تقي زاده

تقي زاده

Plusieurs pays islamiques comme l'Arabie saoudite, qui sont contrôlés par les sionistes, soutiennent la EIIL (Daesh, en arabe), mais bientôt subissent les conséquences de leurs actions (interventionniste) ", a souligné l'ayatollah Mohammad Emami Kashani.

" L'islam vit aujourd'hui une situation très sensible sans précédent, " l'ayatollah Emami Kashani que, qui avertit que l’hégémonie, profitant de l'influence des sionistes et les recettes pétrolières de certains pays arabes de la région, a créé le terrorisme à saper l'unité de la communauté islamique.

" Les terroristes EIIL, les takfiris, les Taliban ont été créés par les (pouvoirs) hégémonique, grâce à l'influence des sionistes et des revenus du pétrole. Ils ont réussi à tromper les sots, à travers les réseaux sociaux et le cyberespace et les encourager contre l'islam et les chiites “, a-t-il soutenu.

Il prière du vendredi de Téhéran a déclaré que toutes les attaques terroristes dans la région, tels que vendredi dernier ont eu lieu contre une mosquée chiite au Koweït sont un complot de l'arrogance à semer la discorde entre chiites et sunnites.

Compte tenu de cette situation de vulnérabilité, l'ayatollah Emami Kashani a exhorté le monde musulman à renforcer l'unité et rester attentif.

Selon ex-annaliste l'Agence nationale de sécurité des États-Unis (NSA, en anglais), Edward Snowden, l’EIIL née du travail conjoint des services de renseignement des États-Unis, le Royaume-Uni et le régime israélien.

Merci à une vaste publicité dans les réseaux sociaux, ce groupe takfiri qui commet des crimes contre l'humanité dans des pays comme l'Irak et la Syrie, a attiré des milliers de jeunes extrémistes étrangers, y compris les Européens et les Américains.

Le clerc Persique a passé une autre partie de son discours aux pourparlers sur le nucléaire entre l'Iran et le groupe 5+1 assurant que la nation iranienne et le gouvernement ne cédera jamais à leur droit d'accéder à un programme nucléaire à des droits d'utilisation de civils.

" La position de l'équipe de négociation iranienne nucléaire est basée sur la dignité et la puissance (...) de la nation perse, et que, jamais vers le bas, " a-t-il assuré.

Depuis 17 les représentants de l'Iran et de la Sextet (Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Russie et la Chine plus l’Allemagne) Juin dernier sont à Vienne où il a tenu des séances de marathon pour compléter le texte d'un accord final, ayant basé sur le principe de compréhension atteint Avril 2 dernier.

Jusqu'à présent, les demandes excessives de plusieurs pays occidentaux, y compris pour inspecter les installations militaires, une chose à laquelle refuse l’Iran, ont été l'un des principaux obstacles à la fermeture d'un accord pour mettre fin aux différends occidentaux concernant la nature pacifique le programme nucléaire de l’Iran.

Cependant, l'Iran et le G5 + 1 ont décidé de prolonger les négociations jusqu'au 7 Juillet, à dissiper les doutes et d'atteindre un accord sur le nucléaire à long terme.

vendredi, 03 juillet 2015 22:21

Tartous: Moscou n'en veut plus?!

Les médias hostiles au régime syrien entretiennent, depuis quelques jours, une rumeur : la Russie entend fermer sa base navale, dans le port syrien de Tartous. Est-ce vrai? Selon la chaîne Al-Mayadeen, les autorités russes ont, fermement, rejeté ces rumeurs, affirmant que Tartous est le prolongement startégique de la Russie, qui n'y renoncera à aucun prix : "au contraire, les autorités r/ Une source d’état-major des forces marines russes a indiqué que le point logistique de ravitaillement de la Marine russe dans la ville de Tartous poursuivra ses missions sans prendre en compte les développements en Syrie.Dans un point de presse donné aujourd’hui à Saint-Pétersbourg, la source a affirmé que la Russie ne pense point à renoncer à ce point maritime à Tartous quels que soient les développements.Elle a fait savoir que la réparation et la restauration de ce point maritime n’a aucune importance au moment actuel, précisant que toute opération de restauration ne sera accomplie qu’après le rétablissement de la situation sécuritaire et politique en Syrie et dans la région.A signaler que l’état-major de la Marine russe avait annoncé que les opérations de réparation et de reconstruction du point de ravitaillement à Tartous sont irréalisables sans la coordination avec le côté syrien.sses ont l'intention de développer cette base, et projette de l'étendre au-delà de Tartous".

vendredi, 03 juillet 2015 22:17

L'Egypte, sur la voie de la "syrisation"?

