
تقي زاده
Le dernier jour des manœuvres "Velayat-91"
Le porte-parole des manœuvres navales "Velayat-91", le contre-amiral Amir Rastgari, a déclaré que la Marine iranienne a atteint tous ses objectifs dans ces exercices. / Des drones US, en mission d'espionnage
Le contre-amiral Rastgari a affirmé qu'avec le retour des unités de surface de différentes catégories, les navires, les destroyers, les hélicoptères et les avions engagés dans ces exercices, les opérations anti-déploiements ont été lancées, aujourd'hui (mercredi).
"Les exercices navales d'échange de carburant et de nourriture d'un navire à un autre, d'un navire à un hélicoptère et d'un navire à 2 autres navires et un hélicoptère, seront organisés en même temps", a-t-il ajouté.
Le porte-parole des manœuvres a indiqué que, lors de ces opérations, des tactiques de communication seront effectuées et les forces de l'unité spéciale, les fusiliers marins regagnent le lieu de leur déploiement d'avant les manœuvres.
En fin, le contre-amiral Rastgari a souligné que le message principal des manœuvres "Velayat-91" était l'instauration de la sécurité dans la région du golfe Persique et le renforcement de la sécurité dans le détroit d'Ormuz, la mer d'Oman et le nord de l'océan Indien pour les bateaux commerciaux.
Les manœuvres navales "Velayat-91" commencé le 28 décembre 2012, termineront aujourd'hui, après six jours d'exercices dans une zone d’un million de kilomètres carrés, dans la zone stratégique du détroit d'Ormuz, de la mer d'Oman, de l'océan Indien, du golfe d'Aden et du détroit de Bab al-Mandab.
Le porte-parole des opérations au QG des manoeuvres militaires "Velayat 91" vient de le révéler :
"plus de 30 avertissements ont été lancés, au cours des exercices, aux drones de reconnaissance étrangers, qui voulaient s'approcher de la zone des opérationel". "Il en va de même des bâtiments et des sibmersibles des forces extrarégionales présentes dans la région, qui ont tenté, à plusieurs reprises, de s'approcjher des zones de combats. Les navires cherchaient à évaluer la puissance de frappe et l'opérationnalité de nos unités", a dit le contre-amiral Amir Rastegari.
"Les drones furtifs des puissances étrangères n'ont, toutefois, pas pris trops de risques, et aux premiers avertissements, ils s'éloignaient". "Ce que les pays étrangers présents dans notre région cherchent est simple :
ils veulent connaître notre puissance balistique, la précision et la puissance de nos radars, ou encore comprendre l'ordre et l'arrangement de nos troupes".
Ingérence dans la région: L'Iran dément les allégations
L'Iran a démenti les allégations de certains pays qui revendiquent l'intervention de Téhéran dans la région.
"Il s’agit d’allégations, totalement, infondées, d’autant plus que la stratégie de l'Iran vis-à-vis de tous les pays de la région, repose sur l’amitié, la bonne coexistence et le respect mutuel", a souligné le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, chargé des affaires de l'Afrique et des pays arabes, Hossein Amir Abdollahian.
"Malheureusement, les blindés et les forces militaires de ceux qui avancent de telles allégations, sont dans les rues des villes de Bahreïn ou bien soutiennent, ouvertement, les terroristes, en Syrie", a-t-il ajouté.
Hossein Amir Abdollahian a, ensuite, dénoncé la répression et le massacre des Bahreïnis, ainsi que le recours à des gaz toxiques, à leur encontre. "La prétention, selon laquelle l’Iran se serait ingéré, dans les développements, à Bahreïn, est infondée et fausse ; c’est une insulte au peuple bahreïni", a réitéré Amir Abdollahian.
"Tout comme pour la Syrie, le règlement négocié est l’unique issue à la crise sévissant à Bahreïn. La persistance d’une telle situation, à Bahreïn, est, non seulement, une violation flagrante des droits de l’Homme, mais encore, elle met en danger la sécurité de toute la région", a fait remarquer Amir Abdollahian.
US ne doit pas intervenir dans les relations d'Iran avec les pays de l'Amérique latine
Le porte-parole de la diplomatie iranienne, Ramin Mehmanparast, a déclaré que la relation d'Iran avec les pays de l'Amérique latine est selon les respects et les intérêts mutuels.
