur percée au nord-est et à l’est de Sirwah, en durcissant l’étau autour des mercenaires saoudiens. 

Après près de deux décennies d’occupation militaire de l’Afghanistan par les États-Unis qui avaient promis une aide d’environ 90 milliards de dollars pour renforcer les forces militaires et de sécurité du pays, l’armée afghane n’est point équipée d’armes lourdes sophistiquées.

Débutée suite aux attaques du 11 septembre, l’invasion de l’Afghanistan par les États-Unis marque l’une des occupations les plus longues de ces dernières décennies qui devraient prendre fin le 11 septembre de l’année en cours, selon l’annonce officielle du président américain ayant décidé de mettre fin à la plus longue guerre de l’histoire américaine.

Les discussions sur la formation de l’armée afghane ainsi que des forces sécuritaires et de la police de l’Afghanistan par le soutien retentissant des États-Unis et de l’OTAN ont été déclenchées en 2002, mais seulement sur le papier : en ce mois d’avril 2021, l’armée afghane ne dispose presque aucune arme lourde, à savoir des chars, l’artillerie ou des lance-roquettes tandis que le nombre de ses forces terrestres n’est que de 180 000 et les forces aériennes 7 000. 

Un certain nombre de chars T-55 et T-62 de l’ancienne ère soviétique, des véhicules blindés de la série BMP de la même période, quelques canons de 122 et 130 mm et lance-roquettes Grad constituent toute la configuration dont dispose l’armée afghane en matière d’armes lourdes.

Simultanément au début de l’enregistrement des candidats à l’élection présidentielle en Syrie et aux efforts du gouvernement syrien pour organiser des élections, les milices affiliées à Washington ont commencé leurs agissements avec le feu vert américain.

Dans un article intitulé « Les coulisses des affrontements de Qamichli ; une tentative visant à dresser des obstacles à la tenue de l’élection présidentielle syrienne », le journal libanais Al-Akhbar a écrit : « La ville de Qamichli connaît une crise sécuritaire majeure à la suite d’une série d’affrontements entre les Forces de défense nationale affiliées au gouvernement syrien et la milice kurde Asayesh, affiliée aux États-Unis. »

Alors que la Russie poursuit ses efforts pour rétablir la sécurité dans la ville, elle n’a pas encore réussi et les cercles gouvernementaux syriens accusent les FDS d’essayer d’empêcher la tenue des élections présidentielles dans cette zone.

 

Le rédacteur en chef du journal Rai Al-Youm a écrit que « le tir de missile syrien près des installations nucléaires du régime sioniste témoigne du fait que le pouvoir de dissuasion du régime est épuisé et que son ère touche à sa fin ».

« Le fait qu’un missile atteigne le voisinage du réacteur israélien de Dimona et que les systèmes du Dôme de fer ne l’interceptent pas, qu’il s’agisse de missile de type “sol-air” ou “sol-sol”, cela signifie à première vue que la force de dissuasion israélienne est en train de s’éroder et que l’état de terreur qui prévaut chez les dirigeants militaires et les colons israéliens va augmenter et s’aggraver », souligne Abdel Bari Atwan dans son éditorialiste publié sur Rai Al-Youm.