En trois ans, la France a traversé deux grandes crises qui n’ont pas trouvé de réponses : la remise en cause de la globalisation par les Gilets jaunes et celle du délitement de l’État par les syndicats de police. Aucune n’a reçu de réponse sur le fond. Si les constats de ces lanceurs l’alerte sont partagés par tous, il devient impossible de les dire publiquement. La démocratie ne meurt pas de l’absence de débats contradictoire mais, pire, de l’érection de tabous.

تقي زاده
Violentes explosions visent deux convois logistiques américains
Deux autres convois logistiques américains ont été attaqués en Irak.
Jeudi 6 mai, deux convois transportant du matériel logistique et qui appartenaient aux militaires américains, ont été touchés par l’explosion de deux bombes artisanales qui avaient été déposées le long des routes qu’ils traversaient dans le nord et dans l’ouest de l’Irak.
«Plus aucune entente avec les Russes»
Les mouvements militaires suspects des terroristes à la solde des États-Unis augmentent dans l'est de la Syrie, Washington envisageant de rompre les accords avec la Russie sur la Syrie.
Le Centre russe pour la réconciliation des parties belligérantes en Syrie a rapporté que la coalition américaine a augmenté le transfert de matériel militaire à l'est de l’Euphrate.
Cité par Sputnik, le centre avertit que l’augmentation du trafic aérien des équipements militaires et des mouvements terrestres des convois militaires américains dans l'est de la Syrie est un sujet de préoccupation.
Par ailleurs, le Centre russe pour la réconciliation des parties belligérantes en Syrie a annoncé le mois dernier que les terroristes prévoyaient d'attaquer les institutions gouvernementales dans les principales villes syriennes avant l'élection présidentielle.
Le centre a souligné que les terroristes sont entraînés dans des camps non contrôlés par le gouvernement syrien, y compris dans la zone d'al-Tanf occupée par les États-Unis.
Selon le centre russe, les terroristes ont installé une base secrète dans le nord-est de Tadmor et s'entraînent pour mener des attaques terroristes dans différentes parties de la Syrie.
L’acte qui consiste à fournir des équipements militaires aux terroristes coïncide avec la situation économique et sociale défavorable en Syrie résultant des sanctions paralysantes américaines, nuit sérieusement à l'opportunité d'une solution politique.
"Que les attaques anti-sionistes se succèdent!" (Le Jihad islamique)
Le porte-parole des Brigades al-Qods, branche militaire du Mouvement du Jihad islamique de la Palestine a mis en garde Israël de poursuivre ses exactions et crimes contre le peuple palestinien.
« Si le régime sioniste poursuit son agression, la flamme de l'intifada du Ramadan s’étendra aux colonies de peuplement », a averti Abu Hamza avant d'ajouter: « L’intifada de Ramadan s'est transformé en un enfer pour les Sionistes et leurs positions militaires ».
Des centaines de qaïdistes liquidés
Au Yémen, d’intenses affrontements se déroulent sur différents fronts à Maarib. Les combattants yéménites tentent de repousser des éléments de la coalition saoudienne et d'achever l'opération entamée il y a quelques mois pour libérer la ville.
Les combats se font sur les axes sud-est du district de Medghal et à l'est et au sud-est du district de Sirwah, a-t-on appris d’une source déployée sur le terrain, qui a ajouté: « De lourds affrontements opposent des sbires affiliés à la coalition saoudienne aux combattants yéménites sur les zones de l’est et du sud-est de Sirwah. Depuis l'axe sud-est de Medghal, sud-est et est de Sirwah, les combattants yéménites sont respectivement à 11, 9 et 8 kilomètres des entrées de la ville de Maarib qui est la dernière et la plus importante base saoudienne au Yémen ».
La fin d'Abu-Lahab
1. Que périssent les deux mains d'Abu-Lahab et que lui-même périsse.
2. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu'il a acquis.
3. Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes.
4. de même sa femme, la porteuse de bois ,
5. à son cou, une corde de fibres
Mort d'Abu Lahab, un oncle paternel du Prophète Muhammad (s) et l'un de ses ardents ennemis.
<< À cette époque, l'Islam avait illuminé la maison d'Abbas. Lui, sa femme Ummul Fazal et moi-même avions embrassé l'Islam, mais nous avions gardé notre foi cachée par peur du peuple. Lorsque la nouvelle de la mort des ennemis de l'Islam à Badr s'est répandue nous étions extrêmement heureux.
Cependant, Quraysh et leurs partisans étaient très peinés et perturbés. Abu Lahab qui n'avait pas participé à cette bataille et avait envoyé quelqu'un d'autre à sa place était assis près du puits de Zamzam. Soudain, les gens ont annoncé l'arrivée d'Abu Sufyan Harth. Abu Lahab a dit: "Dites-lui de me voir le plus tôt possible".