Lors de sa conférence de presse, aujourd'hui, Ramin Mehmanaparast, a réagi à la nouvelle loi votée par le Congrès des Etats-Unis, selon laquelle les actions de la République islamique en Amérique latine devront être analysées.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a, aussi, souligné les actions récentes de la Turquie en Irak qui ont abouti a des protestations dans ce pays et a affirmé que les problèmes régionaux n'ont que la solution régionale, et surtout les nations puissantes comme l'Iran, l'Egypte, l'Irak, la Turquie et certaines autres, pourront établir la sécurité de la région avec leur coopération.
"La séparation des pays régionaux est une politique qui fournit les intérêts du régime sioniste", a-t-il ajouté.
En réaction à l'outrage fait par certains médias occidentaux aux valeurs sacrées et à la Noble Prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) de l'islam, il a réclamé la traduction en justice des auteurs et exigé de l'Organisation de Coopération islamique OCI d'élaborer une convention pour empêcher de tels actes, à l'avenir.
L'hebdomadaire français Charlie Hebdo voudrait publier, le 2 janvier 2013, une biographie illustrée du Prophète Mahomet (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants). Après les caricatures de priphète Mahomet, publiée en février 2006, l’hebdomadaire Charlie Hebdo s’est encore fait remarqué en novembre 2011 par une nouvelle Une provocatrice, intitulée "Charia Hebdo". Dernier dérapage en date : l’hebdomadaire publie, le 19 septembre 2012, de nouvelles caricatures de prophète Mahomet dans un numéro intitulé Intouchables 2.
Décès de l’ayatollah Modjtaba Tehrani
L’ayatollah Modjtaba Tehrani, l’un des doctes chiites et le grand professeur de morale islamique, est décédé dans la nuit du mardi à mercredi.
Mahdi Kalhor, frère du feu ayatollah, a confirmé cette nouvelle dans l’interview avec l’agence de presse Mehr.
L’ayatollah Tehrani est né en 1312 de l’année solaire à Téhéran. Il faisait partie des professeurs du hawzah de Téhéran.
Le docteur Ismaïli, médecin de l’ayatollah Tehrani, a confirmé le décès de ce savant chiite dans l’interview avec Alborz news.
L'Iran annonce des négociations sur le nucléaire en janvier
L'Iran a accepté des négociations en janvier avec le groupe P5+1 sur son programme nucléaire mais la date et le lieu de la rencontre n'ont pour l'instant pas été fixés, indique l'un des négociateurs iraniens dans ce dossier, vendredi.
"Nous avons accepté que ces négociations aient lieu en janvier, mais pour le moment nous n'avons pas finalisé les détails", a indiqué le négociateur iranien Saïd Jalili lors d'une visite en Inde.
Selon Reuters, un porte-parole de Catherine Ashton, haute représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères, a précisé qu'aucune date n'avait été fixée pour le prochain tour de table.
Manifestation au Yémen contre les bombardements de drones
Des dizaines d'hommes armés issus de tribus locales ont manifesté vendredi dans le sud du Yémen contre des bombardements aériens effectués par des drones et responsables, selon eux, de la mort de nombreux civils.
Un drone a tué jeudi à Redaa au moins trois activistes présumés d'Al Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa). Il s'agissait du cinquième bombardement de ce type en dix jours dans la région.
Un participant à la manifestation organisée devant le siège de l'administration locale à Redaa a déclaré qu'au moins sept civils avaient été tués dans les derniers raids aériens.
"Si les autorités ne mettent pas fin aux attaques américaines, alors nous occuperons les institutions gouvernementales dans la ville", a-t-il dit.
Selon Reuters, les autorités yéménites ne précisent jamais qui ordonne et qui effectue ces bombardements aériens.
Lors d'une visite aux Etats-Unis en septembre, le président Abd Rabbou Mansour Hadi s'est publiquement prononcé en faveur de l'utilisation des drones.
Les Etats-Unis considèrent Aqpa comme la branche la plus active et la plus menaçante d'Al Qaïda.
Comment le New York Times efface les crimes d’Israël?