Le célèbre journaliste arabe, Abdel Bari Atwan, prédit, dans son plus récent article, l'émergence d'un nouvel Irak, d'un nouveau Yémen, voire, de nouvelles Syrie et Libye, en Egypte. Dans son article, l'auteur revient sur les 15 attaques terroristes, qui ont visé les forces de sécurité, au Sinai. "Le Caire est sur le pointde devenir un nouvel Alep ...Les explosions terroristes secouent la ville, les voitures piégées tuent le Procureur général Hicham Barakat, l'homme qu'on croyait le mieux protégé et huit de ses compagnons. Les F-16 égyptiens bombardent le Sinaï, et 70 efectifs de sécurité se font massacrer par les terroristes ... Tout ceci montre que le Sinaï n'a rien moins d'un Kobané ou même d'un Falloujah. Il n'est pas impossible de se lever, un matin, et d'entendre la mise à exécution du verdicte de mort émis contre Morsi ou le Chef des Frère musulmans, Mohammad Badih. L'Egypte marche, très rapidement, sur les pas de la Syrie, de la Libye, du Yémen et de l'Irak. Or, l'exécution de Morsi ne fera qu'attiser les tensions et le terrorisme, en Egypte, cette voie est sombre et conduira droit l'Egypte vers l'abîme, ôtant toute possibilité d'une sortie du marasme économique. Nasser a réprimé les Frères, il a exécuté leur Chef, Seyyed Qotb, mais il a fait tout ceci, sur fond de réformes économiques et agraires très importantes et bien réussies. Or, l'actuel contexte ne prête, nullement, à ce genre de manoeuvre. Saddat, au contraire, s'est rallié aux Frères contre la gauche et les nationalistes, pour combattre Israël et libérer le Sinaï. Mais les alliances de l'actuel gouvernement sont opaques. On ne sait qui coopère avec qui ..Fort malheureusement, Israël ne figure pas au nombre des ennemis de Sissi. Or, le vrai danger, qui menace l'Egypte, ne vient pas des Frères, mais de Daech, qui contrôle la quasi tonalité du Sinaï.
Daech est, aussi, sur le point d'étendre son influence, dans toutes les directions. Il va sans dire que ceux qui ont tué le Procureur général méritent un châtiment. Mais pensons, un instant, aux conséquences des verdicts de mort que ce procureur allait s'apprêter à mettre à exécution....La mort des dizaines de chefs fréristes aurait pu mettre le feu à toute l'Egypte, avec, en toile de fond, des milliers de partisans des Frères armés et prêts à en découdre avec l'armée!!! Mais Sissi peut-il sauver l'Egypte, via les pétrodollars saoudiens, des armements russes, américains ou la guerre contre les Frères musulmans? Non. L'Egypte a besoin d'une troisième voie. Celle de la solidarité nationale, de la réconciliation, et ce, en prévision de l'effusion du sang à venir. Cette troisième solution passe par l'armée égyptienne, une armée, qui est la seule garante de la sécurité de l'Egypte.....

vendredi, 03 juillet 2015 22:16

Attaque contre la Syrie : Ankara recule!

