تقي زاده

تقي زاده

Il y a quelques heures au J+8 de l’implosion de la plus grande base militaire US au Moyen-Orient, alias Israël, le général Milley, chef d’état-major de l’US Army dont des bombes de type Joint Direct Attack Munition –JDAM)  plus de nouvelles batteries de Patriot et de THAAD ont atterri en catastrophe jeudi à l’aéroport à moitié vidé de Ben Gourion a dressé un très alarmant constat d’échec : interrogé par la chaîne israélienne Kan, Mark Milley a dit si la guerre ne s’arrête pas à Gaza, elle ne tardera pas à aller au-delà de West Bank.

La liste des cibles « offshore » abattues par la Résistance palestinienne s’allonge : les ports Ashkelon, Eilat, les gazoducs Ashkelon-Eilat et Ashdod-Eilat, des raffineries, le site gazier Tamar ayant été visé par un drone piégé sous-marin. Après ces frappes voici la Résistance qui s’en prend aux navires de guerre israéliens ; c'est à croire que le champ de bataille s'étend aux mers.

En riposte à une attaque israélienne contre une voiture à Gaza qui a entraîné la mort en martyr d’au moins trois personnes, la Résistance palestinienne a repris les attaques au missile contre les villes au peuplement sioniste, dont Beersheba.

Dans un communiqué, les Brigades Gassam ont annoncé avoir commencé des attaques d’envergure contre les territoires occupés. Des dizaines de missiles ont été tirés sur Ashdod, Ashkelon et Beersheba, indique le communiqué de la Résistance palestinienne.

Qods a suivi Gaza: Une patrouille israélienne dans le quartier de Cheikh Jarrah, épicentre de l'Intifada de ramadan a été attaquée par un Mujahed palestinien alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture bélier. 
Les policiers israéliens ont tué en martyr le combattant palestinien qui a foncé en voiture sur un barrage routier de la police. L'armée israélienne a bloqué les sorties du quartier de Cheikh Jarrah et interdit aux Palestiniens de circuler dans la zone. Mais il est trop tard. A Qods, l'entité est minoritaire.  

 

Les violents affrontements sans précédent entre Palestiniens et sionistes font bien plus peur au régime occupant sioniste que les missiles du Hamas et du Jihad islamique, selon les affirmations des responsables de Tel-Aviv.

De nombreuses villes et régions en territoires occupés dont Lod, Bat Yam, Jaffa, Acre, Qods-Est, al-Khalil, Haïfa, Tel-Aviv, Shafaamroo, Tayibe et Tamra ont été théâtre de lourds affrontements qui, exposant musulmans et sionistes, ont conduit à incendier certaines mosquées et synagogues; la police israélienne n’étant plus en mesure de contrôler la situation, selon un tweet d’Ayelet Shaked, députée de droite et ancienne ministre israélienne.

En septembre 2020, l'ex ministre US des A.E., Pompeo s'est rendu à Tel-Aviv mettre à la porte de Haifa, la Chine en lui arrachant le plus grand projet de dessalement de l'eau du Moyen-Orient. La petite dispute éclatée entre le psychopathe Pompeo et l'ambassadeur chinois de l'époque à Tel-Aviv s'est soldé par l'assassinant de ce dernier, une affaire particulièrement significative à côté est passé à Pékin non sans avoir qu'en Israël le jeu ne vaut pas la chandelle. Vint ensuite cette grande annonce selon laquelle l'Iran et la Chine entraient pactisaient suivant un pacte stratégique de 25 ans qui allait ouvrier par la porte de l'Iran les Moyen-Orient sur la Chine qui va de clash en clash avec les Américains en mer de Chine, à Taiwan au Myanmar, à Xinjiang ...

Aucun "accord initial" ne sera conclu à l'issue des négociations du PAGC à Vienne, a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Saeed Khatibzadeh.
S'adressant aux journalistes lors d'une conférence de presse lundi, M. Khatibzadeh a rejeté la notion d'"accord initial" au cours des pourparlers de Vienne visant à relancer le Plan d'action global conjoint.

"Aucun accord ne sera conclu si toutes les conditions ne sont pas remplies", a-t-il ajouté.

Le porte-parole a déclaré que les négociations visant à ressusciter l'accord nucléaire de 2015 sont toujours en cours, car trois groupes de travail distincts traitent des cas respectifs.

"Un pourcentage remarquable des questions en suspens a été (traité) dans ces groupes de travail, tandis qu'un certain pourcentage (de progrès supplémentaires) nécessiterait des décisions politiques", a-t-il ajouté.  

