
تقي زاده
Les menaces d’Israël montrent son état de panique (Résistance palestinienne)
Le porte-parole du mouvement palestinien Hamas, Fawzi Barhoum, a affirmé que les menaces du général israélien, Yoav Mordechai, chargé de la coordination des activités du régime de Tel-Aviv dans les territoires occupés palestiniens, montrent clairement l’état de panique d’Israël.
Fawzi Barhoum qui a publié un bref communiqué sur sa page Facebook a ajouté que les déclarations et les menaces lancées par le régime israélien expriment l’état de panique de l’envahisseur au sujet de la réaction réservée par la Résistance palestinienne à un bombardement ayant provoqué la mort d’un nombre de combattants des mouvements palestiniens.

« Les enfants braves de la Résistance sont toujours prêts et décidés pour soutenir la Palestine et sa cause et leur engagement à cette fin reste infaillible. Ils pourront anéantir le mythe de l’invincibilité de l’oppresseur et briser ses plans », a-t-il insisté.
La même position de la part d’un haut membre du mouvement palestinien du Jihad islamique, Khaled al-Batch. Ce haut cadre a insisté sur le fait que « les menaces israéliennes n’empêcheront pas les représailles de la Résistance » contre Israël qui a récemment provoqué la mort de 12 Palestiniens avec un bombardement sur un tunnel palestinien reliant la bande de Gaza sous blocus à l’extérieur.

Le régime de Tel-Aviv a récemment menacé dans une vidéo de liquider les leaders du Jihad islamique de la Palestine et de faire étendre la guerre au Liban et en Syrie.
Marche de l’Arbaïn, l'ineffable phénomène divin (Leader de la Révolution islamique)
Remerciant le peuple, le gouvernement et les jeunes combattants irakiens pour avoir organisé les cérémonies de l’Arbaïn, le Guide suprême de la Révolution islamique a affirmé que la marche de l’Arbaïn était un phénomène divin et spirituel sans précédent et indescriptible.
Selon l’agence de presse iranienne Tasnim, le Guide suprême de la Révolution islamique, l’Ayatollah Ali Khamenei a reçu, ce lundi 13 novembre au matin à Téhéran, nombre de responsables culturels des deux provinces de Qom et de l’Azerbaïdjan de l’Est.
Lors de cette rencontre, l’Ayatollah Khamenei a glorifié le « grandiose et incroyable phénomène qu’est la marche de l’Arbaïn ». Il a tenu à prier pour tous les pèlerins et adressé sa gratitude aux organisateurs de cette cérémonie.
« La présence d'une foule immense venue de différentes régions du monde à cette marche malgré les menaces terroristes témoigne du fait que l’esprit de lutte sur le chemin de Dieu est plus fort que jamais », a précisé le Guide suprême de la Révolution islamique.
L’Ayatollah Khamenei a aussi tenu à remercier le gouvernement irakien pour avoir réuni les conditions et moyens nécessaires à la tenue de la marche de l’Arbaïn. Le Leader de la Révolution islamique a également remercié le peuple irakien pour avoir accueilli et servi sincèrement et à bras ouverts les pèlerins du saint mausolée de l’Imam Hossein (béni soit-il). L’Ayatollah Ali Khamenei n’a pas manqué de remercier cordialement les jeunes combattants irakiens et les forces des Hachd al-Chaabi (Unités de mobilisation populaire) pour avoir assuré la sécurité des cérémonies de l’Arbaïn ainsi que les responsables des saints mausolées de l’Imam Ali et de l’Imam Hossein (bénis soient-ils) dans les villes saintes de Nadjaf et de Karbala, pour qui il a également souhaité la bénédiction divine.
Affrontements militaires entre les deux Corées sur les frontières communes
La Corée du Sud a fait part des affrontements, ce lundi 13 novembre, entre ses militaires et ceux du Nord dans la zone démilitarisée entre les deux pays.
Un soldat sud-coréen a été blessé, selon Séoul, suite à des tirs des soldats nord-coréens. Le soldat sud-coréen a été blessé lors de sa fuite.
L’Incident intervient au moment où la péninsule coréenne est sous tension suite aux actes provocateurs des États-Unis et le développement du programme nucléaire de Pyongyang, alimentant les craintes d’une confrontation militaire dans la région.
Les inquiétudes liées à une possible guerre sont montées d’un cran après l’escalade de menace entre Trump et Kim Jong-un.
L’Algérie accuse des pays arabes de détruire la Libye, le Yémen et la Syrie
Le Premier ministre algérien accuse certains pays arabes d’avoir déstabilisé la Libye, le Yémen et la Syrie.
Le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a déclaré, le dimanche 12 novembre, que certains pays avaient même dépensé jusqu’à 130 milliards de dollars pour déstabiliser et détruire la Libye, le Yémen et la Syrie.