"La Turquie n'envisage pas d'opération militaire, du jour au lendemain, en Syrie, pour protéger sa frontière", a affirmé son Premier ministre Ahmet Davutoglu, alors que des rumeurs d'intervention sont évoquées par la presse.
"Personne ne doit s'attendre à ce que la Turquie entre demain ou dans un avenir proche, en Syrie. Cela relève de la spéculation", a-t-il dit, lors d'un entretien à la chaîne privée, Kanal 7, jeudi soir. Le chef du gouvernement turc a indiqué que la Turquie n'attendra pas demain, en cas de menace sur sa sécurité intérieure, pour agir, mais que, dans les conditions actuelles, il n'est pas question d'une intervention unilatérale. Depuis plus d'une semaine, les médias turcs affirment que le gouvernement envisage une opération militaire, en Syrie, pour repousser loin de ses frontières les terroristes de Daech, et empêcher la progression des forces kurdes, qui détiennent, désormais, une grande partie de la zone frontalière avec la Turquie.

" Un total de 36 membres de EIIL ont été éliminés au cours des opérations des forces irakiennes à Falloujah dans la province occidentale d'Al-Anbar. Parmi les terroristes tués est l'un de nationalité saoudienne, surnommé Abu Abdollah al-Arabie "a annoncé le ministère irakien de la Défense dans un communiqué.

Par ailleurs, Mahmoud Morzi al-Jumaili, un colonel de l'armée irakienne, a déclaré à la chaîne de télévision d'Etat Alforat que les soldats irakiens, soutenus par des volontaires armés, a pris la vie de 50 takfiris de EIIL et blessé 120 dans les régional Al-Lahib, al-Baiyat et Al-Hitwan, situé dans la ville de Karma, à l'ouest de Bagdad, la capitale.

À son tour, le commandant opérationnel de la ville de Samarra, le major-général Emad al-Zahiri, a déclaré que près de 38 éléments Daesh tués dans l'air frappe l'armée irakienne dans la province centrale de Salah al-Din.

De même, les avions irakiens ont pris la vie d'au moins cinq membres de l’EIIL dans la ville d’Al-Qaem frontière avec la Syrie.

Mardi également, l'armée irakienne a abattu 40 membres du groupe terroriste Al-Anbar.

Al-Abadi : l'Irak est déterminé à éliminer le terrorisme de son territoire

Le Premier ministre irakien, Haidar al-Abadi, au cours d'une conversation téléphonique jeudi avec son homologue turc, Ahmet Davutoglu, a déclaré que les forces irakiennes sont déterminés et équipés pour éradiquer le terrorisme dans les régions du nord de l'Irak.

Il a également appelé le gouvernement turc de prendre des mesures appropriées pour prévenir l'entrée de terroristes de leurs frontières avec la Syrie et l'Irak médiation.

Actuellement, les troupes irakiennes ont du mal à retrouver un contrôle de l'ensemble de la ville d'Al-Ramadi, capitale d’Anbar, où takfiris exécutées dans des centaines de civils mai.

Pendant ce temps, des milliers de forces de bénévoles et les troupes irakiennes se préparent à lancer une opération de grande envergure pour récupérer Mossoul.

Selon un rapport de l’ONU, de la violence en Irak a tué au moins 1 466 Irakiens tués, dont 665 civils, en Juin, 40 % par rapport au mois de mai (2015).

Le dossier nucléaire de l'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) concernant des soupçons de recherches à caractère militaire peut être résolu rapidement, a assuré jeudi le président iranien Hassan Rohani en recevant le chef de l'agence onusienne, Yukiya Amano.
Concernant certaines questions qui restent ambigües, elles pourront être résolues dans un court laps de temps s'il y a la volonté nécessaire des deux côtés et si des questions non-techniques ne sont pas inclues, a affirmé M. Rohani, selon des propos publiés sur le site internet du gouvernement.

L'Iran est prêt à parvenir à un accord juste pour résoudre les questions toujours en suspens, dans un temps déterminé et dans le cadre des règlements existants, a ajouté M. Rohani.

L'Iran et l'AIEA ont convenu en novembre 2013 d'un plan d'action conjoint pour résoudre la question d'une possible dimension militaire (PMD) du programme nucléaire iranien. Téhéran a accepté de répondre aux questions de l'AIEA sur des preuves crédibles, selon l'agence.