Trois récents articles effacent de l’histoire les crimes majeurs commis par Israël.
Dans un article du 13 décembre 2012 intitulé “le Hamas gagne du Prestige à Gaza, mais l’Argent est un vrai Problème ,” Steven Erlanger explore les raisons de la pauvreté de plus en plus écrasante à Gaza. Pas une seule fois dans ce texte de 1300 mots Erlanger ne fait même mention du blocus israélien de Gaza, ni des bombardements de 2008 et 2012 comme facteurs de cette pauvreté (et surtout pas comme sa cause principale).
Au contraire, Erlanger présente une longue liste de développements régionaux (l’affaiblissement du régime Assad en Syrie, les sanctions contre l’Iran) et il insiste sur des décisions prises par le Hamas (de nouvelles taxes et des frais nouveaux), qui laisseraient les Palestiniens de Gaza non seulement dans une pauvreté accrue, mais aussi plus mécontents que jamais du Hamas. “Les Gazaouis reconnaissent qu’il y a davantage d’ordre ici,” explique Erlanger , “plus de constructions et moins de détritus. Mais beaucoup de gens en ont assez du fardeau que représente le financement du Hamas et, implicitement, de sa branche armée.”
Pas de blocus
Dans la limite même où le récent massacre israélien est tout simplement pris en compte, ce sont les roquettes du Hamas qui sont encore une fois accusées du malheur de Gaza. Comme pour étayer l’argument, un boucher de 43ans dit à Erlanger, “la situation se délite régulièrement à Gaza.” Un autre habitant de Gaza ajoute “c’est une vie de dépression et de privations que nous menons.”
Erlanger n’inclut pas le mot “blocus” dans son analyse, il le fait seulement dans une liste de problèmes que subissent actuellement les Palestiniens de Gaza : “pauvreté, mauvaise gestion, blocus, chômage, liberté de mouvement restreinte,” en citant Mkhaimar Abusada. Et le blocus, parmi toutes ces autres conditions, est implicitement attribué au Hamas, pas à Israël : “s’il n’arrive pas à résoudre ces problèmes,” conclut Abusada, “ le Hamas se retrouvera dans la même position qu’avant la guerre.” Alors qu’ Abusada, spécialiste en sciences politiques à l’Université Al-Aqsa, connait très certainement l’origine de cette situation, l’endroit où Erlanger place sa citation laisse penser que même Abusada fait porter la responsabilité sur le Hamas.
Quoi qu’il en soit, Erlanger n’offre aucune idée de ce que peut avoir de totalement dévastateur un blocus aérien, terrestre et maritime (sans même parler des deux dernières attaques militaires) sur ce territoire densément peuplé.
Un lecteur non informé pourrait aisément conclure que ce blocus est quelque chose dont le Hamas est responsable, et non une forme impérialiste de punition collective imposée aux Palestiniens par Israël. Et non quelque chose qui est directement responsable de la pauvreté de Gaza et de la “liberté de mouvement restreinte .”
C’est donc le Hamas qui, selon le New York Times, est responsable des problèmes de Gaza. Israël n’y est pour rien.
Pas de Nakba
Un article du Times sur les réfugiés palestiniens en Syrie publié trois jour après l’histoire d’ Erlanger sur
Selon le New York Times, il n’y a pas de blocus de Gaza, pas d’ occupation de la Cisjordanie et la Nakba (le nettoyage ethnique de la Palestine en 1948) n’a jamais existé.
Gaza, rend obscures les raisons qui ont fait que les Palestiniens sont devenus des réfugiés (“A Syrian airstrike kills Palestinian refugees and costs Assad support,” 16 December 2012).
En tout juste ۸ mots, le Times absout Israël de toute responsabilité dans le nettoyage ethnique de centaines de milliers de Palestiniens afin de faire de la place pour un Etat juif.
Relatant la récente attaque par le régime syrien du camp de Yarmouk à Damas, où vivent des milliers de réfugiés palestiniens, le Times explique que les Palestiniens qui s’y trouvent sont des “réfugiés du conflit entre Israël et leurs ascendants.” La Nakba, le péché originel du sionisme et de l’Etat d’Israël, est ainsi délayée dans l’ obscurité. Elle est transformée en quelque chose qu’elle n’est pas, où le déplacement forcé de tout un groupe de gens par un autre devient un conflit entre deux parties a priori égales, qui a évidemment fait fuir un tas de Palestiniens.