Il est venu, s'est assis à côté d'Abu Lahab et a donné un compte rendu détaillé des événements à Badr. L'agitation et la peur ont frappé le cœur d'Abu Lahab comme un éclair. Après avoir brûlé dans une fièvre élevée pendant sept jours, il est mort d'une maladie mystérieuse.
Il est rapporté qu'après la défaite des Mecquois à Badr, Abu Lahab a demandé à Abu Sufyan, ses détails.
Abu Sufyan lui a décrit l'événement de la défaite des Qurayshites, puis il a ajouté:
"Par Allah, nous avons vu, au cours de la bataille, des cavaliers entre la terre et le ciel venus aider Muhammad".
Ici, Abu Rafi ', l'un des serviteurs d'Abbas raconte ainsi l'histoire:
«J'étais assis là et j'ai levé la main et j'ai dit qu'ils étaient les anges du ciel. Puis, Abu Lahab est devenu tellement en colère qu'il m'a frappé au visage et m'a soulevé et je suis tombé dur sur le sol.
Il a continué à me battre à cause de son chagrin dû à sa déception.
À ce moment-là, Ummul-FadI, la femme d'Abbas, qui y assistait, a pris un pieu et l'a frappé violemment à la tête d'Abu Lahab, et a déclaré:
«Avez-vous trouvé cet homme faible seul?».
Le chef d'Abou Lahab est devenu blessé et ensanglanté. Une semaine plus tard, il est mort d'une maladie contagieuse et comme son corps dégageait une odeur insupportable et nauséabonde, personne ne s'en est approché. Il a été laissé pendant trois jours et enfin, des esclaves ont été embauchés pour le transporter hors de La Mecque. Ils l'ont arrosé à distance puis ont empilé des pierres dessus jusqu'à ce qu'il soit enterré
La journée internationale du Qods
En ce grand jour manifestons haut et fort notre colère contre l injustice dont est victime la ville sainte.
Que Allah nous aide à prendre conscience de la réalité vécue par nos frères musulmans, et à réfléchir à des prises de position et nouvelles initiatives dans nos vies au quotidien pour toujours boycotter l entité sioniste.
Le chiisme contemporain et la cause palestinienne : la révolution iranienne et le Hezbollah libanais, deux freins du projet sioniste de Grand Israel.
Actualités, Cause Palestinienne / Par laye
Située au Proche-Orient, la Palestine est une zone charnière aux enjeux culturels, économiques et stratégiques énormes entre l’Afrique, l’Asie et l’Europe. En effet, cette petite région est à la fois le berceau de trois religions révélées (Judaïsme, Christianisme et Islam) et abrite depuis l’antiquité le Croissant fertile (Palestine-Syrie-Irak), une oasis dans un immense désert. Aujourd’hui, à cause de ces enjeux, deux peuples différents (arabes musulmans et hébreux juifs) luttent pour un même territoire : la Palestine. La création de l’Etat d’Israël sur les ruines de l’empire turc ottoman a ouvert un cycle de conflits entre sionistes juifs et différents Etats arabes musulmans condamnant la population palestinienne à une vie en exil sous les yeux impuissants de la communauté internationale. Si les relations semblent se normaliser entre Israël et certains Etats arabes, les musulmans de par le monde partagent encore le chagrin du peuple palestinien. Cependant la plupart des recherches abordant la cause palestinienne mettent rarement l’accent sur l’apport de la révolution iranienne et ses effets. C’est dans ce sens que ce présent article prend son originalité dans la mesure où il se donne comme objectif de revenir sur une histoire séculaire de la Palestine avec ses différents rebondissements et ses incohérences accordant une place centrale à la branche chiite dont les efforts, ne semblent pas être reconnus ou appréciés à leur juste valeur, par la communauté musulmane et au-delà, celle internationale. Cet article est mise en place à la suite d’une solide littérature dans le cadre des cours et séminaires que nous assurons depuis presque une décennie. Ces informations sont soutenues par l’attention particulière que nous portons à l’actualité liée à la question palestinienne et la ville de Jérusalem (Al-Quds). Enfin, un voyage d’étude au Proche Orient en décembre 2018 nous a permis de découvrir des facettes nouvelles de cette hostilité historique dont l’issue déterminera sans l’ombre d’un doute l’avenir des relations internationales.