L'agence cherche aussi à avoir accès aux scientifiques impliqués, ainsi qu'aux documents et sites qui pourraient avoir abrité les recherches. Ces exigences sont refusées catégoriquement par le guide suprême iranien, l'ayatollah Khamenei, qui a le dernier mot sur le dossier nucléaire de Téhéran.

Les deux parties sont parvenues à une entente générale sur le calendrier et la poursuite de cette coopération, a pour sa part déclaré Reza Najafi, le représentant iranien auprès de l'AIEA, cité par Irna. Les détails et le plan du calendrier des actions seront bientôt définis, a-t-il ajouté, sans autre précision.

La visite de M. Amano intervient alors que les négociations sur le programme nucléaire de Téhéran font l'objet d'intenses tractations à Vienne entre l'Iran et le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne), sous l'égide de l'UE.

Cette visite est très importante, a estimé la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini.

L'agence onusienne sera un des acteurs clés en cas d'accord, qui placerait le programme nucléaire sous étroit contrôle international, en échange d'une levée des sanctions économiques mises en place depuis 2006.

M. Amano avait auparavant rencontré Ali Shamkhani, le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale (CSSN) de l'Iran, chargé des questions stratégiques du pays. Ses décisions doivent être avalisées par l'ayatollah Khamenei.


vendredi, 03 juillet 2015 22:06

Le ministre saoudien de la Défense blessé!!!

Mohamed Ben Salman, le ministre saoudien de la Défense, a été blessé, lors des attaques au missile, menées par les forces yéménites.
Le ministre saoudien de la Défense et successeur du prince héritier saoudien, Mohamed Ben Salman Ben Abdelaziz Al-e Saoud, a été blessé, lors d’une attaque au missile, menée par l’armée yéménite contre la base militaire Al-Salil, a rapporté, le site d’information Middle East Panorama.
Mohamed Ben Salman, ainsi que des officiers français de haut rang et des personnalités militaires des pays arabes et étrangers, étaient présents, sur la base d’Al-Salil, lorsqu’un missile "Scud" de l’armée yéménite s’est abattu sur cette base.
Selon un quotidien sioniste, cette attaque a infligé de lourds dégâts matériels et des pertes en vie humaine, mais les Saoudiens tentent de faire le black-out sur cette information.

