تقي زاده

تقي زاده

Une éventuelle ouverture du Front du Nord inquiète,énormément, les responsables du régime sioniste, à tel point que cela a suscité des débats houleux entre eux. Selon la chaîne de télévision Al-Mayadine, les responsables politiques et les commandants de l'armée israélienne ont basculé dans des polémiques et des débats houleux, sur le déclenchement d'une éventuelle guerre, au Nord, entrre Israël et le Hezbollah libanais. Dans le même temps, citant les hauts responsables israéliens, le quotidien "Yediot Aharonot" a fait état des inquiétudes, au sujet de cette éventuelle guerre, du fait des indispositions et des indisponibilités de l'armée israélienne. Les hauts responsables de la sécurité du régime israélien croient que le budget de la future guerre, si elle se déclenche, est difficile à évaluer, car la bande de Gaza représente, en comparaison d'autres menaces, une menace insignifiante. Toujours, selon "Yediot Aharonot", le Hezbollah libanais a développé, d'une manière considérable, ses moyens militaires. Et ce quotidien de préciser : «Ceux qui connaissent les dangers existants, sur les frontières libanaises, et sont informés, également, du niveau de disponibilité de l'armée israélienne, savent qu'ils devront être très inquiets, d'autant plus que les formations des unités militaires ont diminué, de même que les exercices des forces réservistes ont été annulés. A cela s'ajoute le fait que l'armée dispose de, suffisamment, d'armements et d'équipements militaires». Tout en soulignant la nécessité de moderniser les véhicules blindés de l'armée israélienne, ce quotidien précise que les vieux véhicules blindés se transforment en tombes des militaires israéliens, face aux missiles anti-blindés du Hezbollah. L'armée dispose d'un petit nombre de systèmes de défense antichar «Coupe-vent». Un grand nombre de blindés sont dépourvus de ce système de défense. Israël ne se trouve pas, non plus, dans une situation meilleure, dans le domaine de la défense anti-aérienne, car l'armée ne dispose que de 9 systèmes de "Dôme de Fer", ce qui ne n'a pas compatible au désastre qui sera engendré avec la chute de milliers de missiles sur Israël. Le système de défense «Baguette magique» aura besoin de 100 ans, pour être opérationnel. Le problème, c'est que le fait d'abattre un missile coûtera un million de dollars à Israël». Et ce quotidien de préciser encore : «Contrairement à Israël, l'équipement et la capacité militaire du Hezbollah sont en train d'être optimisés. Les officiers de l'armée israélienne, en Galilée, (Al-Jalil), et les experts des questions relatives au Hezbollah, dans les services d'espionnage israéliens, disent que le Hezbollah dispose de 100.000 missiles de divers types. Il a la capacité de tirer 1.000 missiles, par jour, et Israël sera incapable d'y riposter.

L'armée israélienne se prépare à lancer une guerre très violente contre le Hezbollah libanais,a rapporté "The Times of Israel". Dix jours, seulement, après la fin du conflit entre Israël et le Hamas, l'armée israélienne procède à des «préparations et entraînements», en vue d'«une guerre très violente » contre le Hezbollah, au Sud-Liban, indique, vendredi soir, un reportage de la télévision israélienne, sans toutefois préciser l'échéance. Le rapport de la Deuxième chaîne, pour lequel l'armée a autorisé l'accès à plusieurs de ses positions, le long de la frontière avec le Liban, présente un commandant de brigade de l'armée avertissant qu'un tel conflit «sera une toute autre histoire», comparé à la guerre Israël-Hamas. «Il nous faudra utiliser une force considérable», pour vaincre, rapidement, le Hezbollah, soutenu par l'Iran, et «agir, de façon plus décisive, et plus radicale», déclare le colonel Dan Goldfus, commandant de la 769e brigade d'infanterie, Hiram. Selon le reportage, le Hezbollah détient, environ, 100 000 roquettes – 10 fois plus que l'arsenal du Hamas – et ses 5.000 missiles longue portée, situés à Beyrouth et dans d'autres zones, à l'intérieur du Liban, peuvent transporter de larges ogives, (pesant jusqu'à plus d'une tonne), dotées de systèmes de guidage de précision et pouvant atteindre l'ensemble d'Israël. Le système de défense israélien, "Dôme de fer" ne pourrait relever ce genre de défi; par conséquent, l'armée israélienne doit «manœuvrer rapidement» et agir, avec force, pour l'emporter, de manière décisive, dans le conflit, selon Goldfus.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Guennadi Gatilov, a fait savoir que  son pays avait mis en garde, durant la crise, en Syrie, contre la gravité de l'appui apporté par les pays occidentaux aux extrémistes. Dans une interview avec l'agence «Ria Novosti», Gatilov a fait noter que les pays européens ont constaté, aujourd'hui, les menaces du soi-disant «EIIL», sur toute la région, et que les Etats-Unis ont proposé au Conseil de sécurité l'adoption d'un projet de résolution sur les «combattants» étrangers. En ce qui concerne le dialogue entre les parties syriennes, Gatilov a affirmé que son pays prévoit que Staffan De Mistura, émissaire spécial de l'ONU, pour la Syrie, présente un nouveau plan, pour le lancement du dialogue entre les parties syriennes. Il a souligné, à cet effet, que De Mistura est en train de préparer son agenda. «De Mistura a besoin de mener des entretiens avec le gouvernement syrien et "l'opposition", avant de présenter sa vision, sur le règlement de la crise en Syrie», a-t-il dit. Gatilov a, enfin, affirmé le soutien de son pays à l'émissaire onusien, pour la Syrie, se disant disposé à développer sa coopération avec lui.

