تقي زاده

تقي زاده

Les manifestants ont installé dimanche des tentes près de certains ministères à Sanaa et fermé la principale route menant à l'aéroport, lors de nouvelles manifestations contre le gouvernement accusé de corruption, selon des correspondants de l'AFP.
Au premier jour de la rentrée scolaire au Yémen, les opposants ont relancé leur mouvement de contestation après que la rébellion d'Ansaruallah a jugé insuffisantes les concessions du président Abd Rabbo Mansour Hadi sur la nomination d'un nouveau Premier ministre et la baisse des prix du carburant.

Les partisans des rebelles chiites dirigés par Abdel Malek al-Houthi ont planté des tentes non loin des ministères de l'Intérieur, de l'Electricité et des Télécommunications, et coupé la route menant à l'aéroport international, à l'est de Sanaa. Mais l'on pouvait toujours se rendre à l'aéroport par des routes latérales.

Depuis des semaines, des milliers de Yéménites occupent les rues la capitale Sanaa.

Mardi, M. Hadi a cédé aux manifestants en annonçant son intention de désigner un nouveau Premier ministre et de revoir à la baisse (30%) une récente hausse des prix du carburant.

Mais les manifestations ont continué. Mercredi et vendredi, des dizaines de milliers de personnes ont défilé à l'appel de la rébellion qui les a invitées à se rassembler encore dimanche et lundi.

Selon une source proche du président Hadi, les rebelles ont présenté une série de demandes réclamant "l'éradication de la corruption" ainsi que "les postes de procureur général et ceux des chefs de l'organisme de lutte contre la corruption, du service de sécurité nationale et des Renseignements".

Ils exigent aussi qu'ils soient "consultés pour le choix du prochain Premier ministre et les nominations à la tête des ministères clés", a-t-elle ajouté.

Le Yémen est entré dans une crise politique depuis le départ en février 2012 de l'ancien président pro-Occident Ali Abdallah Saleh, après onze mois de contestations.

lundi, 08 septembre 2014 02:00

Gaza : Le commandant de Qassam tué?!

Le ministre des Affaires étrangères du régime sioniste qui avait déjà à maintes reprises menacé les leaders du Hamas de les liquider, a prétendu que le commandant des Brigades de Qassam, branche armée du Mouvement palestinien, Mohamed Daif a été tué dans les attaques de l’armée israélienne contre la bande de Gaza. Devant un nombre d’autorités diplomatiques, Avigdor Libermann, cité par Haaretz, a prétendu que Mohamed Daif a perdu la vie dans les raids contre Gaza. Pour le rappel, l’aviation israélienne avait attaqué, il y a quelque temps, lors de l’offensive contre Gaza, la maison de Mohamed Daif ; lors de ce raid, il a perdu son épouse et son enfant. Depuis, des rumeurs circulaient sur la mort de Daif, jusqu’à ce que Khaled Mechaal, président du bureau politique du Hamas en a mis un terme en annonçant que Mohamed Daif est sain et sauf, et qu’il dirige toujours ses forces ; en dépit de cette confirmation qui ne laisse aucun doute, Libermann prétend que depuis on n’a rien entendu de lui, ce qui pourrait être un signe qu’il est mort. face à l'ampleur de la défaite subie à Gaza, les dirigeants sionistes semblent avoir recours à la rumeur et au mensonge.

" Heureusement, les musulmans ont maintenant l'avantage sur la question de Palestine, dont l'exemple est la guerre de 50 jours dans la bande de Gaza et l’échec du régime (israélien) sioniste comme un symbole de la puissance occidentale dans la région contre les assiégés et clôtures population de Gaza, avec un minimum de moyens “.

C'est ce qu'a déclaré le chef suprême, en recevant à Téhéran, la capitale perse, les responsables iraniens du Hadj, ajoutant plus tard que " la récente victoire à Gaza a révélé que les musulmans sont héroïque, ont beaucoup de compétences et sont capables de défier toutes sortes d’ennemis, plus se défendre. "

Un jugement du Guide suprême de la Révolution islamique, actuellement l'objet d' takfiris est un arme et l'un des éléments des ennemis de l'Islam, conçu pour assujettir les musulmans, détourner votre attention de l'affaire palestinienne et servir les intérêts régime d'Israël.

Ainsi, les musulmans du monde doivent priver l'ennemi de cette arme, la source de discorde, à travers la solidarité et de la connaissance, et de prêter attention au cas de la Palestine pendant le hajj, comme la principale priorité du monde de l’Islam, a souligné l'ayatollah Seyed Ali Khamenei.