RAPPEL HISTORIQUE : la Palestine, territoire musulman envahi par les juifs sionistes
De l’empire ottoman au mandat britannique : la Palestine change de ‘propriétaire’ Pour plus d’objectivité et sans nous embourber dans les preuves souvent partisanes ou fanatiques des interprétations conflictuelles d’écritures saintes (Thora, Bible, Coran) sur la Palestine, cet article pend en compte l’évolution politique durant ces derniers 100 ans, c’est-à-dire à partir de la chute de l’empire islamique turc ottoman. En effet, vers la fin du XIX° siècle, la Palestine est composée de 85% de musulmans, 11% de chrétiens et seulement 4% de juifs vivant paisiblement dans l’empire musulman turc ottoman qui contrôlait l’essentiel du Proche-Orient. Elle était donc une terre musulmane. Mais l’empire est vaincu par la Grande Bretagne lors de la première guerre mondiale. En 1920, la Société Des Nations (SDN), place la Palestine et la Mésopotamie (Irak) sous le contrôle de la Grande Bretagne et confie la Syrie à la France. Cette dernière, sépare le pays en deux : la Syrie musulmane et le Liban chrétien. La Grande Bretagne donne l’indépendance à l’Irak mais elle prépare la Palestine pour la remettre aux Juifs dispersés dans le monde et qui ont fondé un mouvement appelé sionisme. La trahison du peuple palestinien par les britanniques : le sionisme, véritable vainqueur des deux guerres mondiales Le sionisme est un mouvement juif fondé par le journaliste juif d’origine hongroise Theodore Herzl et qui prônait la migration des juifs du monde vers la Palestine appelée Sion pour y créer un Etat organisé (Israël). En pleine guerre mondiale, (mars 1916), le ministre Britannique des affaires étrangères Arthur James Balfour écrit une lettre à Edmond James Rothschild, un éminent sioniste. Balfour, pour avoir le soutien des Etats-Unis d’Amérique (USA) dans la première guerre mondiale par le biais des sionistes (juifs), lui affirme que la Grande Bretagne accepte de favoriser la migration des juifs en Palestine (sous possession britannique) pour y fonder un foyer national juif. Cette lettre appelée déclaration de Balfour est rendue publique le 2 novembre 1917 : par le bais des sionistes, les Etats-Unis s’engagent et assurent la victoire aux Britanniques qui sont alors obligés de tenir leur promesse de conduire les juifs vers la Palestine hypothéquant ainsi les droits élémentaires des arabes de la région. La migration juive vers la Palestine s’accélère. Entre 1919 et 1939, les sionistes, aidés par les Anglais, favorisent la migration des Juifs d’Europe et d’Amérique vers la Palestine : 55000 en 1919 et 500.000 en 1946. Le phénomène s’accélère après la seconde guerre mondiale et le génocide juif par les nazis. Les juifs paient les meilleures terres en Palestine, forment des milices (Haganah, Irgoun, Stern…) contre les arabes nationalistes (musulmans et chrétiens) ou les britanniques qui essaient de s’opposer à la migration d’autres juifs vers la Palestine. Ne pouvant plus gérer ce problème qu’elle a elle-même créé, la Grande Bretagne décide de ‘‘rendre’’ la Palestine à l’Organisation des Nations Unies (ONU), qui a remplacé la SDN. Cependant, vu l’influence des USA sur l’ONU et celle des juifs sionistes sur les USA, donner un dossier à l’ONU revient à le livrer aux USA ou aux juifs sionistes de l’époque.
LA PROCLAMATION DE L’ETAT SIONISTE D’ISRAEL, SUR LA TERRE DU PEUPLE PALESTINIEN : cause des guerres chaudes (hard power) avec les Etats arabes
S’étant saisi du dossier palestinien, l’ONU décide le 29 novembre 1947 de la résolution 181 pour donner entre 55 et 56% de la Palestine aux juifs qui ne représentent que 34% de la population, créer aussi un Etat arabe avec Jérusalem (Al-Quds) comme une zone internationale. Voici les résultats du vote à l’ONU : 33 OUI dont les USA et L’Union soviétique (les deux superpuissances d’alors), 13 NON dont les Etats arabes et 10 ABSTENTIONS dont la Grande Bretagne. Contrairement aux arabes qui ont rejeté ce plan, les juifs l’ont accepté même s’il ne correspond pas à leur objectif final. Ils vont profiter notamment de quatre guerres pour agrandir leur territoire. En effet, le 14 mai 1948 après le retrait des Britanniques de la Palestine, le dirigeant juif David Ben Gourion déclare officiellement à Tel-Aviv la naissance de l’Etat d’Israël. Cette indépendance juive est pour les arabes la ‘‘Nakba’’ (catastrophe). Ils se mobilisent quelques heures plus tard (le 15 Mai) contre Israël, une installation provocatrice soutenue par les plus grandes puissances du monde. Même si les Palestiniens ne sont pas restés passifs en créant notamment l’Organisation de Libération de la palestinienne (OLP) en 1964, le combat contre l’Etat sioniste d’Israël a dès les premières heures été porté par les Etats arabes sous la direction de l’Egypte de Gamal Abdel Nasser, un pan arabiste convaincu. Par exemple : La première guerre israélo-arabe (Mai 1948) a vu les