L’Hodjat-ol-islam Hossein Alawi Mehr, directeur du centre de recherches coraniques de l’école islamique de Qom, a déclaré qu’une des particularités du commentaire de l’Ayatollah Taleghani, Partovee Az Quran (Une lumière du Saint Coran) était son approche sociologique.

Dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, il a souligné: « Ce commentaire contemporain de l’Ayatollah Taleghani, décédé en 1982, a été rédigé en persan en six volumes, et commente les premières sourates jusqu’à la sourate « Nessa » et la dernière partie du Coran.”
“Ce commentaire, a-t-il ajouté, a une approche scientifique et sociale. L’Ayatollah Taleghani a été incarcéré pendant plusieurs années dans les prisons du Shah et devint le premier Imam de la prière du vendredi de Téhéran après la révolution. C’est en prison qu’il rédigea ce commentaire qui est une invitation à la lutte pour la réforme de la société.”
“ La vision scientifique dont nous parlons est celle du positivisme, des sciences expérimentales et des nouvelles découvertes spécialement en Europe dans le domaine de la médecine, de l’astronomie et des autres sciences.”, a-t-il indiqué.
Le directeur du centre de recherches coraniques de l’école islamique de Qom a ajouté : “L’Ayatollah Taleghani avait des relations et des discussions avec de nombreux scientifiques qu’il a intégrées à son commentaire.”
“Le commentaire de l’Ayatollah Taleghani, a-t-il ajouté, s’inspire de trois autres commentaires, le commentaire Al Javaher de Tantawi, le commentaire Madjma ol Bayan et le commentaire Al Manar du cheikh Mohamad Abdeh, spécialement dans la démonstration de la Wilayat et de la vérité du chiisme.”
L’Hodjat-ol-islam Hossein Alawi Mehr a précisé : “L’objectif de la rédaction de ce commentaire était d’apporter une solution aux problèmes contemporains, notamment la question des droits des femmes et le rôle de la religion dans la vie.”
“Le commentaire de l’Ayatollah Taleghani avait aussi pour objectif de répondre aux questions. Cette même approche existe dans les commentaires Al Mizan et Nemoune, et d’autres commentaires sunnites. Bien entendu, son commentaire a des faiblesses notamment le fait de s’être laissé influencer dans une petite mesure, par certains courants et certaines personnalités scientifiques comme Bazergan auteur de livres de sciences naturelles, ou le docteur Sanjabi qui avait rédigé un livre sur la création de l’être humain et le darwinisme. », a-t-il souligné.
Ce commentaire a une place importante parmi les autres commentaires et peut être utilisé par tous les groupes de la société mais peut-être pas par les commentateurs eux-mêmes », a-t-il dit.

Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a appelé samedi à Kaboul les deux candidats à la présidentielle afghane à trouver un compromis pour mettre un terme à la crise politique autour de la désignation du futur chef de l'Etat.
J'ai clairement fait passer le message que la communauté internationale (...) attend, et c'est également notre attente, qu'ici on soit prêt au compromis et qu'on parvienne à ce dont a besoin le pays: un gouvernement d'unité nationale, a dit le chef de la diplomatie dans la capitale afghane, selon des déclarations fournies par son service de presse à Berlin.

Je sens qu'il y a encore beaucoup d'obstacles avant la formation d'un gouvernement d'unité nationale, a ajouté M. Steinmeier, arrivé samedi matin en Afghanistan. De mon point de vue (ce ne sont) pas des obstacles insurmontables mais cela exige que les deux parties soient prêtes à un compromis.

Le chef de la diplomatie allemande a notamment mené des discussions poussées mais difficiles avec les deux candidats: Abdullah Abdullah, soutenu par les Tadjiks, et son rival Ashraf Ghani, soutenu, lui, par les Pachtounes.

Il a invité les deux (candidats) à travailler rapidement à un accord car il n'y a plus beaucoup de temps, avaient auparavant indiqué des sources au sein de la délégation allemande à Kaboul, insistant sur la nécessité d'un gouvernement capable d'agir et de décisions rapides.

Ces entretiens interviennent dans une phase particulièrement critique, peu après la fin d'un audit (supervisé par l'ONU, sur les 8,1 millions de votes exprimés lors de ce scrutin) mais avant la publication de ses résultats, ont relevé ces sources.

Les négociations entre les deux parties sur la formation éventuelle d'un gouvernement d'unité nationale ont fait certains progrès mais il reste encore des questions politiques difficiles qui ne sont pas réglées, ont indiqué les deux rivaux au ministre allemand.

 

L'armée libanaise a indiqué samedi qu'elle avait reçu une livraison d'armes et de munitions dans le cadre du programme d'aide militaire aux Forces armées libanaises.
"La brigade logistique de l'armée libanaise a reçu à l'aéroport international Rafik Hariri une quantité de différentes armes en la présence d'officiers militaires et de membres du bureau américain de coopération pour la Défense au Liban," a rapporté l'agence de presse National News Agency, ajoutant que la nouvelle livraison faisait partie d'un programme d'aide dans le cadre d'engagements et d'accords signés entre les deux parties.

Une livraison similaire avait eu lieu le 29 août dans le cadre d'une aide militaire américaine visant à soutenir l'armée dans sa lutte contre le terrorisme.

Le 2 août, des rebelles syriens avaient infiltré la ville frontalière d'Arsal, suite à l'arrestation d'Imad Jomaa, un officiel du "front al-Nosra", affilié à al-Qaïda.

L'armée libanaise s'était engagée dans des combats féroces contre les rebelles venus de la Syrie, qui avaient fait au moins 18 morts et 86 blessés parmi les soldats, tandis que les rebelles armés se retiraient après avoir enlevé 33 soldats membres des Forces de sécurité intérieure.

samedi, 06 septembre 2014 02:00

Ukraine : la trêve est appliquée

Kiev et les indépendantistes ont annoncé la signature d'un cessez-le-feu entrée en vigueur vendredi à 18 heures, heure locale au cours d'une rencontre à Minsk destinée à mettre fin à cinq mois de combats meurtriers dans l'est de l'Ukraine.

"Je confirme que nous sommes prêts à respecter le protocole d'accord signé et arrêter le feu à 18 heures, heure de Kiev", vendredi, a déclaré à la presse le "Premier ministre" de la République populaire autoproclamée de Lougansk, Igor Plotnitsky. Le président ukrainien Petro Porochenko a donné l'ordre à ses troupes de cesser le feu après 18 heures, après avoir annoncé sur son compte Twitter la signature d'"un protocole préliminaire pour un cessez-le-feu". Le Kremlin a réagi aussitôt en espérant que l'accord sur le cessez-le-feu sera "respecté point par point". D'après une représentante de l'OSCE, Heidi Tagliavini, les deux camps sont parvenus à un accord sur le retrait des troupes et un échange de prisonniers. Barack Obama s'est dit plein d'espoir mais sceptique au sujet du cessez-le-feu conclu par les autorités ukrainiennes et les indépendantistes.