" Malheureusement, certains musulmans, y compris les chiites et les sunnites, avec leur négligence, de lancer des accusations et de fausses déclarations, et aider les ennemis de la Oumma islamique (communauté islamique), et agir dans l'intérêt de USA et le sionisme », a ajouté le chef suprême de la révolution islamique en Iran.

En outre, le Guide suprême a appelé le hajj une précieuse occasion de reformuler les questions religieuses et les sujets du monde de l’Islam, notant que durant cette période les musulmans devraient tirer pleinement parti et de renforcer la relation divine spirituelle avec Dieu, à pour accueillir un véritable changement.

Musulmans du monde entier doivent pèlerinage une fois dans leur vie à la ville sainte de La Mecque (Arabie Saoudite), à condition qu'ils aient les moyens financiers et la santé de le faire .Bien que vous puissiez voyage le long de toute l’année, le Hajj, le pèlerinage appelé plus, que dans le mois de Du -l- Hijja (le douzième mois du calendrier Hijri lunaire) et est une réaffirmation de la foi et une communion spéciale avec Dieu.

lundi, 08 septembre 2014 02:00

Al Sissi bombardera-t-il la Syrie?!

C'est la question cruciale que les analystes ne cessent de se poser : certaines sources égyptiennes font état d'efforts particulièrement intenses des Etats Unis pour faire rallier Le Caire à la coalition internationale anti Daech. selon Al Nahreyn qui s'intéresse à la question, l'idée de créer un " contingent arabe uni" pour participer à la coalition précitée contre Daech et Al Nosra ne fait pas l'unanimité au sein des pays arabes . en Egypte, cette divergence de vue est encore plus perceptible.interrogé sur la possibilité d'une participation égyptienne à cette coalition, Zakariya Hossein, ex-directeur de l'Académie militaire Gamal Abdelnasser affirme : " l'armée égyptienne est évidemment capable de prendre part aux frappes aériennes qui devront être lancées contre les positions de Daech en Syrie. mais cette armée est déjà en guerre sur plusieurs front. les menaces contre l'Egypte existent depuis Gaza (?!!) mais aussi en provenance de la Libye et du Soudan . il existe aussi des menaces d'ordre intérieur qui occupent largement l'armée egyptienne . cet ensemble de facteurs empêche l'armée d'Egypte de prendre part dans une intervention militaire extérieure. Mercredi, Obama devra rendre public ce qu'il qualifie de stratégie américaine anti Daech. pour de nombreux analystes , cette stratégie de guerre n'est guère dirigée contre Daech, une créature des services de renseignement US mais contre Damas et ses alliés. les propos du responsable égyptien semblent pourtant clairs : Al Sissi a toutes les raisons du monde de se garder de prendre part aux frappes qui déborderont Raqqa et Alep et qui ne tarderont pas à viser Damas. Exprimant déjà et à plusieurs reprises sur l'affaire syrienne, le président égyptien se dit contre un démembrement de la Syrie qui " risquerait de ramener au pouvoir les salafo-takfiris contre les quels Al Sissi se bat en ce moment . l'absence de l'Egypte dans cette coalition est un manque pour les Etats Unis qui comptent, sur elle pmour mobiliser ses alliés arabes contre Assad. selon certaines informations, l'Egypte est impliquée dans des efforts destinés à normaliser les relations entre Damas et les capitales arabes .

un drone d'espionnage israélien a patrouillé dimanche pendant 11 heures le ciel du sud du Liban.
Selon Al Ahednews, qui cite le commandant en chef de l'armée libanaise, le drone en question a pénétré l'espace aérien iranien à 6.45 au niveau de la localité Ramich et s'est mis à patrouiller le ciel du sud du Liban. au bout de 11 hjeurs de vol , l'appareil a quitté le ciel du Liban dans la localité Oléma al Chaab à 17.30 heures locales. samedi, les drones d'espionnage israéliens ont largement violé le ciel de certaines localités frontalières d'Israël . ces drones ont survolé à une très basse altitude le sud du Liban

