تقي زاده

تقي زاده

Le président de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) a déclaré que l’Occident tentait depuis des années d’entraver le programme nucléaire pacifique du pays par la propagande et le tumulte, soulignant que « nous sommes déterminés à en finir avec ces tumultes par coopération avec l'Agence».

Mohammad Eslami a fait ces remarques lors d’un événement à l’Université de technologie d’Amirkabir à Téhéran mardi alors qu’il louait les acquis du pays et ses progrès continus en matière de technologie nucléaire.

Il a affirmé que l’Iran avait une excellente réputation en matière de capacité nucléaire ajoutant que cette position de haut niveau a été obtenue grâce aux efforts déployés par des scientifiques iraniens plutôt qu’en s’appuyant sur une technologie étrangère importée.

Soulignant que l’Organisation atomique iranienne a décidé de mettre fin aux désaccords sur le programme nucléaire iranien, Eslami a critiqué « les allégations non fondées » et la « campagne de propagande » visant à limiter les activités nucléaires civiles de l’Iran, qui, selon lui, ont suscité le scepticisme dans certains coins quant aux coûts et avantages de technologie nucléaire pour le pays. 

 

Le haut commandant du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a déclaré qu’il n’était pas nécessaire que des forces extrarégionales assurent la sécurité du golfe Persique étant donné que l’Iran et les pays voisins coopèrent pour garantir la sécurité de la voie navigable stratégique.

« Le parapluie de sécurité de la République islamique a été étendu à toute la région, et nous coopérons avec d’autres États voisins à cet égard », a déclaré mardi 2 mai le commandant de la troisième zone navale du CGRI, le contre-amiral Amrollah Nozari.

Évoquant un défilé naval tenu dimanche à l’occasion de la Journée nationale du golfe Persique au port de Mahshahr, dans la province du Khouzestan (sud-ouest de l’Iran), il a déclaré que la marine du CGRI est responsable du maintien de la sécurité nationale et maritime dans la région.

Plus de 500 banques à travers les États-Unis ont fermé depuis 2001, la plupart après la crise financière de 2008, selon les données de la Federal Deposit Insurance Corporation.

Les régulateurs américains ont saisi puis vendu lundi la « First Republic Bank » à JP Morgan Chase, marquant le deuxième plus grand effondrement bancaire américain et la troisième fermeture bancaire majeure à l’échelle nationale au cours des deux derniers mois, à la suite de l’effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB) et de la Signature Bank.

De toutes les banques qui ont fermé depuis 2001, la plus importante était la Washington Mutual, qui a fermé en septembre 2008, au début de la crise financière. La fermeture de « First Republic Bank » est la deuxième plus grande fermeture de banque aux États-Unis et la plus importante depuis la fin de la crise financière.

Environ 70 banques à travers les États-Unis ont fermé au cours de la dernière décennie. Le total des actifs des trois banques fermées cette année a dépassé le total des actifs des 25 banques fermées en 2008, ce qui signifie que l’ampleur des fermetures de banques américaines en 2023 est la plus importante de ces dernières années.

En mars de cette année, une étude publiée conjointement par des économistes de plusieurs universités aux États-Unis a montré que la hausse des taux de la Fed a considérablement accru la vulnérabilité du système bancaire américain. Affectée par les hausses agressives des taux d’intérêt de la Réserve fédérale, la valeur des actifs financiers tels que les obligations détenues par de nombreuses banques américaines a fortement diminué, et la valeur des actifs de certaines banques a même diminué de plus de 20 %.

Selon l’étude, si la confiance du marché continue de s’affaiblir et que davantage de déposants retirent leurs dépôts, jusqu’à 186 banques pourraient devenir insolvables et faire face au risque de fermeture.

 

Les autorités pénitentiaires israéliennes ont déclaré qu’un haut responsable du groupe de résistance du Jihad islamique palestinien, Khader Adnan, est décédé dans une prison israélienne après une grève de la faim de 87 jours.

Les services pénitentiaires israéliens (SPI) ont annoncé dans un communiqué qu’Adnan avait été retrouvé sans réaction dans sa cellule de la prison de Nitzan, dans la ville centrale de Ramle, avant l’aube mardi matin.

Il a été amené au centre médical Shamir à l’extérieur de Tel-Aviv, mais a été déclaré mort à l’hôpital, ont indiqué les SPI.

Plus tôt dimanche, un tribunal israélien a refusé de libérer le gréviste de la faim palestinien malgré la détérioration de son état de santé.

Dans des remarques de presse au Centre d’information palestinien (PIC), l’épouse d’Adnan, Randa Mousa, a affirmé qu’un tribunal israélien a rejeté l’appel soumis pour libérer son mari sous caution. Le tribunal a fixé une autre session au 10 mai, a-t-elle ajouté.