L'Iran est prêt à assister à une nouvelle réunion de la commission mixte du PAGC à Vienne si nécessaire, a déclaré M. Khatibzadeh.

Le dernier cycle de négociations du PAGC, qui a débuté le 6 avril, examine le potentiel de revitalisation de l'accord nucléaire et le retour probable des États-Unis.

Les États-Unis ont quitté le PAGC en 2018 et ont rétabli les sanctions économiques que l'accord avait levées. Téhéran a riposté par des mesures nucléaires correctives qu'il est en droit de prendre en vertu du paragraphe 36 du PAGC.

Les réunions de la commission mixte du PAGC réunissent les chefs de délégation des autres parties à l'accord, à savoir l'Iran, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne.

En outre, trois groupes de travail axés sur les questions nucléaires, la levée des sanctions et les modalités de mise en œuvre du PAGC ont tenu plusieurs réunions à Vienne ces dernières semaines.

Yediot Aharonot, citant "un officiel sioniste anonyme" dit que l'envoyé spécial de Biden à Tel-Aviv, Hadi Amr, "n'a exercé de pression sur Tel-Aviv ni présenté de propositions concrètes sur un cessez-le-feu avec Gaza", lors de sa rencontre avec le ministre de la Guerre Gantz. En jargon atlantiste, cela veut dire que le trio Biden-Austin-McKenzie qui avait fait il n'y a pas si longtemps l'aveu cuisant d'une perte de supériorité aérienne de l'US Air Force dans le ciel du Moyen-Orient et ce, face aux drones et aux missiles de la Résistance est décidé à voir jusqu'où pourrait tenir Israël, et ce, dans un dessin visiblement identificatoire : le 15 et 16 mai, les F-16 et les F-15 israéliens, fraîchement dotés de Joint Direct Attak Munition ont été quelque 160 appareils à faire irruption dans le ciel de Gaza  et à bombarder camps de réfugiés, complexes médiatiques, banques, institutions ..., ce qui veut dire que l'axe US/Israël a fait là un maximum de pression "aérien" pour retrouver le terrain perdu.

 

3000 missiles et roquettes tirés en 7 jours contre l'économie israélienne, soit plus de 430 engins par jour, largement au dessus de la cadence balistique du Hezbollah en 2006 et une Résistance palestinienne qui affirme que l'entité est bien loin d'être au bout de ses surprises. En effet que l'axe US/Israël ait mobilisé rien que le 16 mai, une flotte de 160 avions de combat dont des F-35 dotés de  GBU-31  et de GBU-39, pour raser les camps de réfugiés, des zones civiles à Gaza, il n'y a à cela rien d'extraordinaire, la logique génocidaire tournant à plein régime.

Une plate-forme gazière du régime israélien a été attaquée par des sous-marins suicidaires de la Résistance palestinienne. 

Selon la chaîne de télévision israélienne Kan, la Résistance palestinienne a essayé de toucher une plate-forme de l’exploitation de gaz d’Israël, située à une vingtaine de kilomètres de Gaza, par ses sous-marins piégés. 

D’autre part, la chaîne 12 de la télévision israélienne a rapporté que la Résistance palestinienne avait tiré des dizaines de missiles vers les puits de gaz du régime sioniste en pleine mer. 

lundi, 17 mai 2021 15:05

Echo Afrique du 16 mai 2021

1. Côte d'Ivoire sous la férule du FMI

Un ex président du FMI pourra t il un jour se débarrasser de sa carrière d'ex fmiste?

Un ex président du FMI pourra t il un jour se débarrasser de sa carrière d'ex fmiste? Difficile. C'est le cas du président Ouattara qui se plaint non pas de la colossale dette de son pays envers le FMI ni du comment de son paiement mais de ne pas être autorisé à  contracter davantage de crédit....sans s'avouer  que cette dette alourdie signifie moins de souveraineté moins d'indépendance ...voici ce qu'il a dit ...

Alors que la Covid-19 a exacerbé leurs besoins, les pays africains essayent d’obtenir des aides financières extérieures grâce au FMI. Dans un plaidoyer, le président Alassane Ouattara a appelé le Fonds à être plus flexible envers les économies africaines, pour leur permettre de relever leurs défis.

Lundi 10 mai 2021, le président ivoirien Alassane Ouattara (photo) était l’invité d’un débat virtuel organisé à l’occasion du 60e anniversaire du département Afrique du Fonds monétaire international (FMI). Lors de son intervention, l’ancien fonctionnaire de l’institution de Bretton Woods s’est livré à un véritable plaidoyer pour sa réforme en profondeur, et une amélioration des mesures prises pour aider les pays africains à se sortir de la crise de la Covid-19.

