
تقي زاده
L'Egypte opposée à une intervention au Mali
Le président égyptien Mohamed Morsi s'est déclaré contre toute intervention militaire au Mali, rapporte lundi l'agence de presse officielle égyptienne MENA.
Au cours de son entretien avec le président de la Commission de l'Union africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, le président Morsi a affirmé que l'Egypte rejette toute intervention militaire au Mali, laquelle, selon lui, risque de perturbe le développement en Afrique.
Le porte-parole de la présidence égyptienne, Yasser Ali, a déclaré que Morsi et Zuma souhaitent voir une solution pacifique du problème.
Mme Zuma, en visite au Caire pour assister au 3e forum des représentants du secrétaire général de l'ONU et des envoyés internationaux en Afrique, a déclaré qu'elle oeuvre pour l'unité africaine et l'autonomie de l'UA.
Le forum rassemble quelque 200 personnalité africaines et internationales, dont Mme Zuma et l'ancien président ghanéen John Agyekum Kufuor.
Les Nations Unies demandent à l'UA et à la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (Cedeao) de mettre au point un plan d'intervention militaire dans le nord du Mali, région occupée depuis mars dernier par des mouvements rebelles, y compris certains groupes liés au réseau terroriste Al-Qaïda.
Inquiétudes de l’ASEAN devant la situation prévalant au Myanmar
Jakarta- Le ministre indonésien des affaires étrangères a fait état des inquiétudes des pays membres de l’OSEAN des offensives meurtrières en cours dans l’Ouest du Myanmar contre les musulmans.
Selon le site d’information Asia One, Martin Natalgava, ministre indonésien des affaires étrangères a indiqué : « Le problème des musulmans Rohingyas concerne tous les pays membres de l’ASEAN et l’Indonésie espère que le problème sera résolu de manière positive. »
Ce alors que l’ASEAN n’a entrepris aucune démarche pour résoudre la crise au Myanmar, plusieurs mois après le déclenchement des affrontements dans l’Etat à population musulmane de Rakhine et la mort de nombreux musulmans et la mise en errance des milliers d’autres.
L’ASEAN est actuellement accusée d’avoir fermé les yeux sur les violences au Myanmar, comme le dernier pays adhéré à l’ASEAN.
Les rapports parvenus font état de la mise en place à Yangon d’un centre de paix, qui servirait d’un lieu où les membres des différents groupes peuvent dialoguer en vue de mettre fin au conflit dans le pays.
L’Imam Bâqir Fondateur du mouvement intellectuel et culturel du chiisme
Le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_ dit : « O Chiites ! Soyez modérés et pondérés, afin que ceux qui sont portés par l’excès reviennent à vous, et que les retardataires vous rejoignent. »
Le vénéré Imam Mohammad Bâqir _béni soit-il_, est la cinquième étoile resplendissante du firmament de l’imamat, et il est surnommé « bâqir » ( باقر ) c’est-à-dire « celui qui dissèque les sciences ». La vie de ce vénéré imam était une lumière étincelante, et il a consacré tous les instants de son existence pleine de bénédictions à la guidance de l’humanité vers le salut. Le vénéré Imam Bâqir a excellemment profité des activités de son vénéré père, l’Imam Sadjad _béni soit-il_ pour la présentation du chiisme et la propagation des enseignements de cette école d’une part, et lutter contre les puissances rebelles, de l’autre. Il a procédé ensuite à la formation de brillants disciples et à la présentation de la jurisprudence pure de l’Islam et de la sainte famille du Prophète, Ahlulbeit. Le vénéré Imam Bâqir a franchi ainsi le plus grand pas pour identifier et présenter le chiisme et l’école des descendants du noble Prophète (l’Ahlulbeit). A l’âge de quatre ans, le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_ était témoin de l’événement de Karbala et de l’épopée de l’Achoura de son vénéré grand-père, Imam Hussein. Lors du voyage à Koufa et à Damas, il a accompagné son père, et il a été témoin de tous les événements qui se sont produits après l’événement de Karbala. Ceci étant dit, le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_ a été éduqué au sein de la grande culture de l’Achoura. Il a été l’incarnation de toutes les valeurs humaines et de toutes les vertus morales. Pendant toutes les instants de son existence lumineuse, le vénéré Imam Bâqir a donné de grandes leçons humaines pour conduire l’humanité vers la perfection.
