تقي زاده

تقي زاده

Washington envisage de retirer son contingent militaire de Syrie pour l'expédier en Afghanistan.

"Les négociations sont en cours avec le gouvernement afghan. Les troupes seront déplacées en fonction de l’évolution de la situation en Irak, en Syrie et en Afghanistan. Quant au transfert des avions A-10 (Warthog), nous n’avons pas encore décidé", a déclaré un haut responsable américain cité par Sputnik.

La Corée du Nord a fait savoir, jeudi 14 décembre, qu'elle prendrait des mesures d'autodéfense "impitoyables" si les États-Unis devaient mettre en œuvre un blocus naval considéré comme "un acte de guerre", rapporte l'agence de presse locale KCNA.

Un blocus naval sera une "violation flagrante" de la souveraineté et de la dignité de la Corée du Nord, a déclaré un porte-parole du ministère nord-coréen des Affaires étrangères, cité par la KCNA.

Le président américain Donald Trump est en train de prendre une "mesure extrêmement dangereuse vers la guerre nucléaire" en recherchant un tel blocus, a ajouté le porte-parole, sans préciser à quelle mesure américaine il faisait référence.

"Si les États-Unis et ses partisans tentent de faire appliquer le blocus naval contre notre pays, nous considérerons cela comme un acte de guerre et répondrons par des mesures d'autodéfense impitoyables comme nous l'avons dit à plusieurs reprises", a-t-il ajouté.

L'administration américaine avait auparavant proposé l'imposition d'un blocus naval à la Corée du Nord, proposition rejetée à ce moment-là par la Chine et la Russie.

Source: Reuters

"La décision illogique et illégitime (du président américain, Donald Trump) de déplacer la capitale des occupants de Tel-Aviv à la ville d'Al-Qods, qui appartient à toutes les religions divines, est la provocation d'une guerre Le général de division Hassan Firuzabadi, conseiller militaire du chef de la révolution islamique en Iran, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, a déclaré mercredi.

D'un autre côté, de l'avis du général Firuzabadi, la politique belliciste du président américain en Asie de l'Est et de l'Ouest n'est rien de plus qu'un moyen de réchauffer le marché de l'armement. "Donald Trump n'est rien d'autre qu'un agent des compagnies d'armement et le président de 1% des capitalistes de Wall Street", a déclaré le responsable militaire persan.

Le conseiller militaire du chef de l'Iran a toutefois prédit que les musulmans s'uniraient et, avec l'aide de Dieu, libéreraient la ville d'Al-Qods des mains du régime israélien, ainsi que la nouvelle Intifada palestinienne ("soulèvement") mettre fin à l'occupation israélienne ne s'arrêtera pas.

Enfin, Firuzabadi a recommandé le président américain. penser à résoudre les problèmes des Américains qui lui ont fait confiance et lui ont donné leur vote.

La décision d'Al-Quds du dignitaire américain a généré une grande vague de condamnations et de critiques à travers le monde, attisant les critiques de l'occupation israélienne des territoires palestiniens, ainsi que les crimes du régime de Tel-Aviv contre le peuple autochtone de Palestine

Des centaines de Palestiniens ont été blessés ou ont déjà été arrêtés lors des protestations massives contre la décision de Donald Trump.

Depuis qu'il l'a pris, les frappes aériennes et l'artillerie israéliennes sur la bande de Gaza bloquée ont été presque quotidiennes. Les forces de guerre israéliennes lancent également de fréquentes attaques contre les leaders de la résistance palestinienne.

Cela est un pur mensonge des ennemis de l’islam pour créer des divisions. Les deux termes العظیم" " et "العلی " existent dans le Coran et les lecteurs coraniques terminent leur lecture en utilisant soit l’une soit l’autre, après la formule "صدق الله " qui signifie « Allah a dit vrai ».

Pour les non arabophones, il faut signaler que "العلی" signifie « le très supérieur » et العظیم" " le très grand, le mot "العلی" est utilisé 11 fois dans le Coran, et le mot العظیم" " 7 fois, les deux termes se rapportant à Allah ou à son œuvre.

Cependant, étant donné que le nom du premier Imam des chiites est علی (Ali) certains ont déclaré que le sens de ce mot dans la formule finale, était une allusion à l’Imam (as) et signifiait que « Dieu et Ali ont dit vrai » !

Le mot "العلی" dans le Coran, est un adjectif qualificatif épithète, et non un nom propre, attaché au nom Allah et à l’autre adjectif " العظیم" pour apporter un sens supplémentaire, et cela n’a rien à voir avec l’Imam Ali (as) fils d’Abou Taleb.

