تقي زاده

تقي زاده

samedi, 06 janvier 2018 10:50

Anniversaire du Christ, symbole de la paix

وَأَيَّدْنَاهُ بِرُوحِ الْقُدُس : et Nous l’avons renforcé du Saint-Esprit. La vache 87

 Anniversaire du Christ, symbole de la paix

Plus de 1,5 million d'exemplaires du Saint Coran ont été imprimés en Iran au cours des neuf derniers mois de l'année(depuis 21 mars 2017), a indiqué un responsable iranien.

S'adressant à l'IQNA, Azizollah Mortazavi, directeur du département de relecture de l'organisation Dar-ol-Quran Karim, a précisé que le nombre exact d'exemplaires du Coran imprimés dans le paysà cette période était 1,606 million.

Il a ajouté que le nombre de Corans publiés au cours de la même période il y a un an était de 1,529 million.

Le Dar-ol-Quran Karim est affiliée à l'Organisation iranienne pour le développement islamique.

Il supervise les activités coraniques et accorde des autorisations pour la publication de Coran dans le pays.

L'Iran est un pays à majorité musulmane au Moyen-Orient. L'Islam est la religion de plus de 99% des Iraniens.

Un grand nombre d'habitants de Téhéran, capitale iranienne, sont descendus dans la rue, ce vendredi 5 janvier, à l'issue de la prière du vendredi, afin de protester contre les récents troubles en Iran. Les manifestants ont été particulièrement en colère contre les ingérences de ces derniers jours du président américain, Trump et de son entourage. 

Des manifestations similaires ont eu lieu dans d'autres villes du pays.

L'infiltration des fauteurs de trouble dans les rangs des manifestations sociales qui ont duré du 28 décembre au 4 janvier ont provoqué des débordements dans quelques villes de provinces. Un lourd bilan de 21 morts est à regretter, surtout dans de petites villes où les casseurs s'en sont pris aux bâtiments publics, aux casernes de pompier.  Le Commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique, le général Jafari, a annoncé mercredi  3 janvier la fin de la "sédition" et un retour au calme. 

Depuis mercredi deux cellules terroristes ont été démantelé, une à l'ouest de l'Iran et l'autre dans la ville de Boroujerd dans la province de Lorestan (ouest de l'Iran). Selon les forces de sécurité, les personnes arrêtées se revendiqueraient du groupuscule terroriste des Mojaheddin du peuple. 

Pyongyang réponde ce vendredi 5 janvier à la main tendue de la Corée du Sud et accepte l’offre de discussions avec Séoul proposée mardi prochain qui est un premier geste de détente depuis 2015 entre les deux voisins. Cette annonce est intervenue quelques heures après que Washington et Séoul ont convenu de reporter leurs manœuvres militaires initialement prévues pendant les JO, des exercices qui, chaque année, contribuent à aggraver la situation sur la péninsule.

"La Corée du Nord nous a faxé ce matin un message, indiquant qu'elle acceptait la proposition de discussions le 9 janvier faite par le Sud", rapporte l'AFP citant un responsable du ministère sud-coréen de l'Unification, responsable des relations avec le Nord. La rencontre aura lieu à Panmunjom, village frontalier où fut signé le cessez-le-feu de la guerre de Corée (1950-53), et portera notamment sur les jeux Olympiques de Pyeongchang (9 au 25 février) en Corée du Sud et sur "la question de l'amélioration des relations intercoréennes", selon le porte-parole du ministère de l'Unification Baek Tae-Hyun.

Cette reprise de dialogue intervient après deux années de dégradation du climat sur la péninsule. Les deux Corées ont dès lors remis en service mercredi leur liaison téléphonique qui était coupée depuis 2016, continuant à jouer l'ouverture malgré les railleries du président américain Donald Trump qui s'était vanté d'avoir un bouton nucléaire "beaucoup plus gros" que celui de Kim Jong-Un. 

Pour les analystes, le jeune Kim a marqué un point, poussant déjà Trump et  son homologue sud-coréen Moon Jae-In à reporter leurs manœuvres conjointes qui  «n'auraient pas lieu durant la période olympique». L'objectif étant que "les forces des Etats-Unis et de la Corée du Sud puissent concentrer leurs efforts sur la sécurité des Jeux", a confirmé la Maison Blanche dans un communiqué.

Mais les sanctions américaines décrétées ces dernières semaines contre Pyongyang n'ont donc pas eu d'effet, le dirigeant nord-coréen ayant réussi à pousser ses adversaires à se mettre à la table du dialogue.