Lors d’une audience accordée aux représentants de l’Assemblée des Experts, l’honorable ayatollah Khamenei a affirmé : « Dans cette période sensible, le plus important devoir, c’est de renforcer l’autorité du pays afin d’influencer le nouvel ordre mondial et d’y jouer son rôle et ce renforcement est basé sur trois principaux piliers à savoir « science et technologie », « économie » et « culture ». »

Selon le site d’information du bureau du guide de la révolution islamique, ce dernier a souligné : « L’unité et la solidarité sont ceux dont a largement besoin le pays et nous, tous, nous avons pour devoir de soutenir le gouvernement et les appareils d’Etat. » Faisant allusion aux conditions actuelles dans lesquelles se trouvent le monde, la région et le pays, le Guide Suprême de la révolution islamique a indiqué : « Les évolutions actuelles témoignent d’un changement dans l’ordre mondial établi il y a 70 ans par les occidentaux, européens et américains, et de la formation d’un nouvel ordre. » Evoquant les deux bases de l’ordre établi dans le monde aux niveaux de « l’idéologie et des valeurs » et « militaire et politique », l’ayatollah Khamenei a précisé : « Les évolutions survenues au cours de ces dernières années dans le monde et dans la région montrent ouvertement que les deux bases de l’autorité occidentale connaissent aujourd’hui un vrai ébranlement. » Le guide de la révolution islamique a cité la tendance pour la religion surtout pour l’Islam et l’intérêt pour le Coran, en Occident, comme le second élément, et ajouté : « L’Occident qui parlait sans cesse de la liberté, des droits de l’homme et de la démocratie, a violé, en pratique, ces slogans, de sorte qu’aujourd’hui, ces slogans scandés par l’Occident présentent une chose inhabituelle. » Faisant allusion au bilan surprenant du soutien apporté par l’Occident aux coups d’Etat contre les gouvernements indépendants, l’honorable ayatollah Khamenei a souligné : « Selon certains rapports, après la fin de la seconde guerre mondiale, les Etats-Unis ont renversé une cinquantaine de gouvernement et se sont opposé à des dizaines de courants de résistance populaire. » En ce qui concerne les problèmes de l’Occident au niveau du pouvoir politique et militaire, il a expliqué : « Le plus important élément de l’affaiblissement de l’Occident venait de l’apparition d’un Etat basé sur l’idéologie islamique et le mouvement révolutionnaire en Iran comme un fief largement dominé par les Etats-Unis. Et cet Etat a non seulement résisté face aux différentes offensives politiques, militaires, sécuritaires et économiques de l’Occident, mais il est à présent plus fort. » Faisant allusion au rôle des événements régionaux dont la guerre de 33 jours au Liban, les guerres de 22 et de 8 jours ainsi que la récente guerre de 50 jours à Gaza dans l’affaiblissement du pouvoir militaire et politique de l’Occident, l’Imam Khamenei a précisé : « La récente guerre contre Gaza présente un exemple de miracle, car la résistance du peuple dans une petite enclave a mis à genou le régime sioniste, symbole de la puissance de l’Occident dans la région. » « Tous ces facteurs, a-t-il ajouté, montrent que l’actuel ordre mondial ne peut subsister et un nouvel ordre est en train de naître. » Présentant la science et la technologie ainsi que l’économie et la culture comme les trois éléments clé du renforcement de l’autorité du pays, l’Imam Khamenei a demandé au gouvernement, aux responsables et aux personnalités de s’activer dans ces trois domaines et de renforcer de plus en plus le pays.

samedi, 06 septembre 2014 02:00

Guerre des drones Hezbollah/Israël!!

Selon le site d’informations Al-Ahed, un site d’espionnage, appartenant au régime sioniste, a été découvert au Liban par la Résistance.

Le Hezbollah libanais a découvert un système d’écoutes appartenant au régime sioniste dans la localité d’Adloun, dans le sud du Liban. Peu après son identification, le système d’espionnage a été explosé par les drones israéliens. Le Hezbollah libanais avait auparavant détruit des équipements d’espionnage du régime sioniste dans le sud du Liban, démantelé des réseaux d’espionnage de ce régime et arrêté un nombre d’espions ayant travaillé pour le compte de Tel-Aviv.

samedi, 06 septembre 2014 02:00

Damas/Kiev : Obama, l'otage de Poutine!!