juifs sionistes gagner les pays arabes (la Syrie, l’Egypte et la Transjordanie soutenues par le Liban et l’Irak) et agrandir leur territoire de 6.000Km² expulsant 900 000 Palestiniens de leur territoire. La deuxième guerre (crise de Suez en 1956) mobilise une coalition occidentale (Grande Bretagne, France, Etat d’Israël) contre l’Egypte qui a nationalisé le canal de Suez. Israël a alors pris le Sinaï égyptien. La troisième guerre (guerre des six jours en 1967) permet aux sionistes de multiplier leur territoire de 1947 par 4 en occupant le Sinaï égyptien, la bande de Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est et le plateau syrien du Golan. La résolution 242 de l’ONU somme Israël à quitter les territoires agressés en vain. La quatrième guerre (guerre du Kippour ou du Ramadan juif en 1973), est encore une victoire juive même si les arabes ont gagné la première phase du conflit (2500 juifs tués). La résolution 338 de l’ONU réaffirme celle 242 en vain. III. LE RENOUVEAU DANS LA QUESTION PALESTINIENNE : la montée du chiisme La révolution iranienne et son antisionisme La plus part des textes historiques attribuent les négociations de paix et le recul relatif d’Israël aux conséquences de la guerre du Kippour suite au choc pétrolier (augmentation unilatérale du prix du pétrole) qui oblige l’Occident de chercher une paix au Proche Orient afin qu’une crise énergétique ne s’étale pas sur son économie et sa société. Mais la révolution iranienne menée par l’ayatollah Ruhollah Khomeiny (1902-1989) en 1979 basée sur le nationalisme islamique et surtout l’anti-impérialisme anglo-américain et l’antisionisme dans une Arabie musulmane, menaçait fortement les intérêts des USA, de la Grande Bretagne et surtout l’existence de l’Etat sioniste d’Israël qui continue l’occupation et la colonisation de terres arabes. Khomeiny a surtout initié en 1979 la Journée mondiale d’Al-Quds, un événement annuel célébré le dernier vendredi du mois de Ramadan et destiné à protester contre le contrôle israélien sur Jérusalem (dont le nom arabe est Al-Quds : القـُدْس) ainsi qu’à exprimer la solidarité avec le peuple palestinien, vivant dans l’occupation sioniste ou en exil. Pour les USA, l’exemple iranien ne doit pas être copié par les Etats arabes de la région (Egypte, Syrie, Irak, Jordanie, Liban par exemple). Il faut alors engager ou accélérer des négociations (en cours) pour que les Etats arabes acceptent Israël comme un Etat souverain qu’il ne faut plus attaquer. Prenons quelques exemples : Aux les accords de Camps David1 (1978), l’Egypte reconnait Israël (qui se retire du Sinaï) et pour cela elle est exclue de la ligue Arabe et son président Anouar Al Sadate est assassiné au Caire (Egypte) le 6 Août 1981 par les islamistes. Après les accords d’Oslo signés à Washington (1993), ce fut le tour de l’OLP de Yasser Arafat et du roi Hussein de Jordanie de reconnaitre Israël qui se retire de Gaza. Plusieurs autres négociations ont été menées depuis lors mais forces est de reconnaitre que la stratégie sioniste en particulier et occidentale en général a changé depuis la révolution iranienne qui a accéléré et privilégié les négociations. En effet, Israël n’a pas encore atteint son objectif d’annexion appelé le grand Israel. L’inquiétude des occidentaux de voir la révolution iranienne hors de l’Iran prend forme avec le Hezbollah libanais dirigé par l’emblématique Saïd Hassan Nasrallah. L’extension de la toile chiite au Moyen Orient : Le Hezbollah libanais et sa politique antisioniste En 1982, l’armée israélienne envahit le Liban alors en pleine guerre civile. Cette invasion sioniste favorise la naissance du Hezbollah (parti de Dieu en arabe), un groupe de résistants chiites pour libérer leur pays. Les sacrifices du Hezbollah finissent par payer avec le retrait des sionistes. Progressivement, le Hezbollah se structure davantage sur plusieurs plans sous l’égide d’Hassan Nasrallah. Sa notoriété est le fruit de leurs investissements militaires, sociaux, intellectuels, culturels, économiques et politiques au Liban. La révolution iranienne a inspiré les démarches du parti. En 2006, le Hezbollah fait échouer une nouvelle tentative d’invasion du Liban par Israël en un mois : c’est la guerre des 33 jours (12 juillet-14 Août). L’armée sioniste est obligée de battre en retraite après la résolution 1701 de l’ONU. Cette fuite rappelle les mots du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah qui a affirmé le 25 Mai 2000, après avoir libéré le Liban des sionistes israéliens que : « Israël est plus fragile qu’une toile d’araignée », une sorte de géant aux pieds d’argile. Il vient peut-être de détecter le talon d’Achille de l’Etat sioniste. Au sud du Liban (vers la frontière avec la Palestine), le musée à ciel ouvert de Mleeta exposant à l’air libre le butin de guerre pris aux sionistes de 1982 à 2006 symbolise la faiblesse de l’Etat sioniste d’Israël. Ce retrait