Barack Obama vient de dire qu'il était, plus que toute autre personne, conscient des limites en rapport avec une intervention militaire en Syrie.
« Je dois me demander si nous serons capables de changer la situation en Syrie ? Si l'intervention militaire s'avèrera-t-elle efficace ? Quel sera l'impact d'une telle intervention sur nos capacités à soutenir les forces qui resteront toujours en Afghanistan ? », a affirmé le Président américain Barack Obama, dans une interview avec Neo Repubblica. Obama s'est refusé à tout autre commentaire sur ce sujet ; mais le quotidien Los Angeles Times a, entre temps, écrit que l'Iran avait transmis un message sérieux, plutôt, une alerte sérieuse au sujet de l'éventuelle intervention militaire en Syrie. « Le haut conseiller du Guide suprême iranien, Ali-Akbar Velayati a averti que toute attaque contre la Syrie serait considérée comme une attaque contre l'Iran ; c'est le plus sérieux message communiqué de la part de l'Iran en signe d'appui au gouvernement syrien », écrit LA Times. A ce propos, le quotidien arabophone Acharq Al-Awsat a écrit que l'Iran voyait en Syrie son maillon d'or de connexion avec la Résistance et qu'il serait prêt à défendre à tout prix le gouvernement syrien. Selon Aawsat, aussi, les déclarations de M. Velayati viennent corroborer cette question.