Le journal, bien entendu, n’en vient pas à expliquer que, alors que la Résolution 194 des Nations unies accorde spécifiquement aux Palestiniens de Syrie (comme à ceux du Liban, de Jordanie et d’ailleurs) le droit de retourner chez eux dans ce qui est maintenant Israël, le gouvernement israélien a toujours, parfois avec violence, nié ce droit.
Pas d’ occupation
Un article publié le jour suivant, sur ce qu’on appelle la zone E1 à l’est de Jérusalem en Cisjordanie occupée, ne mentionne pas que cette zone et le territoire plus vaste dont elle fait partie sont, pour le droit international, un territoire palestinien actuellement sous occupation israélienne (Steven Erlanger, “West Bank land, empty but full of meaning,” 17 December).
Reprenant les récentes déclaration israéliennes sur la construction de colonies dans la zone E۱, Erlanger reproduit le vieux mythe sioniste dans le texte : cette terre est “vide” et deux parties se la disputent aujourd’hui. “E۱ [est] une portion de la Cisjordanie qui est vide pour la plus grande partie,” écrit Erlanger. Et la “ bataille ” pour E۱ “parle de différences apparemment insurmontables, d’ hostilité et de méfiance entre Israéliens et Palestiniens,” selon Erlanger.
Ainsi, la Cisjordanie palestinienne occupée, avec toutes les colonies illégales, les routes réservées aux juifs, les points de contrôle israéliens, les incursions militaires israéliennes et les démolitions par Israël des maisons palestiniennes, est réduite à un territoire que deux groupes différents revendiquent avec la même légitimité. C’est quand Erlanger écrit vers la fin de son article que EI est “en grande partie terre d’état” qu’il s’approche un tant soit peu d’une mention de l’occupation.
Mais ceci, comme le “blocus” de Gaza, sans qu’il l’identifie ou l’explique, est beaucoup trop vague pour qu’un lecteur non averti comprenne quel “Etat” contrôle cette terre, dans quelles conditions et au détriment des droits, de la vie et de la souveraineté de qui.
Alors, voici le tableau : pas de blocus, pas de Nakba, et pas d’ occupation. Un reportage comme ceux-ci est au mieux illusoire et au pire délibérément trompeur. Dans tous les cas, le New York Times sert les intérêts d’Israël en maintenant le public américain dans l’ignorance quant à la véritable nature de l’occupation israélienne.
Il est facile de comprendre pourquoi tant d’Américains trouvent la situation si confuse en apparence, quand ceux qui la rapportent sont eux-mêmes emplis de confusion sur les réalités fondamentales en termes d’histoire, de géographie et de politique.
Syrie: les terroristes ont attaqué une école à Alep
Des terroristes ont visé, mardi, par obus de mortier une école dans la région "al-Syriane al-Jadida" à Alep (nord), faisant nombre de blessés.
Une source responsable a affirmé que les terroristes avaient tiré l'obus de mortier sur l'école "Iskandaroun", dans la région précitée, qui hébergeait nombre de familles qui avaient fui les actes criminels des groupes terroristes.
"L'acte terroriste qui a causé des dégâts matériels dans l'école a fait aussi trois blessés parmi le citoyens", a ajouté la source.
Des unités de l'armée ont détruit dans une série d'opérations exécutées aujourd'hui, nombre de repaires de terroristes à al-Sfeira, Eazaz, de Kafer Daa'el, al-Naqarine et à al-Marjeh à Alep.
Une source responsable a souligné à la correspondante de Sana qu'un repaire des chefs de gangs terroristes a été détruit dans la zone d'al-Sfeira. Nombre de terroristes ont été abattus, dont Yaqoub Alaya, Hassan Rahal Chahadeh, et Yahya Abdo al-Mouali.
D'après la source, une unité de l'armée a mené une opération spécifique contre deux repaires des gangs terroristes appartenant "au front de Nosra" relevant d'al-Qaïda dans la localité de Mar'eh, et détruit ۹ voitures avec leurs occupants, les munitions et les armes sur la route d' Eazaz-Mar'eh.