juif en 2006 n’a pas affaibli l’antisionisme du Hezbollah et sa résistance face aux tentatives des USA, allié historique d’Israel. Enfin, depuis la naissance du Hezbollah, Israël n’a pas annexé de territoire des pays voisins de la Palestine et sans le Hezbollah, une bonne partie du Liban actuel, notamment le sud, serait certainement à l’intérieur de l’Etat sioniste d’Israël, à l’image du plateau syrien du Golan. Pour les sionistes, tout comme la révolution iranienne, l’exemple libanais du Hezbollah ne doit pas être copié par des peuples de la région notamment en Syrie avec le Golan (Région de la Syrie annexée par Israël lors de la guerre des 6 jours) et peut-être même en Palestine. La réaction américano-sioniste face à la montée du chiisme : entre désinformation, sanctions économiques et attaques militaires Les USA et Israël ont beaucoup activé leur force et influence sur la communauté internationale et sur la plus part des pays pour bloquer la force chiite dont les stratégies risquent de gagner d’autres pays ou peuples, même par la sympathie. Les moyens d’actions d’Israël et des USA sont entre autres les assassinats ciblés (Qasim Soleimani), les enlèvements de dignitaires du Hezbollah, des sanctions économiques (ciblées), les sabotages médiatiques, politiques, technologiques ou physiques (attaques technologiques, surveillance/espionnage) etc. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre que les USA et certains de leurs alliés considèrent le Hezbollah libanais et les gardiens de la révolution iranienne (une partie de l’armée iranienne dépendant directement du guide de la révolution, chef de l’Etat iranien) comme des organisations terroristes, l’Iran comme un Etat voyou. En effet, l’Iran et le Hezbollah sont peut-être un modèle réussi dans la lutte contre l’antisionisme au sens élargi, celui spoliant d’abord les terres palestiniennes, pour atteindre, avec l’inertie, la naïveté ou même la complicité de certains Etats musulmans, au projet de grand Israel, intégrant en plus de la Palestine une partie de plusieurs pays arabes (Egypte, Jordanie, Syrie, Liban, Arabie Saoudite), la colonisation de la Palestine n’étant qu’une étape initiale. CONCLUSION Si plusieurs Etats arabes ont montré un soutien sans faille au peuple palestinien dès la création de l’Etat sioniste par les anglo-saxons (Grande Bretagne et USA), aujourd’hui les musulmans semblent oublier ce peuple expulsé ou tout simplement soumis. La révolution iranienne et la naissance du Hezbollah sont un signe de la prise de conscience et d’une réorientation de l’antisionisme au Moyen Orient, face à des adversaires peu soucieux et immunisés contre les règles et sanctions internationales. Pour tous les Etats ou âmes sensibles à la cause palestinienne, qu’ils soient musulmans ou non, la journée mondiale commémorative d’Al-Quds célébrée un peu partout dans le monde reste la principale force subtile contre l’antisionisme israélien.
Article présenté par Monsieur NDIAYE Bacary Kèba : Université Cheikh Anta Diop de Dakar, ED-ETHOS, Professeur d’Histoire et Géographie, chercheur en Géographie et en sciences islamiques. pour une publication à l’occasion de la journée mondiale d’Al-Quds organisée par le Conseil des Oulémas d’Ahlul-Bayt du Sénégal, Mai 2020.
*Le Prince des croyants, Imam Ali (as) et le terme de la vie
*(at-Tawhîd de Sh. Sadûq, p367)*
*Et vint ce jour promis…*
*À l'aube du 19 du mois de Ramadan en l’an 40H, l’Imam Ali, le Prince des croyants (as) était dans le «mihrab» de la mosquée de Kûfâ en train de prier la prière du matin. Une nouvelle journée de jeûne avait commencé et il avait fait ses grandes et ses petites ablutions pour mieux se préparer à la Rencontre de Dieu. Il était à sa première raka‘at.* *Il terminait sa première prosternation devant Dieu Tout-Puissant, Lui livrant totalement son esprit, se soumettant complètement à Son Ordre. Il leva la tête, se redressa et s’apprêta à effectuer la seconde prosternation quand. Ce fut le moment que choisit Ibn* *Muljam le maudit pour lever son sabre sur la tête bénie de l’Imam (as) et le frapper, son cœur insensible à la gravité de son crime. Il s’en est fallu de peu que la terre ne se fende et ne l’engloutisse! L’Imam Ali, le Prince des croyants (as), tomba sur le sol béni de la mosquée de Kûfâ, baigné dans son sang. Il s’exclama:*
*«Dieu est plus Grand! J’ai remporté la grande victoire, ô Seigneur de la Ka‘bah!»*
*(«Fuztu wa rabbi-l-ka‘bah!»)*
La Lettre ouverte des anciens militaires : un complot contre la République ?
Les Gilets jaunes contre la globalisation
En 2018, la France a été secouée par un vaste mouvement populaire, les « Gilets jaunes ». Parti d’une revendication contre la hausse des tarifs de l’essence, il apparut très vite comme une contestation des effets sociologiques de la globalisation des échanges : disparition des classes moyennes occidentales, relégation dans des campagnes sous-équipées [1].