Sans évoquer le nom d’un pays particulier, Ahmed Ouyahia a dit que les mêmes pays pourraient mettre en danger la stabilité de l’Algérie.
« Que se serait-il passé en Algérie, si nous n’avions pas survécu au printemps arabe ? », s’est-il interrogé.
« Les problèmes ont été réglés et l’ambiance a été apaisée grâce au président Abdelaziz Bouteflika, qui a conduit les Algériens vers la réconciliation nationale. C’est vrai que la sécurité et la stabilité en Algérie ont largement contribué à la prospérité de ce pays. »
Le Premier ministre algérien a ensuite souligné que les efforts du président Bouteflika avaient permis à l’Algérie de se débarrasser de ses dettes étrangères et de reprendre ses projets de développement.
« La vigilance des Algériens et la sécurité que connaît le pays ont empêché l’Algérie de basculer dans le chaos et de connaître le même sort que la Libye », a affirmé Ahmed Ouyahia.
La 6e réunion de la Commission mixte irano-ghanéenne
La 6e réunion de la Commission mixte irano-ghanéenne aura lieu demain, lundi 13 novembre, au Ghana avec la participation du ministre iranien de la Mobilisation agricole, Mahmoud Hojjati.
La délégation iranienne présidée par M. Hojjati est composée de 60 personnes issues des secteurs public et privé.
Cette délégation s’entretiendra avec les parties ghanéennes au sujet du commerce, de l’agriculture, de l’économie, des douanes, de l’énergie, du transport et de la construction.
Les hommes d’affaires du secteur privé des deux pays organiseront des réunions commerciales.
La 5e réunion de la Commission mixte irano-ghanéenne avait eu lieu à Téhéran il y a 3 ans.
Cette nouvelle édition se déroulera du 13 au 16 novembre à Accra, capitale ghanéenne.
Services gratuits à la marche Arbaeen
Rohingyas: un célèbre artiste accuse Suu Kyi "d'épuration ethnique"
"Nous l'avons honorée, maintenant elle nous répugne et nous fait honte", ajoute-t-il.
Le chanteur sera lundi à 11H00 locales (11H00 GMT) à la mairie de la ville pour rendre sa "Freedom of the City of Dublin", une distinction accordée par la capitale irlandaise qu'il avait reçue en 2005, et Aung San Suu Kyi en 1999.
la dirigeante birmane, prix Nobel de la paix, est très critiquée pour son peu d'empathie envers les Rohingyas, considérés comme une des minorités les plus persécutées du monde.
Quelque 900.000 musulmans Rohingyas de Birmanie sont entassés aujourd'hui dans des conditions insalubres dans des camps de tentes dans le sud du Bangladesh. L'exode de plus de 600.000 d'entre eux depuis fin août a été qualifié par l'ONU d'"épuration ethnique".
Chanteur militant, Geldof est devenu mondialement connu avec le groupe Band Aid, créé en 1984 pour récolter de l'argent destiné à aider la population en Ethiopie, décimée par la famine. Plus récemment, en 2014, il a réuni un nouveau groupe pour récolter des fonds contre Ebola.
Présence des musulmans à pays islamique et non islamique
Iran: Vladimir Poutine rencontre Hassan Rohani
Le président russe, Vladimir Poutine, a été reçu par son homologue iranien, Hassan Rohani.
En visite à Téhéran, mercredi 1er novembre, pour prendre part à la réunion tripartite Iran-Russie-République d’Azerbaïdjan, le président russe Vladimir Poutine a rencontré, ce mercredi 1er novembre, son homologue iranien Hassan Rohani.
En visite en Iran, Poutine demandra-t-il à Téhéran de quitter le sud syrien?
Israël retient son souffle : d'ici quelques heures le président russe, Vladimir Poutine va atterrir à Téhéran alors que son homologue azerbaïdjanais, Ilham Aliev s'y trouve déjà. Officiellement, les trois parties évoqueront l'économie, le commence, l'énergie dans le cadre de ce qui fait déjà très peur aux Américains à savoir "l'union eurasiatique". Mais ce n'est sans doute pas cette perspective qui inquiète en ce moment le plus Tel-Aviv. À en croire Haaretz, "les deux amis d'Israël" que sont "Poutine et Aliev" se rendent à Téhéran pour faire signifier à la "République islamique" qu'il est grand temps qu"elle quitte la Syrie". Surtout le Sud syrien où l'armée syrienne et son allié, le Hezbollah, contrôlent tout et qui pour le grand malheur du régime israélien, se trouve sur ses frontières. Mais Poutine se comportera-t-il en émissaire de Netanyahu?
Alors que l'État syrien est sur le point de gagner la grande guerre contre Daech et ses soutiens occidentaux et régionaux, et qu'à Damas, on pense plus sérieusement à l'après-guerre, cette troisième visite de Poutine en Iran a suscité une vraie tempête médiatique en Israël où la presse ne cesse d’énumérer les signes d’amitié et de rapprochement russo-israéliens comme pour convaincre le lecteur que Poutine " stoppera l’Iran aux portes d’Israël ".