? EN DIRECT: Rejoignez @KGeorgieva et le président @AOuattara_PRCI pour un échange sur l’évolution du FMI et de l’Afrique subsaharienne à travers le temps et sur les façons de préparer la reprise après la pandémie https://t.co/keni9elFSL #FMIAfrique https://t.co/4hN2fg1JDF

— FMIactualites (@FMIactualites) May 10, 2021
D’après le chef d’Etat ivoirien, il est crucial que les pays africains disposent de l’espace fiscal nécessaire pour financer leurs processus de reprise économique. Dans cet ordre d’idées, il demande au FMI de faire preuve de souplesse concernant le taux de déficit public exigé aux Etats africains qui souhaitent bénéficier d’un financement de l’institution.

« Lorsqu’on regarde le ratio déficit/PIB, c’est 9% aux USA et près de 8% en France. L’Allemagne qui a toujours été un pays excédentaire va cette année enregistrer un déficit de 6%. Pourtant, dans le cadre de nos échanges, on parle d’un déficit de 4% pour les pays africains. C’est impossible », a déclaré le président ivoirien. Et d’ajouter : « Si le FMI continue à faire preuve de rigidité sur les questions de déficit pour les pays pauvres durant cette période de pandémie, je suis désolé madame Georgieva [directrice du FMI, Ndlr] mais vous aurez des problèmes avec tous les pays. Nous ne pouvons pas accepter que la France par exemple ait un déficit de 8% et que la Côte d’Ivoire soit obligée d’avoir un déficit de 4%. Ce n’est pas viable ».

J'ai encouragé le Fonds Monétaire International à accroître, de manière significative, la représentativité du continent africain au sein de son Conseil d'Administration ainsi que le volume des financements aux pays africains. pic.twitter.com/2Ra6GHbZT6

— Alassane Ouattara (@AOuattara_PRCI) May 10, 2021
Même si les discussions pour une émission en grandes quantités de droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI en faveur des pays africains semblent rencontrer l’assentiment de plusieurs pays riches, le dirigeant indique que ces mesures prises isolément ne régleront pas le problème des économies africaines. D’après le président Ouattara, une plus grande marge de manœuvre des pays du continent sur le plan de leurs déficits budgétaires leur permettra de faire face aux besoins colossaux qu’a engendrés la pandémie de covid-19, qui se sont ajoutés aux défis déjà importants du terrorisme et du sous-développement.

Rien qu’en Afrique subsaharienne, le FMI estime le montant des financements nécessaires pour accroître les dépenses de lutte contre la pandémie et le terrorisme tout en maintenant des réserves suffisantes et en accélérant la reprise économique à environ 425 milliards $ sur les cinq prochaines années. Un besoin que ne suffiront pas non plus à combler les efforts de mobilisation de recettes intérieures des pays africains.

Pour faire face à ces besoins, Alassane Ouattara demande au FMI de créer un cadre favorable à une meilleure entraide entre les pays développés et les moins avancés. « Les pays du G7 et du G20 doivent faire preuve de solidarité. Je pense qu’ils sont égoïstes », a-t-il déclaré. « Il y a un manque de solidarité de la part de la plupart de ces pays. C’est ce manque de solidarité qui est responsable de certains des problèmes que ces pays connaissent aujourd’hui comme celui des migrations », a-t-il ajouté, appelant les plus riches à aider les plus pauvres .

 

2. Le monde a besoin de 1,7 billion $ d’investissements dans les mines pour limiter le réchauffement climatique à 2 °C

Ce fameux changement climatique, souci 1er des puissances qui s'en servent a merveille pour détruire l'agriculture, l'industrie dans les pays en voie de développement sous prétexte que ce genre d'activités génèrent un effet de serre a bien fourni jusqu'ici aux occidentaux de quoi réduire les capacité de production africaines. A présent il commence a toucher les capacites minières africaines ou mieux dit a fournir le prétexte nécessaire à  piller ces mines....voici ce qu'en disent ces mêmes puissances par médias interposés : 

Quelques semaines après la rencontre sur le climat organisée par Joe Biden, Wood Mackenzie rappelle un point essentiel à la réussite des objectifs réaffirmés par les États. Il s’agit de l’investissement dans les mines, afin de produire les métaux utiles à la réussite de la transition énergétique.