Deux semaines après le début des manifestations, des groupes non-identifiés s’introduisirent dans le mouvement pour le saboter de l’intérieur. Ainsi, alors que durant 15 jours, tous les manifestants brandissaient fièrement le drapeau français et chantaient la Marseillaise —ce que l’on n’avait pas vu dans des démonstrations populaires depuis cinquante ans—, des casseurs cagoulés et vêtus de noir vandalisaient l’Arc de Triomphe et spécialement la sculpture de la Marseillaise. Le procès qui suivit montra bien que ce groupe de provocateurs non-identifiés n’avait aucun rapport avec les Gilets jaunes qui furent, seuls, arrêtés.
En l’absence de leader apte à condamner cette intrusion, le mouvement des Gilets jaunes s’affaiblit lentement durant une année. Ses questions n’ont pas disparu pour autant.
Autrefois, les politiciens créaient des « Commissions Théodule » pour noyer les problèmes qu’ils ne voulaient pas voir. Le président Macron inventa, lui, un « Grand débat national » pour le même objectif, à l’heure des médias d’information continue. Chacun prit la parole, mais nul ne reçut de réponse pertinente, ni de l’Exécutif, ni de l’Assemblée.
Les policiers contre le délitement de la nation
Une seconde alerte vient d’avoir lieu. Cette fois le problème est l’absence du 3ème Droit de l’homme et du citoyen de 1789 —à ne pas confondre avec les « Droits de l’homme » au sens anglo-saxon— : la sûreté. C’est-à-dire la capacité des citoyens à exercer leurs Droits imprescriptibles de liberté et de propriété. Effectivement, on constate non pas une hausse générale de la délinquance, mais une disparité géographique de plus en plus forte. Si les citoyens du VIIème arrondissement de Paris ne se sentent pas menacés, ceux du XVème arrondissement de Marseille peuvent craindre en permanence d’être agressés par des délinquants. Parallèlement, la police qui devrait les défendre a changé de fonction. Elle hésite à pénétrer dans certains quartiers où elle est attaquée de plus en plus souvent. De nombreux policiers craignent raisonnablement pour leur vie : une dizaine d’entre eux meurt en service chaque année. Aussi certains d’entre eux commencent-ils à se muer lentement en agents de répression de l’opposition politique. Ainsi, en de nombreux cas, des policiers ont fait un usage disproportionné de la force contre les Gilets jaunes et, aujourd’hui, contre les opposants à la politique sanitaire. Bien que ces cas ne soient pas si nombreux à l’échelle du pays, ils attestent qu’il s’agit d’une orientation non pas accidentelle, mais délibérée, soutenue au sommet de l’État.
Pour le moment, les policiers restent attachés à une formation républicaine, c’est-à-dire au service de tous et non pas des seules autorités politiques. Leurs syndicats multiplient les alertes en ce sens et dénoncent les conditions de recrutement de leurs jeunes collègues. Sont en effet admis aujourd’hui en école de police des personnes ayant des antécédents psychiatriques et de petits délinquants.
L’élection présidentielle de 2022
Ce second mouvement, après les Gilets jaunes, intervient alors que le pays se prépare à une nouvelle campagne électorale : en mai 2022, il devra désigner le président de la République. D’ores et déjà, deux tiers des électeurs ne souhaitent pas que le président Emmanuel Macron se représente.
Vu les échecs de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, tous deux à l’issue de leur premier et unique mandat, Emmanuel Macron ne peut espérer obtenir un second mandat qu’en répondant à l’attente populaire. Celle exprimée par les Gilets jaunes contre la globalisation et celle exprimée par les syndicats de police contre le recul de la République, c’est-à-dire de l’Intérêt général. N’ayant aucunement l’intention d’y souscrire, le président Macron peut aussi tenter une manœuvre électorale : multiplier artificiellement les candidatures et décrédibiliser les candidats susceptibles de gagner le premier tour, à l’exception d’un qu’il aura choisi, de sorte qu’il se trouve face à lui au second tour.
organiser un second tour face à Marine Le Pen qu’il aura diabolisée et contraindre la majorité de ses opposants à voter pour lui plutôt que pour elle au nom d’un « front républicain » contre le fascisme.
Cette stratégie avait fonctionné, en 2002, pour Jacques Chirac (82 %) face à Jean-Marie Le Pen (17 %). Elle est aujourd’hui hasardeuse, Marine Le Pen n’ayant pas l’image d’une fasciste comme son père, mais bien d’une républicaine. L’Élysée est donc à la recherche d’opportunités pour la transformer en repoussoir.