Par conséquent, l’expression " صدق الله العلی العظیم " se rapporte uniquement à Allah comme c’est le cas dans les versets

coraniques notamment dans le verset du Trône, verset 255 de la sourate Al Baghara, qui dit : " و هوالعلی العظیم "

Et Il est le Très Haut, le Très Grand.

 

ou le verset 4 de la sourate al-Shûra qui dit :

" " له ما فی السموات و ما فی الارض و هو العلی العظیم

A Lui appartient ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la terre. Et Il est le Sublime, le Très Grand,

Les lecteurs qui connaissent les règles de récitation coranique, au début cherchent secours auprès d’Allah et à la fin, attestent la vérité de Sa parole.

Cette attestation ne doit pas se faire obligatoirement avec la formule«صدق الله العظیم» comme cela est courant chez les sunnites, mais peut aussi se faire avec la formule utilisée chez les chiites«صدق الله العلی العظیم» ou toute autre formule d’attestation de la vérité de la parole divine.

Une revayat de l’Imam Sadegh (as) dit que toute personne qui lit la sourate Shams doit dire à la fin "صدق الله و صدق رسوله" c'est-à-dire : « Dieu et son prophète ont dit vrai » (Al-Tahdhib du cheikh Tussi vol 2 p 297)

Dans une autre revayat, il est dit que l’Imam Sajad (as) après la récitation de la sourate Ghadr, disait : "صدق الله عز وجل أنزل الله القرآن في ليلة القدر" « Allah a dit vrai, Allah a envoyé le Coran pendant la nuit de Ghadr » (Osoul Kafi vol 1 p 248)

L’Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la révolution islamique, en réponse à une question, a déclaré que ces deux formules ne faisaient pas de différence et que les deux termes se trouvaient tous deux dans le Coran.

Des lecteurs coraniques célèbres comme Hessan et Mohammad Badr Hossein, qui ne sont jamais venus en Iran, concluaient certaines de leurs lectures par la formule "

"صدق الله العلی العظیم et d’autres lecteurs comme Mahmoud Ramazan, Mohammad Abdoul Aziz Hessan, Mohammad Badr Hossein, Hashem Heibeh, Ahmad Razighi, Fatha Ghandil et autres, concluaient leurs lectures par la formule «صدق الله العظیم» comme vous pouvez l’entendre aux adresses suivantes :

http://s1.picofile.com/file/8228237942/MahmudRamazan_Anam95_103.Mp3.html http://s3.picofile.com/file/8228237284/Hassan_Shoara51_92.Mp3.html http://s3.picofile.com/file/8228236592/BadrHosein_Naba_Tareq_Alaq.Mp3.html http://s3.picofile.com/file/8228425718/FathiQandil_Qiamat_Nasr.Mp3.html http://s3.picofile.com/file/8229540850/Rozeyqi_Safat.mp3.html

L’ambassadrice américaine à l’ONU, Nikki Haley, a prétendu que l’Iran livrait des missiles aux révolutionnaires yéménites.

Selon le rapport de Fars News, Nikki Haley s’est rendu sur une base américaine dans un dépôt où sont conservés les débris de missiles prétendument iraniens et a accusé, devant les journalistes, l’Iran, d’envoyer des missiles aux révolutionnaires au Yémen. 

« Le 13 octobre, le président Trump a annoncé notre nouvelle politique contre l’Iran, qui consiste à se concentrer désormais sur toutes ses activités, pas seulement dans le cadre de l’accord nucléaire, mais surtout sur son programme balistique. L’accord nucléaire n’a pas pu amener le régime iranien à l’équilibre. Le Corps des gardiens de la Révolution islamique augmente de jour en jour ses aides à destination des milices et des groupes terroristes dans la région. Quatre jours plus tôt, Mohammad Javad Zarif, ministre iranien des Affaires étrangères, avait écrit dans un article que nous n’avions pas bien compris l’Iran, que les capacités militaires de son pays étaient conformes aux lois internationales et que c’étaient les étrangers eux-mêmes qui avaient embrasé la région », lit-on dans le communiqué de Haley.

L’Iran a pour sa part rejeté en bloc toutes ces allégations jugées « fallacieuses ».