 
 
 

Ils ne l'ont pas obtenu via le faux référendum, ils tentent de l'avoir via une résurgence de Daech. Les Etats-Unis travaillent ardemment à une remise sur les rails de Daech dans la ville pétrolifère de Kirkouk. Des résidus des terroristes se cacheraient dans des quartiers et parfois parmi les réfugiés. 

Une quarantaine d'entre eux ont été abattus jeudi 4 janvier par les forces irakiennes lors de l'opération de la sécurisation de la ville de Hawija, appartenant à la province de Kirkouk.

Le même jour, une dizaine de terroristes ont été arrêtés. Ladite opération de la sécurisation couvre la ville de Hawija et ses localités avoisinantes ainsi que plusieurs autres régions de la province de Kirkouk et elle a débuté jeudi 4 janvier au matin.

Cette opération implique les militaires de l'armée régulière, les unités blindés et les combattants des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi).

Moins d'un an après la fabrication d'un premier porte-avions chinois, la Chine a déjà commencé à construire un autre porte-avions qui serait le troisième.

Le porte-avions 001A, de fabrication chinoise, a été mis à l'eau, en avril 2016 et le deuxième porte-avions "Made in China" sera opérationnel pendant les mois à venir.

"La réalisation de ces projets suit un rythme bien rapide. Il n'a fallu que 10 mois après que la cale sèche a été remplie d'eau pour la première fois en avril jusqu'au test de ce porte-avions en mer. Le projet sera achevé d'ici février 2018", a-t-on appris d'une source militaire qui l'a confié au quotidien anglophone chinois South China Morning Post.

Baptisé Shandong, du nom d’une province de l’est du pays, le deuxième porte-avions chinois ressemble beaucoup à Liaoning, porte-avions racheté à l’ex-URSS et ensuite rénové par la Chine. Shandong dispose d'une rampe ascendante à l'avant pour aider les avions à décoller. Selon la même source, "la fabrication du troisième porte-avions semble plus compliquée et difficile par rapport à celle des deux derniers porte-avions".

L'un des objectifs de la construction du porte-avions 003 est d'utiliser un système de lancement électromagnétique sur lequel ont beaucoup travaillé l'US Navy pendant les dernières années. La Chine compte posséder quatre porte-avions d'ici 2030., un objectif qui n'est pas sans rapport avec les tensions croissantes en mer de Chine où les Américains continuent à multiplier les provocations anti-chinoise via des manœuvres maritimes avec leurs alliés régionaux. 

L'armée syrienne a lancé, jeudi 4 janvier, une opération militaire d’envergure contre les positions des groupes terroristes à Haresta dans la banlieue-est de Damas.

 

Neutralisant une offensive des terroristes, l’armée syrienne a lancé son attaque depuis plusieurs axes aux alentours de Harsata et réussi à libérer plus de 20 immeubles résidentiels et à entamer ses opérations de nettoyage dans la région, ont rapporté les sources syriennes.

Les forces de l’armée syrienne ont également capturé 4 terroristes avant d’éliminer 25 autres, dont un chef du groupe criminel Tahrir al Cham, alliance dirigée par l'ex-Front al-Nosra, ancienne branche syrienne d'al-Qaïda.

Plusieurs localités aux alentours de Harsata sont depuis une semaine encerclées par les groupes terroristes, mais les forces qui se trouvent à l’intérieur et qui les défendent ont fait jusqu’à présent échouer toute tentative d’infiltration des terroristes dans la région.

L’armée syrienne a annoncé un renforcement des effectifs dans la région pour lancer son opération. Un grand nombre de militaires ont été déployés dans le quartier d’al-Qaboun et attendent l’ordre d’intervention.

L’armée devrait poursuivre son opération en profondeur dans la ville de Harsata afin de repousser une offensive potentielle des terroristes contre ses positons aux alentours des bureaux gouvernementaux de sécurité et agricole.

Pour empêcher tout acheminement d’aide aux terroristes, l’unité d’artillerie de l’armée syrienne épaulée par l’aviation du pays a pris pour cibles les positions des groupes takfiris dans la région.  

« Les terroristes et leurs alliés payeront très cher », ont prévenu les sources militaires syriennes avant de promettre l’élimination totale des terroristes et le rétablissement de la sécurité dans la région.   

Un ancien responsable des Nations unies a déclaré que les ex-présidents américain et britannique avaient dupé le monde pour légaliser leur offensive contre l'Irak.