Les politiques que pratiquent Obama et Poutine ressemblent en quelque sorte à la discipline sportive que les deux hommes pratiquent : Alors que Obama agit à la manière des basketballers , Poutine, lui est un judoka. Dans les décennies 70, les analystes politiques ne cessaient de souligner l'ouverture affichée par la Syrie en direction de la Russie. à l'époque, on évoquait même dans les milieux politiques syriens une blague qui se résumait ainsi : un maitre demande à son élève que tu veux devenir quand tu seras grand? et l'élève de répondre: un expert russe" . dans les années 80, les syriens ne s'adressaient pas aux russes uniquement pour des questions militaires. les experts russes construisaient des barrages, des centrales électriques, des chemins de fer, et donnaient des conseils agricoles. bref la Syrie était dépendante de la Russie dans plusieurs domaines. l'Union soviétique accordait de larges crédits au régime syrien , dont certains à fond perdu. la Syrie importait même des médicaments, du fer, des équipements industriels en provenance de la Russie. En échange, la Syrie assurait aux russes une présence militaire en Méditerranée, via la base navale à Tartous. Poutine et Assad ont été tous deux élus président en l'an 2000 et dès le début, ont entretenu d'étroites relations ensemble. mais ces liens ont pris une dimension stratégique pour Moscou dès 2011, date à laquelle la Syrie a été prise pour cible d'une offensive d'envergure . la Russie s'est opposée à toutes les résolutions internationales votées contre le régime syrien et son président et a continué à armer Assad en dépit des occidentaux. sa présence aux côtés de l'Iran et du Hezbollah et des groupes irakiens ont permis à Assad de se tenir au pouvoir depuis. et en Ukraine? cette crise, éclaté en février 2014, a donné plus que par le passé à Poutine le sentiment d'être un allié de Assad. En Ukraine, Poutine a tenté d'éviter de commettre des erreurs qu'il avait commises en Syrie , tout en s'appuyant sur son expérience syrienne. la Russie telle qu'elle s'affiche en Ukraine est la même qui mène depuis 2011 la danse en Syrie. c'est encore elle qui finance les opposants, les arment et les soutient dans leurs revendications indépendantistes. Au contraire des Etats Unis, la Russie soutient par tous les moyens politiques et militaires et financiers ses alliés ukrainiens. à l'opposé des anti Assad syriens qui ont pour le malheur d'avoir comme protecteur une Amérique qui tergiverse tout le temps et qui hésite à leur apporter un soutien politique et militaire , évitant même de les fournir en armes légères , Poutine sait tenir sa parole. Obama, lui, se moquent les opposants syriens , a empêché qu'ils reçoivent armes et munitions , quitte à donner élan aux groupes takfiris. Daech est né d'ailleurs de ces mêmes tergiversations .en 2012, il n'a été qu'une milice minuscule, provoquant tires et plaisanterie , alors qu'aujourd'hui il est devenu un acteur majeur! Contre la stratégie offensive de Moscou , les dirigeants américains et leurs alliés européens n'ont eu rien à faire que d'imposer à l'ours blanc des sanctions financières et économiques . une politique qui a produit un effet inverse dans la mesure où les pays européens font face à une crise économique profonde et durable. la Russie récompense d'ailleurs très habilement les sanctions européens en exportant ses marchandises au Tadjikistan, au Kirghizistan, en Arménie, en Azerbaïdjan, en Ouzbékistan, en Kazakhstan, en Biélorussie et même en Turquie. en Ukraine, la Russie a réussi d'abord à annexer la Crimée et ensuite à s'emparer de l'est du pays . "Novorossiya" est le pays que Poutine a crée au coeur de l'Ukraine, quitte à faire avancer ses propres plans et politiques . il se peut même que le président russe veuille atteindre les frontières moldaves et ouvre de la sorte une porte vers l'Europe. les politiques d'Obama et de Poutine ressemblent d'ailleurs à la discipline sportive que chacun de ces hommes pratique. Poutine voit son adversaire à la manière d'un judoka . le monde ne voit rien d'autre que les coups donné par Poutine à ses adversaires à la fois en Ukraine et en Syrie . Obama, basketbeller, ne cesse que lancer des ballons en direction de Poutine qui en rit à pleines dents .