Mohammad Javad Zarif, ministre iranien des Affaires étrangères. (Photo d’archives)

En signe de soutien aux Palestiniens et de protestation contre la décision de Trump de reconnaître Qods comme capitale d’Israël, le maire de Nazareth, ville où le prophète Jésus a passé son adolescence, vient d’annoncer que les fêtes de fin d’année qui devaient avoir lieu du 17 au 22 décembre seraient annulées.

Lors d’une conférence de presse, Ali Salam, le maire de Nazareth, a expliqué que sa ville faisait partie intégrante de la société arabe et qu’il était impossible de célébrer Noël et le Nouvel An alors que la Palestine vivait une troisième Intifada pour défendre Qods, rapporte le site Arabe 48.

Le mercredi 6 décembre, le président américain a prononcé une allocution dans laquelle il a reconnu Qods comme capitale israélienne et a annoncé que l’ambassade américaine y serait transférée.

Auparavant, le 23 octobre 1995, le Congrès américain avait approuvé un projet de loi pour le transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Qods. Par la suite, les candidats à la présidentielle américaine en ont fait une promesse de campagne. Mais une fois qu’ils arrivaient à la Maison-Blanche, par mesure de prudence, ils se rétractaient. C’est notamment le cas de Bill Clinton et George Bush. Contrairement à ses prédécesseurs et à la surprise générale, Donald Trump a franchi le pas et a approuvé le projet de loi.

L’annonce controversée a suscité la polémique à travers le monde. Des rassemblements ont eu lieu tant en occident que dans le monde musulman. En outre, les analystes politiques sont nombreux à qualifier la décision de l’administration américaine de violation flagrante du droit international et des résolutions du Conseil de sécurité. Ils estiment que cette mesure prématurée bafoue les droits du peuple palestinien et mettra fin à tout espoir de paix entre Israël et l’Autorité autonome de la Palestine.

Le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre belge Charles Michel travaillent actuellement ensemble à l’élaboration d’un plan ayant pour objectif de contrer la décision de Trump de reconnaître Qods comme capitale d’Israël, a révélé jeudi 14 décembre la chaîne 10 de la télévision israélienne.

La France et la Belgique veulent rendre vaines toutes les tentatives de Benjamin Netanyahou de faire accepter aux Européens la sainte Qods comme capitale d’Israël, affirme la chaîne.

Il s’agit donc d’un plan qui consiste à proclamer Qods capitale commune israélo-palestinienne et que Macron et Michel présenteront lors de leur prochaine réunion au sommet de l’Union européenne.

La teneur du texte qui est d’ailleurs en cours de rédaction s’annonce d’une grande rigueur et critique et il pourrait contraindre Israël à donner son feu vert au profit de ce qu’on pourrait appeler « le processus de Paix », a prévenu le Premier ministre israélien dans un message d’avertissement adressé à ses ambassadeurs dans les pays européens.

Selon le Centre palestinien d’information (CPI), Netanyahou a ordonné à ses ambassades de se livrer à des actes de provocation diplomatique pour endiguer ce plan.

La cheffe de la politique étrangère de l’Union européenne, Federica Mogherini, a tenté la semaine dernière de solidariser tous les ministres de l’Union contre la décision des États-Unis.

Lors d’un point de presse conjoint avec Benjamin Netanyahu, elle a martelé qu’aucun des pays membres du bloc ne déménagerait son ambassade à Qods.

Des milliers de Sud-africains sont descendus dans les rues du Cap pour protester contre la décision des États-Unis de reconnaître Qods comme capitale israélienne et ont appelé le gouvernement à mettre fin à ses relations diplomatiques avec Israël.

Les manifestants ont répondu à l’appel de plusieurs ONG et d’une large coalition de structures affiliées au Congrès national africain (ANC) et aux organisations civiles. Ils ont exhorté leur gouvernement à mettre fin à ses liens diplomatiques avec le régime israélien, rapporte l’agence de presse officielle APS.

Ce rassemblement adresse au gouvernement des exhortations pour qu’il adopte sur-le-champ une mesure contre Tel-Aviv, en réaction à la décision de l’administration Trump de reconnaître Qods comme capitale d’Israël.

« Le moment est venu de prendre les devants et de fermer l’ambassade d’Israël », a déclaré Abdul Ghaliet Ibrahim du Conseil judiciaire islamique sud-africain à la foule.

L’ANC (au pouvoir) examinera la question de la Palestine lors de son prochain congrès national à Johannesburg, a déclaré de son côté Faeiz Jacobs, secrétaire régional de l’ANC pour le Cap-Occidental.