L’alliance militaire de l’OTAN se prépare à implanter une stratégie d’armement nucléaire plus agressive en réponse à la prétendue «agression russe», selon des sources provenant de l’OTAN, citées par le quotidien britannique Guardian la semaine dernière.Selon des responsables de l’OTAN, les changements proposés comprennent une plus grande implication des forces nucléaires au sein des exercices militaires de l’OTAN actuellement en cours le long de la frontière russe et de nouvelles recommandations pour une escalade nucléaire contre la Russie.La doctrine nucléaire de l’alliance a été le sujet de discussions informelles et discrètes «en marge» du sommet de l’OTAN qui vient d’avoir lieu. Les nouvelles politiques seront confirmées lors de la conférence à venir du Groupe des plans nucléaires (GPN) de l’OTAN. La tenue de la conférence a été devancée en raison des rumeurs qui circulaient à propos des plans secrets.«Il y a de réelles inquiétudes par rapport à l’attitude cavalière de la Russie sur le nucléaire. Alors, il y a beaucoup de délibérations de l’alliance sur les armes nucléaires», a dit un diplomate de l’OTAN au Guardian.La thèse voulant qu’une révision de la politique sur les armes nucléaires soit une réponse à l’agression russe tourne la réalité à l’envers. Tout de suite après le coup d’état appuyé par l’OTAN et les États-Unis en Ukraine l’année dernière, les puissances impérialistes ont enclenché une militarisation sans relâche de l’Europe de l’Est, y compris l’établissement d’une force de réaction rapide de 40.000 soldats.La semaine dernière, le Secrétaire à la défense, Ashton Carter, a annoncé que les États-Unis déploieraient de façon permanente des chars d’assaut, des véhicules militaires et d’autres équipements dans les pays qui bordent la Russie. Il y a aussi des discussions sur la possibilité d’armer directement l’Ukraine, au-delà de l’aide considérable que ce gouvernement de droite a déjà reçue.L’OTAN se prépare maintenant à répliquer à toute tentative russe de contenir ou de contrer les manœuvres agressives de l’impérialisme américain en Europe de l’Est par une riposte militaire encore plus massive, y compris le recours à des armes nucléaires.Un article du Financial Times a fourni un aperçu de la pensée des stratèges de l’OTAN. Dans le cas d’un conflit impliquant l’un des pays baltes, «la Russie pourrait… accuser l’alliance d’envenimer le conflit et elle pourrait menacer d’utiliser des armes nucléaires à portée moyenne». Le Times cite Elbridge Colby, du Centre pour un nouveau siècle américain (Center for a New American Security, CNAS): «L’OTAN n’a pas besoin d’un réexamen total de sa stratégie nucléaire. Mais, il doit être réaliste sur la façon qu’il répondrait et qu’il montrerait à Poutine qu’il ne s’en tirerait pas comme ça.»Ce scénario se base sur les allégations des États-Unis selon lesquelles la Russie aurait violé le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire, des allégations que le gouvernement russe a niées. Des responsables américains ont affirmé que le Pentagone se prépare à lancer des attaques préventives contre des missiles ou d’autres cibles en Russie, y compris avec des armes nucléaires, pour riposter à la prétendue violation du traité par Moscou.L’annonce de révisions majeures à la stratégie nucléaire de l’OTAN est arrivée seulement quelques jours après la publication d’un rapport détaillé, intitulé «Project Atom: Defining US Nuclear Strategy and Posture for 2025-2050», par le Centre d’études stratégiques et internationales (Center for Strategic and International Studies, CSIS). Les sections principales du rapport ont été rédigées par un stratège de longue date du gouvernement américain et un analyste expérimenté du CSIS, Clark Murdock, qui avait auparavant travaillé comme haut gradé pour la CIA, le Département de la Défense, l’aviation américaine et le Collège national de la guerre (National War College). Le rapport comprend des contributions provenant d’une vaste équipe de chercheurs et d’experts, dont des conférenciers du CNAS et de l’Institut national de politique publique (Institution for Public Policy, NIPP).L’idée centrale de l’analyse du CSIS est que les États-Unis doivent rendre leur arsenal nucléaire plus facile à utiliser dans une guerre contre la Russie, la Chine ou d’autres puissances. L’armée doit adopter «une stratégie nucléaire américaine conçue pour les réalités du 21eme siècle», basées sur des nouvelles générations d’ogives tactiques et de systèmes de lancement.Des armes nucléaires tactiques plus sophistiquées permettront à Washington de menacer et de lancer des petites guerres nucléaires, sans «s’auto-dissuader» par la crainte que ses actions ne mènent à un holocauste nucléaire, soutient le rapport du CSIS.«Les États-Unis doivent développer et déployer des armes nucléaires plus utilisables», a écrit le CSIS, avec «moins d’effets collatéraux, une plus grande radiation, la capacité de pénétrer dans le sous-sol, des pulsations électromagnétiques, et d’autres capacités à mesure que la technologie progresse».De telles avancées, soutient le rapport, sont la seule façon de contrer l’érosion de la supériorité technologique américaine face à la croissance de l’arsenal nucléaire chinois et russe, et au fait que jusqu’à neuf nouveaux gouvernements font maintenant partie du «club nucléaire».Selon la théorie de la «réponse mesurée» préconisée par le CSIS et Murdock, ce type de forces nucléaires ultra mobiles pourrait servir à mener des «opérations nucléaires contrôlées», en lançant des bombes nucléaires «moins puissantes mais précises et avec effets spéciaux» sur des cibles ennemies sans provoquer la guerre nucléaire totale.En «pré-déployant un solide ensemble d’options de réponse nucléaire ciblée», les États-Unis pourraient lancer des frappes nucléaires tactiques «à tous les échelons de l’escalade nucléaire», a écrit Murdock.De tels conflits nucléaires «à petite échelle» causeraient inévitablement des dizaines, sinon des centaines de millions de morts, même en supposant qu’ils ne se transforment pas en guerre nucléaire mondiale.Le territoire continental américain serait protégé, selon cette théorie, des conséquences d’une guerre nucléaire régionale par l’effet dissuasif de l’immense arsenal que détient Washington en armes stratégiques à forte puissance. De plus, tout conflit nucléaire «contrôlé» déclenché par le gouvernement américain n’impliquerait pas d’opérations nucléaires en direction ou en provenance de l’Amérique du Nord.«Le territoire américain ne serait pas engagé si les États-Unis répondent à une attaque nucléaire contre un allié régional», a écrit le CSIS.Dans un langage à peine voilé, le CSIS suggère que les États-Unis devraient utiliser des gouvernements alliés et fantoches comme zones d’opération pour la guerre atomique «contrôlée».De telles propositions, provenant d’analystes en politique publique de la classe dirigeante qui collaborent au sein d’un vaste réseau, sont extrêmement inquiétantes et représentent un sérieux avertissement pour la classe ouvrière internationale.Il y a eu d’autres appels à une expansion majeure de l’armement nucléaire américain. Dans des remarques adressées à un autre cercle de réflexion américain (Atlantic Council), le député américain Mac Thornberry, président de «conversation nationale sur la construction de nouvelles armes nucléaires».«C’est quelque chose sur laquelle nous n’avons pas pu avoir une conversation depuis un certain temps, mais je pense qu’il faudra le faire», a déclaré Thornberry.À la fin de l’année dernière, le gouvernement Obama a annoncé des plans pour une mise à niveau de l’armement nucléaire américain sur trois décennies et au coût de 1000 milliards de dollars.Il y a un élément de folie dans les écrits du CSIS et les autres discussions prenant place au sein de l’appareil d’État. Les stratèges de l’impérialisme américain font des calculs à froid sur la meilleure tactique à suivre pour lancer et gagner la guerre nucléaire. Mais cette folie découle de la logique de l’impérialisme américain et de la campagne de l’aristocratie financière pour contrôler le monde entier – de plus en plus directement par la force militaire. Source: Chaos Controlé