Le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_, fondateur du mouvement culturel du chiisme
Bien que le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_ ait été conduit à l’isolement sur le plan politique, et que ses protestations n’aient pas donné forme à un mouvement politique globale pour renverser le pouvoir politique des Omeyyades, pourtant ce vénéré Imam a œuvré dans cette voie, jusqu’au martyre. Mais il savait que sa véritable mission, dans le contexte historique de son temps, consistait à revivifier la culture chiite qui avait été amenée à l’isolement.
Par conséquent, il était nécessaire qu’une grande révolution culturelle soit dirigée par le vénéré Imam Bâqir, qui a procédé à fonder une école scientifique afin de former ses disciples brillants, pour tracer les lignes intellectuelles du chiisme. Il était parfaitement conscient du fait que le développement de ses enseignements aplanira le terrain à une lutte profonde pour éradiquer la puissance rebelle de son temps, et qu’ils permettront à long terme aux chiites de revenir sur le devant de la scène sociale et politique, pour redonner la vie à l’école des saints descendants du Prophète, Ahlulbeit _bénis soient-ils_. Etant donné que le mouvement intellectuel et culturel constitue la pierre angulaire de la révolution et du soulèvement populaire, le vénéré Imam Bâqir a œuvré, pendant toute sa vie, pour préparer le terrain au développement de ce mouvement intellectuel. Après son trépas, son vénéré fils, l’Imam Sadeq _béni soit-il_ a pris le relais pour développer encore davantage les activités scientifiques de l’Imam Bâqir, en créant une école scientifique pour former près de quatre mille savants. Cette école est devenue la première grande université islamique, dans l’histoire du monde de l’Islam. Ceci étant dit, nous pouvons constater que le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_ est le fondateur de la première grande école scientifique chiite, et l’architecte du mouvement culturel et de la révolution intellectuelle du chiisme.
Le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_ a formé de grands savants comme Mohammad ibn Moslem, Zarareh ibn Anine, Anou nassir et Barid ibn Muaviyah. A propos de ces quatre grands disciples de l’Imam Bâqir, son fils, le vénéré Imam Sadeq a dit : « Ces quatre hommes ont propagé les enseignements de mon père, et contribué au développement de son école en matière des hadiths. »
Plusieurs autres savants ont été formés à l’école du vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_, parmi lesquels Jaber ibn Yazid Ja’fi, Aban ibn Sa’lab, Kian Sadjestani, Hamran ibn Anine, Sadir Seyrafi, Abou Sabah Kanani, Abdallah ibn Abou Ya’four, … Tous ces grands savants sont devenus des oulémas éminents et des spécialistes remarquables des sciences liées aux hadiths. Ces grands savants ont également joué un rôle important pour relater et rapporter les hadiths du vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_, dans la propagation de l’école jurisprudentielle du chiisme, et la préparation du terrain à l’apparition d’un grand mouvement intellectuel et scientifique chiite au sein du monde de l’Islam.