Mais rien n’est moins sûr. Haaretz se livre à une analyse précoce de cette visite qui se combine avec celle du président azerbaïdjanais, allant jusqu’à qualifier les deux hommes d’amis d’Israël en terre ennemie.
Dans son article daté d’il y a deux jours, Haaretz mentionne ce qu’il qualifie d’ "accord tacite" entre Israël et la Russie "tout au long de sept ans de guerre en Syrie", accord qui aurait évité " tout incident israélo-russe à chaque frappe israélienne contre le sol syrien ". L’hypothèse n’est certes pas à écarter, mais elle n’est pas non plus trop d’actualité. L’attitude moscovite s’est soudain mise à changer quand Israël a eu le malheur de commettre la fatale erreur de s’en prendre à un centre de recherche de l’armée syrienne à Masyaf à quelques pâtés de Tartous. Ce port stratégique qui accueille la base navale russe. L’erreur a coûté à Israël le 7 septembre dernier " une frappe préventive » de la DCA syrienne, alors que les avions de chasse israéliens se trouvaient dans le ciel du Liban en pleine mission de reconnaissance et qu’ils n’avaient tiré aucun missile à destination de la Syrie. Dans la foulée, Tel-Aviv a prétendu avoir détruite " la batterie de missile coupable ", mais aucun analyste n’a fait attention à cette annonce. Le mal avait été fait : à l’approche de la victoire de l’armée syrienne et de ses alliés sur le terrain des combats, Israël fait face à une nouvelle réalité : le ciel libanais est désormais la prolongation du ciel syrien et ce, à la faveur de ce qui est appelé " Alliance Russie/axe de Résistance " en Syrie.
Peu après l’attaque, Israël a pris en pleine figure une autre manifestation de cette " alliance " : en visite à Tel Aviv, le ministre russe de la Défense, le général Choïgou aurait dit à la bande Netanyahu ses quatre vérités. Et c’est Yediot Aharonot qui le rapporte.
Selon le journal israélien, le ministre russe de la Défense aurait même lancé un sévère avertissement à Israël, l'un des "plus sévères jamais lancé". Le général russe qui ne pouvait sans doute s’empêcher de voir une certaine manigance israélienne derrière le meurtre en septembre dernier à Deir ez-Zor du commandant en chef des forces militaires russes en Syrie, Valeri Assapov, aurait lancé un " vous, Israéliens, vous ne pouvez plus frapper des cibles en Syrie puisque la Russie a fini par livrer à Damas des batteries de missiles antiaériens ". Ces propos n’engagent que Yediot Aharonot, mais vu l’agenda de la 3e visite de M. Poutine en Iran, il est fort probable que les journalistes du journal israélien n’aient pas menti. Car même l’annonce lundi, par le journal Kommersant d’une réduction de la présence militaire russe en Syrie ne changerait rien aux capacités balistiques nouvellement acquises de la Syrie : " les S-400 resteront à Hemimim et Maysaf, les S-300 à Tartous et les Pansir-S1, à travers tout le sol syrien. Il en serait de même pour ces centaines de drones russes qui ne quitteront pas la Syrie puisqu’ils sont chargés de surveiller Idlib, Homs, la Ghouta occidentale et surtout Deraa. Et c’est là qui se pose la grande question qui traverse en ce moment l’esprit des dirigeants israéliens : Poutine demandera-t-il au Hezbollah et aux Iraniens de quitter Deraa, Quneïtra et le Golan pour faire plaisir à Tel Aviv ?
À vrai dire, au terme de sept ans de guerre en Syrie, il ne reste plus grand-chose des liens privilégiés de Moscou avec Tel Aviv. Puisque la Russie a muté : l’homme fort du Kremlin pense déjà à se faire aider par l’Iran pour élargir sa présence dans le golfe Persique. L’Iran veut atteindre, de son côté, l’Europe via cette portion russe de la mer Noire. À Téhéran et à Moscou on voit plus loin que le bout de son nez surtout que le terrorisme daechiste créé et nourri par US/Israël tend à affecter, après sa quasi-défaite en Syrie et en Irak, le sol afghan, soit ce carrefour ultra stratégique au cœur de l’Asie centrale.
Israël croit-il vraiment que Poutine renoncera à son alliance avec le Hezbollah et l’Iran maintenant que la tumeur daechiste fait des métastases dans son arrière-cour ? Après tout, ce n’est pas en soutien aux soldats israéliens que les avions russes ont mené depuis 2013, quelque 96.000 heures de mission aérienne contre Daech et autres " terroristes modérés " chers à l’Occident. Depuis le ciel syrien, les Sukhoï russes n’ont vu que les soldats syriens et les braves combattants du Hezbollah s’acharner contre les terroristes.