
تقي زاده
L'Iran privera Israël de son marché de drones
Ayant d’ores et déjà fait leurs preuves d’efficacité, les drones iraniens sont, pour certains, capables de prendre pour cible les endroits les plus éloignés de la Palestine occupée depuis le sol iranien.
Devenu l’une des principales puissances de drones au monde, l’Iran a récemment dévoilé le drone Arash-2, ce dernier ayant attiré l’attention du monde entier non pas en raison de sa plus longue portée, mais pour sa mission de frapper Tel-Aviv et Haïfa qui est une ville portuaire suitée sur la côte méditerranéenne au nord-ouest de la Palestine occupée, à moins de 1 000 km des frontières iraniennes, affirme le site Web analytique américain 1945, dans un article publié vendredi 16 septembre.
Le drone Arash-2, qui est une version plus récente de l'appareil Arash-1 précédemment dévoilé, a été développé par la force terrestre de l'armée iranienne, a déclaré le commandant de la force, le général de brigade Kioumars Heydari, à la chaîne de télévision publique IRIB TV1 lors d'une interview diffusée dimanche, 11 septembre.
La flotte aérienne turque vieillie par la volonté USA/OTAN
La nouvelle du déploiement de l'armée qatarie en Turquie a été largement couverte par les médias du pays.
D’après le Journal officiel de la Turquie, il a été révélé qu'un accord avait été signé entre la Turquie et le Qatar concernant le déploiement d'avions militaires qataris et de personnel de soutien en Turquie. La décision a été publiée avec la signature du président Recep Tayyip Erdogan.
La décision concernant l'accord militaire entre le Qatar et la Turquie a été publiée au Journal officiel du 15 septembre. En conséquence, il s'est avéré qu'un accord avait été conclu en mars 2021 concernant le déploiement de soldats qataris en Turquie.
La décision en question a été publiée avec la signature du président Recep Tayyip Erdogan.
4eme rencontre Raïssi en un an, cela veut dire quoi?
Cité par le site web Israel Hayom, le réseau des médias Arutz Sheva a annoncé que de hauts responsables occidentaux ont exprimé leur inquiétude à leurs homologues israéliens quant aux liens de plus en plus forts entre la Russie et l'Iran. Des sources politiques citées dans le rapport ont déclaré que lors de discussions à huis clos, des représentants américains et européens ont exprimé leur extrême inquiétude quant au rapprochement entre les deux pays. Un haut responsable israélien a déclaré que « l'Europe est encore plus préoccupée que les États-Unis par le fait que la Russie devienne un acteur dans la sphère iranienne et que la Russie pilotera des drones iraniens en Europe ».
Nouveau coup fourré anti-Russie d’Israël
Les faibles cherchent toujours le côté le plus fort, mais parfois une erreur dans le choix aggrave la situation. De tous les pays et régimes qui regardent la guerre en Ukraine avec prudence, le régime sioniste est peut-être le cas le plus intrigant. Un cas unique en son genre non pas à cause de l’intelligence, mais à cause de ses politiques stupides qui le poussent au fond de l’enfer à un rythme élevé. Alors que la tension entre la Russie et Israël ne cesse de monter, notamment après la fermeture de l’Agence juive en Russie, les Israéliens ont finalement peut-être décidé de choisir leur camp en vendant des systèmes anti-drones à l’Ukraine attisant ainsi la colère de Moscou.
Selon le site Web l'entreprise israélienne a signalé cependant que la vente était destinée à la Pologne prétendant ne pas savoir que Varsovie agissait en tant qu’intermédiaire pour transférer les armes à Kiev.
Des sources de l’industrie de la défense israélienne ont prétendu que les systèmes anti-drones étaient classés comme « technologie défensive avancée » et n’étaient donc pas approuvés pour la vente à l’Ukraine.
Qui veut casser l'aura d'une Russie forte?
Alors que la guerre entre la Russie et l’Ukraine a atteint son paroxysme ces dernières semaines, les autorités occidentales et sionistes, qui jouent le rôle principal derrière cette crise, envisagent de faire perdurer le conflit russo-ukrainien.
Les théoriciens occidentaux et sionistes poursuivent plusieurs objectifs dans cet aventurisme. À titre d’exemple, on peut dire que la publication d’informations sur l’ingérence de certains des conseillers juifs de Poutine et leur influence dans la planification d’une guerre rapide contre Kiev, puis le voyage de certains d’entre eux à Tel-Aviv témoignent du fait que la stratégie américano-sioniste comprend plusieurs scénarios.
Israël ne survivra pas à l’arsenal cisjordanien
Une polémique s’est déchaînée dans les cercles militaires du régime sioniste concernant la possibilité de lancer une opération militaire à grande échelle dans le nord de la Cisjordanie avant les élections à la Knesset prévues en novembre prochain, selon le journal Haaretz.
Certains responsables militaires et sécuritaires du régime sioniste estiment que les activités de l’armée israélienne devraient être réduites dans le nord de la Cisjordanie, dans une tentative d’empêcher l’effondrement de l’Autorité autonome palestinienne, ajoute le journal.