La lutte contre les dérives intellectuelles et les complots des Juifs
Parmi les redoutables groupes qui s’étaient infiltrés dans la communauté musulmane de l’époque, pour exercer une profonde influence sur les fondements culturels de la société islamique, il faut surtout évoquer les Juifs. En réalité, il s’agissait des savants juifs dont certains s’étaient convertis en apparence à l’Islam, et certains autres étaient restés fidèles à leur religion. Ces savants juifs s’étaient dispersés parmi les populations musulmanes et étaient devenus les références scientifiques et religieuses des personnes dupes et naïves. Ces savants juifs ont propagé de nombreux faux hadiths parmi les musulmans. Dans les références religieuses chiites, ces faux hadiths sont connus sous la dénomination de «Israélites », c’est-à-dire les fausses traditions que les Juifs convertis voulaient introduire dans l’Islam. Ces faux hadiths étaient souvent liés aux récits de la vie des prophètes d’antan, ainsi qu'au commentaire et à l’exégèse du noble Coran. En réaction contre ce danger, et pour lutter contre les complots des savants juifs, ainsi que leur infiltration dans la culture islamique, les imams infaillibles, surtout le vénéré Imam Bâqir et le vénéré Imam Sadeq (bénis soient-ils), ont consacré une grande partie de leurs tâches à ce sujet. A l’époque de ces deux vénérés imams, les pensées et les croyances d’un autre mouvement intellectuel menaçaient la communauté musulman : les « Ghali » ( غالی ), à savoir les « extrémistes ». Les adeptes de ce courant extrémiste falsifiaient souvent les récits et les hadiths des vénérés descendants de la famille prophétique, et attribuaient parfois des faux hadiths au vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_. L’un de ces extrémistes était Moqayra ibn Saïd, qui était vivement reproché par le vénéré Imam Bâqir. Il a beaucoup exagéré à propos du vénéré Imam Ali et les autres imams infaillibles, et les haussait parfois au rang des divinités. A ce propos, le vénéré Imam Bâqir _béni soit-il_ a conseillé aux chiites d faire preuve de modération et de retenue : « O Chiites ! Soyez modérés et pondérés, afin que ceux qui sont portés par l’excès [les extrémistes] reviennent à vous, et que les retardataires vous rejoignent. » Un homme des « Ansar » (auxiliaires médinois du prophète) a demandé à l’Imam : « Qui sont les extrémistes ? » Le vénéré Imam Bâqir lui a répondu : « Ce sont les gens qui nous attribuent des choses que nous ne nous attribuerons jamais, nous-mêmes. Ils ne sont pas des nôtres, et nous ne sommes pas des leurs. » Le vénéré Imam Bâqir a poursuivi : « Nous ne nous approchons de Dieu que par la soumission au Seigneur. Celui qui se soumet à Dieu et qui Lui obéit, profitera de notre 'Velayat' [tutelle], mais à ceux qui désobéissent à l’ordre du Seigneur, notre 'Velayat' ne sera point utile. Malheur à vous ! Ne vous laissez pas tromper par les extrémistes. Malheur à vous ! ne vous laissez pas tromper… »
L’Imam Bâqir et l’Imam Sadeq _ bénis soient-ils_ nous ont laissé un héritage très précieux en matière des sciences scolastiques et des sciences religieuses. En effet, à l’époque du vénéré Imam Bâqir, les kharidjites avaient considérablement développé leurs croyances et leurs perceptions scolastiques. Le vénéré Imam Bâqir a entamé une lutte sérieuse contre cette dérive intellectuelle et religieuse au sein de la communauté musulmane. Dans ce cadre, il a procédé à commenter la plupart des sermons du vénéré Imam Ali, Emir des croyants qui portaient sur l’unicité de Dieu et les attributs divins. L’Imam Sadeq _béni soit-il_ a présenté plus tard une série de cours sur l’unicité de Dieu à son disciple, Mofazzal.
Le vénéré Imam Bâqir participait à différents débats en présence des oulémas et des savants, pour répondre à leurs questions et résoudre leurs problèmes scientifiques et religieuses. Lors de ces séances de débat, le vénéré Imam Bâqir déterminait les visions et les points de vue de l’islam sur diverses questions telles que l’unicité de Dieu, l’impossibilité de voir ou de percevoir par les sens matériels, l’essence divine.