"Nombre de terroristes ont été tués et blessés dans des opérations spécifiques caractérisées par la précision exécutées par des unités de l'armée syrienne contre les rassemblements des terroristes à Kafer Daa'el; Hayan et au village d'Abou Chakhtah.
De même, des unités des forces armées ont abattu des terroristes qui commettaient des actes d'assassinat, de hold-up et de sabotage dans le quartier de Bizh, à al-Marjeh, à al-Kalasseh et à Bustan al-Qasser.
Quatre voitures utilisées par les terroristes dans l'acheminement des armes et des munitions ont été entièrement détruites dans les logements des recherches.
Des unités des forces armées rétablissent la sécurité et la stabilité à al-Saan dans la banlieue de Homs
Des unités de l'armée ont traqué des groupes terroristes qui perpétraient des actes d'assassinat et de sabotage dans la région d'al-Saan dans la banlieue de Homs (centre).
Parlant à l'agence Sana, une source militaire a affirmé que les éléments des groupes terroristes ont été tués et blessés, leurs armes et leurs munitions ont été saisies.
La source a ajouté que des unités de l'armée ont rétabli la sécurité et la stabilité dans les deux villages de Hoch al-Agha et de Hoch al-Diwanieh à al-Saan, après y avoir tué les résidus des terroristes.
A Taldo, dans la banlieue de Homs, une de nos unités armées a porté un coup dur aux terroristes, tuant et blessant nombre d'eux.
Dans le cadre du ciblage des cadres et des compétences nationales, un groupe terroristes a assassiné l'ingénieur civil, Louay Mouhand al-Horani, ouvrier dans la société générale de la construction, et son fils, Mouhand dans le quartier d'al-Wa'er à Homs.
Une source du gouvernorat a souligné au correspondant de Sana que les terroristes ont ouvert le feu sur l'ingénieur et son fils qui sont tombés, sur le coup, en martyr devant leur domicile. Les terroristes ont volé leur voiture et pris la fuite.
Opérations spécifiques contre les terroristes dans la banlieue d'Idleb
Les unités des forces armées ont poursuivi la traque des groupes terroristes armés dans la banlieue d'Idleb où elles ont exécuté des opérations spécifiques dans les localités de Tahoum, et de Binnech, tuant nombre de terroristes et blessant d'autres, et détruisant les outils criminels utilisés dans leurs actes terroristes.
Citant une source du gouvernorat, le correspondant de Sana a indiqué qu'une unité de l'armé a exécuté une autre opération spécifique à l'alentour de la localité de Taftanaz, tuant ou blessant nombre de terroristes et détruisant leurs véhicules.
Dans la campagne d'Idleb, une de nos unités armées a causé d'énormes pertes en vie dans les rangs des terroristes lors d'une opération spécifique à Kafar-Takharim.
D'autres repaires de terroristes ont été détruits dans le périmètre de Wadi-Dayf.
Grosses pertes parmi les gangs terroristes dans les localités et les villages de la Banlieue de Damas
Dans la banlieue de Damas, l'armée arabe syrienne a infligé de lourdes pertes aux gangs terroristes dans les fermes de Douma, à Darayya, à Hujeira, à Dhiyabiya, et à Zabadani.
Parmi les terroristes ayant péri dans des accrochages avec nos forces armées, Saïd Arbach, Mahmoud Affouf, Aymen Laz, Mohamed Oului, Sleymane Jelloul, chef d'un gang terroriste.
A Darayya, nos forces ont neutralisé nombre de terroristes snippers : Mohamed Habib, Aymen Mourad, Adnane, Bakri, Ahmed al-Balcha.
A Hujeira et Dhayabiya, d'autre terroristes ont été liquidés, parmi eux: Omar al-Hareth, Taha al-Hussein, Ismael Abou Sbaa, Faysal Tahhan et Aous Yaaqoub.
A Zabadani, une unité de nos forces a traqué un gang terroriste, où elle a éliminé plusieurs éléments de ce gang. Parmi les terroristes abattus: Assim Tell, Ahmed Rahma, Mohamed al-Khatib, Abdallah Abou Chala.