À la lumière de la montée en puissance de la Résistance palestinienne et de l’affaiblissement de l’Autorité palestinienne, certains hauts responsables de l’armée pensent qu’il n’y aura pas d’échappatoire à une opération à grande échelle dans le nord de la Cisjordanie - peut-être même avant les élections.
Le journal a poursuivi que les tensions croissantes entre Israël et l’Autorité palestinienne étaient liées non seulement à l’augmentation du nombre d’opérations et de fusillades en Cisjordanie, mais aussi aux messages échangés entre les deux parties.
Turquie/Syrie : les conditions d'Assad pour une reprise
Le gouvernement syrien n’est pas disposé à engager un dialogue avec le gouvernement turc sans condition préalable, et l’acceptation par Erdogan de ses deux conditions stratégiques sera un prélude au processus de normalisation des relations.
Dans ce contexte, l’entretien d’un journal russe avec un homme politique syrien proche de Bachar al-Assad a attiré l’attention des médias turcs, parce qu’il a clairement énoncé les conditions de base de la Syrie pour la normalisation des relations avec la Turquie.
Les hélicos iraniens reconvertis en arme de ciblage des profondeurs
Alors que la situation vient de s’embraser dans le Caucase du Sud et que l’Arménie et l’Azerbaïdjan s’accusent mutuellement de la violation du cessez-le-feu et que des combats viennent d’avoir lieu, il y a quelques heures, l’armée iranienne envoie ses blindés sur les frontières du nord-ouest. Mais qu’est-ce qu’ils ont de nouveau ces blindés et hélicoptères de l’armée de terre ?
L’addition du missile de croisière à la force terrestre de l’armée iranienne est une tactique importante qui transforme clairement les forces terrestres de l’armée de la RII d’une force capable d’impacter les lignes de conflit et les forces ennemies à proximité, en une force capable d’impacter en profondeur.
Lors du dévoilement de la base stratégique souterraine de drones « Base 313 » de l’armée iranienne, il y a quelques mois, de nouveaux armements, dont le missile de croisière « Heydar-1 », déployés sur des drones ont été exposés. Il s’agit d’un missile de croisière pouvant être tiré à partir des drones, dont « Kaman-22 » et « Fotros ». Avec une portée de 200 km, le missile « Heydar-1 » de la force terrestre de l’armée, qui est porté par de gros drones, vise des cibles à distance.
Israël saura-t-il encaisser le "coup inaugural" du Hezbollah une fois la guerre commencé en Méditerranée?
Iron beam expédié précipitamment en Ukraine pour qu’il s’y mette à l’épreuve des Shahed 129, des Sjajed 191 et les Shaed 136 iraniens récemment livrés à la Russie, des frets bourrés de Harop fraichement arrivés à l’aéroport de Bakou pour qu’ils y embrasent la frontière Arménie/Azerbaïdjan/Iran puis une conférence militaire convoqué à la hâte à Tel Aviv où prennent part les chefs d’état-major de 24 pays otaniens plus celui du Maroc pour parler de « coopération stratégique militaire internationale » contre « les menaces conjoints, de quoi a-t-il si peur Israël pour remuer si hystériquement le ciel et la terre ? de deux choses : primo d’un ultimatum lancé par le secrétaire général du Hezbollah qui touche bientôt à sa fi, ultimatum comme quoi l’entité sioniste ne pourrait rien tirer des réserves offshores de la Méditerranée orientale ni à Karish ni à Léviathan, ni à Tamar ni dans aucun autre gisement, si le Liban n’en ferait pas autant. Et secundo de cette ambiguïté qui entoure totalement la nature de la première frappe du Hezbollah. Et ce sont ces deux points qu’attise l’assourdissant silence de Nasrallah
Venezuela : l'Iran cultive les terres
Le ministre vénézuélien de l'Agriculture, Wilmar Castro Soteldo, a déclaré que Caracas avait offert au moins cinq millions d'hectares de terres à la suite d'accords d'investissement agricole avec des producteurs iraniens et d'autres pays.
Il a fait ces remarques lundi lors d'une présentation avant le salon scientifique, industriel et technologique Iran-Venezuela, qui devrait s'ouvrir mercredi à Caracas. "Nous mettons à disposition cinq à sept millions d'hectares [de terres] que notre pays doit aménager pour atteindre 30 millions d'hectares de terre cultivables", a déclaré le ministre.
Depuis le début de son mandat, l'actuelle administration iranienne a entretenu des mesures efficaces pour améliorer le secteur agricole et assurer la sécurité alimentaire du pays, notamment par l'agriculture à l'étranger.
Pendant longtemps, l'une des aspirations de l'Iran a été l'autosuffisance en produits agricoles stratégiques tels que le blé, les oléagineux et les intrants d'élevage, qui nécessitent des ressources en eau suffisantes, une vision parfaitement stratégique surtout en ces temps de crise céréalière.
L'agriculture à l'étranger pourrait entraîner l'entrée d'eau virtuelle dans le pays par la culture de produits gourmands en eau dans d'autres pays.