Elle avait averti que l’état de santé de son mari était très critique en raison de sa grève de la faim prolongée, qu’il avait entamée plus tôt cette année.

 

Les médias palestiniens ont rapporté la mort en martyr d'un adolescent palestinien par les forces d'occupation israéliennes dans la ville d'Aqba Jabr dans le camp de réfugié d'Ariha située en Cisjordanie.

Selon les médias palestiniens, lors de l'attaque des forces d'occupation du régime d'occupation israélien sur la ville d'Aqaba Jabr en Cisjordanie, un adolescent palestinien nommé Jebril al-Daa a été tué en martyr et plusieurs autres ont été blessés.

Selon des sources médicales en Cisjordanie, le martyr Jebril al-Daa est décédé des suites de ses blessures lorsque les forces du régime d'occupation ont empêché l'ambulance, les secouristes et le matériel hospitalier de l'atteindre.

Les travailleurs et les manifestants français sont descendus dans les rues des villes du pays à l'occasion de la Journée internationale des travailleurs et ont crié leur colère et leur mécontentement face aux réformes controversées des retraites d'Emmanuel Macron.

Selon l'agence de presse iranienne ISNA citant le New York Times, des dizaines de milliers de Français, depuis Le Havre dans le nord de la France, jusqu'à Marseille, dans le sud du pays, sont descendus dans la rue et devraient continuer à manifester dans l'après-midi avec une marche à Paris, la capitale française, qui sera le point culminant du mouvement.

 

Un système de contrôle de moteur d’avion, à fabrication 100% iranienne, a été testé avec succès lundi 1er mai dans les locaux de l’entreprise MAPNA, en présence du président iranien Ebrahim Raïssi.

Lundi 1er mai simultanément à la Journée des travailleurs, le président Raïssi a fait le déplacement dans les locaux et les chantiers de la société MAPNA, où il a visité les derniers acquis de ce géant industriel et technologique, dans divers domaines y compris les centrales thermiques, et celles des énergies renouvelables, le gaz et le pétrole, le transport ferroviaire, la restauration et l’optimisation, les moteurs d’aéronefs, les voitures électriques, la smartification, les industries énergivores, l’hygiène, eau, etc.

Le président Raïssi a également participé à une conférence tenue au centre de maintenance conditionnelle de MAPNA, pour mieux se familiariser avec la « stratégie de la compagnie pour la 4ème révolution industrielle », auquel la compagnie a donné le nom de « MAPNA Mind », jolie formule qui représente d'ailleurs l'importance accordée par la compagnie au concept de société de connaissance.

 

« La volonté des parties tierces n’a aucun impact sur les relations entre Téhéran et New Delhi qui d’ailleurs ne sont contre aucune partie », a affirmé le secrétaire du Conseil de sécurité nationale iranien, Ali Chamkhani, évoquant en plus la nécessité d’activer un mécanisme monétaire rial-roupie.

Ayant fait le déplacement en Iran pour une visite d’une journée à l’invitation de son homologue iranien, le conseiller à la sécurité nationale de l’Inde, Ajit Doval, a été reçu lundi 1er mai au matin par le contre-amiral Ali Chamkhani qui est également le représentant du Leader de la Révolution islamique.

Selon l’agence de presse Fars, des liens politiques et sécuritaires, des dossiers économiques bilatéraux et d’importantes questions d’ordre régional ou international ont été au centre des entretiens du responsable indien à Téhéran.

Les mouvements de grève et de contestations ont repris avec force ce lundi 1er mai qui marquait d’ailleurs la fête du Travail, un peu partout en Europe.

Selon Reuters, dans la ville de Nantes, dans l’Ouest français, et à Paris la capitale, la police a tiré des gaz lacrymogènes contre les manifestants qui s’opposent au recul de l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

Les services de renseignement iraniens ont démantelé une équipe de sabotage affiliée à l'organisation terroriste Mojahedin-e Khalq (OMK) dans la province de Mazandaran, dans le nord du pays, pour son implication dans des émeutes soutenues par l'étranger qui ont éclaté à la mi-septembre de l'année dernière.

Mostafa Bazvand, le commandant du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) de Babolsar, en a fait l'annonce ce lundi 1er mai, déclarant que le groupe avait pour objectif de leurrer la jeunesse de cette ville du nord de l'Iran. Bazvand a ajouté que les meneurs de l'équipe étaient en contact direct avec des groupes basés à l'étranger et étaient impliqués dans des actes de sabotage et des attentats terroristes.