« Téhéran a déclaré ouvertement à Washington qu’il ne tolérerait plus de nouvelles sanctions à son encontre », a annoncé le négociateur en chef de l’Iran dans les négociations nucléaires, faisant allusion aux sanctions que viennent d’adopter les Etats-Unis contre les individus et les compagnies iraniens. Accordant une interview à John Snow, journaliste de la chaîne 4 de la télévision britannique, Abbas Araqchi, vice-ministre iranien des Affaires étrangères, a fait part d’un respect réel par lequel est marquée l’ambiance des négociations. Conformément à un accord nucléaire, signé à Genève entre l’Iran et le groupe 5+1, les deux parties ont fixé une échéance de six mois pour conclure un accord final. Cependant, les positions de la partie occidentale ont abouti au prolongement de quatre mois de cette échéance. En répondant à la question de savoir si les récentes sanctions des Etats-Unis contredisent l’accord entre l’Iran et l’Occident, M. Araqchi a affirmé : « Elles contredisent définitivement notre accord. Elles sont aux antipodes de la bonne-foi qui doit régner sur l’ambiance des négociations. Les deux parties s’étaient promis de faire preuve de la bonne-foi. Il y a deux jours, nous avons ouvertement annoncé aux Américains que nous ne tolérerions plus de tels actes. Pour nous, il s’agit de la violation de l’accord de Genève ».

lundi, 08 septembre 2014 02:00

Qalamoun aux mains du Hezbollah!!

Au bout de très violents combats entre les terroristes d'Al Nosra et les combattants du Hezbollah dans la localité de Wasi al Raïyan à Erssal, ces derniers ont pu reprendre le contrôle de la localité frontalière de Qalamoun. les combats , d'une violence inouïe se sont concentrés sur les hauteurs , les collines et les grottes de cette région. la localité de Wadi Al Raïyan continue à être le théâtre d'intenses affrontement. ces affrontement ont éclaté dans la foulée de l'annonce de la décapitation d'un second soldat libanais par les terroristes takfiris qui a provoqué un tollé au Liban. les combattants du Hezbollah se sont fait seconder par l'aviation syrienne qui a frappé fort les positions d'Al Nosra. Région montagneuse, Qalamoun est constitué de nombreux collines . les positions d'Al Nosra situées sur les hauteurs de Qalamoun sont tombés entre les mains du Hezbollah. le Hezbollah a appelé hier tous les libanais à se mobiliser pour soutenir l'armée.

dimanche, 07 septembre 2014 02:00

Les énigmes des drones iraniens !!

Un analyste occidental estime que la technologie iranienne de fabrication de drone va de l'avant et que mêmes les sanctions n'ont pas pu empêcher les Pasdaran de fabriquer des drones modernes et performants. Dans un article qu'il fait publier sur le site Arkenston, Allen Wright, expert des questions militaires, estime que les progrès réalisés par l'Iran, dans la fabrication de drones, met en cause l'efficacité des sanctions anti-iraniennes : "Les Etats Unis ne sont plus le seul pays au monde à collecter des informations, sur le compte de leurs ennemis, via des vols de drones. Ces jours-ci, le ciel syrien, celui d'Irak ou encore, le ciel d'autres pays du Moyen-Orient, est le théâtre du vol des drones de reconnaissance iraniens. C'est pendant les huit années de sa guerre contre l'Irak que l'Iran a investi dans des projets de fabrication de drones, et, ces derniers temps , ses progrès en la matière se sont accélérés. La vérité est que les sanctions anti-iraniennes n'ont pas pu empêcher le corps des Gardiens de la Révolution islamique, (Pasdaran) de faire décoller ses drones, et, pourtant, les Etats Unis et leurs alliés continuent à maintenir leurs sanctions contre l'Iran. La taille des drones iraniens se réduit, de jour en jour, et ces appareil deviennent de plus en plus légers. Il existe des preuves, au sujet de la capacité iranienne de fabriquer les moteurs de la plupart de ses drones. Certes, on ne peut se fier aux déclarations des commandants du CGRI, en la matière, n'empêche que la conception du drone "Chahed 129", en 2012, a constitué un tournant, dans le programme militaire iranien. Jusqu'à cette date, les drones iraniens étaient de petite taille et de courte endurance, mais "Chahed 129" a une période d'endurance de 24 heures. Les Pasdaran disent vouloir fabriquer des moteurs plus puissants, pour leurs drones. Les autorités du ministère de la Défense, elles, ne disent pas autre chose, et affirment qu'il faut s'orienter vers la fabrication des moteurs de type jet, pour les drones iraniens. "Et Wright, s'appuyant sur sa propre expérience, d'ajouter : "Le dévoilement du drone "Karar" est un signe; l'Iran aurait accédé à la capacité de construire des moteurs de type turbojet. Ce drone est la concrétisation des efforts iraniens, pour entrer dans le domaine de la technologie du drone, efforts, qui visent à armer les drones de missiles téléguidés. C'est la première fois, pendant la guerre contre l'Irak, que les Iraniens ont équipé leurs drones de roquettes RPG". L'expert conclut : "Certains pays bénéficient de la technologie de télécommunication, pour téléguider leurs drones. D'autres ont recours à l'industrie aérospatiale. L'Iran n'a pas, encore, annoncé avoir maîtrisé cette branche là, et, pourtant, des drones a la longue pointe et semblables aux modèles téléguidés, se manifestent, de plus en plus, dans le ciel syrien....sont-ils iraniens?