L’appel des anciens militaires
Il se trouve que quelques anciens militaires ont rédigé une « Lettre ouverte à nos gouvernants » dans laquelle ils soulignent le délitement actuel des institutions et dénoncent à l’avance un éventuel recours aux armées, selon eux inévitable, pour régler la question de la sûreté. Cet appel a été publié sur leur site internet, Place d’armes, le 13 avril 2021. L’hebdomadaire de droite, Valeurs actuelles, l’a repris, non pas dans ses colonnes, mais sur son site internet, le 21 avril. Marine Le Pen, qui a dit partager depuis longtemps le diagnostic de ces anciens militaires, les a alors invités à voter pour elle au mois de mai.
L’Élysée jugea que l’occasion était la bonne et envoya, un à un, ses ministres devant les médias dénoncer un « quarteron de généraux à la retraite » qui appellent, selon eux, leurs camarades d’active à perpétrer un coup d’État militaire. Tous firent mine de dater leur appel du 21 avril, et non pas du 13, de sorte qu’ils y virent une tentative factieuse cinquante ans, jour pour jour, après le putsch des généraux d’Alger contre l’indépendance de l’Algérie. Pour finir, ils dénoncèrent la fascination de Marine Le Pen pour des « bruits de bottes ».
Conscient qu’il pouvait espérer faire mieux qu’Emmanuel Macron au premier tour de 2022, le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, saisit le procureur de la République pour faire condamner les « généraux factieux ». En effet, Jean-Luc Mélenchon était arrivé en troisième position au premier tour de la dernière élection présidentielle (19 % des voix, contre 21 % à Le Pen et 24 % à Macron).
La place des militaires dans le débat public
Nous invitons nos lecteurs à lire le texte de cette lettre ouverte [2] et à constater par eux-mêmes qu’il s’agit de beaucoup de bruit pour rien.
On appelle « état d’urgence » la possibilité pour le gouvernement de requérir l’armée pour maintenir l’ordre. Or les militaires ne sont pas formés pour cela et leur intervention risque d’occasionner des pertes humaines face auxquelles seuls les policiers et gendarmes sont formés. En 2005, en 2015 et encore en 2017, des gouvernements l’ont décrété. Aujourd’hui encore, près de 10 000 militaires peuvent être requis dans le cadre de l’« Opération Sentinelle » afin de protéger les citoyens face à des risques terroristes. Il en va de même en Belgique et au Royaume-Uni.
En outre la Constitution de 1958 prévoit en son article 36 la possibilité, en dernier recours, de transférer les pouvoirs de police et de maintien de l’ordre du ministère de l’Intérieur aux armées. C’est l’« état de siège ». Il n’a jamais été mis en œuvre sous la Vème République, même lors du coup d’État des généraux en 1961.
Le Gouvernement et la France insoumise soulignent que la Lettre ouverte des anciens militaires ne mentionne jamais qu’ils se situent dans le cadre constitutionnel et insinuent ainsi leur volonté putschiste. C’est un très mauvais procès d’intention. Rien, absolument rien, ne permet d’accuser ces anciens militaires d’intentions factieuses.
Tout ce tintouin n’aura servi qu’à attirer l’attention sur ce texte. Plus de 10 000 anciens militaires l’ont en définitive signé, dont une trentaine de généraux. La question qu’il pose est désormais évaluée par tous et l’inaction des gouvernants —tous partis confondus— est criante.
Des sanctions contre les lanceurs d’alerte
La ministre de la Défense a annoncé qu’elle sanctionnerait les signataires. L’opprobre destinée à Marine Le Pen touche désormais les gens auxquels elle s’adressait.
Las ! Seuls 18 sur 10 000 sont encore en active. Ils risquent effectivement d’être radiés pour manquement au devoir de réserve. Les retraités, quant à eux, jouissent de leur pleine liberté d’expression. Ils ne peuvent encourir qu’un blâme pour avoir sonné l’alerte, mais il serait pour le moins étonnant que ces 10 000 hommes soient collectivement sanctionnés pour leur légitime expression citoyenne.
Les militaires, qu’ils soient d’active ou à la retraite, ne sont plus des sujets, mais des citoyens comme les autres. Suite au putsch d’Alger, le président Charles De Gaulle initia une profonde réforme des armées. Les militaires qui avaient refusé d’obéir aux généraux putschistes étaient en effet punissables pour manquement aux ordres. Le général De Gaulle, qui avait lui-même refusé en 1940 d’obéir à son supérieur le maréchal Philippe Pétain et créé la France libre, avait introduit la distinction entre ce qui est « légal » et ce qui est « légitime ». Le Code de la Défense a donc été modifié. Il n’autorise pas les militaires à choisir leur camp, mais leur fait obligation de refuser des ordres illégitimes ou contraires à l’honneur et d’arrêter leurs supérieurs s’ils se livraient à de tels actes. Il n’y a donc aucun complot contre la République. Aucune menée factieuse.
C’est à juste titre que les signataires de la Lettre ouverte ont demandé de « parler d’égal à égal » avec leur chef d’état-major qui les insultait. Chaque soldat, d’active ou en retraite, a un tel droit en sa qualité de citoyen. Ce droit est le corolaire de leur obligation d’Obeir et de Servir.