L'armée arabe syrienne a aussi exécuté deux opérations spécifiques à Yabroud et à Al-Nabek, tuant un grand nombre de terroristes et détruisant leurs armes et leurs munitions.
Une source militaire a déclaré à Sana que nombre de terroristes ont été tués ou blessés au rond-point d'al-Mintaqa à Yabroud et que leurs armes et leurs munitions ont été détruites.
La source a ajouté qu'une unité de l'armée a détruit aussi un repaire des terroristes dans les fermes d'al-Saqi à Al-Nabak avec les armes, les munitions et les terroristes s'y trouvant.
Toujours dans la banlieue de Damas, nombre de terroristes ont été tués ou blessés dans une série d'opérations spécifiques menées par des unités de l'armée contre des repaires des terroristes et leurs rassemblements près de la société /Sara/ des voitures dans la localité d'al-Dyabieh.
Se référant à une source du gouvernorat, la correspondante de Sana a souligné qu'une voiture dotée d'une mitrailleuse lourde et une autre équipé d'une mitrailleuse anti-aérienne ont été entièrement détruites.
La source a ajouté qu'une unité de l'armée a tué et blessé nombre de terroristes près de la mosquée Khaled Ben al-Walid et près de la station de bus à Bouhdelieh. Une voiture dotée d'une mitrailleuse lourde a été également détruite avec les armes et les munitions y trouvant.
Dans les deux localités d'al-Husseinieh et de Hujeira, nombre de terroristes ont été abattus dans deux opérations spécifiques qui ont aussi causé la destruction d'un mortier et d'une mitrailleuse que les terroristes utilisaient dans le ciblage des habitants et leurs biens.
Dans la banlieue de Daraa, des unités de l'armée se sont accrochées avec un groupe terroriste qui commettait des actes de sabotage, de hold-up et de pillage à l'entour de la localité de Bousr al-Harir.
"L'accrochage a fait nombre de tués parmi les terroristes, parmi eux: Abdo Mohammad al-Hariri, Ali Mohammad al-Qaddah et Talal Abdallah al-Alayyan", a indiqué une source du gouvernorat citée par le correspondant de Sana.
La source a aussi souligné la saisie des mitrailleuses, d'un missile et d'une quantité d'armes.
Par ailleurs, des unités de génie ont désamorcé ۴۰ engins explosifs et des mines anti-char de ۲۵ à ۱۰۰ kg que les terroristes avaient déposés aux entrés de la localité.
A Hama, au moins trois terroristes ont trouvé la mort, à l'issue d'un accrochage entre deux groupes terroristes sur fond d'un différend sur le partage du butin composé d'articles volés d'une auto-école et des maisons de citoyens dans la localité de Jossé dans le secteur du Ghab, sur la route entre al-Acharné et Sqilbiyé.
La nécessité de suivre les enseignements de l'Imam Sadegh (AS) sur l'unité
L'Imam Sadegh (AS) dont les origines remontent au prophète (AS) et à Hazrate Zahra (AS), a toujours été une source de bienfaits pour la communauté. Toutes les écoles ont profité de ses enseignements et il a toujours encouragé les musulmans au Coran, aux enseignements du prophète (AS) et à l'amour des Ahl-ul-bayt (AS).
Le cheikh Ala-e-din Zo'tari, responsable du bureau des fatwas de Syrie, dans un entretien avec l'Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que les études des règles de jurisprudence de l'Imam Sadegh (AS) encourageaient les musulmans chiites et sunnites, à l'union islamique.
"L'Imam Sadegh (AS) dont les origines remontent au prophète (AS) et à Hazrate Zahra (AS), a toujours été une source de bienfaits pour la communauté. Toutes les écoles ont profité de ses enseignements et il a toujours encouragé les musulmans au Coran, aux enseignements du prophète (AS) et à l'amour des Ahl-ul-bayt (AS).
C'est lui qui a développé la jurisprudence et formé des savants dont la communauté a profité tout au cours de l'Histoire de l'islam. Parmi ses élèves, je citerai Yahya Al Ghatan et Yazid ben Abdoullah Al Madani, dans la science des hadiths et Abou Hanife Ban Sabat, Malik ben Ons, Safian al Thuri, Sho'bat Ben al Hodjaj, Safian ben Ay'na, en jurisprudence.