Selon le cabinet Wood Mackenzie, les compagnies minières devront investir 1700 milliards $ d’ici 2036, si elles veulent participer efficacement à l’atteinte des objectifs climatiques. Selon les détails relayés par Reuters, il s’agit principalement de limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 °C et si possible à 1,5 °C, comme l’ont réaffirmé récemment les chefs d’Etats et de gouvernements à Washington à travers le président Joe Biden.

Ce montant sera consacré à produire davantage de cuivre, de nickel, de cobalt, de lithium et d’autres métaux indispensables à la réussite de la transition énergétique. Les appels de ce genre se multiplient ces derniers mois et Wood Mackenzie n’en est d’ailleurs pas à sa première estimation. Le cabinet expliquait déjà en octobre dernier qu’il faudrait plus de mille milliards pour poursuivre la transition énergétique.

Seulement les compagnies rencontrent des difficultés pour mobiliser les fonds nécessaires. Elles doivent non seulement verser régulièrement des dividendes pour contenter leurs actionnaires, mais elles font face aussi à des règles de plus en plus strictes entourant l’exploitation minière. Cela va de critiques concernant le respect des droits de l’homme dans des pays comme la RDC aux exigences par rapport aux questions environnementales.

« Au niveau de l’industrie, il semble y avoir une réticence à investir suffisamment de capitaux pour développer l’offre future au rythme et à l’échelle exigés par la transition énergétique », confirme Julian Kettle, analyste chez Wood Mackenzie.

Pour surmonter ces obstacles, le soutien des décideurs politiques sera nécessaire par le biais d’assouplissements des règles d’investissement dans le secteur minier, à défaut d’investir directement. L’autre solution serait de participer à l’assainissement du paysage minier mondial, comme le fait déjà la RDC avec son cobalt.

 

3. L'Iran au Cameroun...

Selon l’entreprise iranienne Kayson Inc, adjudicataire du contrat, les travaux de construction de la route Sangmélima-Bikoula (65 km), dans le Sud du Cameroun,  devraient s’achever en septembre 2021, accélérant ainsi la connexion du pays avec le Congo.

Les travaux de construction de la route de 65 km reliant Sangmélima à Bikoula, dans la région du Sud du Cameroun, sont exécutés à 83% en ce mois de mai 2021. C’est le constat fait par le ministre des Travaux publics, Emmanuel Nganou Djoumessi, au cours d’une visite de chantier qu’il effectue depuis le début de cette semaine dans la région du Sud.

Selon les responsables de la société iranienne Kayson Inc, l’adjudicataire du contrat, le chantier sera livré à la fin du mois de septembre 2021, sous réserve de la résolution de quelques problèmes d’indemnisations des riverains de ce tronçon routier, qui sont encore pendants devant l’administration.

La livraison de cette route permettra de doper les échanges entre le Cameroun et le Congo, dans la mesure où elle est un chainon de la transfrontalière Sangmélima-Ouesso. 

Au J+7 de la guerre, Tel-Aviv, capitale de l'occupation est ratatinée avec des missiles d'une facture totalement nouvelle! Outre Sejjil, missile tactique largement employé ces derniers jours et dont la capacité de destruction a littéralement pétri de peur l'entité,  la Résistance palestinienne a fait sortir le missile "Hajj Qassem" dans la nuit de samedi à dimanche 16 mai, vers minuit heure locale, peu après l'expiration de l'ultimatum lancé par le porte-parole de Qassam Abou Ubeid.  Le nouveau missile est baptisé "Hajj  Qassem, du nom du haut commandant en chef de l'axe de la Résistance, Qassem Soleimani, lâchement assassiné le 3 janvier 2020 par les Américains mais avec le concours d'Israël. Une puissante salve de missiles et de roquettes a pris pour cible la capitale sioniste. Le raid aurait impliqué pas moins de centaines de missiles et roquettes qui auraient été tirés en moins de 5 minutes contre le centre et la banlieue de Tel-Aviv.

 Le porte-parole des Brigades Qassam avait donné dans la nuit de samedi à dimanche deux heures aux Sionistes pour se mettre à l'abri avant que "Tel-Aviv ne soit ciblé" en représailles de la frappe qui a détruit samedi soir le siège des médias étrangers à Gaza. Les sirènes d'alarmes continuent à retentir à Tel-Aviv, à Ashkelon et à Ashdod, cités gaziers désormais boudés par les investisseurs étrangers. Les missiles tirés à l'aube ont touché Nataniya et Naplouse en Cisjordanie.