En qualifiant les signataires de cette Lettre ouverte de « factieux », le garde des Sceaux, Me Éric Dupond-Moretti, s’est exposé à des poursuites pénales. L’ancien avocat ne plaidait pas dans un prétoire. Il est donc responsable de ses propos.
Tabou
Le fait que certains des 10 000 signataires soient membres ou proches du parti de Marine Le Pen, le Rassemblement national, lui-même issu de celui historique des anciens collaborateurs des nazis et des putschistes d’Alger, le Front national, n’autorise ni à la condamner, ni à les condamner collectivement. En République, il n’y a pas de culpabilité par hérédité, ni collective. Tous sont citoyens français de plein droit. Non seulement aucun n’a été frappé d’indignité nationale, mais nombreux sont ceux qui ont servi leur pays avec gloire.
Dans leur diagnostic, les anciens militaires ne se sont pas contentés de dénoncer la rhétorique woke qui inhibe l’usage du monopole public de la violence, ni l’idéologie de l’islam politique. Ils ont aussi dit leur effroi face à l’usage anti-républicain que les autorités ont fait des forces de l’ordre contre les Gilets jaunes. La réaction disproportionnée de l’État à leur Lettre ouverte manifeste qu’ils ont touché juste.
Nous assistons à une inversion des valeurs qui fait juger des hommes médiatiquement —et peut-être demain par leurs corps militaires— non pour ce qu’ils ont fait, ni même pour ce qu’ils pensent, mais parce qu’ils posent un diagnostic auquel tous souscrivent et que peu osent énoncer à haute voix.
Le discours politique s’est progressivement éloigné des réalités. Il entre aujourd’hui dans une zone trouble où, comme dans certaines sociétés polynésiennes, ce que l’on ne maitrise pas devient tabou. Non seulement le « cercle de la raison » [3] tente depuis trente ans d’interdire des opinions contradictoires, mais désormais il tente d’interdire d’aborder certains sujets.
Lorsque les trois premiers Droits de l’homme et du citoyen sont perdus —la liberté, la propriété et la sûreté—, intervient le quatrième : « la résistance à l’oppression » (article 2).
[1] « Comment l’Occident dévore ses enfants », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 décembre 2018.
[2] « Lettre ouverte d’anciens militaires à nos gouvernants », Réseau Voltaire, 13 avril 2021.
[3] En 1994, le lobbyiste Alain Minc décrivit la Fondation Saint-Simon dont il était membre comme le « cercle de la raison » qu’il opposa à la démagogie de Jacques Chirac.
Le deuxième jour du Congrès international ''Qods Sharif'' est commencé
Hojjat ul-Islam val-moslemin Hamid Shahriari, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques (CMREI) d'Iran, Sheikh Maher Hammoud, président de l'Asemblée des oulémas de résistance libanaise, Dr Muslim Omran, président du Centre culturel palestinien en Malaisie, le Dr. Abdo al-Salam Mohammad, Cheikh Nabil al-Halbawi, religieux et membre du Conseil suprême du Conseil mondial d'Ahlulbayt, Hojjat ul-Islam val-moslemin Hussein Mutawaq, secrétaire général du Mouvement de solidarité islamique du Koweït, professeur Haroon Aziz, auteur et professeur à l'Université de Johannesburg en Afrique du Sud, Maulana Ahmad Waqar Khan, émir de l'assemblée islamique de Jaipur Rajasthan de l'Inde prendront leur discours dans le deuxième jour du Congrès Qods Sharif.
Il est à noter que le deuxième congrès international de Qods Sharif sera diffusé en direct en trois langues: persan, arabe et anglais via abarat.tv, iranpress.com et certains réseaux nationaux et étrangers.
Israël sait qu’il disparaîtra (Nasrallah)
« Le régime sioniste sait que son sort est la disparition et que l’axe de la Résistance déterminera l’avenir de la région », a déclaré le secrétaire général du Hezbollah libanais.
Dans un discours télévisé à l’occasion de la Journée mondiale de Qods, diffusée par la chaîne libanaise Al-Mayadeen, le secrétaire général du Hezbollah, Seyed Hassan Nasrallah a appelé tout le monde à déclarer sa position envers la question palestinienne avec sincérité et courage.
« Face aux jeunes palestiniens qui ont fait le choix de résister, c’est la responsabilité de tout le monde d’annoncer clairement, avec sincérité et courage, sa position envers la question palestinienne et la Résistance », a souligné Seyyed Hassan Nasrallah.
Le secrétaire général du Hezbollah a réfuté les propos de ceux qui prétendent que les Palestiniens se sont résignés à abandonner leurs idéaux et leur patrie, car « les événements qui se produisent ces derniers temps montrent que le peuple palestinien ne renonce absolument pas à ses droits, et cela augmente la responsabilité de l’Oumma islamique ».