La situation politique du vénéré Imam Bâqir
Certains croient que le vénéré Imam Bâqir ne s’occupait que des activités scientifiques et éducatives, et qu’il s’était totalement écarté des questions sociales notamment en ce qui concernait la guidance de la société musulmane et la nécessité de lutter contre la puissance rebelle de sont temps. Or, la vérité était autre. Un regard sur la vie et les activités des vénérés Imams Bâqir et Imam Sadeq _bénis soient-ils_ prouve que ces deux imams infaillibles s’étaient donné pour mission principale, le développement et la propagation des vraies sciences religieuses de l’islam, compte tenu de l’impératif de leur époque. Ils oeuvraient donc à élaborer, enrichir et propager les enseignements de l’Islam pur, mais dans le même temps, ils révélaient la vraie image hideuse des dirigeants oppresseurs de la dynastie omeyyade, chaque fois qu’ils en avaient l’occasion. En outre, ces deux vénérés imams encourageaient toujours les chiites à se battre contre les puissances tyranniques. Dans un hadith du vénéré Imam Bâqir _béni soit-il), il est dit : « Luttez contre les oppresseurs et les corrompus, en y mettant du cœur et de l’esprit. » Dans un autre hadith de ce vénéré imam, nous lisons : « A celui qui se présente auprès d’un sultan oppresseur et tyrannique, pour l’appeler à la piété et pour le faire craindre de son sort au jour de la résurrection, il y aura une grande récompense de la part de Dieu. »
Le vénéré Imam Bâqir et le vénéré Imam Sadeq _bénis soient-ils_ déconseillaient aux chiites l’acceptation des moindres postes offerts par les gouvernements oppresseurs. Selon un récit, le vénéré Imam Bâqir avait dit à Mohammad ibn Moslem : « O Mohammad ! Les dirigeants de ce gouvernement tyrannique et oppresseur, et leurs disciples sont sortis du sentier de la religion de Dieu. Ils se sont égarés et conduisent aussi les autres vers l’égarement. Leurs actions sont comme des cendres sur les quelles soufflent les vents vifs, au jour de la tempête. De leurs actions, rien ne leur sera utile, et ce n’est que le résultat de l’égarement et de l’éloignement du chemin droit. »
Manifestation des Cachemiris contre les actes offensant le Coran
New Delhi- Les habitants de Hindwara au Cachemire ont manifesté le samedi 3 novembre en protestation contre l’acte offensant le Saint Coran et l’incendie d’une mosquée dans leur ville.
Selon le site d’information kmsnews, les habitants de Hindwara ont fermé leurs boutiques et manifesté dans les rues pour montrer leur colère envers les inconnus qui ont brûlé une mosquée et les exemplaires du Saint Coran y existant.
Seyed Ali Guilani, chef du parti Hurriyet au Cachemire a annoncé dans un communiqué que de tels actes qui se répètent au Cachemire étaient un grand complot fomenté par les ennemis.
Faisant allusion à l’absence de la volonté de la part des responsables engagés par le gouvernement indien à arrêter les auteurs de ces actes, il a ajouté : « La police fait semblant d’être incapable d’identifier et d’appréhender les auteurs de ces crimes, alors qu’elle intervient rapidement contre les dirigeants en quête de la liberté. »
Qatar tente de faire unir les opposants syriens
Quatre jours de négociations ont commencé ce dimanche au Qatar entre les différentes factions de l’opposition syrienne. L’objectif est d’ouvrir le Conseil National Syrien à d’autres composantes de la société en doublant son effectif.
Si c’est un succès, l‘étape suivante serait de former une instance civile de 50 membres, prémice d’un gouvernement provisoire. L’initiative revient à l’opposant Riad Seif: “Nous espérons que si les Syriens trouvent un moyen de choisir leur leader le 8 novembre, le monde entier sera derrière eux pour les aider.” a-t-il déclaré.
selon euronews, les négociations s’annoncent très délicates. Le Conseil National Syrien, la plus importante branche de l’opposition dominée par les Frères musulmans réclame au moins 40% des sièges au sein de la future instance.
Le roi d'Arabie saoudite et le président français se rapprochent plus sur des questions régionales
Le roi Abdallah ben Abdul-Aziz al-Saud d'Arabie saoudite et le président français François Hollande se sont entretenus dimanche à Jeddah des questions régionales et internationales, en particulier la situation en Syrie, a annoncé l'agence de presse saoudienne.
Les deux dirigeants ont discuté également de la coopération entre les deux pays et des moyens de renforcer les relations entre l'Arabie saoudite et la France dans tous les domaines, en particulier dans la crise syrienne.
Il s'agit de la première visite du président Hollande en Arabie saoudite depuis son arrivée au pouvoir en mai 2012.
Syrie: un camp de réfugiés palestiniens à Damas frappé par plusieurs obus de mortier
Plusieurs obus de mortier sont tombés dimanche soir dans un camp de réfugiés palestiniens à Damas, faisant plusieurs blessés, a rapporté la presse syrienne.
Les tirs de mortier étaient à l'origine des affrontements entre les rebelles armés syriens et les combattants du Comité populaire du Front populaire de libération de la Palestine (CP- FPLP) dans les environs du camp de réfugiés.