Abou Hanifa Na'man, chef de l'école hanafite, a même déclaré que sans les deux années d'études passées auprès de l'Imam Sadegh (AS) il aurait été perdu. Cette phrase montre bien le degré de la science de l'Imam (AS) qui a été transmise par ses élèves jusqu'à nos jours.
La principale raison de l'influence de l'Imam Sadegh (AS) est qu'il possédait une lumière intérieure qui éclairait ses enseignements et attirait les savants de toutes les écoles", a dit le cheikh Ala-e-din Zo'tari qui est professeur à l'école "Cheikh Ahmad Kaftari et a insisté sur la nécessité d'une présentation de l'Imam Sadegh (AS) par les chiites et les sunnites, qui permettra aux jeunes d'avoir des modèles comme l'a recommandé le prophète de l'islam (AS).
"Cette présentation permettra aux musulmans des différentes écoles, de connaitre la vision unificatrice de cet Imam (AS), de mettre de coté les divergences et de choisir des objectifs communs.
L'Imam Sadegh (AS) avait une vision spirituelle très profonde et estimait qu'il était possible d'échapper aux maladies psychologiques, de se rapprocher de Dieu et de vivre en paix avec les gens. Cette attitude spirituelle qui a influencé certains soufis, a donné à ses disciples une sérénité morale et intellectuelle, et les a aidés à avancer dans la voie de la perfection et de prendre pour modèles, le prophète (AS), les saints Imams (AS) et les compagnons.
L'Imam (AS) conseillait à ses élèves spécialement dans le domaine de la jurisprudence, de s'assurer de l'authenticité de chaque hadith et de chaque avis avant de les présenter", a expliqué le cheikh Ala-e-din Zo'tari qui est aussi membre du conseil des affaires familiales en Syrie, professeur au centre d'entraide et des affaires caritatives de Damas, et professeur de sciences coraniques et islamiques dans plusieurs universités libanaises.
Téhéran réagit aux allégations du 33ème sommet du Conseil de Coopération du Golfe Persique
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, a répondu aux allégations sans fondement et aux accusations évoquées, au 33ème sommet du Conseil de Coopération du Golfe Persique (CCGP).
Ramin Mehmanparast a balayé d’un revers de main les allégations et les accusations évoquées, dans le communiqué du 33ème sommet du "CCGP", à Manama.
"Imputer la responsabilité des problèmes intérieurs des pays de la région à autrui est une sorte de fuite en avant", a fait remarquer le porte-parole de la diplomatie iranienne, pour qui, attribuer ces problèmes à autrui ou opter pour des mesures répressives ne sont pas des méthodes appropriées, pour répondre aux revendications populaires.
Ramin Mehmanparast s’est déclaré, ensuite, surpris, à propos des déclarations de l’Emir du Koweït, au sujet des négociations d’exploitation off-shore du pétrole. «La partie koweïtienne avait accepté les négociations des deux pays, au sujet de l’exploitation off-shore. Si le Koweït se veut sérieux, pour discuter à propos de la démarcation maritime, l’Iran sera, aussi, comme dans le passé, prêt à négocier», a indiqué Ramin Mehmanparast. Il a, ensuite, évoqué la centrale nucléaire de Bouchehr, qui jouit des plus hauts standards internationaux de sécurité. «La RII, a-t-il ajouté, a, à maintes reprises, montré sa bonne volonté, invitant les pays de la région à visiter la centrale».
Ramin Mehmanparast s’est, également, attardé, sur les propos des chefs de la diplomatie saoudienne et bahreïnie, pour réitérer que les déclarations du ministre saoudien des Affaires étrangères manquaient de précision et qu’il ne valait même pas de répondre aux propos du ministre bahreïni.
"La répétition des déclarations sans fondement n'affectera jamais les réalités actuelles que les trois îles du Golfe Persique étaient la partie inhérente et éternelle du territoire iranien", a-t-il réaffirmé en soulignant la souveraineté de l'Iran sur les trois îles iraniennes.
Les Emirats Arabes Unis revendiquent depuis longtemps les îles de la Grande et de la Petite Tomb et d’Abou-moussa, qui sont les îles inséparables de l'Iran.