La Ghouta-occidental est à nouveau le théâtre des opérations au terme des quelles des figures terroristes sont liquidees. De violents affrontements entre les habitants de la cité de Hamouriya et des terroristes dans cette région. La manifestation des habitants de cette cité s' est etendue aussitôt aux cités voisines.l'un des chefs terroristes de Jaysh al islam , milice placée sous le commandement de Zahran Allouch a été tué dans la cité de Massraba. Des assaillants armés ont tiré trois balles en direction de Abou Omar Massraya alias Abou Nour. la situation économique est précaire dans cette cité ce qui a poussé les habitants à desendre dans les rues. 415 habitants de la cité se trouvent dans les prisons des takfiris. Selon les analystes politiques, cette "auto -elimination"pourrait être l'oeuvre du renseignement syrien alors que les terroristes et leurs soutiens viennent de subir une grosse défaite à Daraa, le renseignement syrien pourrait avoir été tenté par la liquidation des terroristes avant qu ces derniers ne décident de relancer leurs attaques contre les forces syriennes et la ville de Damas à partir de la Ghouta-occidental.

Imam Hassan Mojtaba (P) est né au mi Ramadan de la troisième année du calendrier lunaire de l'Hégire dans la ville de Medina situé sur la péninsule arabique.

Le deuxième imam des chiites était le premier fils de l'Imam Ali (as) et Fatima az-Zahra (P), fille du grand prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (P).

Imam Ali (as) et Fatima az-Zahra (P) ont conduit à son premier enfant, le jour de sa naissance, sur le prophète de l'Islam de choisir son nom après avoir reçu des ordres de Dieu, il a été nommé Hasan, ce qui signifie genre.

Imam Hassan Mojtaba (P) a eu l'occasion d'apprendre du Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (P) jusqu'à 7 ans et, par la suite, jusqu'à 30 ans, il est devenu l'étudiant prêt et fidèle de son père Imam Ali (P).

La naissance de l'Imam Hassan Mojtaba (P) est maintenue dans les mosquées de la République islamique d’Iran.