Les pays qui se donnaient le nom des « Amis de la Syrie » ont tout essayé afin de renforcer les takfiristes dans ce pays. Maintenant, c'est sous l'appellation de l'Alliance internationale pour la lutte contre Daesh qu'ils sont entrés dans l'arène, avec, dans la tête, les plans funestes, pour le Moyen-Orient et l'Irak. Les dirigeants des pays membres de l'Otan se sont réunis samedi au Pays de Galles pour discuter des questions d'ordre sécuritaire, par exemple, la crise ukrainienne, les violences en Libye et les actes de Daesh en Irak et en Syrie.
Les agissements continus de Daesh, avec l'exécution de deux journalistes américains et le commencement des raids aériens US contre les positions des takfiristes dans certaines régions irakiennes, ont placé Daesh au centre d'attention des responsables occidentaux et des dirigeants déterminants au sein de l'alliance nord-atlantique. Sur ce fond, le Président français François Hollande a affirmé que son pays était prêt à adhérer à l'alliance anti-takfiriste en Irak, tandis que le Premier ministre britannique David Cameron a plaidé pour l'augmentation du budget militaire des pays de l'Otan, en allusion à la menace grandissante de Daesh. Le Président américain, Barack Obama a lui aussi affirmé qu'il vaincrait Daesh, tout comme il a déjà vaincu Al-Qaïda. Les dirigeants de l'Otan ont tous parlé de la formation d'une alliance internationale de la lutte contre Daesh. Cette initiative prévoit la formation d'une coalition réunissant les USA, la France, le Royaume Uni, l'Allemagne et leur allié régional : la Turquie, membre, elle-même, de l'Otan, ainsi que la Jordanie, l'Arabie saoudite, le Qatar, l'Egypte et les Emirats Arabes Unis, pour combattre le groupe terroriste Etat islamique ou Daesh. Les dirigeants de l'Otan appellent aussi à la contribution d'autres pays voisins de l'Irak, allusion à l'Iran et à la Syrie, pour freiner Daesh. Cette initiative a été élaborée, alors que les Etats-Unis ont commencé il y a quelques semaines leurs attaques aériennes contre les positions de Daesh dans le Nord irakien. Les responsables militaires états-uniens et des autres pays de l'Otan savent pourtant bien qu'étant donné le statut de paramilitaire de Daesh, de telles opérations limitées ne donneront pas les résultats escomptés.
De l'autre côté, les pays occidentaux qui ont accumulé une mauvaise expérience en Irak et en Afghanistan, sont toujours aux prises avec les problèmes issus de la crise financière, tandis que leurs opinions publiques bannissent l'intervention militaire directe contre Daesh en Irak. En fait, le jeu des pays occidentaux dont les Etats-Unis, la France et la Grande Bretagne consiste à écarter la menace que le groupe Daesh représente à leurs intérêts, concernant, surtout, les ressources pétrolières, au Nord de l'Irak ; mais pour ce faire, ils ne veulent pas expédier d'effectifs militaires au champ de bataille. Ils préfèrent plutôt rester en dehors de l'arène et intégrer les autres à la guerre, en fonction de leurs propres intérêts. Une fois que la donne sera calmée, ils en profiteront pour récolter les résultats de la nouvelle conflictualité au Moyen-Orient.
Certains médias du mont ont parlé d'une coopération Téhéran-Washington contre Daesh, ce que les responsables de la RII ont rapidement démenti. Mais il ne faut pas oublier que l'ennemi de notre ennemi ne s'avère pas toujours être notre ami. C'est seulement dans le cadre des efforts conjoints avec ses amis en Irak, qu'ils soient kurdes, chiites ou sunnites, que la RII accepte de contribuer à la lutte contre les takfiristes. L'Iran aura perdu au jeu, une fois réduit à l'infanterie des opérations otaniennes contre Daesh en Irak. Il y a également une autre question à ne pas oublier. Bien que Daesh ne représente pas le vrai islam, bien qu'il représente une fausse vitrine du sunnisme, lorsqu'il s'agit de faire face directement à ce groupe, il faut veiller à ne pas agir de sorte à permettre aux haut-parleurs médiatiques de l'Occident ou anti-iraniens, de faire passer la lutte contre Daesh comme étant une guerre contre le sunnisme en Irak.