Hans-Christof von Sponeck, ancien secrétaire général adjoint de l'ONU et coordinateur humanitaire de cette organisation en Irak de 1998 à 2000 a regretté l'inaction de la communauté internationale concernant le massacre, la mutilation et le déplacement de millions de personnes en Irak ainsi que la destruction des infrastructures de ce pays.

"Cela fait des années que la nature mensongère des allégations des ex-présidents américain et britannique, George W. Bush et Tony Blair, s'est manifestée, mais aucun pas n'a été franchi pour traduire en justice les auteurs de ces tragédies en Irak", a expliqué Hans-Christof von Sponeck.

Et d'ajouter: "13 ans après la fin de l'offensive militaire américaine et britannique contre l'Irak, la population mondiale ne connait pas encore les raisons du déclenchement de cette guerre ni le niveau de la violation des droits de l'Homme, la souffrance du peuple irakien, le massacre et le déplacement des millions de civils et d'autres crimes qui ont été commis au cours de cette guerre".

Hans-Christof von Sponeck, ancien secrétaire général adjoint de l'ONU. (Photo d'archives)

L'ancien responsable de l'ONU a indiqué que les crimes, commis par les forces d'occupation depuis 2003, avaient été ajoutés à ceux, perpétrés par Saddam alors que le Conseil de sécurité et d'autres branches des Nations unies se soumettaient aux desideratas de Washington et de Londres.

"Au contraire des allégations du Conseil de sécurité, des États-Unis et du Royaume-Uni, les sanctions qui ont été imposées, sous Saddam, aux Irakiens, ne visaient que le peuple d'autant plus que les Irakiens se sentaient de plus en plus frustrés par la destruction des ponts, des hôpitaux, des routes et des infrastructures de leur pays par l'attaque de 2003".

Hans-Christof von Sponeck a ajouté que le Conseil de sécurité ne faisait aucun cas du peuple irakien depuis 1991, comme s'il voulait punir ce peuple pour les atrocités de Saddam.

Il s'est dit abasourdi par sa nomination en tant que coordinateur humanitaire de l'ONU en Irak, disant qu'il n'y avait aucune aide destinée aux Irakiens, comme si le Conseil de sécurité aidait Saddam à intensifier les souffrances qu'endurait le peuple irakien.

Le gouvernement égyptien a condamné, le mercredi 3 janvier, le nouveau projet de loi adopté par la Knesset sur le statut de Qods et l’a qualifié de contraire au droit international.

Les députés ont approuvé un projet de loi mardi matin, qui exige un vote spécial à la majorité des deux tiers à la Knesset pour renoncer à toute partie de Qods en faveur des Palestiniens dans le cadre d’un futur accord de paix. Il a été adopté en deuxième et troisième lectures à la majorité de 64 voix pour, 51 voix contre et une abstention.

La loi dite de « Jérusalem unifiée » viole les résolutions et les lois internationales. Selon Ahmad Abu Zeid, porte-parole du ministère égyptien des Affaires étrangères, « toute décision qui changerait le statut de Qods est illégale ».

« Cela va entraver le processus de paix. Le statut de Qods est une question qui doit être réglée via le dialogue entre les deux parties israélienne et palestinienne », a-t-il ajouté.

 
 
 

Selon Dunya News, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a déclaré lors d’une conversation téléphonique avec le président pakistanais Mamnoun Hussein qu’il désapprouvait les propos anti-pakistanais de Donald Trump, ajoutant qu’« Ankara se tiendra derrière Islamabad ».

« Les actions du Pakistan contre le terrorisme sont positives et indéniables », a ajouté Erdogan.

« En toutes circonstances, nous serons aux côtés du Pakistan et nous condamnons avec force les paroles de Trump », a poursuivi le président turc.

« Le Pakistan répondra de manière appropriée au comportement inapproprié des États-Unis », a de son côté déclaré le président pakistanais.

Remerciant Erdogan pour son soutien, Mamnoun a indiqué : « Le renforcement de nos relations avec la Turquie est l’une des priorités du Pakistan et nous sommes heureux qu’Ankara comprenne le sacrifice d’Islamabad dans la lutte contre le terrorisme. »

Le président des États-Unis a annoncé, dans son premier message Twitter de l’année 2018, la suspension des aides américaines à Islamabad, en ajoutant que ces aides d’un montant de 33 milliards de dollars avaient été versées de « manière stupide » durant 15 années au gouvernement pakistanais.

« Le Pakistan ne nous a rien donné en retour, mis à part mensonges et tromperies, et les dirigeants pakistanais nous ont pris pour des idiots ! » a enfin martelé le président américain.