Les rebelles syriens font pression sur les réfugiés palestiniens pour qu'ils les rejoignent pour combattre l'Etat syrien.
Plus de 500 Palestiniens ont été tuées et des centaines d'autres blessés depuis le début de la crise syrienne il y a plus de 19 mois.
Le CP-FPLO avait déclaré la semaine dernière que les Palestiniens en Syrie rejettent toute tentative des terroristes de les utiliser pour déstabiliser la Syrie, réaffirmant son soutien aux Syriens.
Quelque 550 000 Palestiniens se trouvent dans neuf camps de réfugiés en Syrie.
La langue persane à l'université libanaise
Après beaucoup d'efforts de la part du centre culturel de la République Islamique d'Iran à Beyrouth, la langue persane a été inaugurée à la faculté des lettres et des sciences humaines de l'université libanaise.
Wafa Berry, doyenne de la faculté des lettres et des sciences humaines, déclarant le fait d'ajouter la langue persane aux autres langues enseignées dans cette faculté (tel que l'italien, l'espagnole etc.) a dit: dans l'avenir très proche, on va inaugurer le chinois dans cette faculté.
Elle a ajouté: Recevoir les langues étrangères à cœur ouvert fait partie du Liban et de l'identité libanaise et cela est la mission de notre faculté.
M. Raïs zadé, responsable du centre culturel de la République Islamique d'Iran, parlant de l'histoire des relations entre les iraniens et les arabes, a souligné: on peut voir l'effet de ces relations dans la vie, l'art et la littérature des deux nations et cultures.
Il a ajouté: La République Islamique depuis la victoire de la Révolution en Iran a essayé toujours de développer ses relations avec le Liban et l'ouverture de cette branche- la langue persane- à l'université libanaise peut avoir des effets positifs sur les relations bilatérales.
M. Roknabadi, ambassadeur de la République Islamique au Liban, a dit: les iraniens adorent la langue arabe, parce qu'elle est la langue du Coran.
Il a souligné: l'arabe et le persan forment un pont entre deux cultures et civilisations (iraniens et arabes) avec le coran et les entre deux nations persane et arabe surtout libanais.
Libye : affrontements entre milices rivales à Tripoli
Des affrontements entre milices rivales ont éclaté la nuit dernière à Tripoli. Cinq personnes ont été blessées et une roquette a atteint l’ancien siège des renseignements libyens.
Le bâtiment a été partiellement incendié et pillé. Une balle perdue aurait pénétré dans l’hôpital central de Tripoli, semant la panique.
Selon euronews, les deux milices, autorisées par le régime sont entrées en conflit à propos d’un de leurs membres détenu par l’un des groupes.
Ces affrontements ont semé la panique dans le quartier de Sidi Khalifa, d’autant que la police est impuissante pour empêcher les pillages. Ces combats témoignent de la paix précaire qui règne dans la capitale libyenne, plus d’un an après la chute du régime de Mouammar Kadhafi
Affrontements au coeur de la capitale libyenne
Le centre de Tripoli a une nouvelle fois été le théâtre d'affrontements entre l'armée, la police et une brigade locale. Depuis samedi 3 novembre, les forces de l'ordre entourent un bâtiment occupé par cette brigade. Les raisons de cet assaut demeurent floues.
Alors que le Parlement siège de nouveau paisiblement, le centre-ville de Tripoli résonne encore des tirs de canon anti-aérien et de missiles RPG. Depuis samedi ۳ novembre, l'armée et les forces du Haut comité de sécurité dépendant du ministre de l'Intérieur encerclent l'ancien bâtiment des services de sécurité.
Selon RFI, l'objectif est de déloger une milice et son chef, Mohamed el-Warfalli. Ce dernier est suspecté d'avoir armé la ville de Bani Walid dans le récent conflit qui l'opposait à l'armée.
Son sort demeure inconnu. Des sources dans la police disent qu'il s'est enfui et que sa brigade continuerait donc d'affronter la police et l'armée. La rue où a lieu les affrontements est toujours bouclée ce dimanche ۴ novembre. L'armée dit tirer en l'air pour éviter l'effusion de sang, bien que la même source évoque des blessés dans ses rangs.