Serions-nous, donc, face à une ironie de l'histoire ?!! L'initiative de former l'alliance anti-Daesh élaborée à l'Otan révèle clairement l'insolence des dirigeants occidentaux ou régionaux. Cela fait 3 ans en Syrie, lorsqu'ont surgi les protestations qui, au début, n'étaient pas armées, ces mêmes pays qui forment aujourd'hui leur alliance antiterroriste, se donnaient rendez-vous, sous l'appellation des Amis de la Syrie, dans des réunions en série, tout cela, pour accorder leur appui tous azimuts aux takfiristes, les takfiristes qui font aujourd'hui en Irak ce qu'ils fabriquaient alors dans les banlieues d'Alep et de Damas !...
Nous aurions eu la mémoire courte, pour oublier comment la Turquie s'était transformée alors en l'itinéraire du transfert d'armes à destination des groupes takfiristes, ou comment le Qatar et sa chaîne Al-Jazeera jouaient la carte des opposants armés ou encore, comment le Ministre saoudien des Affaires étrangères, entouré de journalistes, demandait aux Occidentaux de fournir les armes mortelles aux rebelles syriens.
Maintenant, il faut attendre et voir quel plan envisagent les dirigeants de l'Otan pour l'Irak, sous couvert de la lutte contre Daesh ! Iront-ils transformer l'Irak en ruine à l'instar de la Libye ? Ou les forces coalisées seront-elles envoyés sur le terrain? Quoi qu'il en soit, la RII jouera son rôle, en fonction de ses intérêts nationaux et régionaux.
A cause de son statut de voisinage avec l'Irak où le groupe Daesh a pris le contrôle de vastes régions, l'Iran est exposé aujourd'hui à de nouvelles menaces à ses frontières. On a affaire à un danger sécuritaire enclin à dépasser les frontières de l'Irak. Le bon sens l'exige : il ne faut pas rester un simple spectateur...
L'aspect ironique de cette histoire rappelle aussi le cas du 11 septembre. A en croire les médias, plus d'une moitié des pirates de l'air impliqués dans l'attaque contre les tours jumelles étaient d'origine saoudienne. En plus, les cadres d'Al-Qaïda étaient proches et en contact avec les familles royales en Arabie saoudite ou dans d'autres pays arabes du golfe Persique. Après avoir appelé au secours de Téhéran, dans la lutte contre les Talibans afghans que seulement les E.A.U et l'Arabie saoudite avaient reconnus, le Président américain de l'époque George W. Bush qualifia l'Iran de l'Axe du mal !!!

Merci pour le grand soutien de la famille aimante du Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (la paix soit sur lui et sa famille), cet environnement dynamique est encore plus sensible dans la ville sainte de Machhad, la capitale de la province iranienne du Khorasan Razavi (nord-est), où le mausolée de cette personnalité sacré.

En outre, le ciel tombe " Shah Cheragh " (Roi de la Lumière), qui abrite les tombeaux des fils de l'Imam Musa al-Kazim (paix soit sur lui) et de l'Imam Ali ibn Musa al-frères Reza (P) situé à Chiraz, sud de l’Iran, a été rempli de lumière et de couleur pour commémorer la naissance de l'Imam Reza (P).

Une cérémonie similaire a eu lieu au mausolée de Hazrat Masume (la paix soit sur elle), sœur de l'Imam Reza (P) dans la ville sainte de Qom, au sud de la capitale, Téhéran.

Imam Reza (P) est né le 11 Du al-Qa'da (onzième mois du calendrier musulman) de l'année lunaire 148 AH (765 AD) dans la ville de Médine, situé dans la péninsule arabique.

À cet égard, l'équipe du site d'ABNA félicite l'ensemble de la communauté musulmane de cet anniversaire sacré.