« Les liens qui nous lient à la Palestine sont solidement tissés, et le Congrès national y tient bien. Alors nous allons conduire l’agenda pour fermer l’ambassade israélienne », a déclaré M. Jacobs à la foule.

Le 7 juillet dernier, l’ANC avait annoncé sa volonté de rétrograder son ambassade en Israël en un « bureau d’intérêt ».

« La commission a appelé à la rétrogradation de l’ambassade sud-africaine en Israël pour envoyer un message fort à l’occupation illégale et continue d’Israël de la Palestine et les violations continues des droits de l’Homme contre le peuple de Palestine », avait annoncé le président de la commission.

Rassemblés sur la place d’Al-Katiba dans la bande de Gaza, des milliers de Palestiniens ont commémoré le 30e anniversaire de la création du mouvement de la Résistance islamique (Hamas).

Ce grand rassemblement intervient alors que Donald Trump a prononcé le 6 décembre dernier une brève allocution dans laquelle il a reconnu la ville de Qods comme la capitale d’Israël, provoquant ainsi la colère des musulmans des quatre coins du monde.

Lors de leur réunion du mercredi 13 décembre à Istanbul, les dirigeants de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) ont annoncé leur ferme opposition à la décision de l’administration de Trump et réaffirmé que Qods-Est faisait partie intégrante de la Palestine.

Manifestation du 14 décembre 2017. ©AA

Par ailleurs, Ismaïl Haniyeh, chef du bureau politique du Hamas, a affirmé qu’en Palestine, la Résistance s’engageait à libérer Qods.

Dans ce contexte, Ismaïl Rezvan, un leader du Hamas, cité par l’agence de presse palestinienne Ma’an, a déclaré : « Toujours aussi déterminé, le mouvement de la Résistance restera fidèle à ses principes. Soumis à la revendication du peuple palestinien, il est parfaitement en mesure de contrer le régime d’Israël et de déjouer tous ses codes. Il a, à ses côtés, le peuple palestinien, les forces de la Résistance dans la région ainsi que les nations islamiques qui soutiennent l’Intifada. »  

Au moins 6.700 Rohingyas ont été tués entre fin août et fin septembre au cours d'une opération de l'armée birmane, selon une estimation publiée jeudi par Médecins sans frontières (MSF), qui estime que le bilan réel pourrait être encore plus lourd. 
 
Les chiffres de MSF ne couvrent que le premier mois des violences, mais l'exode se poursuit encore aujourd'hui. Et les personnes qui fuient "disent avoir subi des violences ces dernières semaines", a souligné MSF.

Les Nations unies n'ont jusqu'ici jamais publié de chiffres sur le nombre de tués.

"Les études montrent qu'au moins 71,7% des décès sont dus à la violence de l'armée, y compris parmi les enfants de moins de cinq ans. Cela représente au moins 6.700 personnes, dont 730 enfants", a écrit MSF, qui a interrogé plus de 11.000 réfugiés au Bangladesh pour parvenir à cette estimation.

Et pour le Dr Sidney Wong de MSF, "le nombre de décès est vraisemblablement sous-estimé", car "l'ampleur et la nature des violences mises au jour sont effroyables".

"Nous avons entendu des personnes raconter que des familles entières avaient péri après que les forces armées les ont enfermées dans leurs maisons avant d'y mettre le feu", a-t-il affirmé.

Selon les milliers d'entretiens menés par MSF pour tenter d'évaluer l'ampleur du drame, 69% des victimes ont été tuées par balles, 9% ont péri de brûlures et 5% de passages à tabac.

"Presque chaque famille rohingya a eu un ou plusieurs de ses membres tués dans les violences", a indiqué à l'AFP Mohammad Zubir, enseignant rohingya réfugié depuis 25 ans au Bangladesh, qui joue un rôle de dirigeant dans la communauté locale.

Les violences ont poussé environ 647.000 Rohingyas à fuir au Bangladesh voisin soit plus de la moitié de cette communauté musulmane vivant principalement dans l'Etat Rakhine, dans l'ouest de la Birmanie, pays très majoritairement bouddhiste.

"Je ne vois pas 600.000 personnes fuir leurs maisons et leurs rizières sans bonnes raisons", a argumenté Karline Kleijen, de MSF.

L'ONG, comme la plupart des acteurs humanitaires et des journalistes, n'a pas accès à la zone de conflit, tenue par l'armée. Ses programmes y sont au point mort.

Comme le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme, MSF réclame l'ouverture d'une enquête internationale et la réouverture de la zone.